Inaugurée le 20 Octobre 1999 par SA MAJESTE LE ROI MOHAMMED VI Que Dieu le Glorifie La Faculté de Médecine et de Pharmacie de Fès est un établissement relevant de l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah. -Filière Médecine-
Internes déclassées pour congé maternité : cela ne peut plus durer ! Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°13" Octobre 2015
La situation de la femme a beaucoup évolué depuis la fin du XIXe siècle. Elle a su prendre un rôle important et apporter une plus-value au monde du travail. Les femmes d’aujourd’hui, qui sont 80 % à travailler, ne veulent pas pour autant laisser de côté leur vie personnelle et familiale. Le monde du travail, conçu initialement par et pour des hommes, a encore du mal à laisser à la femme toute sa liberté et à lui donner toute sa place. Certaines professions se sont féminisées plus tôt et possèdent un cadre plus propice à l’épanouissement professionnel des femmes (ex : l’enseignement). La société, pour intégrer la femme dans le monde du travail, voudrait en faire l’égale de l’homme en lui faisant croire qu’elle ne pourra s’épanouir dans son métier qu’au prix d’un sacrifice de sa vie personnelle.
En médecine, la féminisation de la profession (58 % des médecins nouvellement inscrits au CNOM en 2013 étaient des femmes, contre 38 % en 2008 [1]) est malheureusement encore mal vue et de nombreuses discriminations subsistent malgré l’évolution (lente) des mentalités.
Notre premier ministre, Manuel Valls, lors de son discours à La Rochelle pour la clôture de l’université d’été du PS, qui s’est tenue fin août 2015 a dit que « les discriminations du fait de l’origine, de la couleur de peau, de la religion, de l’orientation sexuelle, ou parce qu’on est une femme, sont des humiliations quotidiennes. Des humiliations quotidiennes que nous ne pouvons accepter, et nous proposerons un projet de loi pour l’égalité et contre les discriminations, qui prendra en compte les travaux parlementaires, notamment ceux de Razzy Hamadi. ».
...
reseauprosante.fr
Inaugurée le 20 Octobre 1999 par SA MAJESTE LE ROI MOHAMMED VI Que Dieu le Glorifie La Faculté de Médecine et de Pharmacie de Fès est un établissement relevant de l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah. -Filière Médecine-
Internes déclassées pour congé maternité : cela ne peut plus durer ! Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°13" Octobre 2015
La situation de la femme a beaucoup évolué depuis la fin du XIXe siècle. Elle a su prendre un rôle important et apporter une plus-value au monde du travail. Les femmes d’aujourd’hui, qui sont 80 % à travailler, ne veulent pas pour autant laisser de côté leur vie personnelle et familiale. Le monde du travail, conçu initialement par et pour des hommes, a encore du mal à laisser à la femme toute sa liberté et à lui donner toute sa place. Certaines professions se sont féminisées plus tôt et possèdent un cadre plus propice à l’épanouissement professionnel des femmes (ex : l’enseignement). La société, pour intégrer la femme dans le monde du travail, voudrait en faire l’égale de l’homme en lui faisant croire qu’elle ne pourra s’épanouir dans son métier qu’au prix d’un sacrifice de sa vie personnelle.
En médecine, la féminisation de la profession (58 % des médecins nouvellement inscrits au CNOM en 2013 étaient des femmes, contre 38 % en 2008 [1]) est malheureusement encore mal vue et de nombreuses discriminations subsistent malgré l’évolution (lente) des mentalités.
Notre premier ministre, Manuel Valls, lors de son discours à La Rochelle pour la clôture de l’université d’été du PS, qui s’est tenue fin août 2015 a dit que « les discriminations du fait de l’origine, de la couleur de peau, de la religion, de l’orientation sexuelle, ou parce qu’on est une femme, sont des humiliations quotidiennes. Des humiliations quotidiennes que nous ne pouvons accepter, et nous proposerons un projet de loi pour l’égalité et contre les discriminations, qui prendra en compte les travaux parlementaires, notamment ceux de Razzy Hamadi. ».
