MURS à VENDRE d'un restaurant sur Rocquencourt (78 )ABLE ENTREPRISES
MURS LOUES A VENDRE d’un petit Immeuble en copropriété ( 3 lots ) à usage commercial ( exploité en Bar – restauration – Snack – Pizza ), d’une surface développée globale de 100 m2 environ, construit sur 3 niveaux ( R + 2 + sous-sol ) de 34 m2 environ chacun, avec vitrine. Il est situé à proximité immédiate du Triangle de Rocquencourt et du Centre Commercial PARLY II - Axe TRES passant. Travaux à prévoir de 10/ 15.000 € TTC environ.
Il se compose :
au RC : bar équipé, salle de restaurant de 15 couverts, arrière-cuisine avec four à pizza.
Au 1er étage : seconde salle de 10/15 couverts, cuisine professionnelle, WC indépendant avec lavabo
2ème étage : 2 chambres, SDD ( douche, lavabo, WC )
au S/SOL : cave abritant les futs à bière
CONDITIONS LOCATIVES : Bail commercial neuf du 25 Janvier 2014 (Fin 24 Janvier 2023 ) - LOYER : 14.534 € / HT / HC / An + toutes charges d’occupation, d’entretien, taxes foncières et autres, hors articles 605 et 606 CC ( clos et couvert ) et honoraires syndic.
PRIX DE VENTE : 175.000 € - Dossier sur demande – contact : 06 80 23 71 75 – E-Mail : contact@able-entreprises.com -
El equipo 3 está desarrollando un letrero con mensajes basado en un registro de corrimiento universal como su primer proyecto de computo integrado. Han diseñado una matriz LED de 8x8 y programado un microcontrolador PIC16F84A para mostrar mensajes. Han simulado y programado el proyecto en ISIS y ahora están en la fase de armado del circuito. Continuarán probando la funcionalidad del circuito armado y buscando mejoras.
El documento explica cómo resolver una multiplicación de dos cifras por medio del algoritmo ABN. La operación es 4.728 x 23. El procedimiento implica descomponer los números, multiplicar unidades, decenas y centenas por el multiplicador colocando los resultados en una cuadrícula y sumando parcialmente.
Justine Marshall wants to build her personal brand to gain marketing skills and a job in publishing. She has a wide range of experiences across industries and strong people and writing skills. Through her personal brand on social media like Twitter and RSS feeds, she aims to communicate these strengths to potential employers and companies to generate interest and job opportunities.
MURS à VENDRE d'un restaurant sur Rocquencourt (78 )ABLE ENTREPRISES
MURS LOUES A VENDRE d’un petit Immeuble en copropriété ( 3 lots ) à usage commercial ( exploité en Bar – restauration – Snack – Pizza ), d’une surface développée globale de 100 m2 environ, construit sur 3 niveaux ( R + 2 + sous-sol ) de 34 m2 environ chacun, avec vitrine. Il est situé à proximité immédiate du Triangle de Rocquencourt et du Centre Commercial PARLY II - Axe TRES passant. Travaux à prévoir de 10/ 15.000 € TTC environ.
Il se compose :
au RC : bar équipé, salle de restaurant de 15 couverts, arrière-cuisine avec four à pizza.
Au 1er étage : seconde salle de 10/15 couverts, cuisine professionnelle, WC indépendant avec lavabo
2ème étage : 2 chambres, SDD ( douche, lavabo, WC )
au S/SOL : cave abritant les futs à bière
CONDITIONS LOCATIVES : Bail commercial neuf du 25 Janvier 2014 (Fin 24 Janvier 2023 ) - LOYER : 14.534 € / HT / HC / An + toutes charges d’occupation, d’entretien, taxes foncières et autres, hors articles 605 et 606 CC ( clos et couvert ) et honoraires syndic.
PRIX DE VENTE : 175.000 € - Dossier sur demande – contact : 06 80 23 71 75 – E-Mail : contact@able-entreprises.com -
El equipo 3 está desarrollando un letrero con mensajes basado en un registro de corrimiento universal como su primer proyecto de computo integrado. Han diseñado una matriz LED de 8x8 y programado un microcontrolador PIC16F84A para mostrar mensajes. Han simulado y programado el proyecto en ISIS y ahora están en la fase de armado del circuito. Continuarán probando la funcionalidad del circuito armado y buscando mejoras.
El documento explica cómo resolver una multiplicación de dos cifras por medio del algoritmo ABN. La operación es 4.728 x 23. El procedimiento implica descomponer los números, multiplicar unidades, decenas y centenas por el multiplicador colocando los resultados en una cuadrícula y sumando parcialmente.
Justine Marshall wants to build her personal brand to gain marketing skills and a job in publishing. She has a wide range of experiences across industries and strong people and writing skills. Through her personal brand on social media like Twitter and RSS feeds, she aims to communicate these strengths to potential employers and companies to generate interest and job opportunities.
