Diego ibarra exposition l'Afghanistan entre cauchemar et espoir"
1. Diego Ibarra
Sanchéz
« L’ Afghanistan
entre cauchemar et espoir »
Antenne Jeunes Flandre.
Mairie de Paris.
Exposition Photo
du 22 Mars au 1 Juin 2011
2. Un enfant dans un lit de l’hôpital LadyRing de Peshawar, conséquence de l’explosion d’une
bombe plaçé dans un vélo à la sortie d’une réunion religieuse. Peshawar. Pakistán. 2010. Diego
Ibarra Sanchéz
3. Quand l’explosion précède le silence. Attentat dans la banlieue de Peshawar contre
un poste de contrôle de la police pakistanaise. Pakistan 2009. Diego Ibarra Sanchéz
4. Un groupe de milices civiles dans la vallée de Swaat, entre la frontière de l’Afghanistan et du
Pakistan. Après le régime de la terreur, instauré par le Mulá FM, la population civile s’est armée à
l’aide du gouvernement, pour tenter de lutter contre les ravages des talibans. Pakistan. 2010.
Diego Ibarra Sanchéz
8. Tout au long du mois d’octobre 2010 plus de 150 camions de l'OTAN ont brûlé avant d'arriver
à leur destination en Afghanistan. Tandis que les autorités pakistanaises accusent les talibans
locaux de perpétrer ces attentats, quelques analystes internationaux divergent sur ces
accusations. Ces derniers se demandent pourquoi si ces attentats sont le fruit des
talibans, ne sont pas plus fréquents. Noswhera. Pakistan. 2010. Diego Ibarra Sanchéz
9. Une personne atteinte d’une maladie mentale reste enchaîné à Jajalabad. Cette photographie nous
montre les conditions dans lesquelles se trouvent les malades psychiatriques… Jajalabad est proche
du corridor de Torham situé entre l’Afghanistan et le Pakistan. C’est par celui-ci que passent les
approvisionnements des troupes internationales déployées en Afghanistan. Cette ville est considérée
comme l'un des bastions des talibans. Afghanistan. 2010. Diego Ibarra Sanchéz
10. Un jeune afghan contemple Kaboul depuis le versant d'une montagne. L'Afghanistan
traîne trente ans de guerre. Afghanistan. 2009. Diego Ibarra Sanchéz
11. Un rayon de lumière éclaire le visage d'un ancien héroïnomane dans un hôpital de Kaboul. L'héroïne
tue plus d’afghans que les balles alors que cette drogue, dont le principal producteur mondial est
l’Afghanistan, représente une source de financement pour les groupes d’insurgés. Afghanistan 2009.
Diego Ibarra Sanchéz
12. Une mère maquille sa petite fille dans les rues de Lahore, capitale culturelle du Pakistan.
Pakistan 2009. Diego Ibarra Sanchéz
13. Des orphelins de la guerre au Pakistan. Après la chute du mulá Fm dans la vallée de Swat en
2009, l'armée s’est emparée du contrôle de la zone. Presque deux ans après, les conséquences de
la guerre sont encore très présentes pour les habitants. Les bâtiments restent témoins muets des
combats féroces et reflètent la crise humanitaire. Pakistan. 2010. Diego Ibarra Sanchéz
14. Deux enfants jouent avec des cerfs-volants dans la touristique ville de Saipur Village.
Pendant des années les talibans ont interdit de faire voler les cerfs-volants. Pakistan. 2009.
Diego Ibarra Sanchéz
15. Malgré les dures conditions de vie, les enfants dans les campements de déplacés, tentent
toujours de rester des enfants. Pakistán 2010. Diego Ibarra
16. Deux jeunes jouent sur les plages de la cosmopolite ville de Karachi. Dans les derniers mois la
violence interethnique a pris la vie de centaines de personnes. Pakistan. 2010. Diego Ibarra
Sanchéz
17. Deux travailleurs récoltent du blé dans les champs du village de Mohid Landa. Ce lieu
est devenu tristement célèbre juste après l’attentat raté de Faisal Shahzad aux Etats
Unis. Pakistan 2010. Diego Ibarra Sanchéz
18. Malgré les dures conditions de vie, les enfants dans les campements de déplacés,
tentent toujours de rester des enfants. Pakistán 2010. Diego Ibarra Sanchéz
19. Reflet de l’état catastrophique des écoles dans la Vallée de Swat, après le passage des talibans.
Cette image montre jusqu’à quel point le régime taliban fait des écoles, maitres et élèves ses
premières victimes, car une société éduquée reste toujours plus difficile à soumettre. Les talibans
ont fermé toutes les écoles pour les filles et ont restreint l’accès à l’éducation pour les garçons.
