Cet article présente des observations importantes sur la planification territoriale et le processus de développement de la Hollande à travers l'histoire

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OBSERVATIONS SUR LA PLANIFICATION TERRITORIALE ET DE
DÉVELOPPEMENT RÉUSSIE DES PAYS-BAS
Fernando Alcoforado *
Les Pays-Bas sont également appelés les Pays-Bas parce que plus d'un quart du pays est
en dessous du niveau de la mer. Le nom officiel du pays est (Royaume des) Pays-Bas,
qui se compose de douze provinces. Deux de ces provinces, la Hollande du Nord et la
Hollande du Sud, forment ensemble les Pays-Bas. En raison de la puissance maritime et
économique de ces provinces au dix-septième siècle, les Pays-Bas sont devenus connus
comme la Hollande dans le monde entier. Et pourquoi ne serait-ce pas alors Pays Bas,
singulier? C'est que les Pays-Bas sont divisés en 12 provinces, qui seraient de tels pays,
au pluriel. Deux de ces provinces - appelées Hollande du Nord et du Sud - sont
devenues synonymes de toute la région. Il est important de noter que ces deux provinces
ont longtemps dominé l'histoire du pays. Il y a les grands ports et les navires qui ont
voyagé à l'étranger ont porté avec eux le nom de la région.
Plus important encore est la lutte des Hollandais contre la géographie ingrate du pays,
car jusqu'au quatorzième siècle, une partie de ce qui est aujourd'hui la Hollande a été
submergée. Pour éviter l'inondation d'Amsterdam, et du reste du pays, les Néerlandais
ont décidé de trouver une solution qui soit un système de canaux. Cela a commencé au
treizième siècle.Le système de canaux à Amsterdam est le résultat d'un urbanisme réussi
à des fins défensives et pour le transport depuis l'expansion de la ville au cours du
16ème siècle. La ville a été construite sur des digues et des barrages qui luttent contre
l'eau et l'envoient à la mer. Ainsi, les canaux ne sont pas seulement esthétiques, en
réalité, ils ont une utilité très importante.
La Hollande était, au Moyen Age, un pays avec une situation géographique privilégiée
pour transporter des produits de la mer, ce qui était précieux. Propriétaire de la
Compagnie hollandaise des Indes orientales, qui contrôlait le trafic maritime pour
rechercher des produits à l'Est et les revendre en Europe, la Hollande était un pays
spécialisé dans l'art de la bonne affaire. Et, contrairement à d'autres pays européens, il
n'était pas dominé par la hiérarchie catholique. Ce manque d'autorité religieuse et la
culture du commerce ont fait des Pays-Bas un pays tolérant, étant le premier à autoriser
légalement la religion juive dans le monde, par exemple. Tout au nom de l'entreprise.
Le 17ème siècle était l'âge d'or de la Hollande quand c'était le pays le plus riche du
monde. Et c'est à ce stade que le fameux réseau de canaux circulaires a été étendu à
Amsterdam. Les fonctions étaient doubles: créer un espace permettant à l'eau de circuler
à travers des filets sécurisés jusqu'à la rivière Amsted, d'éviter les inondations et de
créer un bel héritage architectural. Ils l'ont fait. Les canaux d'Amsterdam constituent
l'un des plus beaux paysages du monde. A propos d'Amsterdam, il y a une chose qui
caractérise le mieux ce sont sans aucun doute les canaux. Le système de canal qui
traverse la ville ressemble aux veines de sang, lui donnant la vie.
L'introduction des moulins à vent, symbole du pays, était la technologie nécessaire pour
drainer d'énormes zones inondées - les grandes pelles ont capté l'énergie du vent et avec
elle ont déclenché des pompes d'aspiration. Ceci, avec la construction de barrages, a
permis l'augmentation du territoire habitable. En janvier 1953, les digues qui
protégeaient le sud-ouest des Pays-Bas se sont brisées après une violente tempête,
combinée à des marées hautes. Environ 150 000 hectares de terres ont été inondés et
1800 personnes sont mortes. Le pays a ensuite développé le Plan Delta, qui a renforcé et

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élevé des digues, et la construction de barrages pour protéger les Pays-Bas contre la
basse altitude par rapport à la mer.