The document discusses static and dynamic accounts of abstraction in the context of Neologicism. The static account faces a dilemma between "Scylla" of being inconsistent and "Charybdis" of being unable to recover all of set theory. The dynamic account avoids this dilemma by allowing the universe to increase during iterative abstraction, rendering previously "bad" abstraction principles consistent. It interprets set theory given enough iterations and provides an account of mathematical modality to describe abstraction.
The document advertises the personal chef services of MyChefMaggie, who specializes in preparing seafood dishes. It provides contact information and pictures of sample seafood dishes like almond crusted sole, cognac shrimp, and halibut gremolatta that Maggie can prepare. The chef invites customers to request their favorite dish if it is not pictured and provides a phone number to book an appointment.
Franchise Operators & Retailers Custom Proximity Ad NetworkCarla Bahadur
This slideshow is about how PublicitiBeacon.com can help attract existing customers of retailers based on their location to an outlet using our iBeacon advertising platform.
This document appears to be a portfolio of photographs taken by Christian Ngo in 2015. It includes 10 photos across various subjects like cars, people, and classes in both black and white and color. The photos provide examples of Christian Ngo's professional photography work from 2015 covering a variety of subjects and styles.
Alaska is a state located in the northwest extremity of North America, bordering Canada and Russia. It became the 49th state of the United States in 1959 after being purchased from Russia in 1867. The document does not provide much additional context or information about Alaska beyond its location and history of becoming a US state.
Dans un contexte de crise économique et sociale qui frappe plus durement et plus durablement les Outre-mer que la métropole, toutes les pistes qui créent de l’activité et participent à la cohésion sociale doivent être exploitées.
À ce titre, la microfinance qui regroupe microcrédit, microassurance, finance solidaire et finance participative peut permettre l’insertion économique et sociale de personnes exclues de services bancaires, et en particulier d’accès au crédit. Cette insertion signifie concrètement sortir du chômage, ne plus être tributaire de minima sociaux et créer son emploi en finançant une activité de commerce, de services ou dans le secteur agricole.
This document lists 6 professions that begin with the letters T, D, N, P, F and P. While the specific professions are not spelled out, the document provides an overview of career fields related to spelling and learning.
Correspondances discussions - réflexions diverses à partir d'une situation ...Réseau Pro Santé
Je suis perdue. Médecin généraliste depuis 1999, j’ai débuté par deux ans de remplacements de « vacances » en région parisienne. Un départ en province m’a fait renouer très vite avec le milieu hospitalier : d’abord assistante généraliste durant 5 ans dans un petit hôpital de campagne, je passais PH à temps partiel dans un GHR après une petite excursion en PMI. J’en profite pour me former (DIU gynécologie, DIU tabacologie, conseil en phytothérapie...) et accumuler les expériences : pneumologie, cardiologie, pédiatrie, psychiatrie, adolescents…
Jusque-là, tout va bien !
Mon mari (qui n’est pas médecin) est depuis janvier muté en région parisienne, à Meudon plus précisément. Très bien, pas de soucis ! Nous avons trois enfants, ils seront heureux et nous aussi !
Je cherche donc un poste... Et là, c’est le vide...
Les seuls postes disponibles en tant que praticien hospitalier sont des postes soit en grande banlieue (à plus d’une heure de Meudon), soit des postes de PH spécialistes (ou assistants), soit des postes en Seine-St Denis.
Pour les généralistes, il reste (sans même être sûre que le statut de PH soit respecté) : gériatres/ coordinateurs/SSR, médecin DIM, médecin du travail, urgences, médecine territoriale.
reseauprosante.fr
Interview Le feuilleton de phar-e - Les missions des PHRéseau Pro Santé
Revue SNPHARE 74, mars 2016
Chaque médecin a une définition de l’exercice en hôpital public qui lui est propre. les différentes générations se rejoignent-elles toujours sur les fondements de ce métier et sur l’avenir de celui-ci ? Pour le savoir, nous avons interrogé trois jeunes médecins, sébastien Mirek (chef de clinique au cHu de dijon, vice-président de l’isncca ), et deux PH nouvellement nommés sandra ollier (cHu d’avignon) et ar (PH resté anonyme).
PHAR-E : Quelle « représentation » avez-vous d’un médecin de l’hôpital public ? Quelles sont ses missions ?
Sébastien Mirek : Le médecin de l’hôpital public a plusieurs missions. La première est une mission de soins et de prise en charge des patients quelque soit la spécialité du médecin. En anesthésie-réanimation nous avons une spécialité polyvalente mais toutes les spécialités doivent prendre en charge leurs patients. Et puis une mission d’implication dans sa structure au sein de son établissement, par plusieurs valences. Des valences administratives, syndicales mais également via la recherche, l’enseignement et la pédagogie. C’est ainsi que je vois le médecin au sein de l’hôpital public.
