Altares, spécialiste de l'information inter-entreprises, publie trimestriellement son étude sur les comportements de paiement des entreprises en France et en Europe. Altares passe en revue les données de façon géographique et sectorielle
ALTARES | Analyse Retards de paiement en France et en Europe - T2 2013AGENCECONNECTO
Altares, le spécialiste de l'information inter-entreprises publie son étude trimestrielle sur les comportements de paiement des entreprises françaises et européennes.
www.altares.fr
Altares, spécialiste de l'information inter-entreprises, publie trimestriellement son étude sur les comportements de paiement des entreprises en France et en Europe. Altares passe en revue les données de façon géographique et sectorielle
ALTARES, spécialiste de l'information sur les entreprises, publie chaque trimestre son étude sur les défaillances d'entreprises en France.
#ALTARESDEFA
ALTARES | CP Retards de paiement en France et en Europe T2 2013AGENCECONNECTO
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Bilan CIR 2012 (septembre 2014)
Depuis 2008, le CIR est la première source de soutien public des dépenses de R&D des
entreprises. C’est aussi le financement de la R&D qui touche le plus grand nombre d’entreprises,
notamment des petites et très petites entreprises. Les nouveaux entrants très nombreux depuis
2008 sont essentiellement des entreprises de moins de 250 salariés. Certaines petites
entreprises remplissent une déclaration CIR pour de très petits montants de dépenses : 10% des
entreprises déclarent moins de 30K€ de dépenses.
Le nombre de déclarants a plus que doublé depuis 2007 et dépasse 20 400 entreprises en 2012.
Les entreprises ont déclaré 19,2 Mds€ de dépenses éligibles pour l’année 2012, générant un
crédit d’impôt de 5,3 Mds.
Le taux de CIR constaté est d’autant plus faible que l’effectif du bénéficiaire est élevé : le CIR
représente 32% des dépenses éligibles pour les TPE et 24% pour les entreprises de plus de
5 000 salariés.
Ce document constitue la base d’une présentation donnée au CESRBC pour alimenter un débat sur la manière de limiter les faillites et leurs conséquences en Region de Bruxelles-Capitale.
C’est un document informel compilant des idées et des réflexions brutes émanant des équipes de l’ABE. Ce document ne représente pas un document officiel mais une contribution visant à stimuler le débat.
Merci à Kris, Azèle, Annelore, Rodolphe, Françoise, Marie-Caroline, … et d’autres collaborateurs motivés de l’ABE.
Es les evolutions_du_marche_du_travail_et_de_lemploi_en_region_pacaFrance Travail
Le confinement, qui a duré du mardi 17 mars au lundi 11 mai 2020, a entraîné l’arrêt de nombreuses activités économiques. Elles ont repris progressivement par la suite avec de nombreuses contraintes sanitaires. Les conséquences sur les marchés du travail et de l’emploi ont été rapidement visibles.
Cette note n’a pas de vocation conjoncturelle, elle a pour objet de décrire les impacts rapidement visibles sur les marchés du travail et de l'emploi à la suite des trois confinements et jusqu'au 4e trimestre 2021.
Tableau de bord conjoncturel - juin 2013CCI Bretagne
La 5ème édition du Tableau de bord conjoncturel fait état de l’opinion des chefs d’entreprise* sur la conjoncture et présente une série de 4 indicateurs économiques régionaux. 2 questions d'actualité sur les chefs d'entreprise bretons et leurs relations clients-fournisseurs complètent ce document.
* Les données présentées sont issues des 2 368 retours d’un questionnaire adressé aux entreprises bretonnes, échantillon représentatif de tous les secteurs d’activité et de toutes les tailles d’entreprises.
Le gouvernement a de son côté prévu de mettre au point avec les partenaires sociaux un ensemble de cinq réformes qui ont fait
l’objet d’une lettre de cadrage. Instituer une indemnisation pour les démissionnaires et pour les travailleurs indépendants est à
la fois non souhaitable et contre-indiqué financièrement. La troisième réforme concernant la limitation par pénalisation des CDD
courts n’a qu'un enjeu limité, et lorsque nécessaire, devrait plutôt conduire à diminuer l'indemnisation qu'à pénaliser l'employeur.