Pakistan. 2010. Diego Ibarra Sanchéz
20. Attentat contre le programme mondial d’aliments des Nations unies en Islamabad.
Pakistan 2009. Diego Ibarra Sanchéz
21. Peshawar, la capitale de la convulse région du Hyber Pakhtoonkhwa est victime de
fréquents attentats. Pakistan 2009. Diego Ibarra Sanchéz
22. Descente dans les ordures en quête de n’importe quel élément que l’on pourrait vendre
ou manger. Kaboul. Afghanistan. 2009. Diego Ibarra Sanchéz
23. Les familles portent des cartels avec les noms de leurs proches. Il s’agit de l’enterrement des
victimes du double attentat des mosquées ahmadíes dans la ville de Lahore. La mort de presque
une centaine de personnes rappelle la ségrégation que subit cette communauté musulmane
toujours menacée par le courant de l’Islam majoritaire. Accusée d'être une secte, la branche
Ahmad de l'Islam trouve ses origines en 1889, l'année dans laquelle Mirza Ghulam Ahmad a donné
naissance à une nouvelle réflexion sur l'Islam. Ce nouveau courant prend ses distances avec les
factions les plus extrémistes et prône pour un islam plus ouvert. Pakistan. 2010. Diego Ibarra
Sanchéz
24. Une jeune fille parcourt les rues de Kaboul à la recherche d’eau. L’eau courante est une
denrée rare. Afghanistan .2009. Diego Ibarra Sanchéz
29. Après avoir reçu le diplôme de journaliste, en 2005 il a reçu une
subvention de l'Aragon Press Association qui lui a permis de
commencer à travailler comme photographe pour le journal « El
Territorio » et après pour le journal argentin « La Nación » Durant
cette année il a pu développer sa compréhension personnelle
de la photographie.
Il retourne en Espagne et commence à découvrir son style dans Le photographe:
les cours de l’Albarracín Masterclass, enseignés par Gervasio
Sánchez. Depuis lors Diego n’a jamais arrêté d’explorer l’âme de Diego Ibarra
ce qu’il capture. Il a obtenu une nouvelle bourse, cette fois ci
pour visiter la Bosnie. Quand il a vérifié sa boite e-mail à Mostar, Sanchez
la catalonian NGO PAX fondation lui a demandé de voyager en
Colombie pour faire un documentaire sur la réalité des mines
antipersonnel, une question complexe qu’il devait de nouveau
couvrir en Algérie, ou il a cherché les histoires oubliées des gens
du Sahara. .
Après avoir vécu deux ans à Barcelone et travaillé comme
photographe pour le magazine Catalan « Ayui » il a eu une
licence en photo journalisme à l’Université Autonoma de
Barcelone. Par la suite il décide d’embrasser le Moyen-Orient et
l’Asie pour chercher son propre style photographique.
Il habite au Pakistan depuis 2009. Actuellement Diego travaille
pour une chaîne de télévision espagnole au Pakistan et il est
membre du CORDON PRESS / CORBIS une agence internationale
de photos.
Il est aussi l’un des fondateurs de ZPhoto, un collectif qui a pour
vocation de créer un espace d’échanges autour de la
photographie à Zaragoza appelé “ZARAGOZA PHOTO FESTIVAL”
Pendant son séjour au Pakistan, il a publié ses travaux dans
certains journaux de référence tels que « El País », « El País
Semanal », « El Periódico de Catalunya », « La Razón », « Tiempo
de Colombia » et « L’Equipe ». « Libération « et « the New York
Times »