1. L’information, entre acceptation et rejet
Comment procéder dans le sujet de la préservation
du texte coranique ?
Collectif al-Hanifiyyah
Création : 08/12/2013
Au Nom de Dieu, Clément et Miséricordieux
« Le doute est à la base même du savoir, puisqu'il est la condition essentielle de la recherche de la
vérité. On ne court jamais après ce qu'on croit posséder avec certitude. »
Jean Charles Harvey, « Les Demi-civilisés »
Introduction
Qui n’a jamais eu affaire à un récit, une histoire ou une information qui lui suscitait un
étonnement ou bien un rejet dans le cœur ? Qui n’a jamais entendu une histoire légendaire ou
farfelue que sa raison a mise de côté après l’avoir lue ou écoutée ?
Cela est arrivé à tout le monde, bien plus, ceci fait partie du quotidien ! Dans ce cas, comment
la
procéder dès la réception de cette donnée, et qui plus est, dans le domaine religieux ? Doit
Doit-on
la rejeter systématiquement ? Doit
Doit-on l’accepter en intégralité ?
Et si nous vous proposions une petite étude brève et succincte afin d’y voir plus clair sur la
question ? Cela pourrait vous aider à mieux comprendre la question de la préservation du texte
coranique par la suite.
Ne vous inquiétez pas, c’est assez si
simple lorsque l’on a compris la mécanique. Ensuite ce n’est
qu’une question de recherche d’informations par et par-là.
’informations par-ci
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1
2. I. Prolégomènes à toute recherche sincère
Les livres sacrés, ainsi que les œuvres des grands auteurs de l’histoire, contiennent des trésors
de conseils qu’il est nécessaire de prendre en considération, notamment pour aborder la
thématique de la préservation du Coran.
1. Conseil tiré du Coran
Nous lisons dans le Coran :
ﻳَﺎ أَﻳﱡﻬﺎ اﻟﱠﺬﻳﻦ آﻣﻨُﻮا إِن ﺟﺎءﻛُﻢ ﻓَﺎﺳﻖ ﺑﻨﺒﺄٍ ﻓَﺘَﺒﻴﻨُﻮا أَن ﺗ ُﺼﻴﺒﻮا ﻗَﻮﻣﺎ ﺑﺠﻬﺎﻟَﺔ ﻓَﺘُﺼ ِﺒﺤﻮا ﻋﲆ ﻣﺎ ﻓَﻌﻠْﺘُﻢ ﻧَﺎدﻣني
َ ِِ ْ َ َ ََ ُ ْ ٍ َ َ ِ ًْ ُ ِ
َ َ ِ َ
َ ْ ِ ٌ ََِ َﱠ
Traduction approximative :
« Ô vous qui avez cru ! Si un pervers vous apporte une nouvelle, voyez bien clair [de
crainte] que par inadvertance vous ne portiez atteinte à des gens et que vous ne
regrettiez par la suite ce que vous avez fait. » (Coran 49, 6)
Le célèbre exégète Ibn Kathir nous explique ce verset de la manière suivante :
Dieu le Très Haut ordonne aux croyants de se montrer prudents face à une nouvelle donnée par une
personne perverse et malsaine, qui veut porter préjudice à tout un peuple.
peuple.
À partir de là, certains savants esti
estiment qu’il ne faut pas accepter le récit d’un homme dont
dont-on ne
connaît rien de peur que son récit soit basé sur des allégations préjudiciables. Pour d’autres, il faut
l’accepter tout en faisant attention et en cherchant la source conformément à la recomma
source,
recommandation de
ce verset. [1]
Si ce verset parle d’une personne malsaine, doit on négliger la personne de confiance pour
doit-on
autant ? Doit-on tout accepter d’elle sous prétexte que sa probité intellectuelle, morale et
on
physique n’est pas remise en question ?
Prenons un exemple : si votre ami, que vous connaissez comme étant une personne qui ne
ment pas, venait vous voir et vous disait qu’il a vu un éléphant rose dans le ciel quelle serait
as,
disait
ciel,
votre réaction : acceptation ou rejet ? La raison ne pourra bien évidemment pas l’accepter, sauf
ment
preuve évidente devant vos yeux et encore.. Et bien, même pour une personne digne de
encore...
confiance, il faut faire une étude minutieuse des sources qu’elle utilise.
Nous ne remettons pas en cause la démarche ni la motivation de la personne qui veut parler
sur le thème de la préservation du Coran, nous souhaitons seulement les faire passer par un
examen critique afin que la conclusion, à laquelle cette personne parvien
parviendrait, ne souffre
d’aucun doute.
