2. sommaire
• 1) La Biographie
• 2) Présentation de l’oeuvre
• 3) Interprétation de l’oeuvre
• 4) comparaison avec un autre oeuvre
• 5) Conclusion et rapport avec le théme
3. Alex MacLean
• c
•
•
Alex S. MacLean ( né en 1947 ) est
un artiste photographe américain
qui est mieux connu pour ses
photographies aériennes . Ses
photographies ont dépeint l'histoire
et l'évolution de la terre de vastes
modèles agricoles aux réseaux de la
ville , l'enregistrement des
changements apportés par
l'intervention humaine et les
processus naturels .
4. présentation oeuvre
• Subdivision divided in
two
• Sun City,AZ 2004
Sun City (littéralement « La ville du soleil »)
- ville américaine située dans l'É tat de l'Arizona créée dans les
années 1960 par Delbert E. Webb (Del Webb community),
Elle est réservée aux retraités, la moyenne d'âge est de 75 ans et
on n'y trouve ni enfants, ni école.
C'est une unincorporated area, c’est-à-dire qu'elle ne dépend
d'aucune ville et est autogérée par ses habitants.
Elle est également protégée de l'extérieur par une enceinte et un
accès contrô lé.
La population y est à 98% blanche
5. présentation oeuvre
• Subdivision divided in
two
• Sun City,AZ 2004
-C’est une Photo
aérienne
-C’est une photo
avec des formes
géometriques
-Les maisons sont
toutes pareilles
6. interprétation de l’oeuvre
• lex MacLean révèle depuis le début des années 1990 le monde au présent, tel que nous le vivons.
Durant ses études d’architecture et de paysage, il apprend à piloter un aéroplane et combine ses
deux passions pour en faire une carrière : révéler au plus grand monde les processus de
transformation des espaces, vus du ciel.
Au micro d’UrbaNews la semaine dernière, nous nous laissions séduire par le charme de la
troublante vue du ciel de certains échecs et succès de l’urbanisation moderne. Ecoutez plutôt :
8. Conclusion & rapport avec le
thème
A PROPOS DE L'OEUVRE : VILLE ÉTIRÉE IV
Pour la série « Ville étirée », Pascal Bobillon
questionne la cité contemporaine. Le
photographe compare les constructions
modernes à celles du passé. Il interroge plus
spécifiquement la propension des hommes à
bâtir des édifices toujours plus hauts. La
laïcisation du monde moderne implique un
changement radical des modèles qui ont
jusque-là influencé l’architecture mondiale. Les
édifices religieux semblent dérisoirement petits
en comparaison de l’Empire State Building ou
de la Bank of America de New York. Dans une
surenchère de gigantisme, les gratte-ciel de la
ville étirent en hauteur les espaces habitables.
Ces structures deviennent les nouveaux
symboles de pouvoir d’une humanité qui n’a
plus besoin de défier les dieux.