La SFEN adhère aux intentions du projet sur :
• Le choix d’une démarche pragmatique : opposer les énergies n’a pas de sens, surtout lorsqu’il s’agit d’énergies bas carbone, précisément le nucléaire et les renouvelables.
• La reconnaissance du fait que l’énergie nucléaire est une énergie d’avenir, « nécessaire pour réaliser la transition énergétique ».
• La volonté de réduire massivement les émissions de gaz à effet de serre en diminuant de 30% la consommation des énergies carbonées (pétrole et gaz).
La SFEN réaffirme ses positions sur :
• (art. 2) Les objectifs de long terme de la politique énergétique : L’objectif prioritaire de la transition énergétique reste avant tout la réduction des émissions de gaz à effet de serre et donc de la part des énergies carbonées dans le transport et l’habitat. Celles-ci représentent encore 70% de la consommation énergétique de la France, et sont à l’origine de l’essentiel des émissions de CO2 et du déficit de la balance commerciale du pays.
• (art. 2 et 55) Les autorisations d’exploiter les centrales nucléaires : Limiter la capacité de production d’énergie nucléaire à 63,2 GW suggère une fermeture prématurée deux réacteurs nucléaires au démarrage de l’EPR de Flamanville. Ce qui irait à l’encontre des objectifs écologiques et économiques poursuivis par la transition énergétique.
• (art. 19) La prévention et la gestion des déchets radioactifs : La filière nucléaire a développé et maîtrise les solutions techniques et des méthodes qui permettent le retraitement les combustibles nucléaires usés pour séparer les matières (plutonium et uranium) des déchets, pour lesquels est conçu le projet CIGEO. En France, 90% des déchets radioactifs produits chaque année disposent d’une solution de gestion à long terme.
• (art. 31) La sûreté nucléaire et l’information des citoyens : Le devoir de toujours progresser ne doit pas faire oublier que la filière nucléaire française est exemplaire dans sa culture et son dispositif réglementaire. Les nouvelles mesures doivent rester proportionnées au regard des objectifs poursuivis.
• (art. 53) La recherche et l’innovation : Pour atteindre les objectifs de la transition énergétique et préparer la rupture technologique des centrales nucléaires, l’Etat doit garantir l’effort de recherche dans le nucléaire.
• (art. 55) Les moyens de pilotage du mix électrique : Rénover les centrales nucléaires pour les exploiter au-delà de 40 ans est la solution bas carbone la plus compétitive pour les années à venir. Ce choix permettra d’éviter de « re-carboner » le mix énergétique (ce qui se passe en Allemagne).
• (art. 63 à 67) Le financement de la transition énergétique : La performance économique actuelle de la filière nucléaire est un des leviers permettant de financer la transition énergétique.
Jules César, sur les conseils du grand scientifique astronome Sosigène d ’Alexandrie, avait ajouté un jour supplémentaire au
calendrier julien (ancêtre de notre calendrier grégorien) tous les 4 ans. Notre chère planète effectuant une révolution complète en 365.2524 jours, cela permettait de maintenir le calendrier au plus proche de nos saisons historiques, et ainsi conserver les rituels et fêtes en bonne et due forme.
Innhotep - Energies marines renouvelables en France - 2011Innhotep
Définition des Energies Marines Renouvelables (EMR) et zoom sur les énergies éolienne offshore, hydrolienne et houlomotrice en France
Pour plus d'informations et de publications : http://www.innhotep.com/fr/publications/
- Le recyclage, un point-clé pour des systèmes nucléaires durables
- Recycler au sein de réacteurs aptes à tirer le meilleur
parti des matières: les réacteurs de 4ème génération à neutrons rapides
- Une approche progressive: le plutonium, premier enjeu! Les actinides mineurs, des attraits mais perspectives industrielles encore éloignées
- Le programme ASTRID porte aujourd’hui ces enjeux de
progrès
Plus d'informations : www.sfen.org
Semaine des énergie renouvelables, du bâtiment et de la maîtrise de l'énergieGuillaume GIRAUDET
A l'occasion de la semaine « Energie : changeons
d’ère ! », l'ADEME fait le point sur :
1 Le développement de l’éolien
2 Le marché du solaire photovoltaïque
3 Le marché du solaire thermique
4 Le bois énergie
5 la géothermie
6 Les pompes à chaleur
7 l’hydroélectricité
8 les énergies marines
9 Les certificats d’économie d’énergie
Les réseaux de gaz demain : les enjeux d’une conversion énergétique | LIEGE C...Nancy BOVY
La transition énergétique est maintenant une réalité : tous les pays européens se sont mis en marche pour atteindre des objectifs ambitieux. Le nouveau Green Deal européen pousse le raisonnement encore plus loin et propose une société complètement décarbonée en 2050.
