L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann.
Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation et la raison nous oblige à apprendre aux enfants de notre pays de ne pas trop y compter sur le va et vient de ces exceptionnels têtes pensantes d’un système qui agonise dans ses danses à milles temps
Le deficit des regimes de retraite tunisiens ezzeddine mbarek
La planche à billets au service du populisme
1. La Planche à Billets au service du
Populisme des rentiers de l’Etat Algérien !!!!
L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire
pour ses enfants. Thomas Mann.
Je suis père et fais de mon mieux au regard de
cette citation et la raison nous oblige à apprendre
aux enfants de notre pays de ne pas trop y
compter sur le va et vient de ces exceptionnels
têtes pensantes d’un système qui agonise dans
ses danses à milles temps
Un système qui a été sans mesure d’instaurer
des nouvelles structures susceptibles de favoriser
et de garantir l’émancipation du citoyen avec la
pleine possession de ses libertés, mais ce
système a tenu à développer le pays sans le
savoir et la connaissance mais seulement avec
l'argent que lui procure la rente pétrolière pour
acheter la Paix Sociale.
Un système qui a troqué la fierté et le
patriotisme du peuple contre la paresse et
l’informel pour faire de lui un éternel assisté,
géré par une administration à esprit colonial, qui
écrit en Langue Arabe mais parle en Langue
Française..
Un système qui ne trouve même pas les solutions
appropriées et qui a fait une faillite entière sur
l’action économique, médiatique, culturelle,
2. universitaire, intellectuelle, supposée éclairer et
guider le peuple vers le bien être tout en gardant
le respect de l’héritage de l’identité élémentaire
du peuple Algérien à savoir; islam, arabité et
amazighité.
Face à cette crise tout simple citoyen peut à son
aise et sans équivoque constater qu’on ne peut
continuer à se lancer dans des discours de langue
de bois et faire des analyses d’espoir, quand la
situation atteint son degré d’entropie
inadmissible. Une analyse qu’on peut refuser,
rejeter, maudire avec son auteur aussi, la réalité
est là.
Ce qui est très certain c’est avec notre Ancien
revenant de Premier Ministre (détenteur d’une
palme en matière de nomination à ce poste),
après un très long discours en : Et patati, et
patata … nous fait étaler la grande découverte
politicienne pour sortir de la crise que connait
depuis toujours le peuple Algérien.
El Amdoulillah ! En fin nous voilâmes avec un
Premier Ministre qui sera un grand dirigeant
chargé de la Planche à Billet pour la relance.
N’est pas géniale cette idée ?
Encore un infime extrait significatif de la connerie
politique Algérienne imprégnée par l’illégitimité
3. de son élite, étatique et institutionnelle à tous les
niveaux. (du clientélisme à la médiocrité).
Ainsi avec cette nouvelle option politique
applaudit chaudement par les élus ayant appris la
prose et la danse, se bousculent au portillon pour
flatter et applaudir plein de satisfecit, l’Algérie
passera à l’heure du GMT + 5
C'est-à-dire qu’il fera très sombre à 16 h. et nous
allons connaître sûrement une belle époque où il
faudrait remplir une brouette de billets de notre
Beau Dinars pour acheter du pain chez le
Boulanger d’en face ou encore que le retraité soit
politiquement assuré d’avoir son insuffisant
salaire, qui ne lui permet guère de subvenir à ses
besoins les plus élémentaires et à ceux de sa
famille. Quant on sait qu’il existe un fossé
énorme entre les salaires perçus par ces derniers
et le coût de la vie.
Pour ne pas perturber son train de vie coloré
par l’étalage de l’aisance et du luxe et pour
financer le déficit budgétaire de l’Etat, le
gouvernement a opté pour le financement non
conventionnel au moyen du lancement de la
planche à billets signifie émettre de la monnaie
au-delà de ce que le marché achète par
l’équilibre de l’offre et de la demande de liquidité.