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Revue "Jeune MG" SNJMG n°15 - Août 2016
Le 25 mai 2016 est paru au JO un décret n° 2016-675 réformant le choix de poste des internes de médecine, pharmacie et odontologie.
Ce décret est une vraie avancée pour les internes et met fin aux pénalités injustes trop longtemps supportées par les internes concernés. L'internat est un moment difficile où l'on doit souvent faire beaucoup de sacrifices mais cela est encore plus pénible lorsqu'on se trouve en situation de fragilité et que l'administration fait preuve d'indifférence et nous met des bâtons dans les roues dans la poursuite de notre parcours.
L'évolution du statut de l'interne est lente mais réelle. C'est pourquoi le SNJMG est fier d'avoir participé et encouragé l'élaboration de ce décret qui certes n'est pas parfait mais qui a le mérite de prendre en considération chaque interne non plus comme un esclave corvéable à merci mais comme une personne particulière avec
ses richesses et sa vulnérabilité.
Faites circuler l'information à tous les internes que vous connaissez pour que chaque interne connaisse non seulement ses devoirs mais aussi ses droits et les possibilités de recours en cas de difficultés ! (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Guide des Carrières et des Formations "IDE" 2014
L’accès à la formation s’effectue par des épreuves de sélection règlementées par l’arrêté du 31 juillet 2009 modifié relatif au diplôme d’Etat infirmier.
Pour passer les épreuves de sélection, vous devez obligatoirement vous inscrire dans l’institut de formation en soins infirmiers de votre choix.
Conditions d’inscription :
Pour être admis à effectuer les études conduisant au diplôme d’État d’Infirmier : les candidats doivent être âgés de 17 ans au moins au 31 décembre de l’année des épreuves de sélection
Cursus de formation intégral (hors dispenses partielles de scolarité)
(Extraits de l’arrêté du 31 juillet 2009 modifié)
Candidatures
Peuvent se présenter aux épreuves de sélection :
1º Les titulaires du baccalauréat français.
2º Les titulaires de l’un des titres énoncés par l’arrêté du 25 août 1969 modifié susvisé, ou d’un titre admis en dispense du baccalauréat français en application du décret n° 81-1221 du 31 décembre 1981 susvisé.
3º Les titulaires d’un titre homologué au minimum au niveau IV.
4º Les titulaires du diplôme d’accès aux études universitaires ou les personnes ayant satisfait à un examen spécial d’entrée à l’université.
5º Les candidats de classe terminale ; leur admission est alors subordonnée à l’obtention du baccalauréat français. Ils doivent adresser une attestation de succès au baccalauréat à la direction de l’institut de formation en soins infirmiers où ils se présentent dans les délais requis par l’institut.
6º Les titulaires du diplôme d’Etat d’aide médico-psychologique qui justifient, à la date du début des épreuves, de trois ans d’exercice professionnel.
7º Les candidats justifiant, à la date du début des épreuves, d’une activité professionnelle ayant donné lieu à cotisation à un régime de protection sociale :
- D’une durée de trois ans pour les personnes issues du secteur sanitaire et médico-social, autres que les titulaires du diplôme d’Etat d’aide-soignant, d’auxiliaire de puériculture et d’aide médico-psychologique ;
- D’une durée de cinq ans pour les autres candidats.
Ces candidats doivent au préalable avoir été retenus par un jury régional* de présélection dans les conditions définies aux articles 5 à 10.
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Revue "Guide des carrières et des formation IDE 2016" - Février 2016
L’accès à la formation s’effectue par des épreuves de sélection règlementées par l’arrêté du 31 juillet 2009 modifié relatif au diplôme d’Etat infirmier.
Pour passer les épreuves de sélection, vous devez obligatoirement vous inscrire dans l’institut de formation en soins infirmiers de votre choix.
Conditions d’inscription :
Pour être admis à effectuer les études conduisant au diplôme d’État d’Infirmier : les candidats doivent être âgés de 17 ans au moins au 31 décembre de l’année des épreuves de sélection
Cursus de formation intégral (hors dispenses partielles de scolarité)
(Extraits de l’arrêté du 31 juillet 2009 modifié)
Candidatures
Peuvent se présenter aux épreuves de sélection :
1º Les titulaires du baccalauréat français.