Le commentaire de ce verset nous dit aussi que cette information peut être préjudiciable pour
tout un peuple, dans le cas présent de l’authenticité du Coran : le peuple musulman.
sent
Il est donc nécessaire de tout vérifier afin de ne pas imputer à l’autre ce que l’on
l
n’aimerait pas que l’on nous impute à nous mêmes. En bref, c’est ce qu’on appelle la règle
mêmes.
d’or !
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coranique ?
3. 2. Conseil tiré de la Bible
Nous lisons dans la Bible :
dit,
pas.
« L'homme simple croit tout ce qu'on dit Mais l'homme prudent est attentif à ses pas »
(Proverbes 14, 6)
L'exégète William Mac Donald dont le célèbre John Mac Arthur a affirmé que son
Donald,
commentaire était une réussite, nous décrit ce passage biblique comme suit :
iblique
Une personne naïve et crédule est exposée à toutes les idées nouvelles et à toutes les modes. L’homme
prudent examine à deux fois et préserve ses pas de l’erreur. La foi réclame des preuves sûres et les
trouve dans la Parole de Dieu. La crédulité prend pour argent comptant ce que n’importe quel
r
savant, philosophe ou psychologue affirme aujourd’hui [2]
aujourd’hui.
Dirions nous qu’il a tort parce qu’il est d’une autre tendance que la nôtre ? Bien au contraire, il
confirme une règle générale qui permettrait au monde de la recherche de mieux se porter Ce sont des
porter.
vérités universelles qu’aucune personne logique ne peut remettre en cause.
3. Conseil tiré du grand philosophe Socrate
Tournons nous maintenant vers les p
philosophes et plus particulièrement le célèbre Socrate et son
fameux « test des trois passoires ». L’histoire se présente comme suit :
Un jour quelqu'un vient trouver Socrate et lui dit :
- Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?
tu
- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu ne me racontes, j'aimerais te faire passer un test, celui
des trois passoires.
- Les trois passoires ?...
- Mais oui, reprit Socrate. Avant de me raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de
prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire. C'est ce que j'appelle le test des 3 passoires.
dire.
- La première passoire est celle de la vérité. As tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?
As-tu
- Non, j'en ai simplement entendu parler...
- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité.
- Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux
m'apprendre sur mon ami, est
est-ce quelque chose de bon ?
- Ah non ! Au contraire.
- Donc, continue Socrate, tu veux me raconter de mauvaises
choses sur lui et tu n'es même pas certain qu’elles soient
vraies.
- Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire,
être
celle de l'utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que m ami
il
mon
aurait fait ?
- Non. Pas vraiment.
- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni
vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ? [3]
,
omment
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coranique ?
4. Ce texte inspirant est tellement parlant qu’il se passe de tout commentaire. Comme le remarque
Socrate, on ne peut pas transmettre des informations si, dans un premier temps, on ne sait même pas
,
si,
si elles sont véridiques.
Quand il s’agit de la préservation d’un quelconque livre saint, l’utilisation de sources saines et sûres
saint,
serait le S.M.I.C. indispensable à avoir avant d’aborder une telle question
question.
4. Vers une nouvelle méthodologie adaptée pour traiter la question du Coran
Nicolas Malebranche (1638 - 1715) avait déjà à son époque essayé de définir une méthodologie
afin de parvenir à la vérité :
Premièrement, on parlera des erreurs des sens ; secondement, des erreurs de l’imagination, en
troisième lieu, des erreurs de l’entendement pur ; en quatrième lieu, des erreurs des inclinations ;
en cinquième lieu, des erreurs des passions ; enfin après avoir essayé de délivrer l’esprit des
erreurs auxquelles il est sujet, on donnera une méthode générale pour se conduire dans la
recherche de la vérité. [4]
Dans le même ordre d’idée, nous allons à notre tour donner une méthodologie de recherche,
ous
spécialement consacrée à la réception d’une information et de son traitement critique.
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coranique ?
5. II. Vers une méthodologie claire et simple à adopter pour accepter ou
rejeter une information
5. Un constat amère
Lorsque nous lisons un livre sur la critique textuelle relative au Coran, de sa composition ou de
son intégrité vis à vis de la corruption éventuelle, nous restons fortement perplexe et sur
perplexes
notre faim puisque le même refrain revient inlassablement : que dire des sources utilisées ?
