Maquettiste-Design pour la réalisation de la 12eme édition Echos 2 pro intitulé "Presse papier vs Numérique, Je t'aime, moi non plus."
Ce projet a été réalisé par les étudiants du master 2 Information et communication de l'université Paul Valéry 3 Montpellier.
3. Directeurs d'édition -
Directrice de la publication
Rédactrice en chef
Maquettistes / Design
Asistants de rédaction
Infographiste
Rédacteurs
LL
Dépôt légal
Echos de Pros
Edition
Montpellier III
9. Avec l'arrivée du numérique et l'instantanéité de l'information, les médias ont vu leurs ventes
décliner et la consommation des lecteurs se modifier. La preuve en chiffres...
La presse montpelliéraine face au déclin
du papier
Midi Libre
La consommation
d'information a évolué. Le
quotidien est obsolète
avant qu'il ne paraisse
puisque l'information est
déjà disponible ailleurs
avec l'instantanéité du
numérique
La Gazette
La presse écrite
est en crise […] les quatre
postes de recettes
traditionnelles [...] sont
en évolution négative par
rapport à l’année 2012
tratégies
Magazine
Monday Note
pour l'infor-
mation quotidienne, le
basculement du papier vers
le digital est inévitable
LE NUMÉRIQUE
CHEZ
MIDI LIBRE
par rapport à
Octobre 2013
par rapport à
Décembre 2013
LA PRESSE PAPIER
0
5000
10000
15000
20000
25000
2005 2013
La GazetteDiffusion payée
1999
par rapport à
Octobre 2013
Visites mensuelles
0
50000
100000
150000
200000
Midi Libre
20131999 2005
-31.07%
depuis
1993
-20.62%
depuis
2005
(de Montpellier)
Rédaction - Laurène Fagot
Réalisation - Camille Chavoutier
20. LES NOUVELLES STRATEGIES D’INFORMATION
Selon le Baromètre Ideose,
les collectivités territoriales
les plus présentes sur
les réseaux sociaux sont
les conseils régionaux avec
85% sur Facebook (contre
62% pour les conseils
généraux) et 70%
sur Twitter (contre 51%).
Le taux de lecture
des publications
territoriales (magazines
municipaux) a chuté
de 89 % de 2009 à 2011.
L’audience des réseaux
sociaux et blogs a
augmenté de 23 %
durant la même période
(baromètre CSA-Epiceum).
www.NetPublic.fr
5 idées reçues à combattre
sur l’utilisation des réseaux
sociaux par les collectivités
territoriales :
C’est un effet de mode ;
Le débat va dégénérer ;
Tout ceci est virtuel ;
Les informations peuvent
être volées ;
Les réseaux sociaux
ne concernent pas toute
la population.
www.lagazettedescommunes.com
Lionel Jospin a prononcé le
25 août 1997 le discours
d'Hourtin ; dans le cadre
de l'Université de la
Communication :
« Préparer l'entrée de la
France dans la Société de
l'Information ».
Il exprime le choix de l'Etat
d'accompagner les territoi-
res au passage à Internet.
18
Webmagazine, le virage du
Département
Rédaction - Roeam Medarhri
Le magazine a été distribué durant une
vingtaine d’années dans les boîtes aux
lettres des Héraultais. Pourquoi avoir fait le
choix d’un Webmagazine ?
Nous avons opté pour un Webmagazine
en 2006 pour plusieurs raisons. D’abord,
nous nous sommes rendus compte que les
méthodes de consommation d'informations
chez les citoyens changent : de plus en plus
de personnes veulent de l'information
réactive.
Ensuite, le magazine en ligne permet plus
d’interactivité puisque les citoyens peuvent
publier eux-mêmes les événements, les
photos prises sur le territoire, participer à
des débats etc. D’ailleurs on compte
aujourd’hui 60.000 visiteurs par mois en
moyenne.
Enfin, les collectivités ont actuellement des
soucis de financement. Passer au
numérique nous permet de maintenir un
bon niveau d'information à des coûts et
impacts écologiques moindres.
Donc vous avez complètement supprimé le
papier ?