Le contrôle accru des chômeurs est en revanche souhaitable. Enfin, le remplacement de certaines cotisations par la CSG ne saurait
justifier la participation de l’État à la gouvernance de l’Unedic.
Mais le gouvernement se garde bien d’évoquer certains autres sujets de fond qui fâchent, à savoir que de moins en moins
l’assurance chômage conserve son caractère assurantiel, dans la mesure où l’État exige de l’Unedic, dont les ressources pèsent
directement sur le coût du travail marchand, qu’elle finance des politiques publiques de solidarité qui devraient reposer sur l’impôt.
Ce faisant, l’État est responsable des déficits de l’Unedic, et ne craint pas de les augmenter encore avec l’indemnisation annoncée
des démissionnaires et des travailleurs indépendants. Nos préconisations prioritaires sont les suivantes :
❙ équilibrer le financement par l’Unedic des points de retraite acquis pendant les périodes de chômage (déséquilibre de 2 milliards) ;
❙ annuler ou réduire fortement le financement par l’Unedic de Pôle emploi (3,3 milliards) ;
❙ faire participer les entreprises publiques à l’assurance chômage (plusieurs milliards) ;
❙ mettre à la charge de l’État les indemnisations qui ressortissent à un objectif de solidarité nationale : intermittents du spectacle,
exonérations spéciales et éviter les subventions croisées (1 milliard pour les intermittents, 1 milliard pour les autres subventions).
Enfin des réformes paramétriques devraient aussi être menées :
❙ augmenter le ratio d’éligibilité en passant la durée minimum d’affiliation de 4 à 6 mois, et ultérieurement à 8 mois, sur une période
de 18 mois (1,8 milliard) ;
❙ baisser, au minimum, à 0,9 de jour indemnisé pour un jour cotisé le taux de transformation (1,2 milliard) ;
❙ supprimer les revenus de remplacement proches des revenus du travail ou supérieurs ;
❙ et en fonction de la mise en oeuvre des réformes ci-dessus, baisser le taux des cotisations patronales et salariales.
Après la crise sanitaire et ses conséquenses visibles rapidement sur le marché du travail et l'emploi, le retour progressif à la normale a eu des effets positifs sur l'emploi.
Cette note n’a pas de vocation conjoncturelle, elle a pour objet de décrire les impacts sur les marchés du travail et de l'emploi depuis la crise sanitaire jusqu'au 4etrimestre 2022.
Du 17 juin au 1er juillet derniers, la Chambre de commerce a recueilli le sentiment de 371 entreprises de 10 salariés et plus, représentatives de l’économie luxembourgeoise. Compilant leurs réponses sur des sujets comme l’emploi, la rentabilité, les investissements, et la confiance dans l’avenir de l’entreprise et de l’économie, la Chambre de commerce a publié, ce jeudi 11 juillet, la première édition de son baromètre de l’économie, qui prendra le pouls de l’économie et captera les principales préoccupations des entreprises tous les six mois.
Résultats – SONDAGES IAB / CPA – « Les conséquences économiques de la crise c...Romain Fonnier
Résultats des sondages IAB / CPA : «Les conséquences économiques de la crise covid-19»
A l’image de nombreux pays à travers le monde adoptant des mesures pour lutter contre la propagation du virus COVID-19 dont le confinement, l’économie française est gravement touchée et le digital ne fait pas exception. De nombreux secteurs ont besoin d’un soutien public pour traverser ces moments difficiles. Les gouvernements prennent des mesures de soutien de l’économie et d’anticipation de la reprise d’activité. Le digital ne doit pas en être exempté.
Dans le cadre de la crise sanitaire que nous traversons (Covid 19), le CPA et l’IAB ont réalisé un sondage auprès de leurs adhérents, afin de comprendre les principales préoccupations de l’industrie et les conséquences économiques de cette crise mondiale. Plus de 100 dirigeants d’entreprises représentatives des acteurs du marketing et de la publicité digitale en France (éditeurs, régies, agences, adtech, etc.) ont répondu au questionnaire entre le 7 et le 27 avril dernier.