2º Les titulaires de l’un des titres énoncés par l’arrêté du 25 août 1969 modifié susvisé, ou d’un titre admis en dispense du baccalauréat français en application du décret n° 81-1221 du 31 décembre 1981 susvisé.
3º Les titulaires d’un titre homologué au minimum au niveau IV.
4º Les titulaires du diplôme d’accès aux études universitaires ou les personnes ayant satisfait à un examen spécial d’entrée à l’université.
5º Les candidats de classe terminale ; leur admission est alors subordonnée à l’obtention du baccalauréat français. Ils doivent adresser une attestation de succès au baccalauréat à la direction de l’institut de formation en soins infirmiers où ils se présentent dans les délais requis par l’institut.
6º Les titulaires du diplôme d’Etat d’aide médico-psychologique qui justifient, à la date du début des épreuves, de trois ans d’exercice professionnel.
7º Les candidats justifiant, à la date du début des épreuves, d’une activité professionnelle ayant donné lieu à cotisation à un régime de protection sociale :
Ì D’une durée de trois ans pour les personnes issues du secteur sanitaire et médico-social, autres que les titulaires du diplôme d’Etat d’aide-soignant, d’auxiliaire de puériculture et d’aide médico-psychologique Ì D’une durée de cinq ans pour les autres candidats.
Ces candidats doivent au préalable avoir été retenus par un jury régional* de présélection dans les conditions dénies aux articles 5 à 10.
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Cursus des études en médecine et de spécialisation en Pédiatrie en Italie L’Italie est un pays méditerranéen de 300 km2 avec une population d’environ 60 millions d’habitants. Dans le pays, il y a 35 Facultés de Médecine et Chirurgie ayant chacune plusieurs cours de formation de spécialisation.
L’admission à la Faculté de Médecine et Chirurgie se fait sur concours public. Maintenant le concours consiste en un questionnaire à choix multiples sur les connaissances de culture générale, de biologie, de physique, de chimie et de mathématiques. Dans les prochaines années le concours sera national, c’est-à-dire qu’après l’examen le candidat pourra choisir la ville où étudier par rapport à la place qu’il aura dans le classement final.
Les études de médecine durent six années et sont faites en langue italienne. Pendant les trois premières années on étudie les sciences de base et après, à partir de la quatrième année, on étudie les sciences cliniques et on fait au même temps plusieurs stages dans différents services hospitaliers. Lors de la dernière année des études de médecine, le candidat est chargé de la préparation d’un mémoire de recherche dirigé par un des enseignants universitaires. Pendant les six années de médecine, il est possible de faire un stage de 6 à 12 mois dans les pays de la Communauté Européenne avec le projet Erasmus.
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Enseignement de la médecine en Tunisie : quid de la réforme?Foued Bouzaouache
La réforme des études médicales est d'actualité depuis plus de 10 ans et peine à être instaurée, sur un fond de profond malaise que vit la médecine tunisienne . Cette présentation tente de répondre aux questions que pourraient se poser ceux qui sont intéressés, aussi bien les étudiants que les académiciens, en passant par les décideurs et ... les consommateurs!
A sept mois d’élections cruciales, le directeur du KVS, théâtre royal flamand à Bruxelles, lance dans son livre « Seule l’imagination peut nous sauver », un cri d’alarme aux politiciens et aux médias qui trop souvent ignorent ou traitent la culture avec dédain.
Qui gardera les enfants durant le congé de Toussaint prolongé? Leurs proches si possible. Sinon, les communes vont mettre en place un accueil extrascolaire.
«L’avortement est le meurtre d’une personne innocente», peut-on lire dans les notes d’un cours de philosophie en première Bac donné à l’UCL. Notre article http://www.lesoir.be/1465095/article/actualite/belgique/2017-03-21/un-plaidoyer-anti-avortement-dans-des-notes-cours-l-ucl
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Similaire à Le Decret médecine expliqué par le Comité Inter-Universitaire des étudiants en Médecine
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Le 25 mai 2016 est paru au JO un décret n° 2016-675 réformant le choix de poste des internes de médecine, pharmacie et odontologie.
