L’utilisation de PHP est aujourd’hui généralisée dans tous les départements IT. Reconnue pour son évolutivité et son développement rapide, cette technologie doit désormais répondre à de fortes attentes en termes d’exigences et de qualité.
Quels sont les outils nécessaires pour piloter une équipe de développement de taille importante et produire plusieurs centaines de site web par an ? L’heure de l’industrialisation est venue, avec la mise en place d’une planification et d’une organisation de la production de code capables de détecter les bogues avant la publication.
Nous verrons les outils et méthodes nécessaires pour piloter la conception, la production, la publication et la gestion d’équipe.
Développement d'un grand projet piloté par les tests (BDD)Laurent PY
Déploiement de l'approche BDD (Behavior Driven Development) dans un grand projet billettique de 150 années/hommes avec des équipes distribuées. Par Hiptest et Parkeon
Chapitre 1 - Introcution & cycles de développement - Etudiant.pptxssuserec8501
Quand on accède à un Site Web Dynamique, c’est le serveur qui contrôle l’accès à la base de données (affiche ou modifie seulement les informations autorisées)
Pour administrer une BD, on peut aussi s’y connecter directement via un terminal
L’utilisation de PHP est aujourd’hui généralisée dans tous les départements IT. Reconnue pour son évolutivité et son développement rapide, cette technologie doit désormais répondre à de fortes attentes en termes d’exigences et de qualité.
Quels sont les outils nécessaires pour piloter une équipe de développement de taille importante et produire plusieurs centaines de site web par an ? L’heure de l’industrialisation est venue, avec la mise en place d’une planification et d’une organisation de la production de code capables de détecter les bogues avant la publication.
Nous verrons les outils et méthodes nécessaires pour piloter la conception, la production, la publication et la gestion d’équipe.
Développement d'un grand projet piloté par les tests (BDD)Laurent PY
Déploiement de l'approche BDD (Behavior Driven Development) dans un grand projet billettique de 150 années/hommes avec des équipes distribuées. Par Hiptest et Parkeon
Chapitre 1 - Introcution & cycles de développement - Etudiant.pptxssuserec8501
Quand on accède à un Site Web Dynamique, c’est le serveur qui contrôle l’accès à la base de données (affiche ou modifie seulement les informations autorisées)
Pour administrer une BD, on peut aussi s’y connecter directement via un terminal
1. 1
Conception des protocoles
de communication
Azza Ouled Zaid
Institut Supérieur d’Informatique
2ème année Cycle d’Ingénieurs
2. 2
Conception des protocoles
Conception des protocoles
Processus de conception des protocoles
Spécification des protocoles
Test des protocoles
Spécification SDL
3. 3
Techniques de conception
Application des méthodes formelles et informatiques pour la
conception des logiciels de communication
Méthodes informelles :
manque de fondation théorique
définition ambiguë des dispositifs désirés
pas moyen de vérifier la complétude et la consistance du système
coût économique exorbitant
Méthodes formelles :
techniques mathématiques qui offrent une base rigoureuse du
développement logiciel, qui mène à la justesse et la fiabilité à
différentes étapes
4. 4
Langage formel
Une syntaxe formelle stricte
exposer des énoncés de manière précise, concise et sans
ambiguïté
simplifier la manipulation et la transformation d'énoncés.
Appliquer les règles de transformation précises
développement de formules logiques, contrapositions,
commutativité, associativité, etc.
sans connaître la signification de l'énoncé transformé ou la
signification de la transformation.
5. 5
Langage formel
Le seul langage permettant aux machines de « faire
des mathématiques ».
L'inconvénient : ne pas connaître le sens de l'énoncé
empêche de savoir quelles sont les transformations
pertinentes et nuit à l'intuition du raisonnement.