Non, pas du tout, nous sommes passés de
400.000 à 100.000 exemplaires. Nous
sommes dans une phase de transition et
beaucoup de personnes sont encore
attachées au format papier, notamment
dans les milieux ruraux. Nous distribuons
donc le mensuel papier uniquement aux
abonnés et dans les lieux publics comme la
gare, les mairies, etc. Cela nous permet
d’éviter le gaspillage et d’envoyer le
magazine uniquement aux personnes
intéressées.
Votre objectif est-il de tendre progres-
sivement vers le « Tout-numérique » ?
Pas vraiment, parce qu’il y’a encore un
public pour le papier, mais les coupes
budgétaires imposées aux institutions font
qu’à mon avis le support papier sera
fortement revisité : la pagination qui
change, la périodicité qui va être plus
étendue etc.
En tout cas, si on cherche à faire des
économies, le support papier va devoir y
participer.
Ce nouveau concept ne risquait-il pas de
vous faire perdre des lecteurs ?
Nous avions consacré un magazine à
l’explication du nouveau concept, puis un
dernier magazine publicitaire avec une
lettre T pour les personnes qui souhaitaient
s'abonner. La diffusion était complétée par
une campagne d’affichage, une campagne
presse, etc.
Ensuite, nous achetons régulièrement un
listing à La Poste qui recense tous les
nouveaux arrivants (12.000 chaque année
dans l'Hérault) auxquels nous envoyons un
premier magazine papier expliquant le
concept.
Y a-t-il eu des changements dans l'organi-
sation du travail au sein du service presse ?
Oui, mais il n’a pas été question de faire
deux rédactions. Les journalistes qui
travaillent habituellement sur le papier ont
tous eu une formation pour faire de
l’information en ligne et la publier.
Nous sommes maintenant des journalistes
bi-média.
Il nous reste toutefois du chemin à faire
puisque le numérique est une grande
famille. Je pense notamment aux médias
sociaux, applications etc.
Mais des questions se posent notamment
sur la posture d’une institution à travers ces
plate-formes et quel type de contenu sera
pertinent à diffuser. Il nous faudra donc un
profil de Community manager.
21. Vers un monde sans papier
19
C’est démultiplier
les compétences et donc
les contenus. En effet,
il faut qu’un journaliste
aujourd’hui sache faire
du Print, du Web et du
multimédia. L’Agglorieuse
à Montpellier par exemple
innove en mettant en place
une Web TV avec du
contenu vidéo.
Effectifs des journalistes
en baisse pour la première
fois depuis la création
de la carte de presse
en 1935, ils passent
de 37.140 en 2012, à
36.907 en 2013. Leur
répartition dans la presse
écrite évolue de 72,6% à
66,4% entre 2000 et 2013,
soit une baisse de -6,3
(nombre de points).
Mariannes & Observatoire
des métiers de la presse
Le salaire d’un pigiste
passe de 1863 € à 1605 €
entre 2000 et 2013, soit
une baisse de -13,8%.
Et les CDI diminuent en
passant de 77,5 % à 74,3 %
entre l’année 2000
et 2013. Un constat qui
dénonce la précarisation
de la profession.
CCIJP / Observatoire
des métiers de la presse
Le Web a aussi ses limites.
La publicité Internet
rapporte 100 fois moins
que la publicité papier.
En effet, si on trouve
environ 50 publicités
dans un Midi Libre, c’est
parce qu’effectivement
le support reste rentable.
La presse locale innove dans le numérique
malgré les difficultés que peut rencontrer le
métier. C’est le « Big Bang » de l’info,
assure Tristan Cuche, responsable de
publication du journal l’Agglorieuse à
Montpellier.
Avènements des réseaux sociaux, médias
de plus en plus intuitifs, toujours plus
d’informations, toujours plus rapides…
Comment les journalistes s’adaptent à cette
Révolution de la presse écrite ?
Diversification des contenus, photos de
meilleure qualité, pré-enquêtes plus
poussées, les supports se déclinent, et tout
est retweeté dans la seconde.
« La rapidité des réseaux sociaux n’est pas
appréciée par tous, le travail d’écriture
n’est plus le même », dixit Leslie
Anagnostopoulos, ancienne journaliste à La
Gazette.
Pour elle, « il faut un début et une fin dans
un papier. On ne prend pas de recul, on ne
cherche plus à comprendre ». Tristan Cuche
affirme de son côté que « le métier n’a pas
changé, il est déstructuré, mais il faut
toujours aller voir des gens et être en prise
avec la réalité ».