La thèse de la planche à billet est un refuge
supposé intelligent à la politique de stimulation
monétaire de la croissance sans marché, sans
4. régulation et sans économie réelle, un moyen
miraculeux, sans aucun effort, pour relancer
l’économie
Le keynésianisme fait ainsi place du populisme.
Tous les économistes s’entendent aujourd’hui
pour déconseiller le recours à la planche à billets
aux pays sous gouvernés où la corruption fleurit
et où les entreprises et institutions publiques sont
mal gérées et peu performantes.
Cela reviendrait, disent-ils, à jeter de l’argent par
la fenêtre et à laisser à la postérité une dette
intérieure singulière que les générations futures
devront d’une manière ou une autre débourser
Le recours à la planche à billet n’a en effet réussi
dans aucun des rares pays qui y eu recours. Le
seul que les experts de l’économie ont l’habitude
de citer comme exemple de réussite est le Japon
en soulignant que ce pays exceptionnel a su
mettre à profit ce dispositif keynésien grâce ses
institutions et entreprises parfaitement bien
organisées pour rentabiliser les liquidités
financières qu’elles avaient obtenues par ce
moyen.
Une relance véritable c’est une politique qui crée
de véritables actifs, avec une valeur supérieure à
la dépense et une rentabilité réelle et non pas au
5. recours aux formes de subjectivisme,
l’approximation et la tendance à idéaliser la
réalité en ne retenant que les aspects
spectaculaires.
Mais notre gouvernement n’a pas besoin de la
véritable relance. Ce qu’il veut, ce sont
simplement les signes de la relance, et le plus
simple des signes c’est des grosses dépenses,
dans le financement non conventionnel du déficit
budgétaire de l’Etat et ainsi les banques devaient
plus d’argent qu’elles n’en avaient.
Pourtant, depuis 1817 et grâce à David Ricardo,
on le sait que la planche à billets, c’est la solution
du désespoir et qu’une création monétaire
excessive conduit à l'inflation !
Si on y recourt, le système monétaire se dérègle
en peu de temps, jusqu’à devenir ingérable La
banque centrale serait incapable de maîtriser
l’équilibre de la liquidité qui permet la reprise de
la croissance économique et la consolidation du
système bancaire.
La planche à billets empêche l’argent de remplir
sa fonction de régulation. On s’enrichit sans avoir
investi, mais seulement à d’être proche de la
source ainsi la confusion entre argent et richesse
mène toujours au désastre.
6. Avec le recours à la planche à billet l’Algérie est
condamnée au chaos selon le réalisme et la
rationalité.
Certains experts économiques, on fait sonner
l'alarme. Entre autres Mr Salim Bellal, professeur
d'économie, prévient : « Aucun économiste qui
se respecte ne vous dira que dans le contexte qui
est le nôtre, le recours à l'imprimerie de la
Banque centrale est une mesure responsable.
L'Algérie n'est ni les États-Unis ni l'Union
européenne. C'est un petit pays rentier dont le
système politique est fondé sur le clientélisme.
Dans un régime rentier clientéliste, la monnaie
est instrumentalisée par le pouvoir politique pour
régler les conflits de partage de la rente »
explique-t-il au site économique Maghreb
Émergent
Kader Tahri
7. Avec le recours à la planche à billet l’Algérie est
condamnée au chaos selon le réalisme et la
rationalité.
Certains experts économiques, on fait sonner
l'alarme. Entre autres Mr Salim Bellal, professeur
d'économie, prévient : « Aucun économiste qui
se respecte ne vous dira que dans le contexte qui
est le nôtre, le recours à l'imprimerie de la
Banque centrale est une mesure responsable.
L'Algérie n'est ni les États-Unis ni l'Union
européenne. C'est un petit pays rentier dont le
système politique est fondé sur le clientélisme.
Dans un régime rentier clientéliste, la monnaie
est instrumentalisée par le pouvoir politique pour
régler les conflits de partage de la rente »
explique-t-il au site économique Maghreb
Émergent
Kader Tahri