6. 6
Méthodes formelles pour la
conception des protocoles
Offre une façon formelle et sûre pour la conception des
protocoles
modélisation des protocoles et spécification
synthèse des protocoles
Permet une analyse formelle avant l’implémentation du
protocole
vérification et validation des protocoles
analyse de performance des protocoles
7. 7
Langage formel pour la
conception des protocoles
Une génération directe et automatique des
programmes exécutables à partir d’une spécification
formelle
Pas très répondu ni bien établi
coût élevé en terme de temps et ressources
apprendre un langage formel est aussi difficile
qu’apprendre un langage de programmation
8. 8
Principes de conception des
protocoles
Un concepteur adhère à une discipline si seulement
si elle nous permet d’obtenir :
simplicité
modularité
faisabilité
robustesse aux pannes
comportement : ordonnancement, absence de blocage,
cohérence des données partagées
9. 9
Simplicité
Un protocole bien structuré réalisé à partir d’un petit nbre de
blocs clairs et bien conçus
Chaque bloc réalise convenablement une fonction
Le fonctionnement des blocs et leur façon d’interagir.
facile à comprendre et à implémenter, facile à vérifier et à
maintenir.
Les protocoles légers vérifient l’argument suivant : efficacité et
vérifiabilité ne sont pas des objectifs orthogonaux mais
complémentaires
10. 10
Modularité — Une hiérarchie des
fonctions
Une fonction complexe peut être construite avec des petits
blocs qui interagissent d’une manière simple.
Chaque petit bloc est un protocole léger qui peut être
séparément réalisé, vérifié, implémenté et maintenu
Les fonctions orthogonales sont conçues d’une façon
indépendante.
La structure du protocole résultant est ouverte, extensible,
remplaçable sans affecter le fonctionnement des
composants individuels
11. 11
Modularité — Une hiérarchie des
fonctions
Les modules individuels ne fixent aucune hypothèse sur la
présence des autres modules ou leur fonctionnement.
Le contrôle des erreurs et le contrôle des flots de données sont des
fonctions orthogonales, résolus séparément
Ils n’imposent aucune hypothèse sur les données à part celui qui est
strictement nécessaire à la réalisation de cette fonction
• Un système de correction ne doit pas imposer des hypothèses
sur, codage des données, vitesse de transmission. Ces
préoccupations, s’ils sont nécessaires sont placés dans d’autres
modules, spécialement optimisés à cet objectif
12. 12
Protocole bien formé
Ne doit pas contenir des codes inatteignables ou inexécutables.
Complétude : un protocole incomplet peut causer des réceptions non
définies durant l’exécution.
Borné : il ne dépasse pas les limites du système (capacité des files
d’attente).
Stabilisation automatique :
Si une erreur résiduelle change arbitrairement l’état du protocole ce dernier
retourne toujours à l’état ciblé.
Si le protocole est initialisé à partir d’un état aléatoire il atteint l’état ciblé
dans un temps fini
Adaptation dynamique
Ex: adapter le débit de transmission à la capacité du canal et au débit de
réception.
13. 13
Robustesse
Les événements inattendues exigent des considérations
automatiques
Pas difficile de concevoir un protocole qui travaille dans des
conditions normales
Leur défi est l’inattendu. le protocole doit être préparé pour traiter
convenablement chaque action faisable et chaque chaîne
d’action réalisable sous n’importe quelle condition possible.
Le protocole devrait prendre en charge au minimum son
environnement pour éviter des dépendances sur les dispositifs
particuliers qui pourraient changer.
14. 14
Robustesse
Une conception robuste est automatiquement mise à l’échelle de
la nouvelle technologie, sans exiger les changements
fondamentaux.
Une conception minimale qui élimine les contraintes non
essentielles qui pourraient empêcher l'adaptation aux conditions
imprévues.
Élimination des aspects les moins pertinents pour ne considérer
que ceux qui sont essentiels.
15. 15
Cohérence
Il y a quelques normes et manières redoutées dans lesquelles les
protocoles peuvent échouer
Blocage : états dans lesquels aucune autre exécution de protocole
n'est possible,
• Ex: touts les processus du protocole attendent les conditions qui ne
peuvent jamais être remplies.
Boucle infinie : séquence d’exécutions qui peuvent être répétées
indéfiniment souvent sans accomplir jamais le progrès efficace.