Assez naturellement, une majeure partie du débat est souvent axée sur la production d’électricité directe associée à ces objectifs. Il est tout aussi important d’évoquer à la fois la production indirecte d’électricité (pour alimenter des électrolyseurs par exemple), mais également l’évolution des réseaux de gaz naturel et leur transformation vers des molécules énergétiques décarbonées (Hydrogène, biogaz, gaz naturel issu de procédé renouvelable et captation de CO2…).
Les enjeux liés à l’adaptation des réseaux gaz sont nombreux, il convient donc de les analyser de manière scientifique, économique et sociétale.
Parmi les points abordés, il sera notamment question de l'évolution des vecteurs gaz (en ce inclus l'hydrogène, le CO2 ou encore d'autres alternatives), des adaptations d'infrastructures nécessaires, de l'intégration des réseaux avec le système électrique et de l'impact de ces transformations sur le paysage industriel régional et fédéral.
Des liens seront établis avec diverses initiatives récentes (Étude du bureau du plan, Coalition sur l'importation d'hydrogène...) ainsi qu'avec certains sujets de recherche étudiés à l'Université de Liège dans ce contexte.
Avis présenté par M. Alain Obadia, au nom de la section des activités économiques, présidée par M. Jean-Louis Schilansky
Au-delà des différences d’opinions qui s’expriment sur la transition énergétique, l’intégration d’une plus grande part d’énergies renouvelables dans le mix énergétique de la France rencontre un large accord.
Compte-tenu du caractère intermittent de la production éolienne et photovoltaïque, le stockage de l’énergie électrique est l’une des approches qui peuvent faciliter cette intégration en contribuant notamment à la stabilité du réseau électrique et à l’essor des véhicules électriques.
Le CESE fait le constat que le degré de maturité des diverses technologies est aujourd’hui très inégal et que leur modèle économique reste incertain. De surcroît, aucune piste n’apparait susceptible d’apporter une réponse unique face à la variété des problèmes posés.
Pour notre pays, l'avis considère donc que trois filières technologiques doivent aujourd’hui être situées au cœur du débat et des préoccupations des pouvoirs publics : les Stations de transfert d’énergie par pompage (STEP), les batteries et l’hydrogène.
Synthèse de présentation des sujets abordés en introduction de l'Atelier « les métiers de l’Economie verte » : dans le cadre des Campus Rencontres, le 9 avril 2011.
+ d'infos sur l'événement : http://bit.ly/gDLpxf
Le document aborde :
- la création d'emplois verts en Aquitaine.
- les filières porteuses.
- la place de chaques énergies renouvelables dans la région.
Source :
- Guide "Développement Durable, des métiers d'avenir " de l'Onisep & Ouest-France.
- Rapport L’économie verte en Aquitaine : Une illustration par l’exemple de l’APESA.
- www.trendeo.com
- www.developement-economique.com
Chapitre 4 Transition Energétique- Cours Energie et développement durable» ma...Isam Shahrour
Ce chapitre fait partie du cours «Energie et développement durable» du master Génie Civil, à Lille1/Polytech’Lille
présente la transition énergétique à travers 3 questions : pourquoi il faut une politique de transition énergétique, comment mettre en place cette politique et quelles réalisations dans ce domaine.
L’Inf’OSE de ce mois de mai vous propose d’exprimer en détail le problème de la pollution lumineuse, dont les
conséquences environnementales sont bien souvent sous-estimées.