Sandra Ollier : La mission principale du médecin de l’hôpital public est de soigner tous les patients qui se présentent à lui sans aucune distinction. C’est d’ailleurs pour embrasser cette vision du métier, qui paraît un peu « utopique » aujourd’hui, que l’on choisit de s’engager dans cette voie à mon avis. Se dire que l’on va pouvoir soigner tout le monde sans avoir à demander une carte vitale ou sans avoir à connaître les ressources du patient par exemple. Par ailleurs, les missions d’enseignement et de formation sont également très importantes et elles complètent la mission de soins qui demeure la mission principale.
http://www.reseauprosante.fr/
Revue "What's Up Doc" n°25 - Mars Avril 2016
Julie
32 ans, chef de clinique en chirurgie viscérale, hôpital Henri-Mondor, Créteil
Propos recueillis par Laurent Teuma • Photo : Lisa Camus
Quel est ton premier souvenir d’interne ?
Dure expérience ! J’ai quitté ma Normandie natale pour la Capitale. Changement radical de ville, de repères, ta famille et tes amis ne sont plus à tes côtés, tu habites à 45 minutes de ton lieu de travail ; tu prends le périph’ le matin : il fait nuit, tu rentres le soir : il fait nuit… J’étais à l’hôpital Antoine-Béclère à Clamart, et ça a été dur de passer d’un statut d’externe où tu n’as aucune responsabilité à un poste où tu dois tout gérer en même temps : les patients du service, les blocs, les gardes et sans repos compensateur… C’était un premier semestre éprouvant, mais j’étais contente quand même, grâce à une très bonne entente entre co-internes. On s’est beaucoup soutenu les uns les autres.
Ton premier souvenir de garde ?
On faisait des gardes de chirurgie générale donc viscérale et orthopédie. On nous appelait aux urgences pour des avis en tout genre. Les orthopédistes d’astreinte n’étaient pas très « dispo », et au final, tu te débrouilles ! Par contre, j’avais déjà appris quand j’étais externe à dormir quand je pouvais, à me recoucher entre deux patients et à ne pas avoir peur de ne pas entendre le téléphone sonner.
Qu’est-ce que tu as préféré pendant ton internat ?
D’être en permanence sollicitée pour tout, autant dans le travail que dans la vie privée. De ne jamais avoir de temps mort. J’avais toujours quelque chose à faire, autant à l’hôpital qu’en dehors : un DU, partir en week-end à droite à gauche, une sortie, un resto. Cette vie très remplie d’interne !
Qu’est-ce qui t’a choquée ?
Le caractère lunatique de certains de mes supérieurs ! C’était extrêmement pénible d’être un jour attaquée gratuitement et le lendemain adorée. Une autre chose : on ne te dit jamais ou rarement merci pendant l’internat, alors que tu t’arraches pour tes patients, et que tu essaies de bien faire ton job. Il y a des moments difficiles parce que la fatigue aidant, tu deviens à fleur de peau, et la moindre réflexion désagréable ne passe plus…
...
reseauprosante.fr
Qui sommes nous ?
Le SNJMG a été créé en 1991 pour faire le pendant aux syndicats d’internes de spécialités. C’est un syndicat national et unitaire, c’est-àdire que chaque personne adhère directement au SNJMG, à la différence des intersyndicats qui nécessitent de passer par une association régionale qui, elle, adhère secondairement à un syndicat national.
Il est indépendant financièrement de l’industrie pharmaceutique et est apolitique.
Il regroupe dans une même structure des internes, des remplaçants et de jeunes installés (les 10 premières années d’installation salariale ou libérale) en médecine générale.
Pour vous !
Le SNJMG a plusieurs rôles :
Le plus visible de tous est bien sûr de vous aider personnellement : en vous épaulant lorsque vous rencontrez des difficultés en stage ou avec l’administration de vos facultés ; en vous informant sur vos droits lors de vos démarches administratives (ex : grossesse en fin d’internat) ; en répondant à vos questions (ex : démarches pour s’installer, pour remplacer). Et comme nos adhérents sont à des moments différents de leur vie professionnelle, leur expérience personnelle est une source d’enrichissement collectif.
Le second est de vous représenter auprès des différentes instances intervenant dans vos études : lors des commissions d’agrément des services hospitaliers et des commissions de mise au choix des terrains de stage à l’ARS ; lors des discussions avec la coordination du DES de Médecine Générale.
reseauprosante.fr
Revue "Pharmacien demain" n°27 Octobre 2016
Interview de Virginie BERTHAT, Maître de Conférences EA4475 "Pharmacologie de la Circulation Cérébrale".