De son côté, Mia Romero, ancienne
correspondante de Paris Match à Midi Libre,
confirme que « ce n’est plus le même
métier, plus la même ambiance et que le
métier s’est un peu « fonctionnarisé » ».
L’apparition des nouvelles technologies a
impacté le modèle économique de la
presse. Les grosses structures n’ont plus le
monopole.
Ceux qui quittent le journalisme
D’après notre enquête, les journalistes font ce métier pour l’exercer sur le terrain,
avoir un avis critique et chercher à comprendre les choses en prenant le temps
d’écrire.
Avec Internet, le métier change, évolue, sans compter la baisse des salaires et la
précarité de l’emploi.
LLa
malgmalg
« C’est une révolution car on n’aurait jamais
pu penser que Midi Libre ou Libération
iraient très mal », affirme Mia Romero. Les
agences de presse doivent faire preuve
d’innovation pour continuer d’exister.
Cette réalité économique amène une
certaine pression sur les journalistes
comme le raconte Julie Sala-Décot. « J’ai fait
valoir mon droit de retrait dans un mensuel
plutôt que de faire relire mes articles par le
service commercial ».
Sur le registre des contraintes de ces
nouveaux changements, Leslie Anagno-
stopoulos affirme que les sources sont trop
rapidement vérifiées : « Nous n’avons plus
le temps, ça va trop vite ».
Auparavant, le carnet d’adresses était l’outil
essentiel, mais aujourd’hui, Internet devient
l’outil incontournable. Les journalistes n’ont
plus de liens avec les « petites gens », et ne
sont en contact qu’avec les communicants
et les politiques comme le dit J. Salat-Décot.
« Si être journaliste c’est de régurgiter des
condensés de dossiers de presse, sans être
sur le terrain, autant donc être directement
communicant, créer l’information et être la
source », toujours à en croire Julie Sala-
Décot. C’est la raison pour laquelle, tant de
journalistes basculent dans le monde de la
communication.
Rédaction - Émilie Prou
LES NOUVELLES STRATEGIES D’INFORMATION
L'Agglorieuse
Il y a désormais
deux processus d’édition :
le papier & le Web
Selon Tristan Cuche
22. LES NOUVELLES STRATEGIES D’INFORMATION
Lorsque les intérêts
du lectorat se dégradent :
People, télé-réalité
ou encore sports, une
nouvelle hiérarchisation
de l’information se met
en place. Suivre ce mouve-
ment ou rester classique,
voici le dilemme auquel
font face les rédacteurs
et journalistes aujourd’hui.
Le Monde, Le nouvel obs,
L’équipe… De nombreux
journaux ont pris le train
en marche et tentent
d’apporter une valeur
ajoutée différente en
fonction du support.
Que font les autres ?
Hormis réécrire sur
le Web leurs articles
papiers sans profiter des
outils technologiques ?
Les sites ou blogs
de fact-checking
se développent et créent
le buzz. Les décodeurs,
Factcheck.eu, nombreux
sont les sites qui utilisent
cette tendance pour angler
leur sujet. Une nouvelle
tendance de qualité
exploitant parfaitement
les ressources et les outils
du Web.
« Si vous trouvez que
l'éducation coûte cher,
essayez l'ignorance ».
Cette phrase d’Abraham
Lincoln face aux
Américains critiquant
les dépenses publiques
s’applique à la presse
d’aujourd’hui. Pas d’argent,
pas de qualité…
20
Presse de qualité :
lutte entre Web et Print
V
Rédaction - Gabriel Cabrol
Réalisation Camille Chavoutier
La presse écrite, proximité et profondeur au
rendez-vous
« Vite, une info tombe, j’ai devant moi
quelques heures pour écrire mon article ».
Cette phrase prononcée par les rédacteurs
du magazine Echos de Pros, c’est le
quotidien des journalistes de presse écrite.
De cette information brute, il doit en
ressortir un article de qualité avant le
bouclage du journal. Un délai court, mais
suffisant pour offrir un certain temps de
réflexion permettant de collecter, analyser,
synthétiser des informations tout en
vérifiant leurs sources. Ceci en comptant
sur un maillage très fin du territoire qui
permet en donnant un angle unique au
sujet. C'est-à-dire choisir un point de vue
original d’après le caractère et la
personnalité du journaliste et de son
journal. C’est dans ce processus que
s’ajoute toute la valeur ajoutée qu’il est
impossible de trouver dans une brève ou un
flash info.