La technologie est également à l’honneur avec un article sur la technologie aérovoltaïque dont le rendement et la
simplicité de conception lui laisse présager un bel avenir.
Un article est consacré aux supergrids, ces réseaux électriques ultra haute tension à courant continu qui pourraient
bientôt voir le jour pour raccorder des sites de production renouvelable isolés aux centres de consommation. Sera
aussi abordé la transformation du secteur de l’énergie autour des enjeux de la digitalisation, de l’électrification et
de la décentralisation qui donne un aperçu de ce que pourraient être les business model de demain.
Enfin, ce numéro vous emmènera jusqu’en Libye, où la contrebande de pétrole plonge le pays dans le chaos et la
corruption.
Bonne lecture.
Fives Stein is a manufacturer located in Bar le Duc, France specializing in furnaces, galvanizing lines, flat glass production equipment, and other industrial machinery. It has extensive workshop facilities and equipment for metalworking, welding, and painting. Examples of products include rolls, steel structures, casing for continuous annealing lines, and specialized machines. Fives Stein also performs subcontracting work for the nuclear, petrochemical, and other industries.
La SFEN adhère aux intentions du projet sur :
• Le choix d’une démarche pragmatique : opposer les énergies n’a pas de sens, surtout lorsqu’il s’agit d’énergies bas carbone, précisément le nucléaire et les renouvelables.
• La reconnaissance du fait que l’énergie nucléaire est une énergie d’avenir, « nécessaire pour réaliser la transition énergétique ».
• La volonté de réduire massivement les émissions de gaz à effet de serre en diminuant de 30% la consommation des énergies carbonées (pétrole et gaz).
La SFEN réaffirme ses positions sur :
• (art. 2) Les objectifs de long terme de la politique énergétique : L’objectif prioritaire de la transition énergétique reste avant tout la réduction des émissions de gaz à effet de serre et donc de la part des énergies carbonées dans le transport et l’habitat. Celles-ci représentent encore 70% de la consommation énergétique de la France, et sont à l’origine de l’essentiel des émissions de CO2 et du déficit de la balance commerciale du pays.
• (art. 2 et 55) Les autorisations d’exploiter les centrales nucléaires : Limiter la capacité de production d’énergie nucléaire à 63,2 GW suggère une fermeture prématurée deux réacteurs nucléaires au démarrage de l’EPR de Flamanville. Ce qui irait à l’encontre des objectifs écologiques et économiques poursuivis par la transition énergétique.
• (art. 19) La prévention et la gestion des déchets radioactifs : La filière nucléaire a développé et maîtrise les solutions techniques et des méthodes qui permettent le retraitement les combustibles nucléaires usés pour séparer les matières (plutonium et uranium) des déchets, pour lesquels est conçu le projet CIGEO. En France, 90% des déchets radioactifs produits chaque année disposent d’une solution de gestion à long terme.
• (art. 31) La sûreté nucléaire et l’information des citoyens : Le devoir de toujours progresser ne doit pas faire oublier que la filière nucléaire française est exemplaire dans sa culture et son dispositif réglementaire. Les nouvelles mesures doivent rester proportionnées au regard des objectifs poursuivis.
• (art. 53) La recherche et l’innovation : Pour atteindre les objectifs de la transition énergétique et préparer la rupture technologique des centrales nucléaires, l’Etat doit garantir l’effort de recherche dans le nucléaire.
• (art. 55) Les moyens de pilotage du mix électrique : Rénover les centrales nucléaires pour les exploiter au-delà de 40 ans est la solution bas carbone la plus compétitive pour les années à venir. Ce choix permettra d’éviter de « re-carboner » le mix énergétique (ce qui se passe en Allemagne).
• (art. 63 à 67) Le financement de la transition énergétique : La performance économique actuelle de la filière nucléaire est un des leviers permettant de financer la transition énergétique.