Le confinement, qui a duré du mardi 17 mars au lundi 11 mai 2020, a entraîné l’arrêt de nombreuses activités économiques. Elles ont repris progressivement par la suite avec de nombreuses contraintes sanitaires. Les conséquences sur les marchés du travail et de l’emploi ont été rapidement visibles.
Bilan CIR 2012 (septembre 2014)
Depuis 2008, le CIR est la première source de soutien public des dépenses de R&D des
entreprises. C’est aussi le financement de la R&D qui touche le plus grand nombre d’entreprises,
notamment des petites et très petites entreprises. Les nouveaux entrants très nombreux depuis
2008 sont essentiellement des entreprises de moins de 250 salariés. Certaines petites
entreprises remplissent une déclaration CIR pour de très petits montants de dépenses : 10% des
entreprises déclarent moins de 30K€ de dépenses.
Le nombre de déclarants a plus que doublé depuis 2007 et dépasse 20 400 entreprises en 2012.
Les entreprises ont déclaré 19,2 Mds€ de dépenses éligibles pour l’année 2012, générant un
crédit d’impôt de 5,3 Mds.
Le taux de CIR constaté est d’autant plus faible que l’effectif du bénéficiaire est élevé : le CIR
représente 32% des dépenses éligibles pour les TPE et 24% pour les entreprises de plus de
5 000 salariés.
Ce document constitue la base d’une présentation donnée au CESRBC pour alimenter un débat sur la manière de limiter les faillites et leurs conséquences en Region de Bruxelles-Capitale.
C’est un document informel compilant des idées et des réflexions brutes émanant des équipes de l’ABE. Ce document ne représente pas un document officiel mais une contribution visant à stimuler le débat.
Merci à Kris, Azèle, Annelore, Rodolphe, Françoise, Marie-Caroline, … et d’autres collaborateurs motivés de l’ABE.
Es les evolutions_du_marche_du_travail_et_de_lemploi_en_region_pacaFrance Travail
Le confinement, qui a duré du mardi 17 mars au lundi 11 mai 2020, a entraîné l’arrêt de nombreuses activités économiques. Elles ont repris progressivement par la suite avec de nombreuses contraintes sanitaires. Les conséquences sur les marchés du travail et de l’emploi ont été rapidement visibles.
Cette note n’a pas de vocation conjoncturelle, elle a pour objet de décrire les impacts rapidement visibles sur les marchés du travail et de l'emploi à la suite des trois confinements et jusqu'au 4e trimestre 2021.
Tableau de bord conjoncturel - juin 2013CCI Bretagne
La 5ème édition du Tableau de bord conjoncturel fait état de l’opinion des chefs d’entreprise* sur la conjoncture et présente une série de 4 indicateurs économiques régionaux. 2 questions d'actualité sur les chefs d'entreprise bretons et leurs relations clients-fournisseurs complètent ce document.
* Les données présentées sont issues des 2 368 retours d’un questionnaire adressé aux entreprises bretonnes, échantillon représentatif de tous les secteurs d’activité et de toutes les tailles d’entreprises.
Le gouvernement a de son côté prévu de mettre au point avec les partenaires sociaux un ensemble de cinq réformes qui ont fait
l’objet d’une lettre de cadrage. Instituer une indemnisation pour les démissionnaires et pour les travailleurs indépendants est à
la fois non souhaitable et contre-indiqué financièrement. La troisième réforme concernant la limitation par pénalisation des CDD
courts n’a qu'un enjeu limité, et lorsque nécessaire, devrait plutôt conduire à diminuer l'indemnisation qu'à pénaliser l'employeur.
Le contrôle accru des chômeurs est en revanche souhaitable. Enfin, le remplacement de certaines cotisations par la CSG ne saurait
justifier la participation de l’État à la gouvernance de l’Unedic.
Mais le gouvernement se garde bien d’évoquer certains autres sujets de fond qui fâchent, à savoir que de moins en moins
l’assurance chômage conserve son caractère assurantiel, dans la mesure où l’État exige de l’Unedic, dont les ressources pèsent
directement sur le coût du travail marchand, qu’elle finance des politiques publiques de solidarité qui devraient reposer sur l’impôt.
