Depuis 1969, les Maisons d'accueil l'Îlot accompagnent dans leurs démarches de réinsertion des hommes et des femmes en grande difficulté, notamment lorsqu'ils ont connu la prison.
Ce diaporama présente l'activité de l'association en 2014 : nombre de personnes accueillies, vie des différents établissements en Picardie et en Ile-de-France.
30 year Anniversary Memorial Presentation for Charlie Brooks Jr - Executed by...derrekbrooks
This document summarizes the life and execution of Charlie Brooks Jr. It provides biographical details about Brooks, including that he grew up in a financially stable home until his father passed away when he was 13, after which he began using drugs and spending time in and out of prison. It discusses Brooks' execution by lethal injection in 1982 at the age of 40 for murder, and notes family beliefs that he was coerced into a false confession and that another man actually committed the murder. The document shares newspaper articles and pictures covering the execution and memorial services held for Brooks.
Elpidio Quirino was a Filipino politician who served as the sixth President of the Philippines from 1948 to 1953, succeeding Manuel Roxas. Quirino had a long career in politics prior to becoming president, serving as a representative, senator, and cabinet member under Manuel Quezon. Manuel Roxas was the first president of the independent Third Republic of the Philippines and the fifth president overall from 1946 until his sudden death in 1948. Upon Roxas' death, Vice President Elpidio Quirino succeeded him to become the sixth president.
The document discusses the results of a study on the effects of exercise on memory and thinking abilities in older adults. The study found that regular exercise can help reduce the decline in thinking abilities that often occurs with age. Specifically, aerobic exercise was shown to improve executive function and memory in adults aged 60-79 who exercised for 30-45 minutes three times per week over the course of a 6-month study period.
This document lists the inaugurations of the presidents of the Philippines from Manuel Quezon in 1935 to Benigno Aquino III in 2010. It provides details on each president such as the date and location of their inauguration, and which Chief Justice administered their oath of office. The inaugurations typically took place at locations like the Legislative Building, Malacañan Palace, or Quirino Grandstand in Manila.
Depuis 1969, les Maisons d'accueil l'Îlot accompagnent dans leurs démarches de réinsertion des hommes et des femmes en grande difficulté, notamment lorsqu'ils ont connu la prison.
Ce diaporama présente l'activité de l'association en 2014 : nombre de personnes accueillies, vie des différents établissements en Picardie et en Ile-de-France.
30 year Anniversary Memorial Presentation for Charlie Brooks Jr - Executed by...derrekbrooks
This document summarizes the life and execution of Charlie Brooks Jr. It provides biographical details about Brooks, including that he grew up in a financially stable home until his father passed away when he was 13, after which he began using drugs and spending time in and out of prison. It discusses Brooks' execution by lethal injection in 1982 at the age of 40 for murder, and notes family beliefs that he was coerced into a false confession and that another man actually committed the murder. The document shares newspaper articles and pictures covering the execution and memorial services held for Brooks.
Elpidio Quirino was a Filipino politician who served as the sixth President of the Philippines from 1948 to 1953, succeeding Manuel Roxas. Quirino had a long career in politics prior to becoming president, serving as a representative, senator, and cabinet member under Manuel Quezon. Manuel Roxas was the first president of the independent Third Republic of the Philippines and the fifth president overall from 1946 until his sudden death in 1948. Upon Roxas' death, Vice President Elpidio Quirino succeeded him to become the sixth president.
The document discusses the results of a study on the effects of exercise on memory and thinking abilities in older adults. The study found that regular exercise can help reduce the decline in thinking abilities that often occurs with age. Specifically, aerobic exercise was shown to improve executive function and memory in adults aged 60-79 who exercised for 30-45 minutes three times per week over the course of a 6-month study period.
This document lists the inaugurations of the presidents of the Philippines from Manuel Quezon in 1935 to Benigno Aquino III in 2010. It provides details on each president such as the date and location of their inauguration, and which Chief Justice administered their oath of office. The inaugurations typically took place at locations like the Legislative Building, Malacañan Palace, or Quirino Grandstand in Manila.
Nous souhaitons par ce document conférer une
dignité à l’esprit d’invention, à l’écoute, à la recherche
de solutions concrètes, même éphémères, dans
le soin et l’accompagnement quotidiens des
personnes vivant avec une maladie neuro-évolutive1.
