Election municipale d'Onnaing : les cinq en course
"la Voix du Nord" 9 janvier 1999 édition de Valenciennes
1. VDN - 11 VALENCIENNES - 4 - 09/01/99 Couleur : U005 Auteur : GENER-AL Heure de sortie : 09/01/1999, 07:26
*VDN1211.U005990109*
Valenciennes ville Bureaux :
2, boulevard Watteau
Tél. 03 27 45 07 99 - Fax : 03 27 33 47 42
LA VOIX DU SAMEDI 9 JANVIER 1999 1211.PAGE 4
GAUMONT
– Mulan à 14 h, 16 h 30,
19 h et 21 h 30 ; plus à
14 h 30 et 17 h, samedi et
dimanche ; plus samedi,
à 0 h.
– Ennemi d’Etat, Le
Prince d’Egypte, Blade
(interdit aux moins de 12
ans), Les Joueurs, Perdus
dans l’espace, Mary à
tout prix, Halloween
20 ans après et Cou-
vre-feu, à 14 h, 16 h 30,
19 h et 21 h 30. Plus sa-
medi, à 0 h. Pas de
séance samedi et diman-
che à 14 h et 16 h 30 pour
Blade et Halloween.
– Fourmiz, samedi et di-
manche, à 14 h 30 et 17 h.
– Rencontre avec Joe
Black, à 14 h, 17 h 15 et
20 h 30. Plus samedi, à
23 h 30.
– Mookie, Pourquoi
pas moi ?, Piège à
Hong-Kong, Bimbo-
land et D’une vie à
l’autre, à 14 h 30, 17 h,
20 h et 22 h 15. Plus sa-
medi, à 0 h 30.
Séances samedi et di-
manche, à 11 h (à prix ré-
duit), pour tous les films
sauf Blade.
– Funhouse, salle Imax,
de 13 h 30 à 22 h 30, le sa-
medi jusqu’à 0 h 30 (séan-
ces toutes les 15 mn).
ARCADES
– Piège à Hong-Kong,
Mulan, Ennemi d’Etat,
Halloween vingt ans
après il revient, Le
Prince d’Egypte, et
Taxi, samedi à 15 h,
18 h, 21 h et 23 h 30, di-
manche à 15 h, 18 h et
21 h.
– Rencontre avec Joe
Black, samedi et diman-
che, à 15 h et 21 h.
CLUB
L’Eternité et un jour,
Perdus dans l’espace et
Couvre-feu, samedi et
dimanche à 15 h et 21 h.
CINÉ-CLUB
Ciné-club Atmosphère
(au cinéma Le Club),
mardi 12 janvier à
20 h 30, L’Eternité et un
jour, de Théo Angelo-
poulos (VO), Palme d’or à
l’unanimité au Festival de
Cannes 98.
JEAN-RENOIR
A DOUCHY
– Le Prince d’Egypte,
samedi à 15 h et 20 h 30 ;
dimanche, à 15 h,
– Place Vendôme, di-
manche à 18 h.
par Bernard DEFONTAINE
Soixante-quinze jours après le cauchemar
La famille Digironimo n’est pas près de retrouver sa maison de Sebourg,
effondrée le 25 octobre. La cause reste inconnue, les sondages continuent.
La MAIF était représentée par Pierre-François Yager et Henri-Michel Birembaux, la MAE par
Roger Boulet et Oriano Pagli.
C’
ÉTAIT un di-
manche. Le
25 octobre.
Le jour se le-
vait. Un réveil
en forme de cauchemar
pour la famille Digironimo,
rue Remonval à Sebourg.
Sous leurs yeux, Vito, son
épouse Régine, leurs trois
filles, Angélique, 25 ans, Na-
thalie, 23 ans, et Julie,
10 ans, ont soudainement
vu le carrelage commencer
à se lézarder. La petite fa-
mille n’eut que le temps de
sortir, juste pour voir une
partie de la maison s’effon-
drer, disparaître même
dans une excavation brutale-
ment apparue dans la chaus-
sée. Un cauchemar, oui.
Cette maison, ils étaient ve-
nus l’habiter il y a dix ans et
Vito l’avait de ses mains re-
tapée, confortée. Sans avoir
encore fini de la payer...
