4. PETITES AFFICHES DES ALPES-MARITIMES
12 mai 2017
Telecom Valley initie le public à la cartographie
OpenStreetMap lors de « Les Souffleurs d’Avenir »
vendredi 12 mai 2017
Partenaire de la 3ème édition des « Souffleurs d’Avenir » de la ville de Biot du 19 au 21 mai, Telecom
Valley organise une animation collective autour de la cartographie participative du territoire biotois sur la
plateforme libre et ouverte OpenStreetMap. Associations et grand public sont invités à jouer les
cartographes !
Festival d’innovation éco-citoyenne, « Les Souffleurs d’Avenir » organisé par la Ville de Biot du 19 au 21 mai est un espace de rencontres et
d’échanges pour insuffler de nouvelles initiatives positives et concrètes en faveur d’un avenir durable.
Telecom Valley propose, les Samedi 20 et Dimanche 21 mai, une animation ludique pour initier le public mais aussi les acteurs
associatifs du territoire (Biot Athlétique Club, Travisa, l’ASEB…) à l’usage d’OpenStreetMap*.
L’objectif de cette animation est de motiver le public à se déplacer au sein des rues, sentiers et chemins de Biot pour collecter et cartographier les
données du territoire : sentiers, pistes VTT, voies ferrées, cours d’eau, forêts, bâtiments utilitaires ou remarquables, les parcours vélo etc par le
biais d’un Smartphone , d’un GPS ou d’une carte, pour ensuite les référencer sur le site OpenStreetMap France et devenir ainsi contributeurs à
cette découverte et appropriation de leur propre territoire de vie.
Jean-Louis Zimmermann, secrétaire d’OpenStreetMap France, sera présent aux côtés des participants pendant ces deux jours pour les
former et les aider à comprendre l’utilité d’OpenStreetMap.
Au programme
Rendez-vous au Centre Communal d’Action Social (CCAS) de Biot – Salle du foyer
- L’animation proposée par Telecom Valley se déroulera en deux parties :
La 1ère partie sera réservée aux associations biotoises, invitées à participer à des formations groupées le :
· Samedi 20 mai à 10h : formation avec les associations : Faune et Flore, Patrimoine Historique Randonnées, Chemin vélo.
· Dimanche 21 Mai à 10h : formation avec les associations : Sentiers VTT, Handicap moteur, Handicap Visuel.
La 2ème partie dédiée exclusivement au grand public, aura lieu les après-midis à partir de 14h.
L’objectif est d’initier les citoyens à l’utilisation d’OpenStreetMap sur les thématiques suivantes :
· Hydrant (sécurité incendie),
· Mobilier urbain (banc, toilettes, arrêts de bus…),
· 3D (outil OpenStreetMap),
· Handicap (aménagements adaptés),
· Streetview (outil OpenStreetMap) avec de la recherche d’informations et des formations sur l’utilisation des outils OpenStreetMap.
Entrée libre sans inscription pour cette seconde partie.
Plus d’informations sur la manifestation Les souffleurs d’avenir en cliquant ici.
* OpenStreetMap (OSM) est un projet qui a pour but de constituer une base de données géographique libre du monde (permettant par exemple
de créer des cartes sous licence libre), en utilisant le système GPS et d’autres données libres. Il a été initié en juillet 2004 par Steve Coast à
l’University College de Londres. Par l’utilisation de moyens informatiques basés sur Internet qui permettent l’intervention et la collaboration de
5. tout utilisateur volontaire, OpenStreetMap relève de la géomatique 2.0 et est aussi une contribution à ce qui est appelé la néogéographie, dont les
outils composent le GeoWeb.
Début 2013, le millionième contributeur participant à la réalisation de la carte mondiale librement accessible et utilisable a été enregistré.
Source : Wikipédia
7. La Tribune
23 mai 2017
Un challenge Booster, pour quoi faire ?
Par Laurence Bottero | 23/05/2017, 13:05 | 595 mots
(Crédits : Thales Alenia Space)
Se servir – intelligemment – du meilleur des données
spatiales, c'est le but des appels à projets lancé par
Booster, ce label obtenu par les acteurs régionaux du
secteur début 2016. Le but : soutenir les projets capables
d'être appliqués et utilisés dans le quotidien. Tout un
champ des possibles… qu'il faut faire émerger.
