3. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – environnement de bureau
Sur les systèmes d'exploitation fonctionnant avec le système de fenêtrage X,
l'environnement de bureau est décomposé en plusieurs éléments.
> système de fenêtrage
> gestionnaire de fenêtres
> une interface graphique
> un gestionnaire de fichiers
Définition :
« En informatique, un environnement de bureau (de l'anglais desktop environment) est un
ensemble de programmes qui permettent de manipuler l'ordinateur à travers une interface graphique qui
fait analogie à un bureau. »
Source : Wikipédia
4. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – système de fenêtrage
Exemple :
> Quartz Compositor (Mac OS X)
> X Window System (X11)
> Mir
> Wayland
Définition :
« Un système de fenêtrage est un logiciel qui permet à l'utilisateur d'un ordinateur
d'interagir via un clavier et un dispositif de pointage comme une souris avec plusieurs applications
graphiques visibles simultanément. »
Source : Wikipédia
5. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – gestionnaire de fenêtres
Exemple :
> Compiz
> Metacity
> KWin
> Mutter
Définition :
« En système de fenêtrage un « gestionnaire de fenêtres » (« window manager » en anglais)
est un logiciel chargé de l'affichage et du placement des fenêtres d'applications. »
Source : Wikipédia
Le gestionnaire de fenêtres constitue l'intermédiaire entre le système de fenêtrage et
l'environnement graphique.
6. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – interface graphique
Exemple :
Définition :
« Une interface système (shell en anglais) est une couche logicielle qui fournit l'interface
utilisateur d'un système d'exploitation. L'interface système est utilisé comme diminutif de l'interface
utilisateur du système d'exploitation. »
Source : Wikipédia
Unity Gnome Shell Cinnamon
7. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – GNOME
> Sytème de fenêtrage : X11/Wayland
> Gestionnaire de fenêtre : Mutter
> Interface graphique : Gnome-shell/Unity/Cinnamon
> Gestionnaire de fichier : Nautilus
Définition :
« GNOME, acronyme de GNU Network Object
Model Environment, est un environnement de
bureau libre convivial dont l'objectif est de rendre
accessible l'utilisation du système d'exploitation
GNU au plus grand nombre »
Source : Wikipédia
8. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – Gnome-Shell
Définition :
« Le GNOME Shell (distribué sous licence libre
GNU GPL) est le cœur de l'interface graphique de
l’environnement de bureau GNOME à partir de sa
version 3.0. Il sert à la fois de tableau de bord, de zone
de notification et de sélecteur de fenêtres. »
Source : Wikipédia
9. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – Mutter
Définition :
« Mutter est un gestionnaire de fenêtres pour X11 et un Wayland compositor pour Wayland. Il est à
la base du GNOME Shell, le Shell de l’environnement graphique GNOME à partir de sa version
3.0.
Le nom « Mutter » provient de la contraction de « Metacity » et « Clutter » : Mutter est, en effet, né
de la modification du premier pour utiliser le second »
Source : Wikipédia
10. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – Compiz
Définition :
« Compiz est un gestionnaire de fenêtres
composite libre qui a révolutionné
l'environnement de bureau du serveur X, et
notamment sur les distributions Linux.