Ce faisant, l’État est responsable des déficits de l’Unedic, et ne craint pas de les augmenter encore avec l’indemnisation annoncée
des démissionnaires et des travailleurs indépendants. Nos préconisations prioritaires sont les suivantes :
❙ équilibrer le financement par l’Unedic des points de retraite acquis pendant les périodes de chômage (déséquilibre de 2 milliards) ;
❙ annuler ou réduire fortement le financement par l’Unedic de Pôle emploi (3,3 milliards) ;
❙ faire participer les entreprises publiques à l’assurance chômage (plusieurs milliards) ;
❙ mettre à la charge de l’État les indemnisations qui ressortissent à un objectif de solidarité nationale : intermittents du spectacle,
exonérations spéciales et éviter les subventions croisées (1 milliard pour les intermittents, 1 milliard pour les autres subventions).
Enfin des réformes paramétriques devraient aussi être menées :
❙ augmenter le ratio d’éligibilité en passant la durée minimum d’affiliation de 4 à 6 mois, et ultérieurement à 8 mois, sur une période
de 18 mois (1,8 milliard) ;
❙ baisser, au minimum, à 0,9 de jour indemnisé pour un jour cotisé le taux de transformation (1,2 milliard) ;
❙ supprimer les revenus de remplacement proches des revenus du travail ou supérieurs ;
❙ et en fonction de la mise en oeuvre des réformes ci-dessus, baisser le taux des cotisations patronales et salariales.
Après la crise sanitaire et ses conséquenses visibles rapidement sur le marché du travail et l'emploi, le retour progressif à la normale a eu des effets positifs sur l'emploi.
Cette note n’a pas de vocation conjoncturelle, elle a pour objet de décrire les impacts sur les marchés du travail et de l'emploi depuis la crise sanitaire jusqu'au 4etrimestre 2022.
Du 17 juin au 1er juillet derniers, la Chambre de commerce a recueilli le sentiment de 371 entreprises de 10 salariés et plus, représentatives de l’économie luxembourgeoise. Compilant leurs réponses sur des sujets comme l’emploi, la rentabilité, les investissements, et la confiance dans l’avenir de l’entreprise et de l’économie, la Chambre de commerce a publié, ce jeudi 11 juillet, la première édition de son baromètre de l’économie, qui prendra le pouls de l’économie et captera les principales préoccupations des entreprises tous les six mois.
Résultats – SONDAGES IAB / CPA – « Les conséquences économiques de la crise c...Romain Fonnier
Résultats des sondages IAB / CPA : «Les conséquences économiques de la crise covid-19»
A l’image de nombreux pays à travers le monde adoptant des mesures pour lutter contre la propagation du virus COVID-19 dont le confinement, l’économie française est gravement touchée et le digital ne fait pas exception. De nombreux secteurs ont besoin d’un soutien public pour traverser ces moments difficiles. Les gouvernements prennent des mesures de soutien de l’économie et d’anticipation de la reprise d’activité. Le digital ne doit pas en être exempté.
Dans le cadre de la crise sanitaire que nous traversons (Covid 19), le CPA et l’IAB ont réalisé un sondage auprès de leurs adhérents, afin de comprendre les principales préoccupations de l’industrie et les conséquences économiques de cette crise mondiale. Plus de 100 dirigeants d’entreprises représentatives des acteurs du marketing et de la publicité digitale en France (éditeurs, régies, agences, adtech, etc.) ont répondu au questionnaire entre le 7 et le 27 avril dernier.
Le confinement, qui a duré du mardi 17 mars au lundi 11 mai 2020, a entraîné l’arrêt de nombreuses activités économiques. Elles ont repris progressivement par la suite avec de nombreuses contraintes sanitaires. Les conséquences sur les marchés du travail et de l’emploi ont été rapidement visibles.
1. nanterre,LE jeuDI 23 MAI 2013
analyse altares au 1er
trimestre 2013
les comportements de paiement des entreprises EN FRANCE ET EN EUROPE
Les grands retards de paiement
inter-entreprises au plus haut
en Europe depuis trois ans.
9,1 % des entreprises européennes règlent leurs
fournisseurs avec plus de 30 jours de retard.
Les entreprises tentent de résister en France,tandis qu’elles décrochent en Italie
et plongent au Portugal.