Pouvez-vous nous indiquer quel a été votre parcours universitaire ?
Au lycée, j’étais attirée par la recherche médicale et j’avais envie d’en faire mon métier. J’ai suivi des études de Pharmacie, dont les 4 premières années à Dijon. Cependant, il n’existait pas de spécialisations au sein de la filière Industrie ni de DEA de Pharmacologie (Master 2 actuellement). J’ai donc décidé de venir à Paris.
Ayant tout de suite « accroché » avec la pharmacologie pendant mes études et souhaitant travailler sur le cerveau (peu importait la pathologie), j’ai été ravie de constater qu’au sein de la Faculté de Pharmacie de Paris Descartes un laboratoire travaillait sur l’ischémie cérébrale. J’ai contacté le Pr Plotkine afin de réaliser un stage dans son laboratoire, et par la même occasion j’ai demandé le transfert de faculté. J’ai ainsi poursuivi mes études (5e et 6e année) à Paris en Filière Industrie. En 6e année j’ai suivi le DEA de Pharmacologie. A l’issue du DEA et grâce à mon classement, j’ai obtenu une bourse du Ministère de l’Enseignement et de la Recherche afin de réaliser une thèse. (...)
Interview du Dr Salvatore CISTERNINO, MCU-PH -Université Paris Descartes et APHP
Quel a été votre cursus universitaire ?
Après l’obtention de mon baccalauréat en 1990 j’ai entrepris des études de pharmacie à la faculté de Paris Descartes. Etant déjà intéressé par le domaine de la neurologie et de la psychiatrie j’ai orienté mon Master 1 en pharmacologie des psychotropes. J’ai souhaité poursuivre en qualité de pharmacien clinicien. Au cours de mon internat en pharmacie hospitalière j’ai également effectué un Master 2 de toxicologie sur un sujet orienté sur les mécanismes de protection cérébrale. J’ai eu l’opportunité de pouvoir continuer ce sujet de M2 par une thèse d’université dans le domaine de la pharmacocinétique cérébrale en parallèle de mon cursus d’interne en pharmacie hospitalière. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
The document discusses static and dynamic accounts of abstraction in the context of Neologicism. The static account faces a dilemma between "Scylla" of being inconsistent and "Charybdis" of being unable to recover all of set theory. The dynamic account avoids this dilemma by allowing the universe to increase during iterative abstraction, rendering previously "bad" abstraction principles consistent. It interprets set theory given enough iterations and provides an account of mathematical modality to describe abstraction.
The document advertises the personal chef services of MyChefMaggie, who specializes in preparing seafood dishes. It provides contact information and pictures of sample seafood dishes like almond crusted sole, cognac shrimp, and halibut gremolatta that Maggie can prepare. The chef invites customers to request their favorite dish if it is not pictured and provides a phone number to book an appointment.
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This document appears to be a portfolio of photographs taken by Christian Ngo in 2015. It includes 10 photos across various subjects like cars, people, and classes in both black and white and color. The photos provide examples of Christian Ngo's professional photography work from 2015 covering a variety of subjects and styles.
Alaska is a state located in the northwest extremity of North America, bordering Canada and Russia. It became the 49th state of the United States in 1959 after being purchased from Russia in 1867. The document does not provide much additional context or information about Alaska beyond its location and history of becoming a US state.
Dans un contexte de crise économique et sociale qui frappe plus durement et plus durablement les Outre-mer que la métropole, toutes les pistes qui créent de l’activité et participent à la cohésion sociale doivent être exploitées.
À ce titre, la microfinance qui regroupe microcrédit, microassurance, finance solidaire et finance participative peut permettre l’insertion économique et sociale de personnes exclues de services bancaires, et en particulier d’accès au crédit. Cette insertion signifie concrètement sortir du chômage, ne plus être tributaire de minima sociaux et créer son emploi en finançant une activité de commerce, de services ou dans le secteur agricole.
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Correspondances discussions - réflexions diverses à partir d'une situation ...Réseau Pro Santé
Je suis perdue. Médecin généraliste depuis 1999, j’ai débuté par deux ans de remplacements de « vacances » en région parisienne. Un départ en province m’a fait renouer très vite avec le milieu hospitalier : d’abord assistante généraliste durant 5 ans dans un petit hôpital de campagne, je passais PH à temps partiel dans un GHR après une petite excursion en PMI. J’en profite pour me former (DIU gynécologie, DIU tabacologie, conseil en phytothérapie...) et accumuler les expériences : pneumologie, cardiologie, pédiatrie, psychiatrie, adolescents…
Jusque-là, tout va bien !
Mon mari (qui n’est pas médecin) est depuis janvier muté en région parisienne, à Meudon plus précisément. Très bien, pas de soucis ! Nous avons trois enfants, ils seront heureux et nous aussi !