Jules César, sur les conseils du grand scientifique astronome Sosigène d ’Alexandrie, avait ajouté un jour supplémentaire au
calendrier julien (ancêtre de notre calendrier grégorien) tous les 4 ans. Notre chère planète effectuant une révolution complète en 365.2524 jours, cela permettait de maintenir le calendrier au plus proche de nos saisons historiques, et ainsi conserver les rituels et fêtes en bonne et due forme.
Innhotep - Energies marines renouvelables en France - 2011Innhotep
Définition des Energies Marines Renouvelables (EMR) et zoom sur les énergies éolienne offshore, hydrolienne et houlomotrice en France
Pour plus d'informations et de publications : http://www.innhotep.com/fr/publications/
- Le recyclage, un point-clé pour des systèmes nucléaires durables
- Recycler au sein de réacteurs aptes à tirer le meilleur
parti des matières: les réacteurs de 4ème génération à neutrons rapides
- Une approche progressive: le plutonium, premier enjeu! Les actinides mineurs, des attraits mais perspectives industrielles encore éloignées
- Le programme ASTRID porte aujourd’hui ces enjeux de
progrès
Plus d'informations : www.sfen.org
Semaine des énergie renouvelables, du bâtiment et de la maîtrise de l'énergieGuillaume GIRAUDET
A l'occasion de la semaine « Energie : changeons
d’ère ! », l'ADEME fait le point sur :
1 Le développement de l’éolien
2 Le marché du solaire photovoltaïque
3 Le marché du solaire thermique
4 Le bois énergie
5 la géothermie
6 Les pompes à chaleur
7 l’hydroélectricité
8 les énergies marines
9 Les certificats d’économie d’énergie
Les réseaux de gaz demain : les enjeux d’une conversion énergétique | LIEGE C...Nancy BOVY
La transition énergétique est maintenant une réalité : tous les pays européens se sont mis en marche pour atteindre des objectifs ambitieux. Le nouveau Green Deal européen pousse le raisonnement encore plus loin et propose une société complètement décarbonée en 2050.
Assez naturellement, une majeure partie du débat est souvent axée sur la production d’électricité directe associée à ces objectifs. Il est tout aussi important d’évoquer à la fois la production indirecte d’électricité (pour alimenter des électrolyseurs par exemple), mais également l’évolution des réseaux de gaz naturel et leur transformation vers des molécules énergétiques décarbonées (Hydrogène, biogaz, gaz naturel issu de procédé renouvelable et captation de CO2…).
Les enjeux liés à l’adaptation des réseaux gaz sont nombreux, il convient donc de les analyser de manière scientifique, économique et sociétale.
Parmi les points abordés, il sera notamment question de l'évolution des vecteurs gaz (en ce inclus l'hydrogène, le CO2 ou encore d'autres alternatives), des adaptations d'infrastructures nécessaires, de l'intégration des réseaux avec le système électrique et de l'impact de ces transformations sur le paysage industriel régional et fédéral.
Des liens seront établis avec diverses initiatives récentes (Étude du bureau du plan, Coalition sur l'importation d'hydrogène...) ainsi qu'avec certains sujets de recherche étudiés à l'Université de Liège dans ce contexte.
Avis présenté par M. Alain Obadia, au nom de la section des activités économiques, présidée par M. Jean-Louis Schilansky
Au-delà des différences d’opinions qui s’expriment sur la transition énergétique, l’intégration d’une plus grande part d’énergies renouvelables dans le mix énergétique de la France rencontre un large accord.
Compte-tenu du caractère intermittent de la production éolienne et photovoltaïque, le stockage de l’énergie électrique est l’une des approches qui peuvent faciliter cette intégration en contribuant notamment à la stabilité du réseau électrique et à l’essor des véhicules électriques.
Le CESE fait le constat que le degré de maturité des diverses technologies est aujourd’hui très inégal et que leur modèle économique reste incertain. De surcroît, aucune piste n’apparait susceptible d’apporter une réponse unique face à la variété des problèmes posés.
Pour notre pays, l'avis considère donc que trois filières technologiques doivent aujourd’hui être situées au cœur du débat et des préoccupations des pouvoirs publics : les Stations de transfert d’énergie par pompage (STEP), les batteries et l’hydrogène.