Au cours des 900 dernières années, les Néerlandais ont construit des digues pour se
protéger contre les eaux de la rivière qui traversent le pays et les eaux de la mer. En
conséquence, les Pays-Bas ont maintenant des milliers de kilomètres de digues qui leur
assurent une telle protection. C'est un exploit impressionnant. La menace de l'eau vient
non seulement de la mer du Nord, mais aussi des rivières qui coulent à travers la
Hollande avant de se déverser dans la mer. Il est important de noter que les Pays-Bas
sont la «boîte à eau de l'Europe» parce qu'à la fin de l'hiver, après la longue saison des
pluies et la fonte des neiges, un énorme volume d'eau provenant de Suisse, Allemagne,
France et Belgique il coule le long de la rivière et entre aux Pays-Bas. Cette quantité
colossale d'eau peut causer de sérieux problèmes. Par exemple, en février 1995, les
rivières dans le centre du pays ont commencé à augmenter tellement que les gens
craignaient que la pression de l'eau puisse briser les digues. S'il y avait une brèche,
toutes les terres derrière les digues aurait été couvert de nombreux mètres d'eau.
Aujourd'hui, des millions de Néerlandais vivant sous le niveau de la mer peuvent dormir
paisiblement la nuit en raison d'une lutte constante contre les inondations.
Pendant des milliers d'années, une barrière naturelle - des plages et des dunes - s'est
formée pour protéger les Pays-Bas contre l'avancée de la mer. Mais l'érosion constante
affaiblit cette barrière. Pour compenser cette perte, les dragueurs tirent le sable des
fonds marins à 9 ou 20 kilomètres au large et le déposent sur la plage située devant.
Depuis 1970, environ 85 millions de mètres cubes de sable ont été retirés des fonds
marins pour conserver les dunes du pays. En 1932, les Hollandais ont construit
l'Afsluitdijk, un digue de fermeture de 32 kilomètres de long pour barrer la mer du
Nord. Tout d'un coup, cette digue a transformé la mer intérieure de Zuider Zee (Mer du
Sud) en un lac, l'Ijssel. 20 ans plus tard, en 1953, après une inondation qui a tué 1 835
personnes, les constructeurs de digues ont mis en œuvre un projet encore plus grand.
Son but était de fermer toutes les criques du sud-ouest du pays, à l'exception de celles
qui menaient aux ports de Rotterdam et d'Anvers.
Contrairement à d'autres pays, la Hollande est connue pour ses polders, des plaines de
«nouvelle terre» au-dessous du niveau de la mer, entourés de digues. Ces terres
ressemblaient à des marais, mais salés. Il y a près de mille ans, les Pays-Bas ont entamé
un processus de lutte contre la nature et sa survie. Environ 60% du territoire néerlandais
était sous le niveau de la mer. Depuis lors, la technologie et la lutte des Néerlandais
visaient à étendre les zones à usage humain, créant ainsi un système très sophistiqué de
digues, de barrages et de canaux. Ces changements sur le territoire ont été possibles
grâce à la construction de plus de 3 000 polders qui ont permis le drainage d'une grande
partie du territoire néerlandais. Un dicton dit que "Dieu a créé le monde et les
Néerlandais les Pays-Bas". À propos des digues, il est important d'observer que le
Digue du Tororó à Salvador à Bahia a été construit par les Hollandais quand ils ont
occupé cette ville en 1626.
Jusqu'à la fin du 19ème siècle, le niveau d'eau dans les polders était contrôlé par des
moulins à vent. Actuellement, tout le travail est effectué par des stations de pompage
informatisées. Dans le polder, la digue environnante l'empêche d'être inondée. Mais le
polder n'a pas de couverture. Une forte pluie pourrait provoquer le remplissage de la
plaine. Afin d'éviter les tragédies, l'eau doit être pompée de force. Mais où va l'eau? Le
polder a un système de fossés qui drainent l'eau à la station de pompage. Pour que ces

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fossés ne sont pas obstrués, les fermiers doivent maintenir nettoyer ceux qui sont sur
votre propriété. La station pompe ensuite l'excès d'eau du polder vers le boezem, un
système ingénieux de lacs et de canaux qui sert de bassin de stockage d'eau à l'extérieur
du polder. L'eau en excès dans le boezem coule dans la mer à marée basse.
