Ikililou a enfin pris sa décision; bonne ou mauvaise, en tout cas c'est la sienne et ça l'engage. Il soutient la candidature de son vrai vice-Président Mamadou aux élections présidentielles de 2016 après avoir passé cinq bonnes années de règne ensemble et sans partage.
Ikililou a enfin pris sa décision; bonne ou mauvaise, en tout cas c'est la sienne et ça l'engage. Il soutient la candidature de son vrai vice-Président Mamadou aux élections présidentielles de 2016 après avoir passé cinq bonnes années de règne ensemble et sans partage.
BILAN COMPARATIF DU POUVOIR AZALI - 2000-2006Djamal Msa Ali
À mi-mandat du régime Sambi, force est de constater que la situation économique s’est détériorée ; la situation sociale est devenue très préoccupante ; la situation politique et diplomatique est confuse.
Plus grave encore, les acquis de la réconciliation nationale, fruits de sept années d’efforts, de travail de rapprochement entre les Comoriens, avec l’appui de la Communauté Internationale, sont remises en cause par le pouvoir qui privilégie les affrontements, la violence politique, les emprisonnements et l’exacerbation des haines sociales.
Il est incompréhensible qu’après deux ans de pouvoir, le régime de Sambi continue à afficher son mépris à l’encontre des responsables et hauts dignitaires du régime précédant ; Et pourtant, le Président Sambi a hérité de son Prédécesseur des atouts que n’ont pas bénéficié nos chefs d’État dans le passé : Un pays crédible qui a retrouvé la stabilité politique et économique ; un pays réconcilié avec des institutions certes complexes mais qui fonctionnent, une démocratie enracinée ayant permis au Président Sambi d’être élu ; un pays sur la voie du progrès économique et social ; des grands investissements ayant permis aujourd’hui au régime Sambi de mieux respirer : Une Université des Comores (qui forme plus de 3 000 jeunes comoriens), une téléphonie mobile qui rapporte aujourd’hui des milliards de recettes à l’État, des Équipements électriques qui avaient permis au pays de tourner la page noire des délestages, une nouvelle aérogare aux normes internationales, 3 banques commerciales, des protocoles d’investissements de complexes hôteliers, 34 000 tonnes de goudron qui va permettre de bitumer toutes les routes de l’archipel ; un accord avec le FMI qui aurait permis l’effacement de 100 mds de Francs comoriens de dettes extérieurs, une conférence de bailleurs de fonds qui aurait rapporté plus de 100 milliards de Francs comoriens. Qu’en a fait le Président Sambi de cet héritage ? Quelle est la valeur ajoutée du régime Sambi ?
En continuant à anesthésier la population, notamment par ses formules de bénédictions, adressées aux citoyens avant chaque discours et en persistant à cacher la réalité aux Comoriens, à leur mentir et à entretenir de faux espoirs, le Président Sambi expose le pays à un réveil qui risque d’être brutal et douloureux.
A Val-de-la-Haye, dans le département de Seine-Maritime, le médecin de la commune de 700 habitants a cessé son activité en 1991. Quelques années plus tard, il disparaissait sans avoir trouvé de jeune médecin pour reprendre son cabinet. Aujourd’hui, les Vaudésiens ont une épicerie, un coiffeur, un bar-tabac et même une école… mais toujours pas de médecin. Comme 14 millions de Français, ils vivent dans une zone où l’acc ès à un médecin généraliste est difficile. Le journaliste Mathieu Molard s’est rendu pour « H » en reportage à Val-de-la-Haye, pour raconter la vraie vie des habitants des « déserts médicaux » dont on nous parle tant.