Il ne s'appelle plus Booster PACA mais Booster Space4Earth. Un nom plus "international" qui colle aussi et surtout
avec son objectif : faire émerger des projets capables d'aller très vite pour ne pas dire immédiatement sur les
marchés européens et internationaux. Obtenu début 2016 par Cospace, le pôle qui réunit les industriels et les
institutionnels du spatial, Booster est mené par le pôle Safe. Si depuis 18 mois, il est resté discret, il passe
aujourd'hui à une phase "visible" : inciter, provoquer et encourager des projets. C'est ainsi que le premier
Challenge numérique open data "Risques et sécurité" sera lancé très officiellement le 13 juin prochain avec la Ville
de Cannes sur la thématique de la gestion de crise. Mais le but, c'est quoi ?
La culture du concret
"Le but est de valoriser les systèmes spaciaux tels Copernicus ou Galileo dans des applications qui n'ont rien à voir
avec le spatial", explique Loïc Chanvillard en charge au pôle Safe de Booster Space4Earth. C'est ainsi "mettre en
liaison des acteurs qui se parlent peu", mais qui ont beaucoup de points de convergence, en l'occurrence ceux du
numérique et du spatial, pour "créer des verticaux où se retrouve la donnée spatiale". Ce qui concerne finalement
une cible assez large comme les secteurs de l'environnement, des risques, de la santé, du maritime ou de la
sécurité...
Mais si Booster Space4Earth devient plus visible avec le lancement de ce premier challenge, cela ne signifie pas
qu'il ne s'est rien passé depuis janvier 2016. Un guichet appuyé sur le programme PIAVE (Projets industriels
d'Avenir) pour financer des projets de R&D en phase d'émergence menés par des PME a été mis en place. 5
d'entre eux ont été financés pour un budget total de 2 M€.
"Booster réunit un ensemble d'acteurs qui en fait un tout permettant l'animation, la gestion de projets et
l'accélération de ces projets sur le marché", commente Loïc Chanvillard. Et les challenges numériques font partie
des outils capables de mener à la finalité de Booster. En l'occurrence, "être des appels à projets sur des
thématiques aval". A noter que c'est Telecom Valley, le cluster du numérique azuréen basé à Sophia-Antipolis, qui
est à la manœuvre organisationnelle. Il faut dire que l'association que co-président Pascal Vignon et Cédric Ulmer
sait faire, forte de son expérience en la matière via le Challenge Jeunes Pousses notamment.
A Cannes, il est donc question de sécurité du citoyen et de sécurité environnementale. Un second challenge est
programmé pour octobre prochain avec L'Entente de Valabre (établissement public qui s'attache à la préservation
des espaces naturels et des personnes face aux risques technologiques et naturels NDLR) basé dans les Bouches -
du-Rhône, sur comment aider les pompiers à intervenir de manière plus fine et ciblée notamment pour ce qui est
des problématiques DFCI.
Spectre élargi
Bien sûr, les projets qui naissent doivent viser des marchés internationaux "avec pourquoi pas un premier client en
local pour aller à l'export", explique Loïc Chanvillard. Ainsi, le challenge numérique mené avec Cannes, prévoit de
permettre aux projets sélectionnés d'être testés grandeur nature pendant un an sur le territoire cannois.
Auparavant, les candidats auront, eux, été coachés pour faire mûrir l'idée initiale. Du côté de Booster, la volonté est
de davantage se structurer. Un comité stratégique devrait se tenir prochainement et une gouvernance être mise en
place.