Ce dimanche-là, la quié-
tude dans laquelle baigne
habituellement Sebourg, vil-
lage dont les maisons sont
volontiers recherchées par
les Valenciennois en quête
de nid à la campagne, s’en
trouva perturbée pour la
journée. Autorités, curieux,
caméras de télévision, se
pressèrent autour d’un trou
qui ne laissait rien voir, et
devant le spectacle de cette
maison ainsi éventrée. De
tels faits posaient des ques-
tions, alimentaient les con-
versations, suggéraient un
mystère...
Elan de générosité
Soixante-quinze jours
après, où en est-on ? Mo-
mentanément hébergée
chez une parente, la famille
Digironimo a, dieu soit loué,
retrouvé à se loger. A Qua-
rouble. Mais non sans mal.
« Pendant un mois, j’ai ga-
léré, reconnaît Vito. Nous
aurions déprimé si nous
n’avions pas retrouvé de
toit. » Une partie du mobi-
lier resté dans la maison a
pu être récupérée. Certes,
les malheurs de la famille Di-
gironimo ont suscité un
élan de générosité. Une col-
lecte effectuée au niveau
des habitants lui a mis du
baume au cœur. La CAF, le
conseil régional, ont égale-
ment octroyé une aide. A
Noël, ses camarades
d’école ont offert à Julie
une chaîne hi-fi.
Mais pour le reste, c’est-
à-dire l’essentiel, le mystère
n’est toujours pas aplani.
« On est toujours dans la si-
tuation des premiers
jours », reconnaît le maire,
Yvon Dehon. Un arrêté de
péril a été pris le 29 octobre.
A la ronde des experts, suc-
cédera, quasi-inévitable-
ment, une bataille. Déjà, des
divergences sont apparues.
Le 16 novembre, un rapport
d’expertise du tribunal admi-
nistratif de Lille préconisait,
parmi les mesures de sauve-
garde, « l’étaiement de la toi-
ture qui n’est plus suppor-
tée, et qui peut s’effondrer à
tout instant en entraînant
des désordres supplémen-
taires à l’habitation » ; mais,
concluait-il, « la prise en
charge des travaux d’étaie-
m e n t , é v a l u é s à
100 000 F TTC, n’a pas été
définie ». Le lendemain, le
rapport de l’expert désigné
par le tribunal de grande ins-
tance de Lille pour détermi-
ner les causes du sinistre es-
timait, lui, que les travaux
d’étaiement devaient être
entrepris « à la charge de la
commune ».
Domaine public
Du moins ce dernier rap-
port concluait-il que l’effon-
drement, « dû à une remon-
tée de fontis, est situé sur le
domaine public ». Une
épine de moins pour les Di-
gironimo... dont l’habitation
n’était pas assurée. « De la
négligence, rien que de la
négligence », avoue le chef
de famille, la maison ayant
cessé d’être assurée lors-
que ce dernier avait été vic-
time, voici quelques an-
nées, d’un arrêt de travail
prolongé. Mais depuis lors,
la famille, que certains pro-
pos entendus ont pu légiti-
mement blesser, n’était pas
spécialement dans le be-
soin. « Voilà quinze ans que
je travaille pour le même
employeur », dit le père.
Reste qu’en dépit de l’ur-
gence, ces travaux d’étaie-
ment, qui paraissent élé-
mentaires, n’ont toujours
pas été entrepris. Et qu’ils
ne le seront pas, tant que ne
seront pas terminés les son-
dages, ni connus leurs résul-
tats. De ces sondages géolo-
giques et de recherche de
cavité souterraine – que les
experts désignent aussi
sous le nom de carotta-
ges – , une première série a
été faite, une deuxième va
encore l’être. Ils sont réali-
sés à la périphérie du trou,
ou en oblique. De leur coût,
la mairie a fait l’avance,
« dans l’attente de la réparti-
tion des charges », précise
le premier magistrat. Les
prélèvements effectués se-
ront analysés, et après seu-
lement viendra l’interpréta-
tion ; tout ça pour dire que
s’écoulera encore un cer-
tain temps avant les conclu-
sions définitives. De leur
côté, SIAN et SIDEN, puis-
que des canalisations d’as-
sainissement et d’eau pota-
ble ont été coupées dans
l’excavation et que la res-
ponsabilité de l’un ou de
l’autre pourrait être établie,
ont tous deux fait désigner
un expert.