Compiz permet des effets graphiques avancés
comme la transparence, des effets 3D et
d'ombres. Compiz compose l’affichage en
exploitant l'accélération matérielle disponible
sur la carte graphique. »
Source : Wikipédia
11. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – Unity
Définition :
« Unity est un shell (logiciel fournissant une
interface pour l'utilisateur) pour l'environnement
de bureau GNOME développé par Canonical Ltd
pour son système d'exploitation Ubuntu. Il est
prévu à l'origine pour utiliser de manière plus
efficace le peu d'espace écran disponible sur les
netbooks en incluant, par exemple, un lanceur
d'application vertical. Au travers de son tableau
de bord, Unity permet de faire de la recherche de
contenu à la fois localement et en ligne. »
Source : Wikipédia
12. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Glossaire – MIR
Définition :
« Mir est un serveur d'affichage pour GNU/Linux développé par la société Canonical Ltd. Il a été
créé afin de remplacer l'actuel X Window System (ou X11) pour la distribution Ubuntu. »
Source : Wikipédia
Objectifs :
> Fonctionnalité bien définie
> Efficace
> Testé
> Polyvalent & Flexible
> Sécurisé
> Intégration de Toolkit & Support d'application X hérité
14. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
le cycle de développement d'Ubuntu
Version standard (non LTS) :
> sort tous les 6 mois
> est maintenue 9 mois
Version Long Time Support (Support à long terme) :
> sort tous les 2 ans
> est maintenue 5 ans
> Elle conclue un cycle de développement divisé en 4 étapes (versions
standards)
16. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Les débuts d'Ubuntu - 2004 : Ubuntu 4.10
> En 2003, Mark Shuttleworth fait un constat amer avec le projet « SchoolTool ». Un
projet Opensource ne réussit que s'il a une direction claire et que les développeurs
sont payés à la livraison de code.
> Été 2004, annonce d'une distribution nommée no-name-yet, lancée par
Canonical Ltd
> En 2004, il fonde la société Canonical Ltd et embauche de nombreux
développeurs Debian, GNOME, et Python
17. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Les débuts d'Ubuntu - 2004 : Ubuntu 4.10
Octobre 2004 : Sortie Ubuntu
4.10 « Warty Warthog »
> Première distribution incluant
l'environnement de bureau GNOME
2.8
> Cycle de développement de 6
mois pour suivre l'évolution de
GNOME (Ubuntu sort 1 mois après
la sortie d'une version de GNOME)
> Support de 18 mois
18. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Les débuts d'Ubuntu - 2006 : Ubuntu 6.06 LTS
Juin 2006 : Sortie Ubuntu 6.06
LTS
> Première version à support à
long terme (3 ans)
> Conclue le 1er
cycle de
développement (4.10 → 6.06 LTS)
> Thème Humanlooks
implémenté avec les directives
Tango
> GNOME 2.14
19. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Les débuts d'Ubuntu - 2007 : Ubuntu 7.10
Octobre 2007 : Sortie Ubuntu
7.10
> Le gestionnaire de fenêtre
Compiz est activé par défaut
> Un moteur de recherche de
bureau
> Introduction du logiciel de
sécurité AppArmor
> GNOME 2.20
20. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Les débuts d'Ubuntu - 2008 : Ubuntu 8.04 LTS
Avril 2008 : Sortie Ubuntu 8.04
LTS
> Deuxième version à support à
long terme
> Mises à jour pour une meilleure
conformité à Tango
> Diverses améliorations de
l’utilisation de Compiz
> GNOME 2.22
22. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Ubuntu Netbook Remix
Forte demande des constructeur OEM pour une version d'Ubuntu adapté aux netbook
avec un lanceur d'application 2D par onglet.
Objectif :
> Faire quelque chose de très
simple,
> Être testé facilement,
> Fonctionnant avec les appareils
tactiles
> Se superposer à une installation
standard d'Ubuntu 8.04
> Livrable très rapidement
> Être efficace sur les appareils à faible
puissance
> Bien travailler avec du matériel Intel
23. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Ubuntu Netbook Remix
Ubuntu Netbook Remix était préinstallé en option sur certains netbook comme
> Le Dell Inspiron Mini 10v
> Le Toshiba NB100
Il pouvait aussi fonctionner sur des modèles populaires comme
> l'Acer Aspire One
> l'Asus Eee PC.
26. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Création d'une équipe dédiée à l'interface utilisateur
Constat :
L'interface utilisateur dans le monde FLOSS est inconsistante et incohérente,
malgré les efforts de certains projets
But :
« Fournir une expérience utilisateur qui peut rivaliser avec Apple en deux ans », Mark
Shuttleworth, OSCON 2008
Moyen :
> Création d'une équipé « Conception » qui va travailler sur X, OpenGL, Gtk,
Qt, GNOME et KDE et proposer des solutions upstream
> Ne plus se contenter d'être intégrateur de solution upstream
Risques :
Conflits avec les autres projets proposant des interfaces utilisateurs
(environnement de bureaux par ex.)
28. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Cycle 3 – Ubuntu 8.10
Octobre 2008 : Sortie Ubuntu
8.10
> Améliorations notables à
l’informatique ubiquitaire et
évolutive
> Remplacement du bouton de
déconnexion par un applet
permettant de changer d’utilisateur
doté d'une meilleure intégration
avec Pidgin.
> GNOME 2.24
29. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Cycle 3 – Ubuntu 9.04
Avril 2009 : Sortie Ubuntu 9.04
> Intégration de services et
applications web dans l’interface de
bureau
> GNOME 2.26
30. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Cycle 3 – Ubuntu 9.10
Octobre 2009 : Sortie Ubuntu
9.10
> Nouveau thème de démarrage
basé sur xplash
> Nouveau thème de bureau
légèrement modifié
> Nouvelles icônes
> Lot de fond d'écran
> La logithèque Ubuntu fait son
apparition
> GNOME 2.28
31. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Cycle 3 – Ubuntu 10.04 LTS
Avril 2010 : Sortie Ubuntu 10.04
LTS
> Nouvelle identité visuelle nommée
« Light », basé sur le concept de la
lumière
> Nouveaux thèmes (« Light » et «
Dark »)
> Nouvel écran de démarrage
> Nouvel écran GDM
> Changement de position des
boutons d'action fermer/réduire/plein
écran qui passent de droite (façon
Windows) à gauche (façon Mac OS
X)
> GNOME 2.30
> Nouveaux services autour de la
marque « Ubuntu One » (Achat de
musique en ligne dans Rhythmbox
par ex)
> Nouveau branding (logos)
> Nouvelle chartre graphique
(Orange/Aubergine)
33. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Présentation du projet
10 mai 2010 : Mark Shuttleworth présente Unity sur son
blog
Unity vise d'abord le marché des netbooks
3 Axes de développement :
> Déplacer le panneau du bas à gauche de l'écran et dédier ce panneau au
lancement d'applications et au basculements entre applications. Cela permet de
dégager de la place verticalement
> Elargir ce panneau gauche pour avoir de plus grosses icones afin d'être touch-
friendly
> Rendre le panneau du haut plus intelligent en y intégrant un menu global afin de
dégager encore plus d'espace verticalement
34. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Présentation du projet
Mokups de Unity présentés par Mark Shuttleworth sur son billet
35. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Présentation du projet
Rapports aux autres projets d'environnements de bureau :
> Unity est une interface utilisateur Gnome complémentaire à Gnome-Shell, prévue
initialement pour les appareils mobiles (Netbooks, etc.)
> Unity se veut conforme aux standards Freedesktop.org et utilise Ayatana pour être
compatible avec les applications KDE
36. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Ubuntu 10.10
Octobre 2010 : Sortie Ubuntu
10.10
> « Ubuntu Netbook Remix »
devient « Ubuntu Netbook Edition »
> Unity devient l'interface d'Ubuntu
Netbook Edition
> Le poste de travail devient « social
dès le départ » avec des logiciels
inter-fonctionnels avec les réseaux
sociaux (ex : Shotwell et la
publication de photos)
> Achat de logiciels dans la
Logithèque Ubuntu
> GNOME 2.30/2.32 (souhait
d'attendre avant de basculer en
gtk3+)
37. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Ubuntu 11.04
Avril 2011 : Sortie Ubuntu 11.04
> Unity devient l'interface utilisateur
par défaut sur le poste de travail
mais est basé sur compiz
> La version d'Unity de la version
Netbook Edition devient Ubuntu 2D
développé en Qt
> Fonction Aero snap qui permet de
maximiser ou allouer la moitié de
l'écran en glissant-déposant une
fenêtre
> GNOME 2.32
38. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Ubuntu 11.10
Octobre 2011 : Sortie Ubuntu
11.10
> Interface de connexion LightDM
> Unity contient les bibliothèques
Qt. L'interface par défaut des petites
configuration sans accélération
matérielle sera donc en « Unity 2D »
> GNOME 3.2
39. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Ubuntu 12.04 LTS
Avril 2012 : Sortie Ubuntu 12.04
LTS
> Première version LTS avec Unity.