Arrêts non déterminé : l'accomplissement d'une exécution de
protocole sans satisfaire les conditions d’arrêt appropriées.
16. 16
En général, le respect de ces critères ne peut
pas être vérifié par une révision manuelle des
spécifications de protocole.
Des outils plus puissants sont nécessaires pour
les empêcher ou les détecter.
17. 17
Les 5 éléments d’un protocole
Les spécifications de protocole se composent de cinq parties
distinctes. Pour être complète, chaque spécification doit inclure
explicitement :
1. Le service à fournir par le protocole
2. Les conditions au sujet de l'environnement dans lequel le protocole
est exécuté
3. Le vocabulaire des messages employés pour mettre en application
le protocole
4. Le codage (format) de chaque message dans le vocabulaire
5. Les règles de procédures gardant l'uniformité des échanges de
message
18. 18
Les 5 éléments d’un protocole
(suite)
L’étape 5, est le cœur d’un protocole.
Une assertion de justesse est une assertion sur la
possibilité ou l’impossibilité d’un comportement
Définir des formalismes pour décrire et vérifier le
comportement des processus
19. 19
Dix règles de base de conception
de protocole
1. Assurez-vous que le problème est bien défini.
2. Définissez le service à réaliser à chaque niveau
d'abstraction (qui vient avant et comment?).
3. Concevez la fonctionnalité externe avant la
fonctionnalité interne.
4. Maintenez-la simplicité
5. Identifier les problèmes plus simples, les séparer, et
puis les résoudre individuellement.
6. Ne reliez pas ce qui est indépendant. Séparez les
préoccupations orthogonales.
20. 20
Dix règles de base de conception
de protocole (suite)
7. Ne présentez pas ce qui est négligeable.
8. Avant de mettre en application une conception,
établissez un prototype à niveau élevé et vérifiez que
les critères de conception sont rencontrés.
9. Implémenter la conception, mesurez sa performance, et
au besoin, optimisez-la.
10. Vérifiez que la version finale d‘implémentation
optimisée est équivalente à la conception qui a été
vérifiée.
Ne sautez pas les règles 1 à 7.
La règle 10 est la plus fréquemment violée
21. 21
Développement des logiciels
Le développement des logiciels passe par des
phases qui amènent à la production d’un système
vérifiant certaines caractéristiques et répondant
aux besoins préalablement requis.
Ces phases font partie de tous les cycles de
développement de systèmes indépendamment de :
la nature, domaine, taille et la complexité du
système à développer.
22. 22
Le génie logiciel
Le modèle du cycle de vie (ou de processus) d’un
logiciel est un modèle de phases qui commence quand
le logiciel est conçu et se termine quand le produit n’est
plus disponible pour l’utilisation.
Plusieurs modèles de cycle de vie d’un logiciel existent
Le mode d'organisation le plus employé et normalisé par
l'AFNOR (Association Française de Normalisation) est
une technique par anticipation appelée Modèle en V
23. 23
Le modèle de développement en
V
Le plus tôt qu’on identifie une erreur dans la trajectoire de
développement, le moins cher il est de corriger l’erreur
24. 24
Modèle d’un logiciel
Une spec formelle est un modèle abstrait
Un modèle est une entité qui se comporte comme le
système réel de certains points de vue
P.ex. un modèle d’avion pourrait
• Être comme l’avion, mais beaucoup plus petit
• Être comme l’avion, mais ne pas voler
• Se comporter comme l’avion pour le pilote, mais il ne peut pas
avoir des passagers, ne peut pas voler, etc. (simulateur de vol)
Donc il est une abstraction
Un modèle formel d’un logiciel est une entité mathématique qui
a certaines des caractéristiques du logiciel, mais pas d’autres
• P.ex. n’est pas capable de fonctionner à la même vitesse, ne peut
pas produire la sortie dans l’exacte forme désirée, etc.