Je cherche donc un poste... Et là, c’est le vide...
Les seuls postes disponibles en tant que praticien hospitalier sont des postes soit en grande banlieue (à plus d’une heure de Meudon), soit des postes de PH spécialistes (ou assistants), soit des postes en Seine-St Denis.
Pour les généralistes, il reste (sans même être sûre que le statut de PH soit respecté) : gériatres/ coordinateurs/SSR, médecin DIM, médecin du travail, urgences, médecine territoriale.
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Interview Le feuilleton de phar-e - Les missions des PHRéseau Pro Santé
Revue SNPHARE 74, mars 2016
Chaque médecin a une définition de l’exercice en hôpital public qui lui est propre. les différentes générations se rejoignent-elles toujours sur les fondements de ce métier et sur l’avenir de celui-ci ? Pour le savoir, nous avons interrogé trois jeunes médecins, sébastien Mirek (chef de clinique au cHu de dijon, vice-président de l’isncca ), et deux PH nouvellement nommés sandra ollier (cHu d’avignon) et ar (PH resté anonyme).
PHAR-E : Quelle « représentation » avez-vous d’un médecin de l’hôpital public ? Quelles sont ses missions ?
Sébastien Mirek : Le médecin de l’hôpital public a plusieurs missions. La première est une mission de soins et de prise en charge des patients quelque soit la spécialité du médecin. En anesthésie-réanimation nous avons une spécialité polyvalente mais toutes les spécialités doivent prendre en charge leurs patients. Et puis une mission d’implication dans sa structure au sein de son établissement, par plusieurs valences. Des valences administratives, syndicales mais également via la recherche, l’enseignement et la pédagogie. C’est ainsi que je vois le médecin au sein de l’hôpital public.
Sandra Ollier : La mission principale du médecin de l’hôpital public est de soigner tous les patients qui se présentent à lui sans aucune distinction. C’est d’ailleurs pour embrasser cette vision du métier, qui paraît un peu « utopique » aujourd’hui, que l’on choisit de s’engager dans cette voie à mon avis. Se dire que l’on va pouvoir soigner tout le monde sans avoir à demander une carte vitale ou sans avoir à connaître les ressources du patient par exemple. Par ailleurs, les missions d’enseignement et de formation sont également très importantes et elles complètent la mission de soins qui demeure la mission principale.
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Julie
32 ans, chef de clinique en chirurgie viscérale, hôpital Henri-Mondor, Créteil
Propos recueillis par Laurent Teuma • Photo : Lisa Camus
Quel est ton premier souvenir d’interne ?
Dure expérience ! J’ai quitté ma Normandie natale pour la Capitale. Changement radical de ville, de repères, ta famille et tes amis ne sont plus à tes côtés, tu habites à 45 minutes de ton lieu de travail ; tu prends le périph’ le matin : il fait nuit, tu rentres le soir : il fait nuit… J’étais à l’hôpital Antoine-Béclère à Clamart, et ça a été dur de passer d’un statut d’externe où tu n’as aucune responsabilité à un poste où tu dois tout gérer en même temps : les patients du service, les blocs, les gardes et sans repos compensateur… C’était un premier semestre éprouvant, mais j’étais contente quand même, grâce à une très bonne entente entre co-internes. On s’est beaucoup soutenu les uns les autres.
Ton premier souvenir de garde ?
On faisait des gardes de chirurgie générale donc viscérale et orthopédie. On nous appelait aux urgences pour des avis en tout genre. Les orthopédistes d’astreinte n’étaient pas très « dispo », et au final, tu te débrouilles ! Par contre, j’avais déjà appris quand j’étais externe à dormir quand je pouvais, à me recoucher entre deux patients et à ne pas avoir peur de ne pas entendre le téléphone sonner.
Qu’est-ce que tu as préféré pendant ton internat ?
D’être en permanence sollicitée pour tout, autant dans le travail que dans la vie privée. De ne jamais avoir de temps mort. J’avais toujours quelque chose à faire, autant à l’hôpital qu’en dehors : un DU, partir en week-end à droite à gauche, une sortie, un resto. Cette vie très remplie d’interne !
Qu’est-ce qui t’a choquée ?
Le caractère lunatique de certains de mes supérieurs ! C’était extrêmement pénible d’être un jour attaquée gratuitement et le lendemain adorée. Une autre chose : on ne te dit jamais ou rarement merci pendant l’internat, alors que tu t’arraches pour tes patients, et que tu essaies de bien faire ton job. Il y a des moments difficiles parce que la fatigue aidant, tu deviens à fleur de peau, et la moindre réflexion désagréable ne passe plus…
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Qui sommes nous ?
