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SPORT
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Johny Placide au
sommet de son art !
Kenson Désir
L
a majorité des chauffeurs qui
font le transport de passagers
dans l’aire métropolitaine
ne sont pas propriétaires
des véhicules qu’ils conduisent.
Au terme de chaque journée de
travail, ils doivent payer entre 750
et 1000 gourdes au propriétaire du
véhicule, selon les clauses du contrat
de location. « Quand on loue la
« kamyonèt », on doit l’alimenter
en essence. Pour une journée de
travail entière, cela peut coûter
750 gourdes », informe Bertho, un
chauffeur de tap-tap qui fait le trajet
Carrefour/Centre-ville. Après une
journée de travail, il confesse qu’il
rentre à la maison avec seulement
200 ou 250 gourdes.
Les favoris montent en selle
MARDI 29 SEPTEMBRE 2015 NUMÉRO 93
WWW.LENATIONAL.HT
QUOTIDIEN • 25 gourdesRÉPUBLIQUE D’HAITI
ACTUALITÉ
ÉCONOMIE
HAÏTI / PRÉSIDENTIELLE
HAÏTI / SITUATION DE LA VIE
Quotidien d'un chauffeur
de « kamyonèt »
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Moïse Jean Charles et Jude Célestin en campagne.
Les chauffeurs du transport public représentent l’un des maillons très importants
de la chaine sociale haïtienne. Ils facilitent le déplacement des gens d’un point à un
autre. Cependant, ils sont souvent victimes de l’incompréhension de plus d’un dans la
pratique de leur métier. Ils n’arrivent qu’à gagner le strict minimum pour assurer leur
survie.
Dix élus au premier
tour, le gros se joue
le 25 octobre
Noclès Débréus
Le système de
riziculture intensive,
une nouvelle technique
de production
expérimentée dans
le Nord d'Haïti
Pierre Ricardo Placide