25. 25
Différents niveaux de spécif
et cycle de développement
Nous pouvons effectuer des
V&V et du test entre tous les
niveaux
Spec d’exigences (langue
naturelle, notation logique)
Spécification du
comportement
Spécification de
l’implantation
(comportement utilisant des
composantes données)
Implantation
26. 26
Spécification d’exigences ou
besoins
Ce que le système doit faire pour l’usager,
les exigences peuvent être à plusieurs niveaux
d’abstraction, peuvent représenter différents aspects du
système
Nombreuses méthodes de spec développés, p.ex.
Use Cases (UML)
Notations logiques
Diagrammes de transitions d’états…
27. 27
Spécification du comportement
Décrit le comportement du système en termes de
séquences d’interactions possibles avec
l’environnement
Les modèles à états sont les plus souvent utilisés,
p.ex.
au début, le système et dans l’état inactif,
ceci rend possible une transition signalisation, par laquelle le
système passe à un état attente
puis il passe à l’état signal occupé
La structure interne de la spec est abstraite, ne
correspond pas à un modèle d’implantation
28. 28
Spécification de l’implantation
Semblable à la spec du comportement
Mais la spec a une structure interne qui
correspond à un modèle d’implantation
Décrit les composantes de l’implantation,
etc.
29. 29
Vérification et test
La vérification est une technique dont le rôle est de
s’assurer qu’un système corresponde aux exigences
Une distinction plus fine est entre
Validation: la fonctionnalité du système correspond-elle aux
exigences de l’usager?
Vérification: le système, fonctionne-t-il bien?
Dont l’acronyme V&V
Test: processus de détection de fautes par exécution et
comparaison des résultats avec les exigences
30. 30
Validation et vérification
Conformité aux exigences : système |= spécification
Validation : do we build the right product ?
Vérification : do we build the product right ?
En pratique :
examen du code par une équipe indépendante
test (en général ad hoc)
Vérification en fin de conception
irréaliste : il n'y a pas de spécification complète
infaisable : outils de vérification pas assez puissants
inutile : erreurs détectées trop tard
intégrer V & V dans la conception
31. 31
Techniques de vérification
Vérification déductive
règles de preuve associées aux instructions du programme
vérification suivant la structure syntaxique
mécanisation : assistants de preuve, démonstrateurs de
théorèmes
Vérification sémantique (model checking)
méthode algorithmique de vérification
exploration exhaustive de l'espace d‘états du modèle
domaine d'application : hardware, protocoles de communication,.
vérification de propriétés ou d‘équivalences entre modèles
Pre-requis
sémantique (opérationnelle ou axiomatique) des systèmes
langage de spécification
32. 32
Techniques de validation
Simulation
exécution d'un modèle du système
prototypage, discussion avec le client
Test
appliquer des stimuli à l'implémentation du système
Établir la conformité à l'objectif de test
white box : structure interne du système connue
black box : on ne connaît que l'interface du système
montre la présence d'erreurs, jamais leur absence (Dijkstra)
Standardisation : ISO-ITU-T 96
génération de cas de test (use case) pour l'objectif visé
sélection d'un sous-ensemble représentatif
implantation des cas de test
exécution avec le logiciel test
analyse des résultats
33. 33
Cycle de vie du système de
télécommunication
Étude préalable
de besoin
Spécification
Conception
générale
Implémentation :
Spécification logicielle
Conception préliminaire
Conception détaillée et
Génération du code
Tests
d'intégration (cible)
Déboguage
Tests unitaires
Tests d'intégration (hôte)
Tests
fonctionnels
Exploitation
maintenance
34. 34
Spécifications des protocoles
Les spécifications de protocole consiste à
préciser l’ensemble des objectifs à réaliser
par la mise en œuvre pratique
définir le comportement requis pour une
entité de protocole
35. 35
Spécifications des protocoles
la nature des spécifications de protocole a une influence forte
sur le test du protocole
test de conformité : moyen d’assurer la satisfaction de
l’implémentation du protocole aux besoins
Les systèmes de protocole ne sont pas des systèmes
logiciels traditionnels, mais une variante du logiciel
Les systèmes traditionnels se composent des fonctions qui
partent d'un état initial vers un état final
ces systèmes s'appellent transformationnels parce qu'ils
transforment un premier état à un état final
les exemples typiques : fabrication, traitements des données
différés, progiciels
Progiciel :Logiciel d'application paramétrable, destiné à la réalisation de diverses tâches.