À côté des innovations technologiques, à côté des
recherches scientifiques essentielles, des inventions
sociales se développent. Moins médiatisées, moins
spectaculaires que les premières, elles sont peut-être
plus nécessaires encore aujourd’hui puisque aucun
soin, aucune technique ne peut apporter un réel bienêtre
s’il n’est inscrit dans les réseaux de solidarités
vivantes. Il est urgent d’apporter à ces inventions la
reconnaissance qu’elles méritent.
Même si, trop souvent encore, les obstacles et les insuffisances de toute nature justifient les critiques et en appellent à davantage de résolution, jamais pourtant la « demande éthique », cette expression d’un souci de sollicitude, de compétence et de justesse, n’aura été aussi forte et présente au coeur des pratiques. Depuis les consultations diagnostiques jusqu’à l’annonce de la maladie et au suivi, tant au domicile qu’en institution, émergent des initiatives qui amplifient une mobilisation des intelligences au service de la personne malade et de ses proches. À cet égard, le plan MND 2014-2019 fixe des lignes d’action à travers des dispositifs justifiés. Ces derniers se développent aujourd’hui dans les lieux du soin et de l’accompagnement – en dépit des contraintes que l’on connaît et que l’on regrette – sans entraver pour autant la remarquable motivation des acteurs professionnels et associatifs impliqués dans cette chaîne de l’engagement. Leur implication est d’autant plus cohérente et affirmée qu’elle s’adosse à une réflexion, à une concertation, à un questionnement qui favorisent l’inventivité et enrichissent les approches en termes de propositions pratiques et de processus décisionnel. Il importe d’être en capacité d’adopter avec justesse un positionnement soucieux de préserver la signification de l’instant présent, les valeurs, droits, choix et les attentes de chacun avec lucidité et bienveillance.
Le présent texte suit un échange organisé par l’Espace national de réflexion éthique sur les maladies neuro-évolutives¹ en février 2018 au Ministère des Solidarités et de la Santé dans le cadre du Plan MND 2014-2019. Depuis quelques années, on constate que des initiatives se multiplient en France, dont le but est de promouvoir l’inclusion des personnes vulnérables. Le Cahier de l’Espace éthique n°6 « Vulnérabilités dans la maladie : une mobilisation de la société. Enjeux sociétaux de la maladie d’Alzheimer et des maladies apparentées » (septembre 2017) a été une première approche de ce sujet. Cependant, la reconnaissance des capacités des personnes atteintes d’une maladie neuro-évolutive à être partie-prenante des choix et des décisions qui les concernent au sein de la communauté – même si elle est souvent mise en avant – est peu mise en pratique. Le premier objectif de notre échange a été d’affronter ce décalage. Le deuxième, d’insuffler davantage de vie à la notion de « société bienveillante », dont on entend tant parler, mais qui reste, malgré tout, assez floue.
Concilier le logement social et la santé mentale : limites et perspectivesKalthoum BEN M'BAREK
Outre les missions classiques de la gestion locative et du contentieux, les bailleurs sociaux et les services sociaux qui sont rattachés sont confrontés de plus en plus à des locataires présentant des grandes souffrances et notamment psychiques. La loi Égalité et Citoyenneté du 27 janvier 2017 a défini la liste et la répartition, selon les réservataires, des personnes prioritaires (art.441-1 du CCH) et elle a favorisé, davantage, l’accès dans le logement social des personnes vulnérables. Aujourd’hui, les bailleurs sociaux cherchent à définir leurs rôles auprès de ces populations.
La gestion de ces locataires est complexe car elle fait appel à plusieurs domaines (social, éducatif, santé physique, santé psychique, l’ensemble des droits…) et aucun professionel ne dispose de toutes ces compétences. Nécessairement le traitement repose sur une gestion pluridisciplinaire dont le but est d’amener le locataire à un rétablissement psychique, social et financier afin de préserver : les équilibres de gestion, la jouissance paisible des lieux, le paiement régulier du loyer, l'entretien du logement, la non dégradation des biens. Pour éviter les contentieux liés à la discrimination et pour respecter le droit de priorité, les process ont été renforcés, des nouvelles compétences sont venues compléter les équipes en place, des formations sont dispensées dans ce domaine. En outre, le partenariat avec le secteur de la santé mentale s’est intensifié. Et enfin, certains bailleurs sociaux se sont engagés à construire davantage de logements adaptés pour répondre à l’objectif national de favoriser le parcours résidentiel, le « chez-soi d’abord » et le maintien dans le logement social. Des expérimentations sont en cours... voici tout ce que vous pouvez découvrir dans ce mémoire. Bonne lecture.
