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12 septembre 2019
Comment exécuter Postgres sur Docker partie 1
optimadata.nl/blogs/3/n8dyr5-how-to-run-postgres-on-docker-part-1
Craig Healey 12-09-2019 2:57
Catégories: Blog, PostgreSQL
En tant qu’administrateur de base de données multiplateforme, je passe beaucoup de
temps à me familiariser avec les dernières fonctionnalités disponibles sur une variété de
bases de données open source et propriétaires. J’utilise généralement des images
VirtualBox pour créer mes bases de données sandbox, mais elles peuvent occuper
beaucoup d’espace disque et de ressources. Surtout si je joue avec des choses comme les
solutions de clustering de bases de données, lorsque j’ai besoin de plusieurs bases de
données exécutées ensemble. Donc, l’autre jour, j’ai pensé à utiliser des conteneurs
Docker.
Docker est nommé d’après les conteneurs que vous voyez sur les navires. Il assure la
normalisation, comme dans le secteur des transports, en choisissant un mode de
transport unique. Docker est un framework open source qui permet d’empaqueter une
application et/ou une base de données dans un conteneur léger et portable. Cela rend
l’installation d’une application sur un serveur aussi simple que l’installation d’une
application mobile sur votre tablette ou votre smartphone.
Tous les composants requis sont intégrés dans un conteneur. En utilisant des conteneurs,
les ressources peuvent être isolées, l’accès aux services restreint et les processus affectés,
de sorte que vous pouvez indiquer exactement quelle quantité, par exemple, de CPU, de
mémoire ou de charge d’E/S peut être utilisée par un conteneur.
Dans ce blog, j’explique comment créer un conteneur PostgreSQL Docker en 7 étapes.
Par où commencer?
Il existe des dizaines de bases de données disponibles sur Docker’s Hub (un croisement
entre GitHub et Google Play Store), Oracle, SQL Server, Postgres, MariaDB, MySQL,
Mongo et plus encore. Et vous pouvez les obtenir dans une variété de versions, de la
dernière version bêta aux versions héritées. De plus, les conteneurs font partie de
l’ensemble Microservices Architecture que DevOps continue de parler, et conduit
inévitablement à parler de Kubernetes.
Qui ne veut pas apprendre une technologie complètement différente avant de pouvoir
commencer à jouer avec une toute nouvelle fonctionnalité de base de données? OK, peut-
être pas toute la pile Docker, Docker Compose, Kubernetes. Mais Docker lui-même est
relativement simple. Permettez-moi de démontrer en faisant tourner quelques conteneurs
PostgreSQL sur un ordinateur portable Windows.

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ÉTAPE 1: Télécharger Docker
Vous voulez d’abord télécharger Docker. Vous avez le choix ici entre le dernier Docker
Desktop pour Windows, qui vous oblige à avoir un compte Docker Hub gratuit et
désactive VirtualBox pour fonctionner, ou l’ancien Docker Toolbox. Je ne veux pas jouer
avec mes images VirtualBox existantes, alors allons-y avec Docker Toolbox.
Téléchargez le fichier exe à partir de https://github.com/docker/toolbox/releases et
exécutez-le. L’installation par défaut inclut une ancienne version de VirtualBox, ainsi que
Git pour Windows. Si vous avez une nouvelle version de VirtualBox, ignorez-la. Sur mon
système, l’installateur détecte Git mais pas VirtualBox. Une fois terminé, vous pouvez
afficher les 2 raccourcis qu’il crée - Docker Quickstart Terminal (ligne de commande) et
Kitematic (GUI).
ÉTAPE 2 : Exécuter le terminal de démarrage rapide Docker
Si vous avez VirtualBox ouvert, vous remarquerez qu’il a créé une nouvelle machine
appelée default. Sous Windows, au moins dans la version boîte à outils, tout est exécuté à
l’intérieur de cette machine VirtualBox. Après un certain temps, la configuration initiale
se termine et vous devriez voir une image ASCII d’un baleine, une note vous informant de
la machine par défaut et de son adresse IP, ainsi qu’un shell interactif. Notez l’adresse IP,
elle vous sera utile plus tard.
ÉTAPE 3 : Mon premier conteneur
Alors maintenant que vous avez Docker en cours d’exécution, vous pouvez également
exécuter l’interface graphique. Cliquez sur Kitematic, et s’il est écrit, « Nous n’avons pas
pu trouver une configuration native... », choisissez « utiliser VirtualBox ». Ensuite,
ignorez l’écran « Se connecter à Docker Hub » et diverses images Docker recommandées
s’affichent. Vous pouvez rechercher toutes les images disponibles sur Docker Hub. Il
existe plus d’une douzaine de catégories, telles que les systèmes d’exploitation, les outils
DevOps, les bases de données et les langages de programmation. Ils ont même des
serveurs de médias et des clients Twitter.