36. 36
Spécifications des protocoles
Les systèmes réactifs peuvent ne jamais se terminer
le but d'exploiter les systèmes réactifs est de maintenir
l'interaction avec l'environnement système
un système réactif ne peut pas être spécifier en se
référant seulement à ses états initiaux et finals, mais
plutôt à son comportement continu
les exemples typiques sont les logiciels d'exploitation,
les systèmes de contrôle de processus, et les systèmes
de protocole de communication
37. 37
Spécifications des protocoles
Système de protocole de communication = système réactifs
Techniques de description formelles :
réseaux de Pétri, grammaires formelles, langages de
programmation à haut niveau, algèbres de processus,
types de données abstraits, et logique temporelle,
Les Machine à État fini (MEF) ont été souvent étendues
par l'addition des paramètres et des attributs de données
afin de traiter naturellement certaines propriétés des
protocoles par exemple numérotation des séquences et
adressage
39. 39
Développement
Au début SDL n’était qu’un simple formalisme graphique
pour spécifier les machines à états finis des protocoles
téléphoniques
En 1984, on ajouta les processus et les données
SDL 1988 vit une stabilisation sur laquelle on a bâti
ultérieurement
En 1992 on ajouta l’orientation objet
En 1996 on ajouta
ASN.1, une notation pour la spec des structures de
données
et les Message Sequence Charts
• Aujourd’hui SDL et MSC sont deux notations intégrées
Nous avons couramment un effort d’intégration de SDL
dans UML
40. 40
Brève intro à l’SDL
L’SDL est essentiellement graphique, même si une
notation textuelle existe
Deux éléments primaires:
Structure
• Identifie les différentes composantes du système, et les voies
de communication
• Composantes: Blocks, Processes
• Communication:
• Channels (entre blocs): communication qui prend du temps
• Signal routes (dans un bloc): communication instantanée
• Les points de connexion: Gates
Behaviour - Comportement
• Seulement les processus ont un comportement
• Basé sur le modèle des machines à états finis étendues
41. 41
Structure à haut niveau
Block_1
Block_2
Example de system SDL
canal
environnement
path
toEnv1
toEnv2
[m2]
[m3]
[m1]
[m4]
bloc
nom de canal
signaux en sortie
signaux en entrée
Signaux permis
dans ce canal
43. 43
Dans un Bloc
un système est composé de blocs, les blocs sont
composés de processus
Block Block_1
nom de bloc
Process_1
Process_2
[m1]
[m4]
[m5]
signal route
processus
sr1
sr2
sr3
nom de signal route
SIGNAL
m5;
44. 44
Processus
À moins de spécification explicite, une instance d’un
processus est créée à l’amorçage du système, et continuera
jusqu’à ce que le processus décide de se terminer
Chaque processus reçoit (automatiquement par le système)
son propre Process Identifier ou PID
Les processus peuvent être créés dynamiquement:
P(1,3)
No d’instances à
l’initialisation
P(0, )
No max d’instances
No illimité
d’instances
46. 46
Intérieur d’un Block Type
Block Type aType
block type name
Process_3
Process_4
[m4]
[m1]
[m5]
gate
reference
gate
sr4
sr5
sr6
gate name
g1
g2
[m4]
[m1]
[m4]
Signaux permis à
travers porte
g2
[m4]
g1
48. 48
Signal List pour abréger les
listes
SIGNAL
m1, m2, m3(INTEGER), m4;
SIGNALLIST
list1 m1, m2, m3, m4;
Example3
signal list name
Block_b
[(list1)]
Utilisation de
signal list
49. 49
Détails
Les blocs peuvent contenir des sous-blocs
ou aussi des processus
Les déclarations de signaux, listes de
signaux, etc., peuvent être à tous les
niveaux
Encourage la bonne pratique de faire les
déclarations au niveau le plus interne
50. 50
Behaviour, Comportement
Seulement les processus peuvent avoir un comportement
Le comportement définit une machine à états finis étendue
(MEFE)
Modèle:
Chaque processus a une (et seulement une) file d’entrée à
travers laquelle il peut recevoir des signaux
Cette file est infinie théoriquement, mais finie en pratique
Signaux de sources différentes sont ajoutés à la même file à
leur arrivée
• Tandis que dans le modèle MEFC (Chap. 4) il y a un canal pour
chaque paire de processus communicants
Quand un signal en tête d’une file d’entrée d’un processus est
égal au signal d’entrée qui cause une transition d’état possible
pour l’état courant du processus, cette transition est effectuée et
le signal est enlevé de la file
52. 52
Transitions d’états en SDL
En principe, le modèle d’automate de
SDL est le modèle Mealy:
Cependant ce modèle a été élargi en
SDL.