Compte rendu du Colloque sur le Cinquième risque - Rodez - 25 Nov 2010Carsat Midi-Pyrénées
« Vieillir aujourd’hui, autonomie et dépendance : quelles solidarités autour du cinquième risque ? »
- Les quatre plans précédents
A – Intervention d’un médecin coordonnateur de deux EHPAD
B – Intervention d’un représentant de l’UNCCAS
C – Fédération Nationale des Associations de Personnes âgées et de leurs familles
D – Anne-Marie Escoffier – Sénatrice
E – Directeur d’un service d’aide à domicile
F – Interventions de la salle
G – Table ronde sur le financement
Aider à la réalisation du projet de l'Association HAPPY HANDHAPPYHAND2015
Créer des microstructures en milieu naturel pour les personnes en situation de handicap dont le projet d’accompagnement s’articule autour d’activités domestiques, thérapeutiques et agricoles favorisant l’économie locale, solidaire et éco-responsable. La médiation animale, la participation aux tâches, la découverte de la nature et de l’écologie, l’entretien et l’aménagement du site, l’ouverture sur l’extérieur et la vie de la commune, les différentes formules d’accueil proposées permettent à chacun d’avoir sa place, d’être reconnu et favorise un ancrage dans le réel. Le but est d’œuvrer pour la reconnaissance du handicap à travers ces diverses alliances entre personnes de niveaux intellectuels, sociaux et culturels très divers et d’encourager les aptitudes de chacun. Un appel du cœur venant en écho aux dispositions légales qui prévoient que toute personne en situation de handicap a droit « à la solidarité de l’ensemble de la collectivité nationale », s'inscrivant indéniablement dans les objectifs de responsabilité solidaire et sociétale des entreprises.
Genèse, ADN, palette de soins, formation et transmission, terrains de stages et de recherches, temps forts, cinétique associative, bilan social, plan de formation, projets des établissements, perspectives associatives
Rapport intégral consultable sur notre site Internet : http://cerep-phymentin.org/cerep_phymentin_rapport_activite_2017.pdf
Le projet de rédiger une charte d’éthique consacrée aux missions de maraude s’est imposé aux associations en 2006. Il leur apparaissait nécessaire d’approfondir et de formaliser les valeurs et principes partagés par les différents intervenants auprès de personnes particulièrement vulnérables.
La charte a été rendue publique le 27 mars 2008. Dix ans plus tard, la commission Charte éthique & maraude propose une version actualisée de ce document qui s’est imposé comme une référence.
En 2017, à l’Espace éthique Île-de-France une révision de la Charte éthique et maraude a été menée par le Groupe éthique du Collectif les Morts de la Rue réunissant des acteurs de terrain de nombreuses associations et des personnes elles-mêmes en situation de sans-abri.
Aucune migration n’est anodine.
De ce fait, tout étranger qui souhaite
s’installer sur un nouveau territoire
doit faire face à une double difficulté
: gérer son changement de vie (de
lieu, de mode, de statut) et trouver sa
place dans un nouvel environnement.
Avec/pour Anne Barbarin, « Le lien social comme accélérateur », in Irina Jaubert, Michel Pham Huu Tri, Françoise Gendreau, Marc Darras, Pablo Santamaria (sous le copilotage de), dossier « Transition écologique. Le réveil écologique », Centraliens. La revue des arts et manufactures, n°669, janvier-février 2020, p28, https://association.centralesupelec-alumni.com/index.php/article/le-nouveau-numero-de-la-revue-centraliens/20/01/2020/2522
L'Espace Ethique de Haute Normandie EREHN organise son 10eme colloque : Des ...Jan-Cedric Hansen
L'accès aux soins est-il équitable en France ?
Le colloque de l’Espace de Réflexion Ethique de Haute- Normandie sera consacré en 2014 à l'équité dans l’accès aux soins, qui a fait l’objet de travaux récents sur les aspects juridiques, économiques ou psycho-sociaux en France.