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Le Terminal et Kitematic vérifient s’il y a une machine VirtualBox par défaut disponible,
et s’il n’y en a pas, ils en créent une. Ainsi, vous pouvez supprimer la machine VirtualBox
et recommencer. Mais attention, car toutes les informations de votre conteneur se
trouvent sur cette machine. Pas de problème si vous ne faites que déconner, mais si vous
avez passé du temps à construire de nombreux conteneurs, vous voudrez peut-être avoir
un instantané de votre machine.
ÉTAPE 4: Sélectionnez l’image PostgreSQL
Dans la zone de recherche en haut de Kitematic, tapez postgres. Vous verrez beaucoup
d’images disponibles. Nous allons utiliser la première, qui est l’image officielle de
postgres. Cliquez sur les trois points à gauche de « créer » et sélectionnez « afficher sur
Docker Hub ». Une fenêtre de navigateur s’ouvre. Si vous faites défiler jusqu’à la section
« Comment utiliser cette image », vous verrez
docker run --name some-postgres -e POSTGRES_PASSWORD=mysecretpassword -
d postgres
Tapez (ou copiez et collez) ceci dans la fenêtre Terminal, en prenant soin d’utiliser deux
signes moins avant « nom », puis appuyez sur Retour. Il dira « impossible de trouver
l’image 'postgres:latest' localement », et il continuera à télécharger et extraire de
nombreux fichiers. Quand il est terminé, il devrait renvoyer une ligne sha256, une ligne
Status et un hachage.

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ÉTAPE 5 : Testez votre conteneur
Félicitations, vous avez créé votre premier conteneur !
Cependant, dans son état actuel, il est assez inutile. Nous devons pouvoir accéder au
conteneur afin d’exécuter des commandes SQL à partir de psql. Mais d’abord, vérifions
que cela fonctionne. Type
docker ps
Cela renverra un ID de conteneur (les 12 premiers caractères du hachage), le nom de
l’image (dans ce cas, postgres), la commande, created, status, les ports et le nom du
conteneur (some-postgres).
ÉTAPE 6: Connexion via EXEC
Donc, maintenant, nous devons nous connecter au conteneur, afin de faire du travail.
Tapez ce qui suit
docker exec -it some-postgres bash
Nous avons maintenant un accès root au
conteneur. Notez l’ID du conteneur dans
l’invite de commandes. Pour accéder à
postgres, vous devez passer à l’utilisateur 'postgres', puis exécuter psql. Pour quitter psql,
tapez q
su postgres
psql

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conninfo
q
Tapez exit une fois de plus, et vous quittez la session interactive dans laquelle vous étiez et
revenez au terminal Docker. Pour vérifier que le conteneur est toujours en cours
d’exécution et que vous n’avez effectivement quitté qu’une session interactive, tapez
docker ps
ÉTAPE 7: GUI PgAdmin
Vous verrez que le statut de votre conteneur some-postgres est toujours actif.
C’est la ligne de commande postgreSQL, mais qu’en est-il de l’utilisation d’un outil
graphique tel que pgAdmin? Si vous n’en avez pas de copie, vous pouvez la télécharger à
partir de https://www.pgadmin.org/
Exécutez-le et créez un nouveau serveur.
Donnez-lui un nom dans l’onglet général et
cliquez sur l’onglet « Connexion ».
Renseignez le nom d’hôte / l’adresse avec
l’adresse IP de la machine par défaut
lorsque vous avez exécuté Terminal pour la
première fois. Notez que cela signifie que
votre conteneur se connecte via la machine
VirtualBox, plutôt que directement.
Renseignez le mot de passe en tant que
mysecretpassword (qui est ce qu’il a été
défini dans la ligne de commande lorsque
vous avez créé le conteneur).
Sélectionnez Enregistrer le mot de passe et
cliquez sur Enregistrer.
Et ça ne marche pas !
Il manque un indicateur dans la commande de création de conteneur, et c’est très
important pour que pgAdmin fonctionne. C’est la commande port, et elle mappe le port
interne et externe d’un conteneur. Mais d’abord, nous devons nettoyer le premier

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conteneur.
rm
Si vous essayez de réexécuter la commande
d’origine que nous avons utilisée pour créer
le conteneur, vous obtiendrez une erreur
indiquant que le nom du conteneur est toujours utilisé. Donc, pour retirer le conteneur,
arrêtez d’abord le conteneur
docker stop some-postgres
Ensuite, utilisez
docker rm some-postgres
Vous pouvez également utiliser l’indicateur -rm lorsque vous créez un conteneur. De cette
façon, lorsque vous en avez fini, il n’est pas enregistré. Si vous voulez vous débarrasser de
tout, vous pouvez utiliser
docker system prune
Maintenant, réexécutez la commande docker run d’origine, mais cette fois avec -p
5432:5432
docker run --name some-postgres -p 5432:5432 -e
POSTGRES_PASSWORD=mysecretpassword -d postgres
Type
docker ps
pour vérifier qu’il est en cours d’exécution. Vous
remarquerez que cette fois, en plus d’un ID de conteneur
différent, les ports sont légèrement différents.
Maintenant, lorsque vous créez un nouveau serveur dans
pgAdmin, il devrait le trouver sans problème.
FÉLICITATIONS!
Si vous avez suivi toutes ces étapes, vous disposez d’un environnement serveur complet
avec PostgreSQL, emballé dans un conteneur que vous pouvez utiliser n’importe où et
avec n’importe quoi.
Dans la deuxième partie, j’expliquerai certaines des commandes Docker courantes et
examinerai les actions typiques de Docker, telles que la création d’images, de réseaux et
de volumes.

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Comment exécuter Postgres sur Docker (partie 2)
Comment exécuter Postgres sur Docker (partie 3)
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Réactions (2)
Abdelrahman Moussa 01-08-2022 3:20
Merci! Cet article a été très utile
JUAN 05-04-2020 11:41
excellent tutoriel, j’ai beaucoup aimé, pratique et facile
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