1. Tu ne m’aimes pas.
J’ai cru voir dans tes yeux un peu de mon ciel bleu
J’en étais si heureux, et déjà amoureux,
Et de tes quelques mots j’en ai fait un cadeau
Tout me semblait si beau j’ai rêvé bien trop haut.
Noyé dans ta blondeur j’ai vu tant de douceur
De mon c’ur à ton c’ur naissait une telle ardeur,
Et j’ai voulu y croire j’étais empli d’espoir
J’ai rêvé notre histoire je suis au désespoir.
Devenir ton ami a défaut d’un mari
J’oublierais mes envies, je suis sage, je souris
J’étoufferais mon c’ur d’un linceul de douceur
Et durant quelques heures je tairais ma douleur.
Pour être auprès de toi je cacherais mon émoi
J’ai le c’ur à l’étroit moi qui n’aime que toi,
Souvent quand vient le soir, tu sais, je broie du noir
J’en suis au désespoir, j’ai besoin de te voir.
De la vie à la mort on veut aimer si fort
Quand je quitterais mon corps mon âme t’aimera encore
Etje pense à tes yeux je me sens malheureux
Ils brillent pour d’autres cieux moi j’existe si peu.
Verrais-je ton sourire, entendrais-je ton rire
Je m’assois et soupire, je crois que je délire,
Et quand je t’aperçois, moi je l’envie crois moi
Le vent devenu roi, frôlant ta peau de soie.