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Iulia sortit de son bain, nue. Avachi sur le lit, je contemplais ces jolies formes ne pensant à rien
d’autre. Elle enfila son long peignoir rouge, avec lequel elle dormait parfois puis vint se mettre sur le
lit. Elle tira la couette, me repoussa sans ménagement de l’autre côté du lit puis alluma la télévision.
Je la devinais en colère sans en connaitre les raisons. Quelques minutes s’écoulèrent avant que je ne
prononce quelques mots. Je me hasardais à quelques paroles gentilles qui furent sans le moindre
effet. Elle restait de marbre, imperturbable, préférant se concentrer sur un programme de télé au
demeurant sans intérêt. Je me penchais vers elle et la fixais de longs instants. Les traits de son visage
étaient parfaits, fins, ses lèvres pulpeuses, ses cheveux d’un blond éclatant. Elle sentait bon, son
peignoir entre ouvert laissait apparaitre ses parties intimes, spectacle fort agréable auquel il était
difficile de résister bien longtemps. J’étais moi aussi nu. Je sentis mon sexe se durcir. Je lui caressais
la main que j’embrassais langoureusement. Iulia se montrait toujours aussi impassible à mes
avances. Je me décidais donc à être plus entreprenant. Je desserrais délicatement le nœud de son
peignoir, me rapprochais d’elle puis posa ma langue sur les lèvres de son vagin et commença à la
lécher doucement, chose que d’habitude elle appréciait particulièrement. Ce plaisir ne dura que
quelques secondes. Je fus interrompu dans mon plaisir par une violente gifle. Elle bondit ensuite hors
du lit, se défit complètement de son peignoir et me lança très en colère :

    -   « Je vais te mettre une sacré raclée dont tu te souviendras. »

Elle ouvrit le troisième tiroir de la commode de notre chambre et en sortit un martinet en cuir
impressionnant. Il était neuf et nous ne l’avions encore jamais utilisé. Nous l’avions commandé via
Internet il y a quelques mois, puis une fois reçu j’avais préféré le ranger là, espérant bien que ma
compagne l’oublierait et ne qu’elle ne souhaiterait pas en faire usage.

    -   « Lève toi m’ordonna t elle ». Je restais allongé sur le lit puis un coup violent s’abattit sur mes
        mollets. Je compris qu’elle ne plaisantait pas et que j’avais peut être bien intérêt à lui obéir.

Elle lui me tira par le bras et m’entraina dans la pièce voisine, qui faisait office de salon. Elle me fit
poser les mains sur le bureau et m’écarta les jambes. Sa main saisit mon sexe déjà bien dur et elle
commença frénétiquement à me masturber. Elle faisait glisser ces ongles longs sur mon sexe ce qui
était déjà très douloureux. Puis elle s’arrêta brusquement. Du fait des griffures qu’elle m’avait infligé
mon sexe me brulait et me faisait souffrir. Je commençais à souffler lorsqu’un seul je sentis soudain
un premier coup terrible venir chauffer mon derrière. J’eu à peine le temps de prendre conscience de
ce qui venait de se passer qu’un second coup tout aussi violent s’abattit lui aussi. Iulia frappait avec
une violence inouïe et une rage que je ne lui avais jamais vue. Elle s’appliquait à bien répartir les
coups sur toute la surface de mon derrière. Je la suppliais de mettre fin rapidement à cette punition,
ne pouvant plus supporter la douleur causée par les lanières en cuir s’abattant sur ma peau. Ne
voulant rien entendre, elle était bien décidée à m’humilier et à me punir durement. Ces moments me
semblèrent interminables. Elle s’arrêta puis me fit me retourner. Elle commença alors à me fouetter
durement sur mon sexe. J’essayais de me protéger en vain. Au bout de quelques minutes elle
s’arrêta, semblant satisfaite de l’état dans lequel elle venait de me mettre. Elle posa le martinet sur
le bureau, me prit le visage et m’embrassa langoureusement comme elle savait si bien le faire… Je
l’enlaçais tendrement et m’écroulais contre elle. Nous restâmes comme cela inertes, nus, enlacés
l’un dans l’autre plusieurs secondes qui me parurent une éternité. Je reprenais progressivement mes
esprits. Mes mains glissèrent sur son dos et se posèrent sur ses fesses. Je sentais son souffle sur mon
épaule. Je lui susurrais :
-   « Iulia, si tu savais combien je t’aime »

-   « Mais moi aussi je t’aime tant mon mimi… »

Mes lèvres se posèrent de nouveau sur les siennes. Soudain elle me prit par la main et me fit
allonger de tout mon long sur la moquette rouge, devant notre canapé. Le contact entre le sol et
mes fesses boursouflées me fit pousser un cri. J’étais maintenant complètement étendu, les bras
écartés. Elle s’accroupît sur moi, et commença à me sucer doucement. Sa croupe sublime
m’était offerte. Je la saisis au niveau des cuisses et la tira un peu vers moi. Elle comprit vite mes
intentions et adopta naturellement une position plus agréable et commode pour cela. Quelques
instants après ma langue titillait sa chatte déjà bien humide. Je savourais ses moments de plaisir
intenses. Son activité autour de mon sexe devient plus vive, elle m’aspirait la queue de plus en
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Iulia sortit de son bain

