Nick Mai (LAMES, AMU/CNRS, France, London Metropolitan University, UK) “ ‘Ass...
Etude de la grc
1. Les organismes d’aide sociale ont estimé à 16 000 le nombre
de personnes, au Canada, étant soumises principalement pour le
commerce sexuel.
La Gendarmerie Royale a estimé qu’il y avait au moins 1400
victimes de la traite internationale qui , chaque année, avaient
pour destination finale le Canada.
1500 à 2200 personnes sont transportées du Canada aux
États-Unis aux fins de traite humaine.(G.R.C)
Près de 1300 enfants Canadiens portés disparus par la G.R.C
sont soumis à des fins d’activités sexuelles d’après un rapport
2010.(G.R.C)
Un bulletin du Service Canadien de renseignements criminels
indique qu’au Canada, des jeunes filles n’étant pas âgées de
plus de 12 ans sont soumises au trafic à des fins d’exploitation
sexuelle.
2. La traite des femmes et des filles peut
également avoir lieu dans le but de
mariage forcé.
Le mariage précoce, servile, provisoire, à
des fin de procréation ou les différentes
formes de mariage arrangé.
De même que le secteur du travail au
noir et du travail sous-payé.
Et le plus ignorer, le trafic d’organes du
corps humains.
3. Elles risquent d’être dépossédées des
mesures de protections et d’assistance
légale.
Les victimes de la traite risquent d’être
confondues avec de «simples» migrants
irréguliers objet de trafic et non comme de
victime de la traite.
Les victimes du trafic sans document
peuvent demander un permis de séjour
temporaire et à accéder à des services de
soutien.
4. Les policiers doivent en venir à percevoir
les prostituées comme des victimes
potentielles.
Sans prévention, combattre la traite des
êtres humains est une tâche jamais
terminée.
Sensibiliser les jeunes au trafic humain et
du risque accru d’être recrutés par des
trafiquants.
5. Établir des programmes de protection
des victimes et des témoins.
Sentences sont trop clémentes pour les
trafiquants.
Établir des mesures préventives dans les
milieux scolaires
Informer davantage les jeunes des
ressources accessibles dans leur région.
Déposer des projets de loi visant à lutter
contre l’exploitation sexuelle.
6. Faire connaître aux Canadien par des exemples
concrets; Un phénomène répandu,mais mal
connu.
Des femmes Sud-Coréennes transitent par le
Canada.
Le Canada est aussi désigné comme pays de
destination.
Le tourisme sexuels provenant principalement
des États-Unis.
Le Canada est un pays de source de tourismes
qui voyage à l’étranger pour avoir des relations
sexuelles avec des enfants.
7. Pour survivre: Les filles doivent tout
accepter et se taire.
L’argent: Le proxénète empoche de 70 000 à
100 000 en moyenne et jusqu’à 250 000
pour les plus jeunes.
La peur: Elles savent qu’elles courent un
risque d’être rapidement retrouvées et
punies par leurs agresseurs.
La demande du tourisme sexuel: En réponse
aux exigences, associées aux gros
événements (Ex: Le grand prix),et la
clientèle interne du pays.
8. La pauvreté: Elle demeure le facteur de
risque le plus commun à toute les victimes.
Phénomène de la mondialisation: Ce type de
commerce aurait littéralement explosé au
cours des dernières années.
Les jeunes trop crédules: Elles ne
questionnent pas les offres qu’elles
reçoivent.
De nombreuses tendances socio-économiques:
Quartiers à risque faisant partie des
territoires des gagnes de rue.
9. Misez sur des ateliers de sensibilisation à
grande échelle.
Que le gouvernement veille donc à ce que
des centres tels des centres pour femmes
violentées, élargissent leur manda pour
accueillir des jeunes qui ont subis la traite
humaine.
Réduire la vulnérabilité des jeunes de
milieux défavorisés.
Programme d’éducation obligatoire des
droits de l’homme et de la femme.
10. Stratégie plus vaste en faveur des jeunes
qui n’ont pas accès aux services de
soutien de la communauté.(ex: Jeunes
autochtones)
Prévention du risques accru pour les
adolescentes en fugue, recrutées par des
agences d’escortes.
Plus de programmes sociaux, accessibles.
Un soutien gouvernemental plus
substantiel pour les O.N.G