ême
Un lecteur lambda non averti lira, sans faire attention, et emmagasinera dans sa conscience et
son for intérieur une information qui peut soit le heurter s’il est le receveur de la
peut,
problématique, soit l'émerveiller s’il est dans la position du chercheur polémiste qui pense
avoir trouvé la lampe d’Aladd alors qu’en fait, après examen critique il s’avère qu’il a
din,
critique,
trouvé une vulgaire théière sans grand intérêt
intérêt.
Mais, comment cette personne pourrait elle vérifier le renseignement donné dans ce livre ? Il
rsonne pourrait-elle
n’y a pas 36 solutions, ou bien elle demande à une personne compétente en la matière afin
d’obtenir de plus amples informations ou bien elle fait ses recherches personnelles dans les
informations,
livres ou sur internet…
Compliqué n’est-ce pas ? Détaillons maintenant le processus qui se met instinctivement en
place.
6. Le processus « Réception de l’information -> Analyse -> Résultat »
>
De manière schématisée, nous réceptionnons dans un premier temps une information, ensuite
nous l’analysons pour enfin obtenir un résultat. Le schéma suivant détaille ce processus :
Réception de
l'information
Analyse
Résultat
Figure 1 : Processus "Réception de l’information -> Analyse -> Résultat"
>
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coranique ?
6. Une problématique reste posée. De manière plus concrète, comment après avoir reçu une
information quelconque, le processus de vérification s’
,
s’opère concernant la tradition
musulmane ?
7. Qu’est-ce qu’une tradition ?
ce
Il nous faut tout d’abord définir ce qu’est une tradition en islâm. Le schéma suivant l’explique
.
de manière simple.
SANAD
(chaîne des
transmetteurs
rapportant
l'information)
MATN
(corps du
texte,
contenu)
HADITH,
ATHAR ou
KHABAR
(Tradition)
Une tradition est donc composée d’une chaîne de transmission (c’est dire de l’ensemble des
(c’est-à-dire
personnes ayant rapportées l’information) et d’une information. Plus communément, nous
et
appelons cette tradition en arabe : hadith, athar ou khabar.
À partir de là, nous déduisons que le travail de critique s’opère sur deux fronts. Celui de la
chaine de transmission (ar : sanad d’un côté, et celui du corps du texte de l’autre (ar : matn).
sanad)
Nous appellerons la critique de la chaine de transmission la « critique extrinsèque », et la
critique du corps du texte, la « critique intrinsèque ».
8. Les différents types de critique
1.1. La critique des chaines de transmission : la critique extrinsèque
Afin de critiquer une chaîne de transmission, il nous faut disposer d’information concernant la
transmission,
vie des rapporteurs ainsi que des informations concernant leur probité religieuse et
intellectuelle.
Le schéma suivant détaille le processus de critique des chaines de transmission manière
simple :
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7. 'ILM AR-RIJAL
(science des
hommes
transmetteurs de
tradition)
Analyse de la
chaine des
transmetteurs
'ILM AJ-JARH WA
TA'DIL (science de
la dépreciation et
de l'appreciation
des
transmetteurs)
Cette étape est malheureusement souvent négligée par les auteurs non
non-musulmans et pour
cause. Ces informations ne sont présentes que dans les ouvrages spécialisés des traditionnistes
musulmans. Mais, le rejet (en général) de cette méthodologie par les savants non
non-musulmans
ne pourra que creuser encore plus l’écart entre les savants musulmans et non
non-musulmans.
1.2. La critique du contenu : la critique intrinsèque
Afin de critiquer le contenu d’une tradition, il faut la renvoyer à la raison, au Coran, à la
tradition notoire, au consensus, etc. Le schéma suivant détaille le processus de manière simple.
Critique du contenu
par renvoi à la
raison, au Coran, à
la Sunna notoire, au
consensus ...
Analyse
du
contenu
Analyse
Linguistique,
Hstorique,
Scientifique ... si
besoin est
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coranique ?
8. 1.3. La méthodologie pour critiquer la tradition musulmane
Ainsi, avant d’affirmer un quelconque résultat concernant la tradition musulmane, il faut
d’abord critiquer la chaîne des transmetteurs, puis le contenu. Le schéma suivant détaille ce
ne
processus :
Analyse de la chaine des
transmetteurs
Analyse du contenu de la tradition
Acceptation ou Rejet
Avant de tirer toute conclusion hâtive, il faut donc né
nécessairement respecter ce processus.
III.
Un exemple simple : le cas des 11 lettres changées dans le Coran !
ons
Nous allons étudier un exemple pour que l’explication soit la plus simple possible. Prenons une
information qui se trouve dans plusieurs livres de chercheurs non musulmans, et regardons ce
non-musulmans,
que l’on y trouve sur la préservation du Coran.