Ces contretemps ne font
évidemment pas l’affaire de
la famille Digironimo, qui a
dû engager une procédure
contre le Crédit Foncier de
France car il lui est difficile
« de payer deux loyers en
même temps ». Elle de-
mande simplement que le
remboursement de son prêt
soit interrompu jusqu’à son
retour dans « sa » maison,
un retour dont elle ne doute
pas. Vito a déjà dans la tête
son plan de reconstruction-
extension, mais à distance
désormais de cette chaus-
sée maudite. « On était trop
bien là-bas », répète-t-il
avec une pointe de fata-
lisme. Là-bas, c’est chez lui.
Il sort une photo le mon-
trant en chef indien, un dé-
guisement auquel le prédes-
tinait son nom : c’était lors
des manifestations du Se-
bourg-Joie. Au temps de la
vie sans souci. Aujourd’hui,
le chef, qui ne se satisfera
pas toujours de ce bivouac,
est impatient de regagner
sa tente...
« Pourquoi pas moi », avec des apparitions de Johnny
Hallyday et d’Elli Médeiros, est au Gaumont.
C’est dans la salle des fê-
tes de Marly qu’a eu lieu la
traditionnelle cérémonie
des vœux de l’Office valen-
ciennois des personnes
âgées (OVPA), en présence
du président, M. Bonenfant,
de la vice-présidente,
Mme
Lefebvre, de Philippe
Duée, maire de Marly, de
Mme
Houssier, conseillère
municipale de Valencien-
nes, et de Mme
Soyez, de la
CRAM. Les adhérents de
l’OVPA et de l’Université du
temps libre ont pu ensuite
apprécier le délicieux goû-
ter préparé par Paul Bien-
venu et Monique Babet.
Chacun a pu prendre con-
naissance des activités de
l’association et du prochain
voyage annuel.
Depuis le 25 octobre, les choses sont restées en l’état. La toiture, qui n’est plus supportée que par une poutre, menace tou-
jours de s’effondrer. Il faut attendre la fin des sondages avant d’envisager l’étaiement... Photo Didier CRASNAULT
Cinéma
Un kit brevet sécurité routière pour les collégiens
Mieux vaut prévenir...
Depuis le 17 novembre,
les jeunes âgés de 14 ans
doivent être titulaires du bre-
vet de sécurité routière
pour conduire un cyclomo-
teur... ou attendre d’avoir
16 ans. Aussi, les princi-
paux des collèges du Valen-
ciennois ont-ils été invités
au collège Alphonse-Terroir
de Marly afin de recevoir le
« kit BSR ». Ce dernier est le
résultat d’un projet lancé
par la prévention MAIF (Mu-
tuelle assurance des institu-
teurs de France), la déléga-
tion interministérielle à la sé-
curité routière, la MAE (Mu-
tuelle assurance élèves) et
les codes Rousseau. Il a été
officiellement lancé le 26 no-
vembre dernier. Il marque
l’intérêt porté par les diffé-
rents partenaires envers
l’enseignement du brevet
de sécurité routière en mi-
lieu scolaire.
Un CD-Rom
et une vidéo
C’est la recrudescence
des accidents touchant tout
particulièrement les jeunes
(il suffit d’examiner les statis-
tiques) qui a conduit les mi-
nistères chargés des trans-
ports et de l’Education natio-
nale, à assurer la continuité
dans l’apprentissage de la
sécurité routière. La MAIF a
toujours privilégié la forma-
tion et l’information. Dès
1980, elle a d’ailleurs créé
sa propre structure de pré-
vention sous le nom de Pré-
vention MAIF auprès des ac-
cidents de la route mais
aussi des accidents de la vie
courante.
Ce kit remis aux princi-
paux comporte un CD-Rom
contenant une version
élève et une version ensei-
gnant avec un fichier res-
sources, un manuel de l’en-
seignant et une cassette vi-
déo intitulée « conduire un
cyclomoteur », réalisée par
le ministère des Transports.
Dans chaque antenne
MAIF, on peut en outre obte-
nir le prêt d’autres cassettes
audiovisuelles ou matériel
pédagogique.
La cérémonie des vœux à l’Office valenciennois des personnes âgées
Un goûter apprécié par les anciens de la ville
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