Synthèse de présentation des sujets abordés en introduction de l'Atelier « les métiers de l’Economie verte » : dans le cadre des Campus Rencontres, le 9 avril 2011.
+ d'infos sur l'événement : http://bit.ly/gDLpxf
Le document aborde :
- la création d'emplois verts en Aquitaine.
- les filières porteuses.
- la place de chaques énergies renouvelables dans la région.
Source :
- Guide "Développement Durable, des métiers d'avenir " de l'Onisep & Ouest-France.
- Rapport L’économie verte en Aquitaine : Une illustration par l’exemple de l’APESA.
- www.trendeo.com
- www.developement-economique.com
Chapitre 4 Transition Energétique- Cours Energie et développement durable» ma...Isam Shahrour
Ce chapitre fait partie du cours «Energie et développement durable» du master Génie Civil, à Lille1/Polytech’Lille
présente la transition énergétique à travers 3 questions : pourquoi il faut une politique de transition énergétique, comment mettre en place cette politique et quelles réalisations dans ce domaine.
L’Inf’OSE de ce mois de mai vous propose d’exprimer en détail le problème de la pollution lumineuse, dont les
conséquences environnementales sont bien souvent sous-estimées.
La technologie est également à l’honneur avec un article sur la technologie aérovoltaïque dont le rendement et la
simplicité de conception lui laisse présager un bel avenir.
Un article est consacré aux supergrids, ces réseaux électriques ultra haute tension à courant continu qui pourraient
bientôt voir le jour pour raccorder des sites de production renouvelable isolés aux centres de consommation. Sera
aussi abordé la transformation du secteur de l’énergie autour des enjeux de la digitalisation, de l’électrification et
de la décentralisation qui donne un aperçu de ce que pourraient être les business model de demain.
Enfin, ce numéro vous emmènera jusqu’en Libye, où la contrebande de pétrole plonge le pays dans le chaos et la
corruption.
Bonne lecture.
Fives Stein is a manufacturer located in Bar le Duc, France specializing in furnaces, galvanizing lines, flat glass production equipment, and other industrial machinery. It has extensive workshop facilities and equipment for metalworking, welding, and painting. Examples of products include rolls, steel structures, casing for continuous annealing lines, and specialized machines. Fives Stein also performs subcontracting work for the nuclear, petrochemical, and other industries.
2. SOMMAIRE Les scénarios de croissance mondiale La politique nucléaire française Les projets nucléaires civils en France Un contexte favorable au nucléaire
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9. les projets nucléaires civils en France : le cycle du combustible Mines Enrichissement Réacteurs Traitement du combustible usé Uranium enrichi Stockage des résidus ultimes Amont du cycle Réacteurs Aval du cycle Uranium recyclable P lutonium
10.
11.
12.
13.
14.
Notes de l'éditeur
Croissance de la demande énergétique mondiale : - en particulier dans les pays émergents (mais augmentation dans toutes les régions du monde) - multiplication par un facteur d’environ 2,5 d’ici 2050 (source OECD AEN, Nuclear Energy Outlook 2008)
Capacité actuelle :372 GWe en 2007 (soit 6% de production totale d’énergie) Ordre de grandeur pour mieux percevoir les chiffres : 1GW éq à 1 centrale (grosso modo) Part du nucléaire en 2050 (en % de la production totale d’énergie) correspondant aux deux scénarios du graphe (d’après les hypothèses de l’OCDE sur l’évolution économique): 5% pour le scénario bas, et 12,5% pour le scénario haut.
En bref : - maintenir une part importante d’électricité d’origine nucléaire dans la production d’électricité en France, - tout en veillant à réduire autant que possible les inconvénients de la production d’énergie nucléaire (notamment déchets, question de sûreté, prolifération).
Chiffres et dates provenant du Document de référence 2007 d’Areva
Chiffre de 8Md€ provenant du document de référence d’Areva. Chiffres sur les investissements dans les capacités existantes donnés par Francis. Les informations auraient déjà été diffusées à la Presse.
A priori pas d ’info publique sur les investissements récurrents à La Hague et Mélox.