Val-de-la-Haye (76) – Coincée entre la Seine et les collines Normandes, Val-de-la-Haye, petite commune d’à peine plus de 700 âmes. Face au fleuve les petites maisons de brique normande côtoient des pavillons de fabrication plus récente. Un petit air de France éternelle, celle des affiches de campagne de Mitterrand, si ce n’est le ciel d’un gris bien trop Normand au goût d’un Séguéla. Au fil de l’eau on aperçoit les péniches venues nourrir en matières premières les usines voisines. Le long de la départementale 51 venue de Rouen, quelques commerces : un bar-tabac-restaurant, une épicerie, un coiffeur… Tout ce qu’il faut pour le quotidien en somme, excepté un médecin.
« Jusqu’en 1991, le village avait son toubib », explique Jean-Paul David, premier adjoint au maire. « Ça changeait la vie. Chacun avait son numéro et pouvait l’appeler nuit et jour. Il ne comptait pas ses heures. Et même avant que tout le monde soit raccordé au téléphone, il suffisait de mettre un linge blanc à son portail pour signaler qu’il y avait un malade dans la maison et le doc s’arrêtait », raconte-t-il un brin nostalgique. « Mais quand il a pris sa retraite, il n’a pas trouvé de repreneur pour son cabinet. »
Entreprises, pourquoi être sur internet à Mayotte ? Comment ? Combien ?Remy EXELMANS
Matinale CCIM et GEMTIC à Mayotte le 3 juillet 2015. Entreprises Mahoraises, pourquoi être sur Internet ? Comment ? Combien ?
Intervention de Rémy Exelmans, Secrétaire Général du GEMTIC et Consultant Expert en Stratégies Digitales et Coach Digital
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BILAN COMPARATIF DU POUVOIR AZALI - 2000-2006Djamal Msa Ali
À mi-mandat du régime Sambi, force est de constater que la situation économique s’est détériorée ; la situation sociale est devenue très préoccupante ; la situation politique et diplomatique est confuse.
Plus grave encore, les acquis de la réconciliation nationale, fruits de sept années d’efforts, de travail de rapprochement entre les Comoriens, avec l’appui de la Communauté Internationale, sont remises en cause par le pouvoir qui privilégie les affrontements, la violence politique, les emprisonnements et l’exacerbation des haines sociales.
Il est incompréhensible qu’après deux ans de pouvoir, le régime de Sambi continue à afficher son mépris à l’encontre des responsables et hauts dignitaires du régime précédant ; Et pourtant, le Président Sambi a hérité de son Prédécesseur des atouts que n’ont pas bénéficié nos chefs d’État dans le passé : Un pays crédible qui a retrouvé la stabilité politique et économique ; un pays réconcilié avec des institutions certes complexes mais qui fonctionnent, une démocratie enracinée ayant permis au Président Sambi d’être élu ; un pays sur la voie du progrès économique et social ; des grands investissements ayant permis aujourd’hui au régime Sambi de mieux respirer : Une Université des Comores (qui forme plus de 3 000 jeunes comoriens), une téléphonie mobile qui rapporte aujourd’hui des milliards de recettes à l’État, des Équipements électriques qui avaient permis au pays de tourner la page noire des délestages, une nouvelle aérogare aux normes internationales, 3 banques commerciales, des protocoles d’investissements de complexes hôteliers, 34 000 tonnes de goudron qui va permettre de bitumer toutes les routes de l’archipel ; un accord avec le FMI qui aurait permis l’effacement de 100 mds de Francs comoriens de dettes extérieurs, une conférence de bailleurs de fonds qui aurait rapporté plus de 100 milliards de Francs comoriens. Qu’en a fait le Président Sambi de cet héritage ? Quelle est la valeur ajoutée du régime Sambi ?
En continuant à anesthésier la population, notamment par ses formules de bénédictions, adressées aux citoyens avant chaque discours et en persistant à cacher la réalité aux Comoriens, à leur mentir et à entretenir de faux espoirs, le Président Sambi expose le pays à un réveil qui risque d’être brutal et douloureux.