Les transitions peuvent être des
programmes de complexité arbitraire
entrée / sortie
53. 53
Transitions en SDL
Une transition contient une entrée au
début
Sauf pour le cas de garde… (à voir)
Et peut contenir 0 ou plusieurs sorties
Même une boucle de sorties…
55. 55
Variables
Les déclarations sont séparées par des virgules, à la fin de
toutes il y a un ;
DCL
v1 INTEGER,
v2 PID,
v3 BIT,
v4 OCTET,
v5 DURATION;
Identificateur de proc
Pour la minuterie
0 ou 1
huit bits
Nom de
variable
Type de
variable:
entier
57. 57
Mécanismes d’interaction et
transitions
Si à un moment donné la file d’entrée n’est
pas vide, le premier signal est enlevé
S’il y a une transition correspondante, elle
est exécutée
Sinon le message est écarté, à moins que…
(save!)
58. 58
SAVE
Dans cet exemple, le signal C est remis dans le canal.
Si p.ex. il y a un signal A après le C, la transition A est effectuée mais C
reste dans le canal.
Malheureusement, la manière dans laquelle cette fonctionnalité est
censée fonctionner n’est pas définie dans la norme et elle est laissée à
l’implémentation
Questions possibles, pas résolues dans la norme :
Dans quelle position du canal est-il mis? Au début ou à la fin?
Sera-t-il encore disponible si le prochain état aussi ne peu pas
l’utiliser?
save
http://sdl-forum.org/sdl88tutorial/4/semantics_of_the_communication.htm
59. 59
Variables PID
Chaque signal d’entrée porte automatiquement le PID du
proc qui l’a envoyé
Chaque processus a une var prédéfinie SENDER
Quand un signal d’entrée est reçu, la valeur du PID de l’envoyeur est
affecté à SENDER
Autres PIDs prédéfinis:
SELF: le PID de ce processus
PARENT: le processus qui a créé ce processus
OFFSPRING: le processus le plus récemment créé par ce
processus
Les PIDs sont générés automatiquement par le système
d’exécution, donc l’usager pourrait avoir quelques difficultés
à les reconnaître…
60. 60
Gardes
state1
m3
state2
m4
m1
state3
x = 5
x < 0
Nous venons ici s’il
n’y a pas d’entrée
appropriée pour l’état
et la cond est vraie
DCL
x INTEGER;
Condition garde
Si condition
vraie on vient ici
61. 61
Fonctionnement des transitions
avec gardes
On contrôle la file d’entrée
S’il y a un signal approprié dans la file
d’entrée, on suit la transition pour ce signal
Si la file est vide ou il n’y a pas de signal
attendu, mais la garde est vraie, on suit la
transition de la garde
62. 62
Minuterie
Actions avec minuterie
SET: Une minuterie est amorcée avec une valeur
• Le langage ne spécifie pas les unités de temps
• Défaut outil Tau: millisecondes
RESET: Annule une minuterie déjà amorcée
EXPIRY: Notification que la minuterie est déclenchée
• Résultat: un message d’expiration avec un nom qui
est celui de la minuterie est mis dans la file d’entrée
du processus (!)