Le support pour le poste de travail
passe à 5 ans
> Un clique droit sur les lanceurs
permet d'accéder à des actions
rapides
> Un système d'affichage tête haute
permettant de naviguer dans le
menu des applications via un
champs de recherche
40. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Ubuntu 12.10
Octobre 2012 : Sortie Ubuntu
12.10
> Introduction de la recherche en
ligne dans le tableau de bord. Une
seule source est agrégée : Amazon
> Certains services Web peuvent
être installés en tant que
Webapplications et se voient
intégrés à l'interface utilisateur :
- Notifications des mails Gmail
- Nombres de reddits à lire dans
le menu « Messages »
- Contrôle de Youtube depuis le
menu son
> Unity 2d est « abandonné »
> Un mode « Prévisualisation » est
ajouté à Unity
> Nouveau Menu combinant
Système/Utilisateur/Connexion
> Nautilus 3.4 est préféré à 3.5 pour
garder des fonctionnalités
supprimées par GNOME
41. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Ubuntu 13.04
Avril 2013 : Sortie Ubuntu 13.04
> La barre de recherche de Unity
devient tolérante aux erreurs
42. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Ubuntu 13.10
Octobre 2013 : Sortie Ubuntu
13.10
> Intégration du services de
recherche Smartscope. Il est
possible de chercher dans plus d'une
soixantaine de sources de données
au travers du tableau de bord Unity
> Il est désormais possible de
désactiver les sources de données
individuellement
43. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Unity – Ubuntu 14.04 LTS
Avril 2014 : Sortie Ubuntu 14.04
LTS
> Il est possible d'avoir le menu
dans la barre de fenêtre quand elle
est réduite au lieu de l'avoir dans le
panneau supérieur
> Il est possible de recherche dans
les fenêtres ouvertes en mode « Vue
étendues »
45. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
« AmazonGate »
Dans la version Ubuntu 12.10 une fonctionnalité de recherche en ligne est
incluse dans Unity, mais ne propose qu'une recherche sur Amazon
> Dans la version Bêta, les requêtes ne sont pas chiffrée
> Les images produits retournées par Amazon ne sont pas chiffrée. L'EFF y voit une
potentielle atteinte à la vie privée car de l'interception de données peut être faite
sous certaines conditions
> Ces même images peuvent retournés des résultats pouvant heurter la sensibilité
des plus jeunes
> Condamnation forte de la communauté qui y voit l'arrivée d'un publiciel. En effet,
Amazon a signé un partenariat pour être le premier fournisseur de contenu pour
Unity
46. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
« AmazonGate »
Dans la version Ubuntu 12.10 une fonctionnalité de recherche en ligne est
incluse dans Unity, mais ne propose qu'une recherche sur Amazon
> Richard M. Stallman, 1er
militant du Logiciel Libre et fondateur de la Free Software
Foundation critique très sévèrement le choix de Canonical et appel au boycott
d'Ubuntu
> Canonical donne la possibilité d'activer/désactiver la recherche en ligne pour
désamorcer la polémique
> Canonical modifie sa Politique de confidentialité et ajoute un lien dans le tableau
de bord
> Ubuntu-fr consulte la CNILL
47. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
« AmazonGate » - Dash Privacy Interface (DPI)
Pour préserver la vie privée de
l'utilisateur, Ubuntu-fr propose, par
défaut, dès la sortie de la version
francophone d'Ubuntu 12.10 un
« Dash Privacy Interface »
> Dash-Privacy-Interface se lance au
démarrage d'une session, si c'est la
première fois qu'elle est lancée (en
mode graphique)
> L'utilisateur choisit alors d'activer ou non
la recherche en ligne
> Peut être relancé à tout moment par
l'utilisateur pour changer son paramétrage
49. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
A l'ouverture du tableau de bord, envoi vers le service de moteur de
recherche intelligent :
> d'un identifiant généré aléatoirement pour la session
> des informations géographiques et locales
> De la version Ubuntu et le type de plate-forme
> D'une différence entre les sources de données proposées avec une version
d'Ubuntu et de ce qui est réellement activé/installé sur le système actuel (soit +
epicurious-Grooveshark).