Ce décret est une vraie avancée pour les internes et met fin aux pénalités injustes trop longtemps supportées par les internes concernés. L'internat est un moment difficile où l'on doit souvent faire beaucoup de sacrifices mais cela est encore plus pénible lorsqu'on se trouve en situation de fragilité et que l'administration fait preuve d'indifférence et nous met des bâtons dans les roues dans la poursuite de notre parcours.
L'évolution du statut de l'interne est lente mais réelle. C'est pourquoi le SNJMG est fier d'avoir participé et encouragé l'élaboration de ce décret qui certes n'est pas parfait mais qui a le mérite de prendre en considération chaque interne non plus comme un esclave corvéable à merci mais comme une personne particulière avec
ses richesses et sa vulnérabilité.
Faites circuler l'information à tous les internes que vous connaissez pour que chaque interne connaisse non seulement ses devoirs mais aussi ses droits et les possibilités de recours en cas de difficultés ! (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Guide des Carrières et des Formations "IDE" 2014
L’accès à la formation s’effectue par des épreuves de sélection règlementées par l’arrêté du 31 juillet 2009 modifié relatif au diplôme d’Etat infirmier.
Pour passer les épreuves de sélection, vous devez obligatoirement vous inscrire dans l’institut de formation en soins infirmiers de votre choix.
Conditions d’inscription :
Pour être admis à effectuer les études conduisant au diplôme d’État d’Infirmier : les candidats doivent être âgés de 17 ans au moins au 31 décembre de l’année des épreuves de sélection
Cursus de formation intégral (hors dispenses partielles de scolarité)
(Extraits de l’arrêté du 31 juillet 2009 modifié)
Candidatures
Peuvent se présenter aux épreuves de sélection :
1º Les titulaires du baccalauréat français.
2º Les titulaires de l’un des titres énoncés par l’arrêté du 25 août 1969 modifié susvisé, ou d’un titre admis en dispense du baccalauréat français en application du décret n° 81-1221 du 31 décembre 1981 susvisé.
3º Les titulaires d’un titre homologué au minimum au niveau IV.
4º Les titulaires du diplôme d’accès aux études universitaires ou les personnes ayant satisfait à un examen spécial d’entrée à l’université.
5º Les candidats de classe terminale ; leur admission est alors subordonnée à l’obtention du baccalauréat français. Ils doivent adresser une attestation de succès au baccalauréat à la direction de l’institut de formation en soins infirmiers où ils se présentent dans les délais requis par l’institut.
6º Les titulaires du diplôme d’Etat d’aide médico-psychologique qui justifient, à la date du début des épreuves, de trois ans d’exercice professionnel.
7º Les candidats justifiant, à la date du début des épreuves, d’une activité professionnelle ayant donné lieu à cotisation à un régime de protection sociale :
- D’une durée de trois ans pour les personnes issues du secteur sanitaire et médico-social, autres que les titulaires du diplôme d’Etat d’aide-soignant, d’auxiliaire de puériculture et d’aide médico-psychologique ;
- D’une durée de cinq ans pour les autres candidats.
Ces candidats doivent au préalable avoir été retenus par un jury régional* de présélection dans les conditions définies aux articles 5 à 10.
reseauprosante.fr
Revue "Guide des carrières et des formation IDE 2016" - Février 2016
L’accès à la formation s’effectue par des épreuves de sélection règlementées par l’arrêté du 31 juillet 2009 modifié relatif au diplôme d’Etat infirmier.
Pour passer les épreuves de sélection, vous devez obligatoirement vous inscrire dans l’institut de formation en soins infirmiers de votre choix.
Conditions d’inscription :
Pour être admis à effectuer les études conduisant au diplôme d’État d’Infirmier : les candidats doivent être âgés de 17 ans au moins au 31 décembre de l’année des épreuves de sélection
Cursus de formation intégral (hors dispenses partielles de scolarité)
(Extraits de l’arrêté du 31 juillet 2009 modifié)
Candidatures
Peuvent se présenter aux épreuves de sélection :
1º Les titulaires du baccalauréat français.