Les retards de paiement des entreprises européennes s’établissent à 13,8 jours en moyenne sur le
premier trimestre 2013 et s’éloignent un peu plus du niveau d’avant-crise (12,5 jours). C’est ce que
révèle l’étude trimestrielle Altares basée sur les balances âgées des entreprises1
.
Traduction de cette dégradation, seules 42,4 % des entreprises européennes règlent leurs factures
à l’échéance, c’est-à-dire à la date convenue contractuellement avec le fournisseur. Mais plus que
la proportion de bons payeurs, le taux de retards supérieurs à 30 jours est davantage le marqueur
de la santé financière des entreprises. Ces grands retards de paiement sont symptomatiques d’une
trésorerie très dégradée et d’une poursuite d’activité compromise. Désormais, 9,1 % des entreprises
européennes reportent leurs paiements d’au moins 30 jours ; ce taux est le plus élevé depuis le
printemps 2010, soit depuis trois ans.À titre de comparaison, au plus fort de la crise la proportion de
grands retards avaient atteint 10 % ; situation vers laquelle on tend actuellement.
Les comportements de paiement se tendent sévèrement en Italie (près de 19 jours de retard en
moyenne) et au Portugal (au-delà de 31 jours).L’Allemagne (environ 6 jours) reste vertueuse mais des
tensions apparaissent. La France (12,3 jours) enregistre pour le quatrième trimestre consécutif une
lente mais régulière dégradation.
1- Depuis 45 ans aux États-Unis et 25 ans en Europe,le programme DunTrade® du D&B Worldwide Network premier réseau mondial
d’informations B to B Dun & Bradstreet,dont Altares fait partie,analyse les informations provenant directement de la comptabilité client
de milliers de sociétés participantes.(Voir méthodologie).
COMMUNIQUÉ
DE PRESSE
>
RELATIONS PRESSE :Agence Connecto
Aurélie Botbol :aurelie.botbol@agenceconnecto.com - Madly Schenin-King :madly.schenin-king@agenceconnecto.com
9 rue François Coppée - 92240 Malakoff - France
Tél :+33(0)9 62 16 07 83 • www.agenceconnecto.com
FRANCE et EUROPE • 1/4
2. nanterre,LE jeuDI 23 mai 2013
La dégradation des conditions de paiement s’accélére dans les pays du sud de l’Europe
Sur le premier trimestre 2013, les entreprises espagnoles règlent leurs factures avec un retard de 18,7 jours
soit 5 jours au-dessus de la moyenne européenne et encore 4 jours au-dessus des valeurs de 2008. Les grands
retards au-delà de 30 jours, diminuent mais 13,5 % des entreprises reportent encore leurs paiements.
Au Portugal, le retard moyen de paiement franchit la barre des 31 jours à 31,6 jours au plus haut sur dix ans.
Désormais plus d’une entreprise portugaise sur quatre (25,1 %) décale ses paiements d’au moins 30 jours
après l’échéance.
En Italie,le retard moyen de paiement se situe à 18,8 jours.Le pays revient à ses valeurs de crise,la dégradation
est rapide sur un an. Plus de 15 % des entreprises affichent des grands retards au-delà de 30 jours, soit 4 % de
plus sur un an.
L’Allemagne,la référence ; les Pays-Bas le bon élève
Les entreprises allemandes continuent de montrer l’exemple à tous leurs partenaires commerciaux européens :
78,1 % respectent les délais de paiement. Ce taux recule néanmoins de 0,7 % sur trois mois, signe que les tensions
économiques touchent aussi les entreprises allemandes. Aux Pays-Bas, plus d’une entreprise sur deux (52,6 %)
respecte les dates d’échéances,une augmentation de 2 % par rapport au dernier trimestre 2012.De surcroît,moins
de 4 % des entreprises néerlandaises reportent leurs paiements de plus de 30 jours.Le retard moyen de règlement
tombe à 8,1 jours.
Le Royaume-Uni et la Belgique résistent
Au Royaume-Uni, les retards de paiement s’apprêtent à tomber sous les 15 jours après avoir approché 19
jours durant la crise. 9,3 % des entreprises reportent leurs paiements de plus de 30 jours au-delà de la date
d’échéance prévue, c’est 5 % de moins que pendant la crise. Cependant, seulement 29,5 % des entreprises
payent leurs factures sans retard contre 30,2 % trois mois plus tôt. C’est encore moins qu’en France.
