La veille technologique, élément de la veille stratégique,  consiste à surveiller les évolutions techniques, les innovations dans un secteur d’activité donné.

1. Veille technologique :
LeCloudComputing
Propsée par : Mme. Fatma CHICHTI
Elabirée par : Hanen ben saad
2016-2017
Module III : Structure organisationnelle de la veille
Veille technologique : Le Cloud Computing 1

2.  Introduction
 Le cloud computing : Définition
 Le cloud computing : Historique
 Les Avantages
 Les Inconvénients
 Les services proposés
 Le Match du stockage en ligne (G.DriveVS. Dropbox)
 Conclusion
Plan
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3. Introduction
 La veille technologique, élément de la veille
stratégique, consiste à surveiller les évolutions techniques,
les innovations dans un secteur d’activité donné.
 La veille technologique comprend notamment la surveillance,
la collecte, le partage et la diffusion d’information permettant
d’anticiper ou de s’informer sur des changements en matières
de Recherche, Développement, Brevet, Lancement de
nouveaux produits, matériaux, processus, concepts,
innovation de fabrication…afin d’évaluer l’impact sur
l’environnement et l’organisation
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4. Définitio
n
 Le cloud computing ou informatique en nuage est
une infrastructure dans laquelle la puissance de
calcul et le stockage sont gérés par des
serveurs distants auxquels les usagers se
connectent via une liaison Internet sécurisée.
 L’ordinateur de bureau ou portable, le téléphone
mobile, la tablette et autres objets connectés
deviennent des points d’accès pour exécuter des
applications ou consulter des données qui sont
hébergées sur les serveurs.
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5. Historique
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6. Historique
 Il est communément admis que le concept de Cloud
Computing a été initié par le géant Amazon en 2002.
 Le cybermarchand avait alors investi dans un parc
informatique afin de palier les surcharges des serveurs dédiés
au commerce en ligne constatées durant les fêtes de fin
d’année.
 A ce moment-là, Internet comptait moins de 600 millions
d’utilisateurs mais la fréquentation de la toile et les achats en
ligne étaient en pleine augmentation.
 En dépit de cette augmentation, les ressources
informatiques d’Amazon restaient peu utilisées une fois que
les fêtes de fin d’année étaient passées.
 Ce dernier a alors eu l’idée de louer ses capacités
informatiques le reste de l’année à des clients pour qu’ils
stockent les données et qu’ils utilisent les serveurs.
 Ces services étaient accessibles via Internet et avec une
adaptation en temps réel de la capacité de traitement, le tout
facturé à la consommation
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7. Les avantages
 Il permet de travailler à plusieurs sur un même fichier
dans des endroits différents.
 Il permet d’économiser de l’espace disque.
 Il permet à des entreprises qui n’ont pas les moyens de
stocker leurs données.
 La maintenance, la sécurisation et les évolutions des
services étant à la charge exclusive du prestataire, dont
c’est généralement le cœur de métier, celles-ci ont
tendance à être mieux réalisées et plus rapidement que
lorsque sous la responsabilité du client
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8. Les
inconvénients
 Obligation d’être connecté à internet pour accéder aux
données.
 L’utilisation des réseaux publics, dans le cas du cloud public,
entraîne des risques liés à la sécurité du cloud.
En effet, la connexion entre les postes et les serveurs
applicatifs passe par le réseau internet, et expose à des
risques supplémentaires de cyberattaques, et de violation de
confidentialité.
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9. Veille technologique : Le Cloud Computing 9

10. Les services
proposés :
Il existe trois catégories de services qui peuvent être offerts en
cloud :
 SaaS (software as a service ou logiciel en tant que service)
 PaaS (platform as a service ou plate-forme en tant que service)
 IaaS (infrastructure as a service ou infrastructure en tant que
service)
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11. Les applications sont misses à disposition de l’utilisateur,
il n’a pas à se soucier des mises à jour, de la sécurité et
de la disponibilité du service.
Les applications peuvent être accessibles par un
navigateur WEB.
Le système d’exploitation et les outils mis
à disposition du client sont gérés par le
fournisseur. Le client contrôle les applications
et peut y ajouter ses outils.
Service de bas niveau, il offre l’accès à
un parc informatique virtualisé.
Le client peut installer des systèmes
d’exploitation et des applications
sur les machines virtuelles mises
à sa disposition.
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12. L’entreprise peut choisir d’externaliser sont
cloud vers un prestataire externe (Microsoft, Google,
Amazon …), on parle içi de cloud public.
Au contraire, si l’entreprise décide d’utiliser des
compétences internes elle peut mettre en place son
propre cloud privé avec notamment des solutions
OpenSource (Ex : OpenStack, OpenNebula).
Il y a aussi le cloud hybride qui permet d’utiliser
les avantages du cloud privé et du cloud public. Avec un
cloud hybride, ilya une possibilité de mettre les
données sensibles et importantes dans le cloud privé et
le reste dans le cloud public.
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13. Veille technologique : Le Cloud Computing 13