A Val-de-la-Haye, dans le département de Seine-Maritime, le médecin de la commune de 700 habitants a cessé son activité en 1991. Quelques années plus tard, il disparaissait sans avoir trouvé de jeune médecin pour reprendre son cabinet. Aujourd’hui, les Vaudésiens ont une épicerie, un coiffeur, un bar-tabac et même une école… mais toujours pas de médecin. Comme 14 millions de Français, ils vivent dans une zone où l’acc ès à un médecin généraliste est difficile. Le journaliste Mathieu Molard s’est rendu pour « H » en reportage à Val-de-la-Haye, pour raconter la vraie vie des habitants des « déserts médicaux » dont on nous parle tant.
Val-de-la-Haye (76) – Coincée entre la Seine et les collines Normandes, Val-de-la-Haye, petite commune d’à peine plus de 700 âmes. Face au fleuve les petites maisons de brique normande côtoient des pavillons de fabrication plus récente. Un petit air de France éternelle, celle des affiches de campagne de Mitterrand, si ce n’est le ciel d’un gris bien trop Normand au goût d’un Séguéla. Au fil de l’eau on aperçoit les péniches venues nourrir en matières premières les usines voisines. Le long de la départementale 51 venue de Rouen, quelques commerces : un bar-tabac-restaurant, une épicerie, un coiffeur… Tout ce qu’il faut pour le quotidien en somme, excepté un médecin.
« Jusqu’en 1991, le village avait son toubib », explique Jean-Paul David, premier adjoint au maire. « Ça changeait la vie. Chacun avait son numéro et pouvait l’appeler nuit et jour. Il ne comptait pas ses heures. Et même avant que tout le monde soit raccordé au téléphone, il suffisait de mettre un linge blanc à son portail pour signaler qu’il y avait un malade dans la maison et le doc s’arrêtait », raconte-t-il un brin nostalgique. « Mais quand il a pris sa retraite, il n’a pas trouvé de repreneur pour son cabinet. »
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Présentation effectuée le 08 Janvier 2016 par le Dr P. Peignard, pour les personnes ayant participé aux groupes d’entrainement aux méthodes comportementales appliquées à l’acouphène, l’hyperacousie à l’HEGP (Hôpital Européen Georges Pompidou).
1. http://www.uneeducationpourdemain.org
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De la conscience et de la prise de conscience
Roslyn Young
J’ai envie d’écrire au sujet de la conscience et de la prise de conscience parce que l’anglais et
le français me permettent des entrées très différentes dans le domaine de la conscience et, par
conséquent, elles me fournissent des prises de conscience très différentes quant à la nature de
la conscience et des prises de conscience.
Depuis quelque temps, je me suis trouvée au contact de la différence entre la conscience en
tant qu’état – « awareness » en anglais – et les prises de conscience – « awarenesses ».
Nous pouvons facilement comprendre cette différence à l’aide du croquis ci-dessous.
Au point à gauche du croquis, la question et la réponse sont simultanées. Là, nous sommes
dans le domaine de l’état de conscience et l’anglais demande que nous parlions de
« awareness ». Cet état de conscience est même caractérisé par la simultanéité de la question
et de la réponse. Quand je cherche à décrire cet état en moi, je décris les déplacements de ma
présence.
En effet, dès que je cesse, pendant quelques instants, de vaquer à mes occupations pour
regarder en dedans de moi-même, je ne peux pas éviter de remarquer que j’ai une vie
intérieure faite de pensées, de réception d’impacts venant de l’extérieur, de reconnaissance ou
non de leur(s) signification(s), d’émotions et de sentiments – bref, de toutes les activités, les
transactions intérieures, les qualités qui me permettent de vivre une vie.