Le SNJMG a été créé en 1991 pour faire le pendant aux syndicats d’internes de spécialités. C’est un syndicat national et unitaire, c’est-àdire que chaque personne adhère directement au SNJMG, à la différence des intersyndicats qui nécessitent de passer par une association régionale qui, elle, adhère secondairement à un syndicat national.
Il est indépendant financièrement de l’industrie pharmaceutique et est apolitique.
Il regroupe dans une même structure des internes, des remplaçants et de jeunes installés (les 10 premières années d’installation salariale ou libérale) en médecine générale.
Pour vous !
Le SNJMG a plusieurs rôles :
Le plus visible de tous est bien sûr de vous aider personnellement : en vous épaulant lorsque vous rencontrez des difficultés en stage ou avec l’administration de vos facultés ; en vous informant sur vos droits lors de vos démarches administratives (ex : grossesse en fin d’internat) ; en répondant à vos questions (ex : démarches pour s’installer, pour remplacer). Et comme nos adhérents sont à des moments différents de leur vie professionnelle, leur expérience personnelle est une source d’enrichissement collectif.
Le second est de vous représenter auprès des différentes instances intervenant dans vos études : lors des commissions d’agrément des services hospitaliers et des commissions de mise au choix des terrains de stage à l’ARS ; lors des discussions avec la coordination du DES de Médecine Générale.
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Interview de Virginie BERTHAT, Maître de Conférences EA4475 "Pharmacologie de la Circulation Cérébrale".
Pouvez-vous nous indiquer quel a été votre parcours universitaire ?
Au lycée, j’étais attirée par la recherche médicale et j’avais envie d’en faire mon métier. J’ai suivi des études de Pharmacie, dont les 4 premières années à Dijon. Cependant, il n’existait pas de spécialisations au sein de la filière Industrie ni de DEA de Pharmacologie (Master 2 actuellement). J’ai donc décidé de venir à Paris.
Ayant tout de suite « accroché » avec la pharmacologie pendant mes études et souhaitant travailler sur le cerveau (peu importait la pathologie), j’ai été ravie de constater qu’au sein de la Faculté de Pharmacie de Paris Descartes un laboratoire travaillait sur l’ischémie cérébrale. J’ai contacté le Pr Plotkine afin de réaliser un stage dans son laboratoire, et par la même occasion j’ai demandé le transfert de faculté. J’ai ainsi poursuivi mes études (5e et 6e année) à Paris en Filière Industrie. En 6e année j’ai suivi le DEA de Pharmacologie. A l’issue du DEA et grâce à mon classement, j’ai obtenu une bourse du Ministère de l’Enseignement et de la Recherche afin de réaliser une thèse. (...)
Interview du Dr Salvatore CISTERNINO, MCU-PH -Université Paris Descartes et APHP
Quel a été votre cursus universitaire ?
Après l’obtention de mon baccalauréat en 1990 j’ai entrepris des études de pharmacie à la faculté de Paris Descartes. Etant déjà intéressé par le domaine de la neurologie et de la psychiatrie j’ai orienté mon Master 1 en pharmacologie des psychotropes. J’ai souhaité poursuivre en qualité de pharmacien clinicien. Au cours de mon internat en pharmacie hospitalière j’ai également effectué un Master 2 de toxicologie sur un sujet orienté sur les mécanismes de protection cérébrale. J’ai eu l’opportunité de pouvoir continuer ce sujet de M2 par une thèse d’université dans le domaine de la pharmacocinétique cérébrale en parallèle de mon cursus d’interne en pharmacie hospitalière. (...)
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Revue « Le Psy Déchaîné » n°15 – AFFEP – Novembre 2015
Faisant suite à notre numéro spécial consacré aux missions de la psychiatrie d’aujourd’hui et de demain, nous sommes allés poursuivre notre chemin dans le monde de la psychiatrie légale.
Nous partons donc à la rencontre de Marion Azoulay, assistante spécialiste psychiatre à l’Unité pour Malades Difficiles (UMD) Henri Colin depuis un peu plus de deux ans. Elle a fait son externat et son internat à Paris, et elle a surtout fait partie du bureau de l’AFFEP pendant deux ans, comme trésorière puis comme vice-présidente. Enfin, elle a cofondé la revue du Psy Déchaîné avec le bureau de l’AFFEP en novembre 2010. Ce n’est donc pas sans émotions que nous sommes heureux de la relire dans ces pages. Un grand merci à elle !
1. Quels sont les différents modes d’exercice de la psychiatrie médicolégale aujourd’hui ?
Quand on pense à la psychiatrie médico-légale, on pense à tout ce qui est expertise. Il existe bien d’autres modes d’exercice, il y a les UMD où l’on prend soin des patients médico-légaux. On s’y occupe des patients qui ont commis des passages à l’acte criminels et des personnes placées sous mains de justice. On peut exercer en SMPR, en UHSA ou dans les établissements pénitentiaires où il existe des vacations de psychiatres lorsqu’il n’y a pas de SMPR, ou comme médecin coordinateur dans le cadre des obligations de soins. Dans les services de psychiatrie adulte, on peut être amené à suivre des patients irresponsables pénaux.