La Belgique confirme l’amélioration des comportements de paiement engagée depuis l’été 2010. Le retard
de règlement moyen a été ramené de 14,6 jours à 11,1 jours. Toutefois, les longs reports ont tendance à
augmenter ; 6,2 % des entreprises belges décalent leurs paiements fournisseurs d’au moins 30 jours au-delà
des délais négociés contre 6,1 % trois mois plus tôt et 5,9 % il y a six mois.
En France,la conjoncture pèse sur les micro-entreprises et les TPE
Sur le premier trimestre 2013, seulement 31,2 % des entreprises françaises règlent leurs factures dans les
délais prévus. Ce taux se dégrade lentement mais régulièrement depuis quatre trimestres. Il s’établissait, un
an plus tôt, à 33,2%.
36,6 % décalent leurs paiements jusqu’à 15 jours après la date prévue sur la facture, soit 10 % de plus que la
moyenne européenne (27,4 %).
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COMMUNIQUÉ
DE PRESSE
FRANCE et EUROPE • 2/4
3. 26,4 % payent leurs fournisseurs avec des retards de 16 à 30 jours : ce taux est supérieur de plus de 5 % à la
moyenne européenne et au plus haut depuis le printemps 2011.
Sur les retards les plus importants, ceux de plus de 30 jours, les entreprises françaises se comportent mieux que
leurs concurrentes européennes. 5,6 % (taux quasi stable), contre 9,1 % en Europe, repoussent le paiement des
factures d’au moins un mois.
À peine une Entreprise de Taille Intermédiaire et Grande Entreprise sur dix paye ses fournisseurs sans
retard (9,6 %) sur le premier trimestre 2013. Ces grands acteurs économiques règlent leurs fournisseurs (55,2 %)
avec des retards majoritairement compris entre 1 et 15 jours.
Moins d’une PME (10 à 249 salariés) sur quatre (23,6 %) respecte les dates d’échéance et 28,9 % (+ 0,4 %)
reportent les règlements de 15 à 30 jours,confirmation des tensions de trésorerie des PME.
La dégradation de la conjoncture économique semble davantage peser sur les micro-entreprises (< 10 salariés).
Ces petites entreprises sont désormais moins de 37 % à pouvoir encore respecter les dates de facture. Ce taux
s’érode régulièrement depuis le printemps 2012. Il était de 39 % au T2 2012, de 38,1 % au T3 2012, de 37 % au
T4 2012 et tombe à 36,7 % ce premier trimestre 2013.
Le transport et la logistique présentent des comportements de paiement moins vertueux que l’ensemble des
entreprises. 18,2 % (31,2 % pour l’ensemble des activités) des acteurs règlent leurs fournisseurs sans retard et
35,4 % avec un retard de 15 à 30 jours (26,4 % pour l’ensemble des activités).
Dans l’hébergement, la restauration et les débits de boisson, 22,4 % des acteurs payent leurs fournisseurs
sans retard, c’est 0,6 % de moins que fin 2012.Les retards supérieurs à 15 jours augmentent (44,5 % soit + 1 % en
trois mois). Les tensions sont fortes en particulier dans la restauration où plus d’un restaurateur sur dix reporte
ses règlements de plus de 30 jours.
Dans l’industrie, le taux de règlements effectués sans retard est quasi stable à 26,2 %. Cette stabilité masque
toutefois un transfert de légers retards vers de plus importants.Ainsi,les reports de moins de 15 jours reculent de
43,5 % à 43,1 % tandis que ceux de plus de 30 jours augmentent de 30,3 % à 30,7 %.
Les services aux entreprises présentent,comme l’industrie,un taux de paiement effectués sans retard à 26,2 %
mais en recul de 0,3 % sur trois mois.
Le commerce se situe dans la moyenne de l’ensemble des activités avec 31,2 % d’entreprises respectant les dates
d’échéance ; ce taux est en baisse de 0,3 % sur trois mois.