La presse numérique, voyage de l’info à
chaud au contenu haut de gamme
D’un point de vue journalistique, le Web
dispose de plusieurs facettes. D’une part,
les journalistes Web se vantent d’une
souplesse et d’une réactivité imbattable,
c’est un fait. Mais cette actualité à chaud,
relayée par les réseaux sociaux et les flash
infos, donne uniquement qu’une impression
d’abondance de l’information totalement
superficielle.
D’autre part, en cherchant plus loin, le Web
regorge de pure-players et de blogs
d’informations se démarquant par une
créativité et une originalité exceptionnelle.
En effet, de plus en plus de journalistes Web
s’imposent à travers une stratégie de
valorisation de l’information exclusive au
Web. Ceci à travers des outils et contenus
spécifiques tels que le fact-checking, le
data-journalisme, le Web-documentaire ou
même les serious games. Ces nouvelles
formes d’informations offrent un contenu de
qualité unique en jouant sur leur coté
tendance et séduisant.
La presse s’adapte pour survivre
Au-delà des différences de contenus et de
forme entre les journaux, la qualité de
l’information reste influencée par une
donnée importante : l’argent. La crise de la
presse impose aux journalistes d’écrire plus
rapidement avec moins de moyens.
Malheureusement, la qualité a un prix. Sans
compter qu’un journal vit grâce aux
publicités ou aux subventions. Cela peut
donner lieu à des conflits d’intérêts et des
rapports de force parfois inégaux pouvant
donner lieu à une censure ou influence.
Sans oublier qu’un journal à besoin pour
survivre que ses articles soient lus. En effet,
les journalistes tentent d’intéresser et
attirer les lecteurs quitte à bouleverser la
hiérarchie de l’information. La domination
des réseaux sociaux propulse au-devant de
l’actualité des sujets légers qui sont par la
suite repris par les journalistes. Jusqu’où ira
cette spirale infernale ?
Les différences de traitement
de l’information
NEWSLOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
No.
11:12:2014
LOREM IPSUM
DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREMT
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMETLOREM
IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMETLOREM
IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM
IPSUM DOLOR
SIT AMET LOREM
IPSUM DOLOR
SIT
AMETLOREM
IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT
AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT
AMET
LOREM IPSUM
DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
LOREM IPSUM DOLOR SIT AMET
UM
LO
LOREM IPSUM D
LOREM IPSUM DOLOR SIT AM
OREM IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IP
DOLOR SIT AMET
LOREM IP
LOREM
IPSUM DOLO
AMETLOREM
IPSUM DOLOR SIT AM
M IPSUM DOLOR SIT AMET LOREM IP
LO
D
NEWSLOREM
IPSUM
DOLOR SIT AMET
No.
11:12:20
14
LOREM IPSUMDOLOR
SIT AMETLOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREMT
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMETLOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMETLOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT
AMETLOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT
AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT
AMET
LOREM IPSUMDOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
LOREM
IPSUM
DOLOR
SIT AMET
INFORMATION
BRUTE
Analyses de fond
Interviews
Recherches
documentaires
Breve
Encadré
Retweet Brèves
Fast-checking
#Tendances
Web-documentaire
Serious games
M ots clés
Traitement des
données
Tra
23. Comprendre le journalisme citoyen
en trois minutes
21
Jaimepaslactu.com fait
travailler bénévolement
une quinzaine
de journalistes formés
au journalisme et
au multimédia.
Des personnes de qualité
que jaimepaslactu.com
juge inexploitées par
les médias traditionnels.
Medialab Session
Incubateur pour start-
ups de l’information,
la Medialab s’installe
le temps d’un week-end
en France et ailleurs.
Présente au BIC de
Montpellier le 10/10/2014,
l’opération brainstorming
a mobilisé une centaine
de professionnels et fait
émerger les start-ups
locales de l'information.
Thierry Watine, profes-
seur du Département
d’Information et
de Communication
de l’Université Laval
(Québec) a écrit en 2003
« Le modèle du journalisme
public », à retrouver dans
le n°35 de la revue Hermès
(pp. 231-239).