> De la liste des sources de données en permanence activés (épinglés) ou
désactivés par l'utilisateur.
50. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Lors de la saisie
> Recherche immédiate dans les sources de données activées par défaut
(données importantes (essentiellement personnelles ou semi-personnelles).
> Des mots clés peuvent être déclarées pour les sources de données.
Ex : "mot clé: requête" permet de seulement faire une recherche dans la
source de données déclarée par le mot-clé pour la requête.
51. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Données renvoyées par le service de moteur de recherche intelligent
> Liste de Recommandations par importance (Sources de données locales
proposées pour que la tableau de bord puisse y faire une recherche)
> Liste des sources de données distantes interrogées (également classée par
ordre d'importance), avec les résultats qui ont été reçus à partir de ces sources
de données locales.
52. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Interprétation par l'agrégateur principal
1. Utilisation du classement des infos renvoyées par le service de moteur de
recherche intelligents et équilibration par rapports aux résultats renvoyés par les
sources de données activées par défaut pour déterminer l'ordre de classement
final.
2. Début du peuplement du modèle des résultats de l’agrégateur principal avec
des résultats que les sources de données activées par défaut ont retournées le
plus tôt possible, afin que l'utilisateur puisse commencer à voir des résultats qui
vont probablement le concerner.
3. Début du peuplement des catégories représentant les sources de données
distantes puisque nous avons déjà les résultats disponibles à partir des données
renvoyées par le service.
53. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Interprétation par l'agrégateur principal
4. Détermination des sources de données non couvertes par les sources de
données activés par défaut ni par les sources de données distantes, à partir de la
liste des sources de données classées renvoyées par le service afin de les
activer et y faire une recherche
5. Ajout des résultats retournés par les sources de données interrogés aux
modèles de résultats afin que l'utilisateur puisse les voir.
54. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Envoi des métriques
> Lorsque l'utilisateur navigue sur le tableau de bord et fait son choix, le tableau
de bord envoie les résultats à l’agrégateur principal, et l'agrégateur principal
envoi les métriques au service de moteur de recherche intelligent.
55. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image.
56. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Initialisation de la séssion
57. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Saisie utilisateur
58. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Recherche immédiate dans les sources
de données activées
59. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Envoie de la requête au Service SmartScopes
60. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Recherches dans les scopes par défaut
(le plus souvent en local)
61. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Retour du résultat de la requête fournit par
le
Service SmartScopes
62. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Recherches dans les scopes installés en local
63. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Matérialisation des résultats
64. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Détails du fonctionnement
Récapitulatif en image – Envoie des métriques au service SmartScopes
65. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Les métriques récoltées par Canonical
Lorsque l'utilisateur à fait son choix, le tableau de bord envoie une
réponse au service de moteur de recherche intelligent incluant :
> Les résultats des sources de données distante
> Informations utilisateur tel que l'objet sélectionné, les objets vus, les
informations de sessions
66. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Les métriques récoltées par Canonical
Les informations recueillies sont anonymes
> Seule la session qui relie une série de requêtes telles que «t», «ter», «terminal»,
«terminal» est suivie.
> Toutes les demandes passent par https et toutes les images et autres contenus
passent pas un serveur mandataire avant d'atteindre le fournisseur tiers.
67. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Les métriques récoltées par Canonical
L'intelligence est construite au travers d'un modèle d'exploration
heuristique
> L'ordre initial de présentation des données est aléatoire
> Une analyse du temps passé sur chaque liste retournée par les différentes
sources de données et de la place de l'objet choisi par l'utilisateur permet de
pondérer les résultats
68. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
SmartScopes Services – Les métriques récoltées par Canonical
Formes des heuristiques
> Une source qui renvoie un résultat pertinent est meilleure qu'une source qui ne
renvoie pas de résultat
> Normalisation des termes de la requête (case, faute de frappe)
> Contextualisation des requêtes
70. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Le futur de l'interface d'ubuntu – MIR
> MIR est le serveur d'affichage par défaut sur les téléphones et les tablettes
depuis Ubuntu 13.10
> Il est possible d'activer MIR sur Ubuntu 14.04 LTS (non conseillé aux débutants)
> MIR devrait devenir le serveur d'affichage au cours de ce cycle (14.10 ou 15.04
au plus tard)
72. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Le futur de l'interface d'ubuntu – Unity 8
> Unity 8 est une sorte de reboot de Unity 2d
> Unity 8 se base sur Qt5/QML2 qui donne un accès facile aux
fonctionnalités d'OpenGL
73. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Le futur de l'interface d'ubuntu – Unity 8
Unity 8 doit répondre à 3 exigences
> S'adapter de façon transparente à de multiples facteurs de forme , en tenant
compte des propriétés et des contraintes spécifiques de l'appareil et de
l'optimisation faites pour eux .
> Porter le langage de la conception visuelle langue et l'identité d'Unity entre les
différents facteurs de forme et offrir aux utilisateurs une expérience conviviale,
connue et constante , peu importe l'appareil Ubuntu qu'ils utilisent.
> Supporter l'idée d'un dispositif de convergence qui permet à un utilisateur de se
fier entièrement à un appareil mobile comme environnement informatique primaire
en permettant à l'interface de s'adapter aux différents scénarios d'utilisations
74. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Le futur de l'interface d'ubuntu – Unity 8
Transcription technique
> Être efficace et limiter l'usage des ressources systèmes. Il doit utiliser le moins
de ressource possible même s'il est au cœur de d'expérience utilisateur
> Être conscient de son environnement. Il doit pouvoir s'adapter rapidement aux
changement de situations et de context
> Être unifié et unique. Le code d'Unity 8 doit être le même quelque soit
l'architecture système pour faciliter la maintenance mais doit aussi prendre en
compte les spécificité des différents appareils tout en restant le plus léger possible
75. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Le futur de l'interface d'ubuntu – Unity 8
Nouveau sytème de scopes
Unity 8 reste toujours orienté contenu.
> Le contenu doit être disponible dès le tableau de bord pour ne pas à avoir à
ouvrir d'application pour ensuite le lancer
> Le contenu peut être multi-nature (multimédias, infos, apps, etc.)
> Le contenu peut être en ligne ou local
> La recherche doit respecter la confidentialité et la vie privée de l'utilisateur
76. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Le futur de l'interface d'ubuntu – Unity 8
Nouveau sytème de scopes
L'utilisateur garde le contrôle
> Les scopes sont proposés dans un magasins de scopes et activés seulement si
l'utilisateur les ajoute à sa liste de favoris
> Les scopes ne peuvent faire des recherche que soit dans une source de
données en ligne soit une source de données locale
> Chaque scope est confiné au niveau noyau avec une sécurisation via profil
AppArmor (profil local ou réseau)
> Les scopes n'ont pas la possibilité d'accéder à la terminaison réseau d'un autre
scope
Les résultats retournés par un scope peuvent servir de source de données locales
77. (cc-by-sa 2.0) 2014 Ubuntu-fr
Le futur de l'interface d'ubuntu – Unity 8
Application concrète – Le scope « Musique »
Scope
« Musique »
Scope
« SoundCloud »
Scope
« Musique Locale »
Scope
« GrooveShark »
Scope
« GrooveShark »
Service
« GrooveShark »
Navigateur
de fichiers
Recherche locale
Recherche locale
Recherche en ligne
Recherche en ligne
Fonctionnalités
Un gestionnaire permet d'offrir plusieurs fonctionnalités (selon les gestionnaires):
- des barres des tâches ou un dock d'applications.