Le recours aux soins implique un équilibre complexe entre :
- une personne, liée à groupe social, qui perçoit un problème de santé et espère un bénéfice du recours à un professionnel de santé,
- et des professionnels de santé contraints par des impératifs techniques, organisationnels, économiques, ou juridiques, qui doivent accorder la même attention aux demandes de chacun.
Dans ce contexte, l’éthique tient à un dosage entre :
- l'équité, c'est-à-dire la justice attendue du système de santé, du terrain jusqu'au sommet de la graduation des soins, plus spécialisé,
- et la responsabilité individuelle, expression de l’autonomie des patients et des professionnels.
Le professeur Florence Jusot, économiste de la santé, ouvrira le colloque sur ces inégalités de recours aux soins, auxquelles elle consacre d’importants travaux de recherche.
Au cours de la journée, trois questionnements seront successi- vement explorés :
- Y aurait-il une « éthique des villes » et une « éthique des champs » ? La concentration de l'offre de soins en milieu urbain et la répartition disparate de groupes sociaux, font que l’accès aux soins n’est pas identique dans tous les territoires. L’unicité des valeurs qui président à l'accès aux soins sera interrogée.
- Tous les soins sont-ils également accessibles ? La qualité de la couverture sociale, l’accessibilité financière ou géographique, ou encore les représentations socio-culturelles de chacun, influencent-elles l’accès aux soins ? Les soins dentaires serviront d’illustration aux échanges.
- « A la recherche des soins perdus » : certaines personnes, en particulier celles en situation de vulnérabilité sociale, renoncent à des soins jugés pourtant nécessaires. A l’inverse, certaines demandes se heurtent à des refus de soigner de la part de certains professionnels. Peut-on se résigner à un tel constat ?
Nous souhaitons par ce document conférer une
dignité à l’esprit d’invention, à l’écoute, à la recherche
de solutions concrètes, même éphémères, dans
le soin et l’accompagnement quotidiens des
personnes vivant avec une maladie neuro-évolutive1.
À côté des innovations technologiques, à côté des
recherches scientifiques essentielles, des inventions
sociales se développent. Moins médiatisées, moins
spectaculaires que les premières, elles sont peut-être
plus nécessaires encore aujourd’hui puisque aucun
soin, aucune technique ne peut apporter un réel bienêtre
s’il n’est inscrit dans les réseaux de solidarités
vivantes. Il est urgent d’apporter à ces inventions la
reconnaissance qu’elles méritent.
Même si, trop souvent encore, les obstacles et les insuffisances de toute nature justifient les critiques et en appellent à davantage de résolution, jamais pourtant la « demande éthique », cette expression d’un souci de sollicitude, de compétence et de justesse, n’aura été aussi forte et présente au coeur des pratiques. Depuis les consultations diagnostiques jusqu’à l’annonce de la maladie et au suivi, tant au domicile qu’en institution, émergent des initiatives qui amplifient une mobilisation des intelligences au service de la personne malade et de ses proches. À cet égard, le plan MND 2014-2019 fixe des lignes d’action à travers des dispositifs justifiés. Ces derniers se développent aujourd’hui dans les lieux du soin et de l’accompagnement – en dépit des contraintes que l’on connaît et que l’on regrette – sans entraver pour autant la remarquable motivation des acteurs professionnels et associatifs impliqués dans cette chaîne de l’engagement. Leur implication est d’autant plus cohérente et affirmée qu’elle s’adosse à une réflexion, à une concertation, à un questionnement qui favorisent l’inventivité et enrichissent les approches en termes de propositions pratiques et de processus décisionnel. Il importe d’être en capacité d’adopter avec justesse un positionnement soucieux de préserver la signification de l’instant présent, les valeurs, droits, choix et les attentes de chacun avec lucidité et bienveillance.
