des photos rares d'une tribue devenue farouche depuis qu'elle a été envahie par les touristes. Cette tribu ne connaissait pas se qu'était un miroir, et leur seul reflet était le regard de l'autre.
des photos rares d'une tribue devenue farouche depuis qu'elle a été envahie par les touristes. Cette tribu ne connaissait pas se qu'était un miroir, et leur seul reflet était le regard de l'autre.
La cultura del rip, mix and burn tiene variantes: cada uno hace lo que siente, sabe y valora. O valora lo que sabe y siente. O siente lo que hace y valora. O...
La cultura del rip, mix and burn tiene variantes: cada uno hace lo que siente, sabe y valora. O valora lo que sabe y siente. O siente lo que hace y valora. O...
In frigid northeastern China, in the city of Harbin is hosting its 26th annual International Ice and Snow Sculpture Festival. Massive buildings built of ice from the frozen surface of the nearby Songhua River, large scale snow sculptures, ice slides, festival food and drinks can be found in several parks in the city. At night, visitors who endure the bitter cold will see the lights switched on, illuminating the sculptures from both inside and outside. This year's festival opened yesterday, January 5th, and will remain open until some time in February. Collected here are several photos from just before the festival, and of the opening night.
And one video about this festival, here : http://www.youtube.com/watch?v=uJT4F7eksqA
55. Les tribus de l’Omo. Aux confins de l’Ethiopie, à des siècles de la modernité, Hans Sylvester a photographié pendant six ans des tribus où hommes, femmes, enfants, vieillards, sont des génies d’un art ancestral. A leurs pieds, le fleuve de l’Omo, à cheval sur un triangle Ethiopie-Soudan-Kenya, la grande vallée du Rift qui se sépare lentement de l’Afrique, une région volcanique qui fournit une immense palette de pigments, ocre rouge, kaolin blanc, vert cuivré, jaune lumineux ou gris de cendres. Ils ont le génie de la peinture, et leur corps de deux mètres de haut est une immense toile. La force de leur art tient en trois mots : les doigts, la vitesse et la liberté. Ils dessinent mains ouvertes, du bout des ongles, parfois avec un bout de bois, un roseau, une tige écrasée. Des gestes vifs, rapides, spontanés, au-delà de l’enfance, ce mouvement essentiel que recherchent les grands maîtres contemporains quand ils ont beaucoup appris et tentent de tout oublier. Seulement le désir de se décorer, de séduire, d’être beau, un jeu et un plaisir permanent. Il leur suffit de plonger les doigts dans la glaise et, en deux minutes, sur la poitrine, les seins, le pubis, les jambes, ne naît rien moins qu’un Miro, un Picasso, un Pollock, un Tàpies, un Klee…