La construction reste globalement le secteur le plus respectueux des délais de règlement.40,1 % des entreprises
de ce secteur payent leurs fournisseurs sans retard ce premier trimestre 2013.Ce taux est,toutefois,en baisse de
0,6 % sur trois mois et 3,7 % sur un an. Le bâtiment, en particulier, est sous tension. 25 % des acteurs reportent
désormais le paiement de leurs factures de plus de 15 jours (+ 0,6 % sur trois mois).
L’administration présente elle aussi des comportements de paiements moins favorables ; les organismes
administratifs sont 35,6 % à respecter les dates d’échéance contre 36,6 % il y a trois mois. Les retards de moins
de 15 jours sont en hausse (38,1 % contre 37,4 %) mais également ceux de 15 à 30 jours (22,9 % contre 22,4 %).
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nanterre,LE jeuDI 23 mai 2013
COMMUNIQUÉ
DE PRESSE
FRANCE et EUROPE • 3/4
4. « Ladirectiveeuropéennerévisée,cherchantàluttercontrelesretardsdepaiementdanslestransactionscommerciales,
est entrée en vigueur le 17 mars 2013. Elle vise à redonner aux PME la trésorerie qui leur fait défaut en encadrant
les délais de règlement du public et du privé et en contraignant les mauvais payeurs », rappelle Thierry MILLON,
Responsable des analyses Altares.
« En effet, le non-respect des délais de règlement constitue bien un frein majeur à la compétitivité des entreprises. Le
manque de trésorerie des entreprises, et plus largement de financement, hypothèque leur croissance et les
fragilise gravement. Ce début d’année, l’analyse des comptabilités clients, c’est-à-dire le constat de la réalité des
transactions, confirme la difficulté des affaires mais surtout en mesure les effets : les grands retards de paiement sont
plus nombreux en Europe. Or, nous le vérifions en permanence, le seuil des 30 jours de retard est révélateur de tensions
financières fortes. Si les entreprises qui « jouent la montre » décident de décaler leurs règlements de quelques jours,
celles en plus sérieuses difficultés n’ont, en revanche, plus d’alternative ; elles doivent repousser davantage le paiement
des factures. Le risque de voir ces entreprises déposer le bilan augmente alors brutalement. Le rythme des défaillances
d’entreprises pourrait donc bien s’accélérer en Europe.
Il est donc essentiel que les acteurs économiques redoublent d’attention sur la qualité des paiements de leurs clients.
Pour bien connaître ses partenaires commerciaux trois recommandations de bon sens peuvent être rappelées :
Tout d’abord, organiser ses bases métiers pour s’assurer de disposer d’une information précise, à jour et
exploitable sur chaque compte client ;
Ensuite, en France comme à l’international, « recruter » des partenaires commerciaux non seulement solides mais
surtout bons payeurs ;
Et enfin, gérer les risques financiers liés à ces partenaires. Rappelons le, une défaillance sur quatre est due à des
retards de paiement. »
Renseignements :Thierry Millon - Responsable des Études Altares :04 72 65 15 51
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nanterre,LE jeuDI 23 mai 2013
COMMUNIQUÉ
DE PRESSE
FRANCE et EUROPE • 4/4
À PROPOS D’ALTARES
Altares est née du rapprochement
de la Base d’Informations Légales BIL
et de Dun & Bradstreet France.
Sa vocation, en tant que spécialiste
de la connaissance inter-entreprises :
fournir des solutions pour accélérer
la croissance.
Altares répond aux besoins des
entreprises sur deux axes majeurs :
développement commercial et gestion
du risque financier, en France, en Europe
comme à l’International.
Membre du 1er
réseau international
d’informations B to B (le D&B Worldwide
Network), Altares diffuse en France
les solutions créées par le leader mondial D&B.
Les clients d’Altares disposent du seul
accès global à des données qualifiées
sur plus de 200 Millions d’entreprises
dans le monde.
Dirigée par Thierry Asmar, Altares, détient
40 % du marché français ; avec un CA
d’environ 55 Millions d’Euros, l’entreprise
compte près de 300 collaborateurs répartis
sur 3 sites principaux : Nanterre,
St-Quentin-en -Yvelines et Villeurbanne.
ALTARES
55 avenue des Champs Pierreux
Immeuble Le Capitole
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Tél : 01 41 37 51 04