2º Les titulaires de l’un des titres énoncés par l’arrêté du 25 août 1969 modifié susvisé, ou d’un titre admis en dispense du baccalauréat français en application du décret n° 81-1221 du 31 décembre 1981 susvisé.
3º Les titulaires d’un titre homologué au minimum au niveau IV.
4º Les titulaires du diplôme d’accès aux études universitaires ou les personnes ayant satisfait à un examen spécial d’entrée à l’université.
5º Les candidats de classe terminale ; leur admission est alors subordonnée à l’obtention du baccalauréat français. Ils doivent adresser une attestation de succès au baccalauréat à la direction de l’institut de formation en soins infirmiers où ils se présentent dans les délais requis par l’institut.
6º Les titulaires du diplôme d’Etat d’aide médico-psychologique qui justifient, à la date du début des épreuves, de trois ans d’exercice professionnel.
7º Les candidats justifiant, à la date du début des épreuves, d’une activité professionnelle ayant donné lieu à cotisation à un régime de protection sociale :
Ì D’une durée de trois ans pour les personnes issues du secteur sanitaire et médico-social, autres que les titulaires du diplôme d’Etat d’aide-soignant, d’auxiliaire de puériculture et d’aide médico-psychologique Ì D’une durée de cinq ans pour les autres candidats.
Ces candidats doivent au préalable avoir été retenus par un jury régional* de présélection dans les conditions dénies aux articles 5 à 10.
...
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Cursus des études en médecine et de spécialisation en Pédiatrie en Italie L’Italie est un pays méditerranéen de 300 km2 avec une population d’environ 60 millions d’habitants. Dans le pays, il y a 35 Facultés de Médecine et Chirurgie ayant chacune plusieurs cours de formation de spécialisation.
L’admission à la Faculté de Médecine et Chirurgie se fait sur concours public. Maintenant le concours consiste en un questionnaire à choix multiples sur les connaissances de culture générale, de biologie, de physique, de chimie et de mathématiques. Dans les prochaines années le concours sera national, c’est-à-dire qu’après l’examen le candidat pourra choisir la ville où étudier par rapport à la place qu’il aura dans le classement final.
Les études de médecine durent six années et sont faites en langue italienne. Pendant les trois premières années on étudie les sciences de base et après, à partir de la quatrième année, on étudie les sciences cliniques et on fait au même temps plusieurs stages dans différents services hospitaliers. Lors de la dernière année des études de médecine, le candidat est chargé de la préparation d’un mémoire de recherche dirigé par un des enseignants universitaires. Pendant les six années de médecine, il est possible de faire un stage de 6 à 12 mois dans les pays de la Communauté Européenne avec le projet Erasmus.
reseauprosante.fr
Enseignement de la médecine en Tunisie : quid de la réforme?Foued Bouzaouache
La réforme des études médicales est d'actualité depuis plus de 10 ans et peine à être instaurée, sur un fond de profond malaise que vit la médecine tunisienne . Cette présentation tente de répondre aux questions que pourraient se poser ceux qui sont intéressés, aussi bien les étudiants que les académiciens, en passant par les décideurs et ... les consommateurs!
Similaire à Le Decret médecine expliqué par le Comité Inter-Universitaire des étudiants en Médecine (8)
A sept mois d’élections cruciales, le directeur du KVS, théâtre royal flamand à Bruxelles, lance dans son livre « Seule l’imagination peut nous sauver », un cri d’alarme aux politiciens et aux médias qui trop souvent ignorent ou traitent la culture avec dédain.
Qui gardera les enfants durant le congé de Toussaint prolongé? Leurs proches si possible. Sinon, les communes vont mettre en place un accueil extrascolaire.
«L’avortement est le meurtre d’une personne innocente», peut-on lire dans les notes d’un cours de philosophie en première Bac donné à l’UCL. Notre article http://www.lesoir.be/1465095/article/actualite/belgique/2017-03-21/un-plaidoyer-anti-avortement-dans-des-notes-cours-l-ucl
Après un message via Facebook, c’est par courrier envoyé nominativement aux demandeurs d’asile séjournant dans les centres ouverts que le secrétaire d’Etat à l’Asile et aux Migrations invite les ressortissants à retourner en Irak où les conditions de sécurité ne seraient plus nécessairement celles qui prévalaient en 2014.
