NOTRE LIBERTE EST EN SOUFFRANCE
Les gouvernants de la France capitulent, ils cèdent à la panique, oublient l’honneur et livrent le pays à la servitude.
Mais rien n’est perdu !
Rien n’est perdu parce que dans notre France forte, l’UMP n’a pas encore donné.
Il faut que notre famille politique soit une force soudée et artisane de la victoire !
Nous convions tous les Français où qu’ils se trouvent à s’unir à nous dans l’action et dans l’espérance, pour que la France retrouve sa grandeur et sa dignité.
Diffusez, communiquez, échangez et persévérez dans ce combat politique pour que les 23 et 30 mars
Notre mouvement soit en tête sur tous les fronts des municipales.
Avec L’APPEL DU COQ bonne lecture .
En grève pour qu'ça chauffe ! Mobilisation du jeudi 8 octobre 2015assr38 vercors
Les raisons de se révolter ne manquent pas. Après avoir imposé, par les lois Macron, Rebsamen, Sapin, l'ANI ou encore le CICE, les pires régressions sociales depuis des décennies (destruction des prud'hommes, restriction du droit syndical, destruction du droit du travail et de la protection sociale...), le gouvernement PS affiche des positions toujours plus réactionnaires et autoritaires, attaquant et divisant frontalement les classes populaires (travailleur-e-s du public contre travailleur-e-s du privé, travailleur-e-s immigré-e-s contre travailleur-e-s français, etc.) au bénéfice du capitalisme libéral et de ceux qui en profite.
Le «pacte de responsabilité» est une nouvelle preuve que le gouvernement
Hollande-Valls n'est là que pour appliquer le programme du patronat.
En reprenant les termes de "charges sociales" pour parler de l'argent
mutualisé par les travailleurs et les travailleuses pour les coups durs (une
baisse de ces cotisations, c'est une baisse de nos salaires différés) et en
parlant du "coût du travail", ils reprennent les
termes de l'idéologie libérale
NOTRE LIBERTE EST EN SOUFFRANCE
Les gouvernants de la France capitulent, ils cèdent à la panique, oublient l’honneur et livrent le pays à la servitude.
Mais rien n’est perdu !
Rien n’est perdu parce que dans notre France forte, l’UMP n’a pas encore donné.
Il faut que notre famille politique soit une force soudée et artisane de la victoire !
Nous convions tous les Français où qu’ils se trouvent à s’unir à nous dans l’action et dans l’espérance, pour que la France retrouve sa grandeur et sa dignité.
Diffusez, communiquez, échangez et persévérez dans ce combat politique pour que les 23 et 30 mars
Notre mouvement soit en tête sur tous les fronts des municipales.
Avec L’APPEL DU COQ bonne lecture .
En grève pour qu'ça chauffe ! Mobilisation du jeudi 8 octobre 2015assr38 vercors
Les raisons de se révolter ne manquent pas. Après avoir imposé, par les lois Macron, Rebsamen, Sapin, l'ANI ou encore le CICE, les pires régressions sociales depuis des décennies (destruction des prud'hommes, restriction du droit syndical, destruction du droit du travail et de la protection sociale...), le gouvernement PS affiche des positions toujours plus réactionnaires et autoritaires, attaquant et divisant frontalement les classes populaires (travailleur-e-s du public contre travailleur-e-s du privé, travailleur-e-s immigré-e-s contre travailleur-e-s français, etc.) au bénéfice du capitalisme libéral et de ceux qui en profite.
Le «pacte de responsabilité» est une nouvelle preuve que le gouvernement
Hollande-Valls n'est là que pour appliquer le programme du patronat.