Le présent texte suit un échange organisé par l’Espace national de réflexion éthique sur les maladies neuro-évolutives¹ en février 2018 au Ministère des Solidarités et de la Santé dans le cadre du Plan MND 2014-2019. Depuis quelques années, on constate que des initiatives se multiplient en France, dont le but est de promouvoir l’inclusion des personnes vulnérables. Le Cahier de l’Espace éthique n°6 « Vulnérabilités dans la maladie : une mobilisation de la société. Enjeux sociétaux de la maladie d’Alzheimer et des maladies apparentées » (septembre 2017) a été une première approche de ce sujet. Cependant, la reconnaissance des capacités des personnes atteintes d’une maladie neuro-évolutive à être partie-prenante des choix et des décisions qui les concernent au sein de la communauté – même si elle est souvent mise en avant – est peu mise en pratique. Le premier objectif de notre échange a été d’affronter ce décalage. Le deuxième, d’insuffler davantage de vie à la notion de « société bienveillante », dont on entend tant parler, mais qui reste, malgré tout, assez floue.
Concilier le logement social et la santé mentale : limites et perspectivesKalthoum BEN M'BAREK
Outre les missions classiques de la gestion locative et du contentieux, les bailleurs sociaux et les services sociaux qui sont rattachés sont confrontés de plus en plus à des locataires présentant des grandes souffrances et notamment psychiques. La loi Égalité et Citoyenneté du 27 janvier 2017 a défini la liste et la répartition, selon les réservataires, des personnes prioritaires (art.441-1 du CCH) et elle a favorisé, davantage, l’accès dans le logement social des personnes vulnérables. Aujourd’hui, les bailleurs sociaux cherchent à définir leurs rôles auprès de ces populations.
La gestion de ces locataires est complexe car elle fait appel à plusieurs domaines (social, éducatif, santé physique, santé psychique, l’ensemble des droits…) et aucun professionel ne dispose de toutes ces compétences. Nécessairement le traitement repose sur une gestion pluridisciplinaire dont le but est d’amener le locataire à un rétablissement psychique, social et financier afin de préserver : les équilibres de gestion, la jouissance paisible des lieux, le paiement régulier du loyer, l'entretien du logement, la non dégradation des biens. Pour éviter les contentieux liés à la discrimination et pour respecter le droit de priorité, les process ont été renforcés, des nouvelles compétences sont venues compléter les équipes en place, des formations sont dispensées dans ce domaine. En outre, le partenariat avec le secteur de la santé mentale s’est intensifié. Et enfin, certains bailleurs sociaux se sont engagés à construire davantage de logements adaptés pour répondre à l’objectif national de favoriser le parcours résidentiel, le « chez-soi d’abord » et le maintien dans le logement social. Des expérimentations sont en cours... voici tout ce que vous pouvez découvrir dans ce mémoire. Bonne lecture.
Compte rendu du Colloque sur le Cinquième risque - Rodez - 25 Nov 2010Carsat Midi-Pyrénées
« Vieillir aujourd’hui, autonomie et dépendance : quelles solidarités autour du cinquième risque ? »
- Les quatre plans précédents
A – Intervention d’un médecin coordonnateur de deux EHPAD
B – Intervention d’un représentant de l’UNCCAS
C – Fédération Nationale des Associations de Personnes âgées et de leurs familles
D – Anne-Marie Escoffier – Sénatrice
E – Directeur d’un service d’aide à domicile
F – Interventions de la salle
G – Table ronde sur le financement
Aider à la réalisation du projet de l'Association HAPPY HANDHAPPYHAND2015
Créer des microstructures en milieu naturel pour les personnes en situation de handicap dont le projet d’accompagnement s’articule autour d’activités domestiques, thérapeutiques et agricoles favorisant l’économie locale, solidaire et éco-responsable. La médiation animale, la participation aux tâches, la découverte de la nature et de l’écologie, l’entretien et l’aménagement du site, l’ouverture sur l’extérieur et la vie de la commune, les différentes formules d’accueil proposées permettent à chacun d’avoir sa place, d’être reconnu et favorise un ancrage dans le réel. Le but est d’œuvrer pour la reconnaissance du handicap à travers ces diverses alliances entre personnes de niveaux intellectuels, sociaux et culturels très divers et d’encourager les aptitudes de chacun. Un appel du cœur venant en écho aux dispositions légales qui prévoient que toute personne en situation de handicap a droit « à la solidarité de l’ensemble de la collectivité nationale », s'inscrivant indéniablement dans les objectifs de responsabilité solidaire et sociétale des entreprises.