10. WebTimeMedias
23 mai 2017
Cannes accueille le 1er Challenge Numérique du
Booster Space4Earth
Publié le 23 May, 2017 - 11:10 par Jean-Pierre Largillet - Vu 1341 fois
Stimuler la créativité et lancer des applications innovantes à partir de données ouvertes, l'Open Data :
c'est l'objectif du Booster Space4Earth qui lance son premier Challenge Numérique Open Data "Risques
et Sécurité" à destination de StartUps, TPEs et PMEs. Porté par le Cluster SAFE, le booster est une
initiative du COSPACE (Comité de concertation État-Industrie dans le domaine spatial). Une initiative
qui s’inscrit dans un contexte de libéralisation et de valorisation des données spatiales donnant
notamment aux entreprises un accès gratuit à des informations provenant de satellites. Pour sa
première édition, le challenge, qui est organisé avec le soutien de Telecom Valley, s’invite sur le
territoire de la ville de Cannes.
La notion de ville numérique intelligente et connectée offre une multitude de possibilités pour améliorer
la prévention et la gestion de situation de crise, est-il expliqué. Le Challenge Numérique du Booster
Space4Earth vise à libérer le potentiel d’innovation en exploitant les données des systèmes
d’information géographique de la ville de Cannes et les produits et services des systèmes spatiaux du
programme Copernicus, afin de répondre à cette problématique. Copernicus étant le programme
européen de surveillance du climat et d’observation de la Terre basé à la fois sur l’utilisation de
systèmes satellitaires et de réseaux de capteurs in-situ.
La réunion de lancement de ce challenge aura lieu le mardi 13 juin prochain, à la Mairie de Cannes et
donnera l’occasion de présenter des données ouvertes mises à disposition des participants et de
préciser les attentes du challenge. Celui-ci consistera à développer, pendant deux mois, seul ou en
équipe un projet à caractère innovant, au sens large, d’une innovation technologique dans la
thématique de la gestion de crise. Les projets seront présentés devant un jury de professionnels le 3
octobre prochain, qui désignera le lauréat de cette première édition.
Les prix à gagner sont intéressants :
70 000 €, somme qui pourra être répartie entre plusieurs lauréats, si plusieurs projets sont
sélectionnés en phase finale
1 an d’expérimentation & de promotion du projet lauréat sur le territoire de la ville de Cannes !
Contact
Inscriptions & renseignements pour participer à ce challenge : www.challenge-booster-
paca.fr
11. Lemondeinformatique.fr
26 mai 2017
Le Booster Space4Earth
s'invite à Cannes
L'accélérateur Booster Space4Earth organise le 13 juin prochain à Cannes son premier
challenge numérique sur le thème Open Data « Risques et Sécurité » à destination des start-
ups, PME et TPE de la région pour encourager l'ouverture de nouveaux marchés liés au
couplage du numérique et des données spatiales.
Le challenge numérique du Booster Space4Earth
permettra de libérer le potentiel d’innovation en
exploitant les données des systèmes d’information
géographique de la ville de Cannes et les produits et
services des systèmes spatiaux du programme
Copernicus. Crédit. D.R.
En septembre 2015, le Cospace (comité de concertation
entre l’Etat et l’industrie dans le domaine spatial) avait
lancé l’appel à labellisation « Booster ». Le but ? Mettre
en place des accélérateurs de projets regroupant des
acteurs du spatial, du numérique et des domaines applicatifs. De cette initiative est née le Booster PACA,
rebaptisé Booster Space4Earth, une action visant à réunir l’ensemble des entreprises autour d’experts en
données spatiales et en services numériques pour échanger sur les différentes données disponibles et
s'informer sur les plateformes et outils disponibles, en particulier les solutions technologiques du
numérique.
Pour faire émerger des projets, le Booster organise le 13 juin prochain à Cannes un premier challenge
numérique sur le thème Open data, Risques et Sécurité. Lancé avec le soutien du cluster azuréen Telecom
Valley, ce concours s’adresse aux start-ups, TPE et PME situées dans la région Occitanie. L’objectif
consiste à développer, pendant deux mois, seul ou en équipe un projet à caractère innovant dans la
thématique de la gestion de crise. Les projets seront présentés devant un jury de professionnels le 3
octobre prochain, qui désignera le lauréat de cette première édition. A l’arrivée une dotation de 70 000 €
pourra être répartie entre les gagnants, si plusieurs projets sont sélectionnés en finale. Le Booster
permettra également au projet lauréat d’être promu et expérimenté pendant un an sur le territoire cannois.