14. Présentation
des deux
concurrents
 Dropbox est lancé en 2008, a depuis conquis la toile
pour devenir LE service de stockage de données sur le
cloud, surtout pour les utilisateurs quotidiens
d’Internet.
 En Novembre 2012, Dropbox comptait plus de 100
millions d’utilisateurs.
 Drive, qui a été lancé en Avril 2012, comptait plus de 10
millions d’utilisateurs.
 Aujourd’hui Dropbox compte 175 millions d’utilisateurs
à travers le monde.
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15. Présentation
des deux
concurrents
 Dropbox et Google proposent deux modes d'accès à
leur service de stockage en ligne : via un navigateur, ou
par le biais d'une application à installer - qui se
synchronise en ligne de façon automatique.
 La fonction de partage de fichiers, que ce soit en ligne ou via
l'application à installer sur le poste est possible aussi bien avec
Google Drive que Dropbox.
A noter que Google permet désormais à une personne
ne disposant pas d'un compte Google de recevoir, lire et éditer
(selon ses droits d'accès) un document partagé via Drive alors
que cela était déjà le cas depuis longtemps avec Dropbox.
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16. Comparaison
des marques
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17. Gestion des fichiers
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18. Une vitessede transfert plus rapide pourGoogle Drive
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19.  En termes de vitesses d'envoi et téléchargement de
fichiers (upload et download )le bilan est contrasté entre
Dropbox et Google Drive. Un test effectué en passant par
une ligne haut débit standard avec un fichier vidéo de
25 Mo débouche sur les résultats suivants :
6 sec 24 sec
11 sec 47 sec
G.Drive Dropbox1-0
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20. Intégration bureautique et collaboration
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21. Veille technologique : Le Cloud Computing 21

22.  Dans ce domaine, Google Drive affiche un atout certain
sur Dropbox en termes de prévisualisation et d'édition de
documents. Avec près d'une trentaine de formats de
fichier pris en charge et la possibilité d'éditer des
documents (bureautiques notamment), Drive affiche
clairement une longueur d'avance. Sachant que Dropbox
ne permet pas de pré-visualiser, pour l'instant, les fichiers
Excel.
G.Drive Dropbox2-0
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23. Système d’exploitation supportées
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24. Dropbox n'oublie pas lesutilisateurs deBlackBerry et Linux
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25.  Disponible sur le marché depuis 2007, soit 5 ans après le service
de stockage en mode cloud de Google, Dropbox est compatible
avec un nombre plus important de systèmes d'exploitation.
 Au niveau du poste de travail, il est bien sûr interopérable avec
Windows et Mac mais également avec les systèmes Linux, ce qui
n'est pas le cas pourGoogle Drive en natif, même si cela est
possible grâce au service tiers SyncDrive.
 Concernant le support de Google Drive et Dropbox sur les
terminaux mobiles (smartphones et tablettes), ce dernier
marque encore des points par rapport à son concurrent. Il dispose
d'applications natives pour iOS (iPhone et iPad) et Android, mais
également pour BlackBerry. De son côté, Google Drive propose
deux applications : la première pourAndroid, et l'autre (depuis
juin 2012) pour iOS.
G.Drive Dropbox2-1
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26. Sécurité
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27. Dropbox : un taux de disponibilité théorique supérieur
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28.  Les deux offres de stockage cloud américaines proposent
des niveaux de sécurité comparables sur le papier. Ainsi,
l'authentification à double facteur, autrefois uniquement
valable dans Google Drive, a récemment été introduite
chez Dropbox.
 Concernant les standards et certifications de sécurité, les
deux offres sont également sur un pied d'égalité. Côté
support, Google annonce un taux de disponibilité de
99,9% alors que Dropbox met en avant un taux un peu
plus élevé. Un support par mail et par téléphone est par
ailleurs proposé par les deux services de stockage en
mode cloud.
G.Drive Dropbox2-2
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29. Trarification
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30. Stockage illimité chez Dropbox, versus prix cassé chezGoogle Drive
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31.  Au final, s'orienter vers Google Drive peut être
économiquement judicieux si les besoins en capacités de
stockage des collaborateurs sont faibles. A l'inverse,
Dropbox propose une offre intéressante pour 5
utilisateurs avec un volume de stockage illimité mais fait
payer cher l'utilisateur supplémentaire (125 dollars par
an).
G.Drive Dropbox3-2
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32. Conclusion
 Si Google arrive de manière tardive sur le marché des
services de stockage en ligne, Google Drive est tout de
même une solution très solide qui devrait rapidement
arriver à combler le retard qu’elle a sur ses concurrents.
 Mais en l’état, Dropbox garde une certaine avance avec
une utilisation plus facile et plus intuitive, et des
fonctions plus complètes dans la majorité des cas.
 L’intégration des services Google à GDrive représente
tout de même un gros plus pour le nouveau challenger
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33. Webographie
 https://fpavoine6.wordpress.com/veille-technologique/
 https://portefolioramdane.wordpress.com/veille-technologique/
 https://www.youtube.com/watch?v=hB6Rle2Z
 https://www.dropbox.com/fr/tour
 https://www.nikopik.com/2012/04/comparaison-entre-dropbox-
et-google-drive-dans-le-domaine-des-services-de-stockage-en-
ligne.html
 http://www.journaldunet.com/solutions/cloud-computing/
 http://www.journaldunet.com/solutions/cloud-
computing/comparatif-stockage-cloud-google-drive-et-dropbox/
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34. Merci pour votre attention !
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