Signifiant littéralement
« les actualités où vous
témoignez », l’agence
de presse Yahoo News
demande aux internautes
du contenu qu’elle choisit
ensuite d’utiliser ou non.
Elle définit sa plateforme
comme du journalisme
citoyen… qu’elle met
en scène.
La multiplication des sources et des
médias casse incontestablement les codes
des circuits traditionnels de l’information.
En découlent d’interminables débats sur la
relation qu’entretiennent les bloggeurs et
les journalistes avec l’information.
Le journalisme citoyen, ça n’existe pas
Pour François Perea, c’est clair :
le journalisme citoyen, ça n’existe pas.
Ce maître de conférences de l’Université
Paul-Valéry de Montpellier est formel : on a
affaire là un problème de terminologie.
C’est que l’expression est particulièrement
ambigüe. Peut-on appeler « journaliste », un
internaute qui pratique l’autopublication ?
Tout dépend de comment il traite
l’information.
Il développe : « Il ne suffit pas de prendre la
parole pour être journaliste. Le journaliste,
c’est celui qui va chercher l’information sur
le terrain, qui enquête, qui se distancie,
recoupe ses sources et vérifie ses
données ». Cela nécessite, selon lui, une
fonction et une formation.
Peut-on être journaliste, investiguer, sans
carte de presse ? Assurément, répond
Sébastien Sigaut, le fondateur du site Web
multimédia jaimepaslactu.com, primé 3ème
de la Medialab Session, qui a eu lieu à
Montpellier le 10 octobre dernier.
Les rédacteurs du site, anciens étudiants
niçois de l’école privée de journalisme
« Nouvelles », n’en démordent pas : « Nous
sommes journalistes puisque notre travail
est celui du journaliste. Nos convictions
également, même si, officiellement, aux
yeux de la société et de la commission des
journalistes, nous ne le sommes pas sans
carte de presse ».
LLL
médimédi
On est journaliste… ou on ne l’est pas
Pour François Perea comme pour Sébastien
Sigaut, n’est pas journaliste le citoyen qui
se prend en photo les pieds dans l’eau lors
des dernières pluies diluviennes dans
l’Hérault, celui qui filme avec son téléphone
les incidents du métro de Londres (on se
souvient de l’été 2005), ou encore celui qui
immortalise les images d’un tsunami de
Thaïlande, où il passe ses vacances, et qui
envoie gratuitement son contenu à une
chaîne d’information (en échange d’y voir
apparaître son nom !).
Mais alors, quelle place pour le citoyen ?
« Le citoyen, il discute, débat et créé la cité.
Et pour assurer le bon fonctionnement de
notre démocratie, il faut le différencier du
journaliste » postule le maître de confé-
rence montpelliérain.
Aujourd’hui, grâce aux nouvelles techno-
logies, tout citoyen peut être un émetteur,
qui participe, décide, solutionne, agit…
Selon le professeur Thierry Watine, « tout
l’enjeu est de constituer des forums et
arènes de débat pour rétablir les liens avec
le public ». Le doctorant de l’Université de
Rennes I Olivier Tredan fait remarquer que
des plateformes de blogs de presse
fleurissent sur la Toile, telles que You
Witness News, née d’un partenariat entre
Yahoo et l’agence de presse Reuters : les
internautes sont invités à mettre en ligne
des photos et vidéos, reprises ensuite par
l’agence de presse pour un traitement
journalistique.
En somme, intégrer la parole du citoyen ne
lui confère pas un rôle de journaliste.
Craindre sa participation est donc inutile.
La réfléchir par contre…
Rédaction - Célia Paris
27. Le papier, cet éternel lien social
ECHOS de PROS #12
NNNombreux sont ceux qui prédisent la
disparition pure et simple du papier
dans l'univers des médias, à court ou
long terme, faute de pouvoir concur-
rencer son rival Internet.
Et pourtant... aujourd'hui encore, de
jeunes médias prefèrent sa compa-
gnie à celle du Web. Les journaux
papiers, toujours présents dans les
kiosques et les cafés, montrent bien à
quel point le peuple français y reste
attaché. Le papier est loin d'avoir dit
son dernier mot !
Dossiers
La confiance absolue
Le choix délibéré du papier
Le papier ne disparaîtra jamais !
LE PAPIER, CET ETERNEL LIEN SOCIAL