Ils citent un texte tiré des sources i
islamiques disant que le gouverneur al
al-Hajjâj b. Youssouf
changea 11 lettres dans le Moushaf (Codex) de ‘
ushaf
‘Outhmâne (que Dieu l’agrée)
l’agrée).
L’ambigüité est donc posée et l
lorsque le lecteur lit ceci, il pense que le Coran a bien subi des
e
changements. Pourtant, ceux qui citent cette source devraient savoir ce qu’en disent les savants
musulmans eux-mêmes. Ce texte provient du livre “
mêmes.
“Kitâb al-Masâhif” d’
” d’Ibn Abî Dâwoud, le
fils du grand savant du hadîth Abou D
Dâwoud as-Sijistânî.
Il faut savoir que ce texte a été étudié depuis très longtemps et rejeté par les spécialistes du
e
domaine comme étant une invention ou un mensonge parce qu’il contient dans la chaîne de
transmission de ce récit, un homme du nom de ‘Abbâd b Souhayb.
Les grandes autorités du hadîth tels que l’imâm al-Boukhârî, son professeur ‘Alî al-Madinî,
,
l’imâm an-Nasâ’î, l’imâm Ibn Hibbân l’imâm adh-Dhahabî et plusieurs autres affirment que
Hibbân,
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9. ce personnage rapportaient des récits fabriqués de toute pièce. Ainsi, d’u point de vue de la
d’un
[1].
chaîne de transmission, l’information s’avère fausse
Bien plus, celui qui a écrit ce livre où se trouve ce récit mensonger est lui même accusé de
mensonge par son propre père Abou Dâwoud, qui a textuellement dit à son propos : “
“mon fils
est un menteur”. Ce qui montre la neutralité totale même entre un père et son fils lorsqu’il
e
s’agit d’attribuer des choses fausses sur le compte de la religion. D’un point de vue de la
religion.
critique extrinsèque, le récit ne peut être accepté.
D’un point de vue du contenu, cette histoire parait stupéfiante. En effet, des lecteurs du Coran,
il en existait des milliers, il aurait paru aventureux à une quelconque personne de vouloir
changer ne serait-ce qu’une seule lettre sans que personne ne réagisse. Ceci pose plus de
ce
problèmes que ça en résout. En fait, en raison de l’injustice flagrante du gouverneur al-Hajjâj
b. Youssouf, certains semblent avoir exagéré les récits le discréditant et ont voulu l’accabler de
s
tous les maux possibles. D’un point de vue du contenu cette histoire est également rejetée.
vue
Dans de telles conditions, comment inclure cette référence dans son livre pour ensuite tenter
de montrer que le Coran n’est plus le même ? Cela amène à une désinformation totale sur le
mène
sujet pour la masse ignorante de ce sujet.
IV.
Conclusion
Pour résumer, nous dirons qu’après avoir reçu une information tirée de la tradition
musulmane, il faut l’analyser en respectant certains critères. Tout d’abord, il faut procéder à
une critique de la chaîne des transmetteurs, puis à une critique du contenu avant de conclure à
transmetteurs,
quoi que ce soit.
RECEPTION D’INFORMATION ⇨ ANALYSE (critique de la chaîne de transmission puis du
contenu) ⇨ RÉSULTAT & CONCLUSION (réception ou rejet de l’information selon les résultats
obtenus après analyses).
Nous espérons que cet article pourra ouvrir les yeux de certains sur la nécessité de faire attention à
nos lectures et à ce qui nous y est enseigné.
Allâhou A’lam - Et Dieu Sait Mieux ce qu’il en est !
Tous les bienfaits proviennent de Dieu, seules les erreurs nous incombent !
[1] Nous traiterons, si Dieu le permet, ce rapport dans son entièreté dans l’article prévu à cet effet pour en montrer la fausseté
fausseté.
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10. Notes & Références
Coran,
[1] Ibn Kathir, Exégèse du Noble Coran éditions Universel, janvier 2013, tome 4, p. 3458
[2] William Mac Donal, Le Commentaire Biblique du Disciple : Ancien Testament, éditions La Joie 2010, p. 780
,
[3] Extrait de Platon, « Théétète, Ménon et Apologie de Socrate » et de Xénophon « Mémorables »
[4] Nicolas Malebranche, De la recherche de la vérité. Où l’on traite de la Nature de l’Esprit de l’homme, et de l’usage
qu’il en doit faire pour éviter l’erreur dans les Sciences Livre 1, chapitre 4, Éditeur André Pralard, parution 1674
Sciences,
dré
16741675
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