- des menus, voir des menus fixables (pinnable menus en anglais).
- des bureaux virtuels et donc des workspace manager (application qui permet de passer d'un bureau à l'autre; il est parfois appelé pager).
- des icônes et donc le support d'un format d'icône (comme le XPM).
- le déplacement, le redimensionnement, l'iconification des fenêtres.
- la modification du fond d'écran, des couleurs des tous les éléments visibles, de l'habillage des fenêtres.
- un session management qui permet de garder une trace des actions effectuées par un utilisateur.
Objectifs[évasif][modifier | modifier le code]
En général, les développeurs ont les attributs suivants à l'esprit lors de l'élaboration du système :
Fonctionnalité bien définie[modifier | modifier le code]
Le système est développé en se basant sur des exigences et des cas d'utilisation. Les développeurs désirent éviter une situation de ballonnement de fonctionnalités inutiles avec le système qui évolue dans le temps sans un réel besoin pour ces fonctionnalités.
Efficace[modifier | modifier le code]
Le système doit satisfaire toutes les exigences de manière aussi efficace que possible, en mettant l'accent sur les cycles CPU, les cycles GPU, la mémoire et la consommation d'énergie. Les développeurs veulent établir un ensemble de critères qui font en sorte que le système soit à la hauteur de cet attribut.
Testé[modifier | modifier le code]
Le système doit être testé autant que possible. Les développeurs prennent en compte les 3 niveaux de tests détaillés (tests unitaire, tests d'intégration et tests d'acceptation) afin d'assurer une haute qualité et un système fonctionnel. De plus, tout développement ne devra commencer uniquement lorsqu'un test d'acceptation bien défini est disponible. Toute fonctionnalité qui ne peut pas être testée, ne peut être mise en œuvre avec un haut niveau de qualité.
Polyvalent & Flexible[modifier | modifier le code]
Le système doit être facilement adaptable et portable vers différentes plateformes et différents cas d'utilisation (dans le cas de fonctionnalités bien définies, comme cité précédemment). Le système fonctionnant sur un appareil mobile exposant uniquement une fonctionnalité limitée comme un compositeur au niveau du système ne doit pas être un cas particulier, mais une exigence facilement remplie par le système.
Sécurisé[modifier | modifier le code]
Les développeurs veulent éviter l'exposition de toute sorte de protocole privilégié aux applications clientes. Notamment, ils veulent empêcher les applications (malicieuses) clientes d'usurpation (spoofing) sur le flux d’événement d'entrée ou la capture du contenu de l'écran sans au moins une étape d'authentification/autorisation au préalable. À cette fin, l'ensemble des opérations non-privilégiées est limité.
Intégration de Toolkit & Support d'application X héritée
La bibliothèque cliente de Mir devra être facile à intégrer avec les toolkits existants. Les auteurs d'application qui s'appuient sur Qt/Qml, GTK+3, XUL, SDL, etc. ne doivent pas être tenu d'effectuer le portage supplémentaire tandis que les développeurs de Mir travailleront sur la fourniture d'une intégration de Mir pour les toolkits les plus importants. Cependant, certaines applications héritées ne seront pas en mesure de faire entièrement la transition de X à Mir, c'est pour cela qu'un serveur X "déraciné" de la session sera intégré à Mir. Cela agit, à la demande, comme une couche de compatibilité entre les applications X héritées et l'instance Unity/Mir au niveau de la session
Tango Desktop est un projet visant à proposer une unité d'interface graphique au monde informatique.
Intégration des web services dans les notifications notamment les services de chat
changement des boutons d'action fermer/réduire/plein écran qui passent de droite (façon Windows) à gauche (façon Mac OS X). Cette décision est justifiée par le fait que l'utilisateur se trouve plus souvent avec la souris dans le coin supérieur gauche pour avoir accès aux différents menus.
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