Genèse, ADN, palette de soins, formation et transmission, terrains de stages et de recherches, temps forts, cinétique associative, bilan social, plan de formation, projets des établissements, perspectives associatives
Rapport intégral consultable sur notre site Internet : http://cerep-phymentin.org/cerep_phymentin_rapport_activite_2017.pdf
Le projet de rédiger une charte d’éthique consacrée aux missions de maraude s’est imposé aux associations en 2006. Il leur apparaissait nécessaire d’approfondir et de formaliser les valeurs et principes partagés par les différents intervenants auprès de personnes particulièrement vulnérables.
La charte a été rendue publique le 27 mars 2008. Dix ans plus tard, la commission Charte éthique & maraude propose une version actualisée de ce document qui s’est imposé comme une référence.
En 2017, à l’Espace éthique Île-de-France une révision de la Charte éthique et maraude a été menée par le Groupe éthique du Collectif les Morts de la Rue réunissant des acteurs de terrain de nombreuses associations et des personnes elles-mêmes en situation de sans-abri.
Aucune migration n’est anodine.
De ce fait, tout étranger qui souhaite
s’installer sur un nouveau territoire
doit faire face à une double difficulté
: gérer son changement de vie (de
lieu, de mode, de statut) et trouver sa
place dans un nouvel environnement.
Avec/pour Anne Barbarin, « Le lien social comme accélérateur », in Irina Jaubert, Michel Pham Huu Tri, Françoise Gendreau, Marc Darras, Pablo Santamaria (sous le copilotage de), dossier « Transition écologique. Le réveil écologique », Centraliens. La revue des arts et manufactures, n°669, janvier-février 2020, p28, https://association.centralesupelec-alumni.com/index.php/article/le-nouveau-numero-de-la-revue-centraliens/20/01/2020/2522
L'Espace Ethique de Haute Normandie EREHN organise son 10eme colloque : Des ...Jan-Cedric Hansen
L'accès aux soins est-il équitable en France ?
Le colloque de l’Espace de Réflexion Ethique de Haute- Normandie sera consacré en 2014 à l'équité dans l’accès aux soins, qui a fait l’objet de travaux récents sur les aspects juridiques, économiques ou psycho-sociaux en France.
Le recours aux soins implique un équilibre complexe entre :
- une personne, liée à groupe social, qui perçoit un problème de santé et espère un bénéfice du recours à un professionnel de santé,
- et des professionnels de santé contraints par des impératifs techniques, organisationnels, économiques, ou juridiques, qui doivent accorder la même attention aux demandes de chacun.
Dans ce contexte, l’éthique tient à un dosage entre :
- l'équité, c'est-à-dire la justice attendue du système de santé, du terrain jusqu'au sommet de la graduation des soins, plus spécialisé,
- et la responsabilité individuelle, expression de l’autonomie des patients et des professionnels.
Le professeur Florence Jusot, économiste de la santé, ouvrira le colloque sur ces inégalités de recours aux soins, auxquelles elle consacre d’importants travaux de recherche.
Au cours de la journée, trois questionnements seront successi- vement explorés :
- Y aurait-il une « éthique des villes » et une « éthique des champs » ? La concentration de l'offre de soins en milieu urbain et la répartition disparate de groupes sociaux, font que l’accès aux soins n’est pas identique dans tous les territoires. L’unicité des valeurs qui président à l'accès aux soins sera interrogée.
- Tous les soins sont-ils également accessibles ? La qualité de la couverture sociale, l’accessibilité financière ou géographique, ou encore les représentations socio-culturelles de chacun, influencent-elles l’accès aux soins ? Les soins dentaires serviront d’illustration aux échanges.
- « A la recherche des soins perdus » : certaines personnes, en particulier celles en situation de vulnérabilité sociale, renoncent à des soins jugés pourtant nécessaires. A l’inverse, certaines demandes se heurtent à des refus de soigner de la part de certains professionnels. Peut-on se résigner à un tel constat ?
1. POUR UNE PRISE EN
COMPTE DU RISQUE
SUICIDAIRE CHEZ LES
SUJETS ÂGÉS
Vincent Lapierre 10/2010
2. Un double constat:
- 1/3 des suicides en France concerne des personnes de plus de
65 ans.
- Les consultations « psys », au sens large, reçoivent peu de
personnes dites âgées.