Le Decret médecine expliqué par le Comité Inter-Universitaire des étudiants en Médecine
1. Décret Médecine
Contexte Fédéral imposant une sélection communautaire
Les études de médecine sont soumises, depuis 1997, à un contingentement fédéral limitant
l’accès au numéro INAMI (numéro indispensable à chaque médecin désirant exercer et
permettant un remboursement des soins de santé à ses patients). Ce contingentement fédéral est
appelé numerus clausus.
Secondairement à cette mesure fédérale, les communautés ont dû trouver un système de
régulation dans le but de « rentrer » dans les quotas fédéraux et dès lors, d’appliquer le
contingentement. De multiples systèmes ont été mis en place depuis les années 90, parmi lesquels
un examen au terme des 3 premières années (communauté française), un examen au terme de la
première année (communauté française) et un examen d’entrée en Flandre
Réforme médecine (Décret Médecine 2012) :
Les divers décrets redéfinissant les études de la santé impliquent :
-i) Un passage de la médecine de sept à six ans. La cohorte inscrite en BA1 en 2012 – 2013 est
la première qui sera diplômée en six ans. Cette réduction d’un an implique l’amputation des six
premiers mois de la première année (cours de sciences fondamentales) et des six derniers mois de
la dernière année (stages). Dès lors, les cours de sciences fondamentales qui étaient abordés au
premier semestre sont considérés comme connus et ce, malgré le fait qu’ils présentent un intérêt
certain pour la suite du cursus. C’est dans cette optique qu’un test non contraignant a été instauré
à l’entrée des études en Médecine.
-ii) Test non contraignant anonyme à l'entrée pour que l'étudiant s'évalue (mis en place à partir
de 2013). Il aborde les matières du défunt premier semestre de l’ex première médecine et
implique i) des séances de préparation pendant les vacances, ii) des cours de remédiation dès le
début de l’année académique. Ce test est obligatoire et réalisé seulement à deux dates : une
début juillet, l’autre, début septembre.
-iii) Guidances tout au long de l'année pour les étudiants qui le désirent suite aux résultats du test
(libre et obligatoire) ou après étalement à l’issue des examens de janvier (libres et obligatoires).
-iv) Examens obligatoires en janvier (pour les facultés et pour les étudiants). En regard des
examens de janvier, trois scénarios possibles :
i) l’étudiant a une moyenne inférieure à 8/20 et a donc deux possibilités : soit étaler sa
première année sur deux ans, soit se réorienter dans une autre filière et faire valoir certains
crédits acquis lors de la session précédente. Concernant les étudiants en étalement, ils
suivront des cours de sciences fondamentales après janvier qui leur permettront une
remise à niveau dans ces cours et auront la possibilité de repasser les examens ratés lors
de la session de janvier et ce, en juin ou en septembre. Au terme de cette année
d’étalement, ils sont proclamés « admis » à poursuivre l’étalement ou « ajournés » pour la
2. première année d’étalement. Dans le premier cas de figure, ils entament leur 2e année
d’étalement par les cours de première année qu’ils n’ont pas encore passés et ne payent
pas de minerval. Dans le second cas, ils recommencent leur première année et sont
considérés comme doubleurs.
ii) l’étudiant a une moyenne entre 8/20 et 10/20 : le jury peut lui conseiller l’étalement
mais il n’est pas obligé de suivre la recommandation du jury et peut décider de continuer
sa première classiquement.
iii) l’étudiant a une moyenne supérieure à 10/20 et peut donc continuer sa première
bachelier « classique » et espérer passer au terme des sessions de juin et/ou d’août en
deuxième bachelier.
-v) Un décret non résident limitant à 30% le nombre de non-résidents inscrits en première année
de médecine. Ce décret est instauré à travers un autre décret.
-vi) Une pérennisation des 3.000.000 d’euros donnés par le ministère aux facultés de médecine
pour faire face à l’augmentation des inscriptions. Cet argent sera utilisé pour l’encadrement des
étudiants dès le début de l’année académique.