  • 1. Iulia sortit de son bain, nue. Avachi sur le lit, je contemplais ces jolies formes ne pensant à rien d’autre. Elle enfila son long peignoir rouge, avec lequel elle dormait parfois puis vint se mettre sur le lit. Elle tira la couette, me repoussa sans ménagement de l’autre côté du lit puis alluma la télévision. Je la devinais en colère sans en connaitre les raisons. Quelques minutes s’écoulèrent avant que je ne prononce quelques mots. Je me hasardais à quelques paroles gentilles qui furent sans le moindre effet. Elle restait de marbre, imperturbable, préférant se concentrer sur un programme de télé au demeurant sans intérêt. Je me penchais vers elle et la fixais de longs instants. Les traits de son visage étaient parfaits, fins, ses lèvres pulpeuses, ses cheveux d’un blond éclatant. Elle sentait bon, son peignoir entre ouvert laissait apparaitre ses parties intimes, spectacle fort agréable auquel il était difficile de résister bien longtemps. J’étais moi aussi nu. Je sentis mon sexe se durcir. Je lui caressais la main que j’embrassais langoureusement. Iulia se montrait toujours aussi impassible à mes avances. Je me décidais donc à être plus entreprenant. Je desserrais délicatement le nœud de son peignoir, me rapprochais d’elle puis posa ma langue sur les lèvres de son vagin et commença à la lécher doucement, chose que d’habitude elle appréciait particulièrement. Ce plaisir ne dura que quelques secondes. Je fus interrompu dans mon plaisir par une violente gifle. Elle bondit ensuite hors du lit, se défit complètement de son peignoir et me lança très en colère : - « Je vais te mettre une sacré raclée dont tu te souviendras. » Elle ouvrit le troisième tiroir de la commode de notre chambre et en sortit un martinet en cuir impressionnant. Il était neuf et nous ne l’avions encore jamais utilisé. Nous l’avions commandé via Internet il y a quelques mois, puis une fois reçu j’avais préféré le ranger là, espérant bien que ma compagne l’oublierait et ne qu’elle ne souhaiterait pas en faire usage. - « Lève toi m’ordonna t elle ». Je restais allongé sur le lit puis un coup violent s’abattit sur mes mollets. Je compris qu’elle ne plaisantait pas et que j’avais peut être bien intérêt à lui obéir. Elle lui me tira par le bras et m’entraina dans la pièce voisine, qui faisait office de salon. Elle me fit poser les mains sur le bureau et m’écarta les jambes. Sa main saisit mon sexe déjà bien dur et elle commença frénétiquement à me masturber. Elle faisait glisser ces ongles longs sur mon sexe ce qui était déjà très douloureux. Puis elle s’arrêta brusquement. Du fait des griffures qu’elle m’avait infligé mon sexe me brulait et me faisait souffrir. Je commençais à souffler lorsqu’un seul je sentis soudain un premier coup terrible venir chauffer mon derrière. J’eu à peine le temps de prendre conscience de ce qui venait de se passer qu’un second coup tout aussi violent s’abattit lui aussi. Iulia frappait avec une violence inouïe et une rage que je ne lui avais jamais vue. Elle s’appliquait à bien répartir les coups sur toute la surface de mon derrière. Je la suppliais de mettre fin rapidement à cette punition, ne pouvant plus supporter la douleur causée par les lanières en cuir s’abattant sur ma peau. Ne voulant rien entendre, elle était bien décidée à m’humilier et à me punir durement. Ces moments me semblèrent interminables. Elle s’arrêta puis me fit me retourner. Elle commença alors à me fouetter durement sur mon sexe. J’essayais de me protéger en vain. Au bout de quelques minutes elle s’arrêta, semblant satisfaite de l’état dans lequel elle venait de me mettre. Elle posa le martinet sur le bureau, me prit le visage et m’embrassa langoureusement comme elle savait si bien le faire… Je l’enlaçais tendrement et m’écroulais contre elle. Nous restâmes comme cela inertes, nus, enlacés l’un dans l’autre plusieurs secondes qui me parurent une éternité. Je reprenais progressivement mes esprits. Mes mains glissèrent sur son dos et se posèrent sur ses fesses. Je sentais son souffle sur mon épaule. Je lui susurrais :
  • 2. - « Iulia, si tu savais combien je t’aime » - « Mais moi aussi je t’aime tant mon mimi… » Mes lèvres se posèrent de nouveau sur les siennes. Soudain elle me prit par la main et me fit allonger de tout mon long sur la moquette rouge, devant notre canapé. Le contact entre le sol et mes fesses boursouflées me fit pousser un cri. J’étais maintenant complètement étendu, les bras écartés. Elle s’accroupît sur moi, et commença à me sucer doucement. Sa croupe sublime m’était offerte. Je la saisis au niveau des cuisses et la tira un peu vers moi. Elle comprit vite mes intentions et adopta naturellement une position plus agréable et commode pour cela. Quelques instants après ma langue titillait sa chatte déjà bien humide. Je savourais ses moments de plaisir intenses. Son activité autour de mon sexe devient plus vive, elle m’aspirait la queue de plus en plus vite.