...
reseauprosante.fr
Voilà déjà 7 mois que je suis en interCHU à l’étranger, dans le service de radiologie de l’hôpital Erasme à Bruxelles. Une situation rare parmi les internes, mais tellement enrichissante que je voudrais donner envie à d’autres de partir.
Je suis partie pour rapprochement familial, afin de suivre mon compagnon. C’était une très bonne nouvelle pour moi car j’ai la bougeotte : après avoir effectué mon parcours dans 3 facultés différentes je me suis dit que partir un peu plus loin, découvrir un autre système de santé et un autre mode de fonctionnement ne pouvait qu’être bénéfique à ma formation de radiologue.
Comme je voulais partir pour raisons personnelles, mon dossier ne pouvait pas être accepté sans que je trouve moi-même mon financement. Grâce à l’appui de mon patron, j’ai obtenu de mon futur chef de service une attestation que je serai rémunérée en tant que candidate spécialiste (équivalent belge d’interne), et mon projet a été validé par la commission des interCHU. En effet l’hôpital belge peut engager les candidats spécialistes uniquement sur leur diplôme, sans qu’ils soient inscrits à l’université belge. Il m’était donc plus facile de partir à l’étranger qu’en France. Je suis partie pour deux semestres consécutifs, ce qui est la durée maximale théorique d’un interCHU à l’étranger.
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A l'ère d'une médecine internatiolale, l'interCHU à l'étranger représente une expérience unique et profitable. Ce proget est largement envisageable : des postes lui sont réservés chaque semestre et le financement par la France permet d'accéder facilement à l'ensemble des stages mondiaux !
Sur le plan personnel, un voyage de 6 mois constitue un échange culturel d’exception et permet de devenir bilingue! Au coeur de la Nouvelle- Angleterre, Boston est connue pour ses prestigieuses universités (Harvard, MIT…) et son environnement agréable, maritime et multiculturel. la ville conserve une influence européenne : son centre a gardé de nombreux édifices datant de l'époque coloniale, ses rues ne sont pas rectilignes et la cité réserve de nombreux axes aux piétons ou aux vélos. Des dizaines de milliers d’étudiants et de chercheurs issus de tous les pays sont attirés par le rayonnement mondial de ce lieu exceptionnel et contribuent à en assurer le caractère amical et attachant.
Boston étant idéalement placée, il est aussi aisé de se rendre rapidement à Cape Cod, New York, Philadelphie, Washington DC ou Montréal!
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Et toi…Qu’est-ce que tu sais faire ?
Comprendre le chômage, Développer une employabilité réelle basée sur les compétences propres, ou Lancer un microprojet à forte valeur ajoutée
Etant en fin d’internat et me destinant à une carrière hospitalo-universitaire, je me suis dit que je pourrai vous faire partager mon expérience et vous donner les petits trucs à savoir si, vous aussi, vous décidez de partir en quête d’un poste d’assistant hospitalo-universitaire (AHU).
Deux possibilités s’offrent à vous pour trouver un poste :
- Vous souhaitez rester dans votre CHU d’internat. Il faut alors se faire connaître assez tôt pendant son internat (fin de niveau 1) auprès du service qui vous intéresse : voir avec le chef de service, s’il cherche un assistant, ce qu’il souhaite vous faire faire comme stage de niveau 2, quel master 2 il vous faudra faire…
Il ne faut pas oublier que même si on vous a promis un poste d’AHU, rien ne garantit que vous l’aurez, les postes étant décidés pour tout l’hôpital en commission (mai - juin en général). Ayez donc toujours une solution de repli au cas où.
- Vous souhaitez changer de CHU ou vous ne trouvez pas de poste dans votre CHU.
Là, ça se complique. Tout d’abord, je vous conseille de commencer à chercher en décembre, un an avant la fin de votre internat, et d’avoir au minimum un master 2 dans votre domaine
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1. 20 21Vie professionnelle Vie professionnelle
Bulletin SNJMG • Mars 2015 Bulletin SNJMG • Mars 2015
Enseignement - formation
Les études de
médecine sont
longues, tout le
monde le sait.
Mais là, la fac
m’a tué.
