Le 1er mai 2013, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri, évêque de Gap et d'Embrun, et son confrère Mgr Louis Sankalé, évêque de Nice, présideront la fête de Notre-Dame du Laus.
À l’issue de la messe solennelle, pour commémorer le 5e anniversaire de la reconnaissance officielle des apparitions, l’évêque de Gap et d'Embrun bénira une peinture monumentale réalisée par l’artiste français Philippe Casanova, présent pour l’occasion.
Ces festivités marqueront aussi le lancement d’un compte-à-rebours important : dans un an jour pour jour s’ouvrira en effet pour le Laus une année jubilaire. De nombreux rendez-vous sont prévus en 2014-2015 à l’occasion du 350e anniversaire des premières apparitions vécues par Benoîte.
Inauguration du tableau de Philippe Casanova à Notre-Dame du Laus le 1er mai 2013
1. ■ Jubilé de Notre-Dame du Laus : Inauguration du
tableau au sanctuaire le 1er mai 2013
Le 1er mai prochain, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri, évêque de Gap et d'Embrun,
et son confrère Mgr Louis Sankalé, évêque de Nice, présideront lafête de Notre-
Dame du Laus.
À l’issue de la messe solennelle, pour commémorer le 5 e anniversaire de la
reconnaissance officielle des apparitions, l’évêque de Gap et d'Embrun bénira une
peinture monumentale réalisée par l’artiste français Philippe Casanova, présent
pour l’occasion.
Ces festivités marqueront aussi le lancement d’un compte-à-rebours important : dans
un an jour pour jour s’ouvrira en effet pour le Laus une année jubilaire. De
nombreux rendez-vous sont prévus en 2014-2015 à l’occasion du 350e anniversaire
des premières apparitions vécues par Benoîte.
■ Philippe Casanova : Un Français passionné par le baroque italien et inspiré
par la Rome éternelle
« J’ai retrouvé avec émotion Notre-Dame du Laus, après bien des années. Un havre
de grâce, un repos pour l’âme, dans une symbiose avec la nature, le créé.
Dans ma ville d’élection, la sainte ville de Rome, j’ai découvert au fil des ans le
baroque. Les architectes, les artistes qui ont rendu cette ville si belle aimaient à dire :
“il mondo piangente e il cielo festeggiante” (« le monde pleure, le ciel est en fête »).
Puisque le monde n’en finit pas de s’enfoncer dans la crise et les tribulations, le Ciel
en quelque sorte s’invite sur la terre pour venir l’embraser, célébrer la gloire de la
Madone et de l’humble paysanne Benoîte, celle qui a vu juste. »
2. Philippe Casanova
Né à Paris en 1965, Philippe Casanova est diplômé de l’École nationale supérieure
des Beaux-Arts. C’est à l’occasion d’un voyage en Europe centrale et en Italie qu’il
se prend de passion pour l’univers baroque. La découverte de Rome est une
révélation. Y résidant depuis 15 ans, marié à une Italienne, il peint régulièrement des
œuvres pour les principales églises de la Ville éternelle et pour de nombreux palais
et sites religieux partout en Italie.
En 1994-1995, il réalise une série de 16 tableaux pour les Oratoriens qui fêtent le
400eanniversaire de la mort de saint Philippe Néri. En 2006, dans le cadre des 500
ans de la basilique Saint-Pierre, il crée un cycle de 31 peintures inspirées par les
splendeurs du Vatican.
"Intérieur de Saint-Pierre"
3. C’est à la demande de Mgr Jean-Michel di Falco Léandri qu’il a réalisé la toile qui
doit être bénie le 1er mai prochain. Le tableau, mesurant 2,5 mètres de haut sur 3 de
large, a pour sujet la cérémonie de reconnaissance officielle des apparitions, le 4 mai
2008. Clin d’œil, il prendra place dans la basilique Notre-Dame du Laus en face
d’une peinture représentant un autre événement important dans l’histoire du
sanctuaire : la cérémonie du couronnement de la Vierge du Laus en mai 1855 suite à
l’attribution de cette distinction par le pape Pie XI.
Le financement de l’œuvre a été assuré intégralement grâce à un mécène privé.
Fragment du tableau de Notre-Dame du Laus