Nous amène à proposer un DISPOSITIF SPÉCIFIQUE
3. Prise en compte du risque suicidaire chez le sujet âgé
Le Centre Popincourt, CMP d'intersecteur adulte en prévention du suicide
a développé un dispositif spécifique selon 3 axes:
Penser – Partager - Soutenir des actions
Sensibiliser – Former – Accompagner les aidants
Proposer un accueil et des modalités cliniques adaptées
4. Penser-Partager-Soutenir des actions
Alimentés par nos pratiques, par les échanges que nous avons
autour des questions propres au champ gérontologique,
plusieurs groupes de recherche-action ont vu le jour,
notamment autour du choix d’un lieu de vie, de l’habitat, et
autour de questions d’ordre éthique. Nous avons été amenés à
soutenir la formation d’un groupe de personnes âgées dans le
quartier, aussi bien que des actions de recherche ou des
démarches artistiques, voire journalistiques.
5. Sensibiliser-Former-Accompagner les aidants
La prévention commence par la possibilité de penser, voir,
entendre, détecter des signes, poser des questions sans
craindre les réponses ou se sentir démunis face à elles.
Les aidants ont parfois besoin de soutien, d’informations, de
formation.
L’expérience nous a amené à développer divers contenus et
thèmes de formation s’adaptant aux institutions et aux
professionnels demandeurs.
Nous proposons aussi de faire vivre concrètement la notion de
réseau en aménageant des temps d’échange et d’intervision.
6. LE FORUM
Le Centre Popincourt propose un temps d’accueil,
d’information, d’orientation et de parole centré
sur les problématiques liées à l’âge.
Accompagnants, aidants, ou personnes dites «
âgées », nous accueillons tous ceux que des
situations psychiquement difficiles interpellent,
quelle qu’en soit la manière.
Son format s’adapte autant que possible aux
demandes des participants.
7. LES VISITES A DOMICILE
En lien avec les travailleurs sociaux et la coordination
gérontologique locale (Point Paris Émeraude), elles
visent à apporter un autre regard sur les situations, à
susciter d’autres échanges, à soutenir l’action
engagée, faire le lien avec les structures de santé
mentale, et finalement, permettre la réinscription de
personnes très isolées dans des réseaux sociaux,
d’aide ou de soins.
8. Octobre-Novembre 2008:
Prix Initiatives de la Bientraitance de la Ville de Paris, et don de la
Fondation La Mondiale permettant le démarrage du projet début 2009.
Mai 2009:
Financement suite à un appel à projets de la Fondation de France, et début
des actions en Juillet (groupe forum et premières visites à domicile)
Septembre 2009:
Accord de la CNAV pour une convention finançant les visites à domicile.
2010:
La convention avec la CNAV doit être reconduite. Une convention de
partenariat (sans engagements financiers) va être signée avec la Direction
des Affaires Sociales de l'Enfance et de la Santé (DASES) de la Mairie de
Paris, pour nos action sur le XIème arrondissement.
QUELQUES ETAPES
9. LE CONTEXTE EVOLUE
- Les Points Paris Émeraude vont être redéployés, et regroupés. Le
prochain réseau devra couvrir les 11ème, 12ème et 20ème
arrondissements.
- Dans le même temps, la filière de soins gériatriques sur ce territoire a été
réorganisée (loi HPST). Les promoteurs de cette réorganisation ont
souligné le manque de compétences géronto-psychiatriques sur le
territoire (75-2).
- Les secteurs psychiatriques ne recouvrent pas vraiment ces nouveaux
territoires de santé, ce qui multiplie les interlocuteurs en vue de la
constitution d'un réseau de santé mentale.
10. POUR CONCLURE
- Le projet s'oriente vers la mise en place d'une équipe géronto-
psychiatrique, pluridisciplinaire, mobile sur le territoire 75-2.
- Cette équipe aurait idéalement un budget indépendant du Centre
Popincourt, géré par l'association, et pourrait bénéficier de financements
mixtes, ARS (hospitalier et prévention) et Ville (social).
- Son fonctionnement en terme de réseau (constituer un réseau ou se
greffer à un réseau existant) ainsi que de filière (point d'entrée, maillon)
dépend de l'orientation choisie par la ville pour son réseau gérontologique,
ainsi que de la volonté des acteurs des différentes filières de soins.
L'occasion d'innover et de trouver une place à l'interface, où les
compétences du psychologue seraient mises à profit.