Mon accès à ma vie intérieure et extérieure se fait à travers ma présence qui est en constante
mouvance, se dirigeant tantôt par-ci, tantôt par-là pour saisir ce qui lui est accessible de mon
environnement. Une observation de ma façon d’opérer me montre que ma présence est portée
sur n’importe quelle activité qui m’occupe l’esprit pendant le moindre instant, n’importe
quelle activité dont je prends conscience. Elle se déplace pour tenir compte des impressions
2. http://www.uneeducationpourdemain.org
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qui l’affectent ou qui la touchent. Chaque fois que ma présence se déplace, elle engendre un
ou plusieurs faits de conscience. (Nous savons, la science le démontre, que beaucoup
d’impressions entrent en nous sans être passées dans le champ de la conscience et que, par
conséquent, il y a en nous tous une vaste quantité de « faits inconscients ». Ce qui nous
concerne ici, ce sont les « faits de conscience », les faits dont nous avons pris conscience.)
Je peux être présente dans ma conscience comme je peux avoir conscience de ma présence, ce
qui me dit que la présence n’est pas identique à la conscience. Dans les deux langues, ce
qu’on appelle « la présence » est caractérisé par une certaine focalisation, ce qui n’est pas
toujours le cas pour la conscience.
Tous les faits que je sais être en moi sont des faits de conscience. Je m’arrête de taper ce texte
un instant pour porter ma conscience, mon attention, sur le monde autour de moi et
immédiatement j’entends les voitures dans la rue, certains bruits du voisinage. Je me remets à
taper et, au lieu de porter ma présence sur le contenu de mon esprit, je la porte sur le contenu
de mes oreilles. Aussitôt, j’entends le bruit que font les touches de ma machine quand elles
s’enfoncent jusqu’au fond du clavier. Je déplace de nouveau ma présence et j’entends une
voiture démarrer pas très loin d’ici; un bus passe. Je porte ma présence vers l’intérieur et
retrouve instantanément le goût d’une banane que j’ai mangée il y a une demi-heure, la
sensation de mes pieds sur le sol, de mon pull qui me démange à un endroit précis où il me
touche. Chacun de ces goûts, de ces sensations, de ces bruits, constitue un fait de conscience,
car j’en suis devenue consciente.
Dans cette description de mon état intérieur, c’est un artifice que de vouloir distinguer les
questions des réponses. Je peux, si je le veux, dégager à chaque fois une question : qu’entend
mon oreille en cet instant ? Et maintenant ? Et maintenant ? Et ma conscience me dit
immédiatement la réponse. Mais, en fait, les lieux des déplacements de ma conscience
constituent à la fois la question et la réponse.
Mais dès que nous nous déplaçons vers la droite de l’échelle ci-dessus, nous nous situons de
telle manière que la question et la réponse n’ont pas lieu au même moment dans le temps. Ici,
le français nous permet une compréhension plus profonde que l’anglais. En effet, c’est le
domaine de prédilection des prises de conscience. Mais d’abord, pourquoi le mot « prise » ?
Ce mot est utilisé aussi pour la gelée qui « prend » quand elle passe de son état liquide à son
état solide. De même, quand les éléments d’un problème se présentent à la conscience sous
une forme tangible, on parle de « prise ». Quand on quitte le point à gauche, Gattegno invite
les anglophones à utiliser les termes « awarenesses » ou « becoming aware », malgré le fait
que « awarenesses » n’est pas réellement susceptible d’être utilisé au pluriel. Le français
« prise de conscience » attire notre attention sur les transactions énergétiques qui ont lieu, la
coagulation de faits nécessaire pour créer des prises de conscience. Nous sommes plus
touchés par la tension créée par la question qui croît en nous jusqu’à ce que la réponse
jaillisse. La libération de la tension qui en résulte est accompagnée par un « Ah ! » si
caractéristique d’une prise de conscience et la force du « Ah ! » est en rapport avec la quantité
de tension associée à la question.
Ainsi, à droite de l’échelle, nous pouvons donner comme exemple la prise de conscience
d’Archimède qui l’a incité à courir à travers la ville en criant « Euréka ! » si fort que nous en
entendons l’écho 2 400 ans plus tard.
Archimède avait une question : comment pouvait-il mesurer le volume de la couronne toute
tarabiscotée sans la réduire à un bloc d’or ? Il était avec cette question depuis quelque temps,