1. COMMUNIQUE DE PRESSE
Le Cabinet
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CG/CAB/JCA/SDAL/NH
La fusion du CMAC et de l’Atrium validée par le vote de la
création d’un Etablissement Public de Coopération
Culturelle
Fort de France, le 17 avril 2014
Jeudi 17 avril 2014, au cours de l’Assemblée Plénière du Conseil Général, les élus ont voté à
l’unanimité la création d’un Etablissement Public de Coopération Culturelle (EPCC) en lieu et place
de la régie autonome l’Atrium et du Centre Martiniquais d’Action Culturelle (CMAC).
Cet établissement sera chargé de la mise en œuvre d’un véritable service public de la culture avec
pour missions principales :
- Assurer la diffusion du spectacle vivant, des arts visuels, du cinéma, de l’audiovisuel et du
numérique
- Etre le lieu de confrontation de toutes les formes de culture alliant tradition, modernité et
innovation
- S’affirmer comme un lieu structurant sur le territoire et dans la Caraïbe
- Mettre en œuvre l’éducation artistique et le développement culturel avec un objectif de
démocratisation
En accord avec l’Etat, il bénéficiera du label « Scène nationale » et sera garant de l’animation du
réseau culturel sur l’ensemble du territoire.
En termes de gouvernance, la tutelle de l’établissement sera assurée conjointement par l’Etat et le
Conseil Général. L’ECPP sera dirigé par un ou une directrice sous le contrôle d’un conseil
d’administration composé de 14 membres : 7 représentants du Conseil Général, 4 représentants de
l’Etat, 2 personnalités qualifiées et 1 représentant du personnel.
Sur le volet des ressources humaines, il a été validé, après concertation avec le personnel et les
représentants syndicaux, que les personnels des actuelles entités CMAC et ATRIUM seront transférés
au nouvel établissement créé.
2. Pour toute information complémentaire :
Contacts presse
Conseil Général – POLE MEDIA
Nathalie HIERSO Ericka ROUSSILHE DEDE
Port : 0696 21 87 76 – Tél. : 0596 55 25 56 Port : 0696 80 22 57– Tél. : 0596 55 44 75
hierso@cg972.fr ericka.dede@cg972.fr
L’EPCC disposera d’un budget annuel de 2,725 millions d’euros (2,25 millions versés par le Conseil
Général et 700 000 € par l’Etat) auquel viendra s’ajouter une subvention complémentaire liée à la
mise en œuvre du contrat d’objectifs.