• Ceci veut dire que une temporisation pourra être
reçue quelque temps après
63. 63
Minuteries, timers
set(now+5.0,t1) Amorce minuterie t1
Temporisation 5.0 “unités de temps”
de maintenant
state1
t1 m2
reset(t1)
TIMER t1;
Rec. message d’expiration de t1
Annulation de minuterie
Déclaration de t1
64. 64
SDL Process with Timers and Queues
SDL Process
Input Queue (per process)
Timer
Synchronize with
global time
Get value
of NOW
Ask for value
of NOW
Send signal to another process
Get signal from
another process
(queue always open)
Place timer signal into the queue
Remove timer signal from the queue
Timer signal consumed by SDL process (can deactivate)
SET, RESET Ready to consume a signal
Send signal to process
as soon as have one
Modified
FIFO
RESET – remove from queue and de-activate (stop counting)
SET – RESET and activate (start counting)
3 states of a timer - active
- inactive
- timer signal in queue
current time
65. 65
Programmer les transitions
Une transition, causée par une entrée du
canal ou une garde, peut contenir un
programme entier, impliquant 0 ou plusieurs
sorties en positions différentes
Pour programmer ces transitions, plusieurs
éléments sont fournis, correspondant aux bien
connus organigrammes (flow-charts)
66. 66
Exemples d’éléments
qui peuvent être utilisés dans une transition
x := 0 Affectation de variables
Prcd_name Appel de procédures
Prcs_name Création d’instance de processus
Terminaison de processus
68. 68
Entrée/sortie de signaux
Options pour les sorties des signaux:
Le signal est envoyé sur la route spécifiée
Le signal est envoyé au processus spécifié
m3 VIA signal_route_name
m3 TO process_id
69. 69
Environnement
L’environnement est connecté au système comme un autre
processus
L’environnement est supposé savoir quels messages à envoyer à
un moment donné, sinon ils seront écartés
72. 72
Introduction à MSC
Langage graphique et textuel pour spécifier les séquences
d’événements dans un système
semblable aux Diagrammes de séquence de l’UML
La notation par laquelle les scénarios d’un système SDL sont
présentés
Deux parties:
MSC réguliers
• montrent directement les messages possibles
MSC haut niveau (HLMSC)
• montrent la corrélation entre MSC réguliers
73. 73
Diagrammes de séquences (Message
Sequence Charts MSC)
Décrivent les protocoles de manière visuelle
communications et interactions
Expriment des scénarios positifs/négatifs entre processus
concurrents.
Utilisés au début du cycle de développement
abstraction des données, etc...
Standard de la norme Z.120 de l'ITU (CCITT), utilisés dans
UML (Unified Modeling Language).
La visualisation de la trace du message est choisi d’une
manière simple et intuitive
74. 74
Diagrammes de séquences (Message
Sequence Charts MSC)
Pour la spécification du transfert des fichiers
Frontières des interfaces, commande séquentielle
des messages, temporisateurs etc...
Chaque diagramme MSC représente un scénario
d'un échange typique ou exceptionnel des
messages entre les entités du système
76. 76
Message Sequence Graphs
(MSG)
Un MSG est un graphe, dont les noeuds sont étiquetés
par des MSC.
Le MSG décrit une spécification comme un ensemble
(éventuellement infini) de MSC, correspondant aux
chemins acceptants du graphe.
Lors des branchements, les choix locaux des
processus doivent respecter le contrôle global donné
par l'étiquette d'un noeud.
79. 79
SDL : Specification and
Description Language
MSC et SDL décrivent le même comportement avec deux
perspectives différentes
SDL montre comment se comporte chaque entité communicante,
alors que les diagrammes MSC montrent comment ils interagissent
l'un sur l'autre en échangeant des messages
Avec des spécifications des systèmes de communication complexes
Structure (architecture) des systèmes
• faire coopérer des parties ( systèmes, blocs, processus)
Communications avec l'environnement et dans le système
• Canaux comme chemins de communications
• Signaux comme les messages transférés à travers le canal
Comportement dynamique de chaque pièce basé sur des machines
d'état