Article rédigé par
Véronique Arène Journaliste
15. La Tribune
30 mai 2017
Telecom Valley - industrie : même combat ?
Par Laurence Bottero | 30/05/2017,
17:02 | 548 mots
(Crédits : Reuters)Le cluster des
entreprises du numérique basé à
Sophia-Antipolis continue de se
rapprocher du monde industriel azuréen.
Parce qu'il y a bien quelques
problématiques en commun.
On les pensait éloignés. Depuis
2015, ils sont pourtant bien plus
proches. Entre le cluster des
entreprises du numérique et les
industriels azuréens, on est passé du mode chacun dans son coin au mode ajout de compétences.
Essentiel et assez malin.
Bonnes initiatives
Le premier pas c'est Telecom Valley qui le fait il y a deux ans. L'initiative revient à Pascal Flamand, le
président d'alors, tout simplement parce que "nous ne nous connaissons pas et que nous avons
beaucoup à apprendre mutuellement". Un constat suivi d'une action, la participation du cluster à
Industria, le rendez-vous annuel et devenu incontournable de la filière industrielle azuréenne. Une
première approche, qui n'est pas restée unique mais qui surtout a été productive.
"Le dialogue avec les industriels est meilleur", souligne d'ailleurs Pascal Vignon, l'un des deux co-
présidents élus en mars dernier. La preuve : Telecom Valley continue de participer à Industria.
Mais ce n'est pas là l'unique manifestation de l'intérêt réciproque. Il y a aussi SoFab, le FabLab que le
cluster gère et qui n'est pas sans répondre à la problématique numérique de l'industrie, entre virage
obligatoire et industrie 4.0 qui se profile largement. "Nous avons vocation à accompagner les industriels
sur ce sujet", dit bien Pascal Vignon. Des projets seraient d'ailleurs en cours de développement.
Autre sujet à partager, le lean management, un thème "sur lequel les industriels sont arrivés très tôt",
reconnaît Pascal Vignon et qui ont donc de la plus-value à apporter aux entreprises du numérique. "Nous
allons chercher des retours d'expérience et des bonnes pratiques". C'est ce qui s'appelle le fameux win
win...
Mode d'emploi
Pas gagnant du tout en revanche est le problème de recrutement de talents. Une pénurie là encore que
la filière numérique et la filière industrielle partagent. Et que Pascal Vignon analyse par "un manque
d'attractivité de la région", essentiellement imputable "à la pression sur les salaires et un immobilier dont
le coût augmente". Et le président de l'association de rappeler que seuls 250 ingénieurs sont formés par
an quand les besoins sont bien plus élevés, de l'ordre de 2 000 postes à pourvoir annuellement. "Les
écoles ne produisent pas suffisamment d'ingénieurs. On constate une désaffection envers les matières
scientifiques après le bac". Or la filière industrielle embauche à bac +2 et la filière numérique à bac +5.
Le manque se fait donc très vite sentir.
16. Sur ce sujet précis, Telecom Valley travaille à organiser d'ici la fin de l'année, via sa commission Emploi-
Formation, un Forum de l'emploi dont le but est d'être pragmatique en réunissant en un même lieu les
entreprises qui recrutent et les profils qualifiés. Une autre action win win. Mais qui ne peut résoudre le
problème de fond. Comment favoriser les métiers scientifiques ? Comment orienter vers les filières qui
recrutent ? Et surtout ne pas être obligés d'aller recruter à l'étranger ? La nouvelle ministre de
l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, alors présidente de l'Université Nice Sophia
Antipolis avait été sensibilisée sur le sujet notamment par le patronat local. Frédérique Vidal, désormais
au gouvernement, contribuera-t-elle à porter la bonne parole ?
http://marseille.latribune.fr/economie/2017-05-30/telecom-valley-industrie-meme-combat-726952.html
17. Newsletter Invest in Cote d’Azur
31 mai 2017
http://mailchi.mp/investincotedazur/la-newsletter-invest-in-cote-dazur-371993?e=ac6b487a54