Le DUMG m’a tué
On passe sur le prix des inscrip-
tions universitaires : on paie plus
qu’avant parce qu’on a un vrai
salaire, admettons. Mais pour
seulement 8 jours max de for-
mation par an, c’est un peu cher
payé. Bien sûr, nous avons du
travail à faire à la maison. Le
DUMG (département univer-
sitaire de médecine générale)
nous demande d’écrire des
récits de situations complexes
authentiques. L’idée n’est pas
mauvaise, on doit rédiger une
histoire vécue qui nous a posé
problème. Bien sûr, plus l’his-
toire est romancée, mieux est
reçue notre production. Si nous
n’avons pas l’âme d’un Victor
Hugo ou d’un Dostoïevski, nous
sommes perdus. Le lecteur de
ces courts récits
doit voir le per-
sonnage : cette
petite mamie
de 83 ans à qui
on rend visite,
le teint grisâtre
marqué par des
années de tra-
vail dans la terre,
à supporter sans
broncher la vio-
lence de son
fils après avoir
subi les années
de service auprès de son mari,
elle qui est sur sa chaise en bois
tir qui servira de base pour une
recherche documentaire. Bien
sûr, tout le monde se dit que
c’est facile. La recherche ne se
base pas sur une pathologie
mais sur un problème complexe
d’une situation médico-psycho-
sociale. Plus le travail est com-
plexe et plus il est censé être
apprécié. Il faut du temps pour
rédiger un tel travail, plusieurs
heures de travail.
Ce n’est qu’une partie des tra-
vaux à effectuer. Il faut aussi
rédiger des traces d’apprentis-
sage. Le principe est assez simi-
laire mais la situation est plus
courte.
Et puis, il y a la thèse. Bon, c’est
intéressant, on choisit notre su-
jet. Ca demande du travail, pas
mal de travail : de la recherche
bibliographique, trouver le type
d’étude qu’on va réaliser (quan-
titatif/qualitatif ?), le recueil de
données, leur analyse, la rédac-
tion de la thèse, l’exposition
devant un jury. Le tout pour le
Graal : notre titre de Docteur en
médecine. Enfin !
Mais en attendant, je m’oriente
vers une voie qui n’est pas tout
à fait du goût du DUMG. L’in-
ternat de médecine générale
peut s’orienter secondairement
vers une autre spécialité, via un
DESC. Bien sûr, je comprends :
il faut des médecins généra-
listes, ils sont là pour nous for-
mer et sur leur
quota une poi-
gnée d’internes
s’oriente vers un
autre chemin. Je
ne dénigre pas
ma formation
initiale, la mé-
decine générale
est un très beau
travail, et je res-
terai toujours je
l’espère dans l’optique d’un tra-
vail main dans la main avec mes
collègues avec qui j’ai partagé
tant d’années, et ce pour le bien
de nos patients. Mais voilà, le
DUMG reste prudent comme
toujours, il ne faut pas oublier
de valider la maquette du DES
de médecine générale (ça, j’allai
pas l’oublier). Mais quand pro-
duire ces traces d’apprentis-
sage ?
Comme beaucoup d’internes,
on ne compte pas les heures,
et pourtant. En août, j’ai fait une
semaine de 90h, puis 72h, avant
de revenir à un rythme calme
de 48h. Quand on a un jeune
fils à s’occuper, passer du temps
avec sa compagne, faire un peu
de sport pour s’évader l’esprit,
avec les obligations de service,
je vois difficilement quand faire
tout ce travail.
Et c’est le pro-
blème pour
tout le monde.
Le gouver-
nement doit
respecter le
temps de tra-
vail européen,
il travaille des-
sus, nos syndi-
cats d’interne
également. Je vois difficilement
comment tout ça peut être mis
en place, la journée de forma-
tion hebdomadaire n’est pas
respectée, nous passons notre
temps à l’hôpital. Si les internes
deviennent moins présents à
l’hôpital pour permettre de
faire leur travail de formation
universitaire, comment feront
les services qui dépendent de
cette main d’œuvre ?
La fac, l’État demandent beau-
coup aux internes, il leur est
pourtant difficile de mener plu-
sieurs vies en même temps.
près de la cheminée, un châle
en laine violette autour du cou,
sa jupe écossaise et son pull
bleu marine… Ça, c’est la pre-
mière partie du travail, encore
faut-il trouver
une situation
qui soit jugée
intéressante
par le sacro-
saint DUMG,
ce peuple de
médecin qui
a tout pou-
voir. Ensuite
sur cette si-
tuation, il faut
trouver des
questions sur
ce qui a posé
problème bien sûr. De ces ques-
tions, une question doit ressor-
“on paie plus
qu’avant parce
qu’on a un
vrai salaire,
admettons. Mais
pour seulement
8 jours max de
formation par
an, c’est un peu
cher payé.”
“La fac, l’État
demandent
beaucoup aux
internes, il leur
est pourtant
difficile de mener
plusieurs vies en
même temps.”
l https://lemedecinimaginaire.wordpress.com/2014/09/15/le-dumg-ma-tue/
BLOG DU DR GUIGNOL
Le médecin imaginaire
“