En reprenant les termes de "charges sociales" pour parler de l'argent
mutualisé par les travailleurs et les travailleuses pour les coups durs (une
baisse de ces cotisations, c'est une baisse de nos salaires différés) et en
parlant du "coût du travail", ils reprennent les
termes de l'idéologie libérale
CONTRE LE HOLD UP SOCIAL : MOBILISATION GÉNÉRALE
Gouvernement et patronat s’entendent sur une chose
: imposer des mesures d’austérité au prétexte d’une crise
économique. Il s’agit là d’une succession de réformes visant à remettre en cause l’ensemble des acquis
sociaux des travailleurs-euses
Baromètre des décideurs Viavoice, HEC Paris, Le Figaro, BFM Business - Janvie...HEC Paris
Ce début d’année 2020 aurait pu être l’occasion d’un enthousiasme économique reconquis, notamment à la faveur de plusieurs indicateurs économiques en progression. Pourtant, cette nouvelle livraison du Baromètre des décideurs Viavoice, HEC Paris, Le Figaro, BFM Business révèle un tout autre scénario : le moral des décideurs est orienté à la baisse, entraîné par une nette dégradation des anticipations en matière d’emploi, dans un contexte de crise sociale et des défiances politiques.
2. Alors que la crise économique touche plus que jamais la France avec 5 millions dee chômeurs, 20% des
salariés vivant en dessous du Smic et 23% des jeunes sans emploi, le vote de défiance adressé à la
gauche, lors des dernières élections municipales doit être considéré comme un véritable avertissement.
Pour nous, Jeunes Socialistes, il y a désormais urgence à ce que la gauche renoue avec la promesse de
changement, de progrès et de justice sociale. C’est le mandat qui nous a été confié le 6 mai 2012.
Cadeaux fiscaux aux entreprises, réduction des dépenses publiques : des solutions qui n’en
sont pas.
Aujourd’hui, la richesse produite par les entreprises est captée par les actionnaires, au détriment des
salariés et de l’investissement. Alors que les dividendes ne cessent de progresser, les salariés subissent
toujours les politiques de modération salariale et les plans de licenciements se multiplient.
Le « pacte de responsabilité » initié par le gouvernement n’est pas la réponse que nous sommes en droit
d’attendre. En distribuant 30 milliards d’euros aux entreprises, sans réelles contreparties en termes d’emploi
et de salaires, le gouvernement adresse un chèque en blanc au patronat, financé par un plan de 50
milliards d’économies qui vient menacer le financement des services publics et des protections collectives.
Nous affirmons que la gauche ne peut réussir si elle se contraint au dogme de l’équilibre des comptes
publics et de la politique de l’offre.
Comme 41 parlementaires socialistes, nous affirmons qu’une autre politique est possible.
Partout où elles ont été menée, les politiques d’austérité ont entraîné de profondes souffrances sociales
et une dégradation de la situation économique sans précédent. Au contraire, nous affirmons qu’il faut
combattre le chantage à l’emploi exercé par le Medef qui réclame une baisse toujours plus forte du « coût
» du travail, la remise en cause du travail du dimanche ou l’instauration d’un smic jeunes. Ce n’est pas aux
salariés de payer une crise dont ils ne sont pas responsables.
Nous joignons donc nos voix à celles et ceux qui, à gauche, refusent ces logiques comptables. Comme les
41 parlementaires socialistes qui n’ont pas voté le plan d’économies à l’assemblée, nous affirmons qu’une
autre politique est possible.
Rassembler la gauche.
Pour porter cette nouvelle orientation, il est nécessaire de rassembler toutes les composantes de la gauche
sur une feuille de route claire : refuser l’austérité et renouer avec le progrès et la justice sociale.
Pour relancer l’emploi et soutenir le pouvoir d’achat, les Jeunes Socialistes rappellent leur engagement en
faveur :
- d’un Smic à 1500 euros afin de redonner du pouvoir d’achat aux salariés modestes.
- d’une baisse du coût du capital, notamment en modulant l’impôt sur les sociétés selon les
bénéfices réinvestis.
- d’une interdiction des licenciements boursiers pour lutter contre la désindustrialisation
massive.
- de faire du CDI la norme en limitant le recours aux stages et aux temps partiels.
nepasjetersurlavoiepublique
Contre l’austérité, pour la justice sociale.