6. @jennybeaumont #RIdeCaen
« Translations: 162 locales. 65 locales at 100%. 2 locales have more than 95%. 3
locales have more than 90%. 22 locales have more than 50%. 60 locales have less
than 50%. 10 locales don᾿t have a WP project. »
https://wordpress.org/about/stats/#locales
https://make.wordpress.org/polyglots/teams/
10. Multilingual Press
• Un site par langue
• Connectivité entre pages
• Language switcher
• Rapide
• URLs uniques / top level
• Redirections
• Gratuit
• Support technique
(payant) + communauté
@jennybeaumont #RIdeCaen
• Multisite
http://multilingualpress.org/
11. Polylang
@jennybeaumont #RIdeCaen
• Performant
• Traduit tout,
• Choix de la structure
URL
• Support technique
(payant) + communauté
• Devenu payant
– 1 site : 99€ / an
– 3 sites : 198€ / an
– 5 sites : 297€ / an
https://polylang.pro/
12. WPML
@jennybeaumont #RIdeCaen
• Suite de modules
• Configuration très
avancée
• Accès aux chaines de
caractères
• Gestion du workflow
• Moindre performance
• Payant
– $29-$89 / an
– $195 lifetime
• Support parfois
compliqué
https://wpml.org
Il commence avec un certain nombre de réflexions, à commencer par son contenu.
Est-ce qu’il s’agit d’un site e-commence ? De la formation en ligne ? Un portfolio ?
Quelles sont les ressources à notre disposition ? Qui fournira les contenus et leur traductions ? Quel est son budget ?
A partir de là on peut choisir une traduction directe, ou d’aller jusqu’à une adaptation culturelle complète du site.
On doit considérer le logistique et le workflow de la publication des contenus et des divers intervenants.
Et puis on arrive à la plateforme technique, ses fonctionnalités spécifiques et les préférences voulues pour chaque projet.
Le plateforme pour un publisher de contenu peut comprendre, selon ses spécifiés :
La gestion de langues, pour en définir/ajouter
Une interface de saisi / la gestion de contenus pour chaque langue
La traduction des meta données : média / SEO
Le workflow des traductions en cours, la gestion des utilisateurs (publisher/traducteur) avec leur différents niveaux d’accès
Gérer des cas où la traduction n’existe pas
Gérer des redirections, reconnaissance de langue de l’utilisateur final
Pour l’utilisateur final la plateforme doit apporter:
Une navigation aisée de langue en langue
Une accessibilité dans le cas de la reconnaissance de langue, afin de lui donner la main sur son choix
La relation/connectivité du contenu avec ses traductions (encore nav)
La possibilité de chercher dans sa langue
Une continuité jusqu’au bout
Selon W3Techs, environ un moitié des sites du web utilisent un système de gestion de contenu (CMS). Et parmi tous les CMS surveillés, WordPress occupe presque 60% du part de marché, soit plus de 25% des sites web mondial. C’est au moins 1 site sur 4 qui utilise WordPress comme plateforme technologique.
Pourtant, à la différence de ses concurrents, WordPress est le seul CMS qui ne propose toujours pas la publication multilingue en native. Joomla, Drupal, SPIP, Prestashop le font tous. Mais pas WordPress. Aujourd’hui pour y arriver avec WordPress, on doit passer par des extensions.
Alors on peut se demander pourquoi, mais je vais vous d’abord parler du comment, puis on reviendra sur la question du pourquoi plus tard si le temps nous reste. Ça vous va ?
On va étudier rapidement les 4 approches utilisées par les extensions les plus répandues
114% increase in downloads since the acquisition
Vous avez peut-être constaté que j’ai un petit accent. Effectivement je suis d’origine américaine.