Maintenir le bon niveau d'eau dans le polder est vital pour l'économie néerlandaise.
Pendant les étés secs, les agriculteurs ont besoin d'eau dans les fossés pour les
graminées et les plantations. Certains polders cultivent l'un des produits d'exportation
les plus célèbres du pays: les fleurs. Au vingtième siècle, les polders n'étaient plus
considérés simplement comme des terres arables supplémentaires; mais ils ont
également été considérés comme des espaces vitaux. Il y a un demi-siècle, lorsque les
urbanistes ont commencé à planifier des villes dans les bureaux de vote, ils avaient peu
d'expérience dans l'organisation de nouvelles communautés. Mais aujourd'hui, si vous
visitez les polders, vous verrez que les planificateurs urbains ont très bien fait dans les
villes en développement où, autrefois, c'était le fond marin. Par exemple, si vous vous
êtes arrêté à l'aéroport de Schiphol près d'Amsterdam, votre avion a atterri sur ce qui
était le fond d'un lac. Le fait qu'il n'ait pas réalisé qu'il a atteint près de 4 mètres sous le
niveau de la mer prouve que les digues aux Pays-Bas sont toujours en bon état.
L'ingéniosité des ingénieurs néerlandais et le rôle de l'ingénierie sont évidents, en
particulier l'hydraulique dans l'effort pour apprivoiser les eaux des rivières et la mer en
Hollande et de l'aménagement du territoire et le développement réussi des Pays-Bas.
L'un des grands travaux d'ingénierie hollandais est le Port de Rotterdam qui possède
plus de 600 ans d'expérience dans la gestion et le développement d'infrastructures
portuaires de classe mondiale et internationale avec son réseau portuaire mondial. C'est
le plus grand centre logistique et industriel d'Europe et le huitième au monde. Avec une
manutention de 450 millions de tonnes de marchandises par an, c'est la principale porte
d'entrée sur le marché européen avec plus de 350 millions de consommateurs. Le port
de Rotterdam a environ 12 500 ha d'extension, entre les connexions maritimes et
fluviales, avec une grande diversité de terminaux, capables de recevoir les plus grands
navires dans le monde, 24 heures par jour / 7 jours par semaine.
Le transport de marchandises s'effectue rapidement, efficacement et économiquement
dans le port de Rotterdam au moyen d'un accès par eau, route, rail et pipeline, ainsi que
par des transbordements / mangeoires et des transports maritimes à courte distance. Il a
maintenant été dépassé par les ports asiatiques tels que ceux de Singapour et de
Shanghai. Les plus importants pour le port de Rotterdam sont les industries
pétrochimiques et générales. Le port sert de point de transit important pour le transport
de marchandises en vrac et d'autres marchandises entre le continent européen et d'autres
parties du monde. Depuis Rotterdam, les marchandises sont transportées par bateau, par
barge, par chemin de fer ou par route. En outre, Rotterdam est une ville qui vibre avec
l'art, la culture, l'innovation, le design et le style, accompagnée de nombreux espaces
verts avec une urbanisation exemplaire, des pistes cyclables dans toute la ville. Mais si
vous avez une raison pour laquelle Rotterdam doit être très fière, c'est à cause de son
architecture. Partiellement détruite pendant la Seconde Guerre mondiale, la ville a
retrouvé son style, devenant une référence mondiale en architecture.
Le changement climatique mondial est également devenu un sujet d'intérêt pour les
Pays-Bas. De nombreuses délégations de sites de diverses parties du monde atterrissent
dans la ville portuaire de Rotterdam pour embaucher des entreprises néerlandaises qui
dominent le marché mondial de l'ingénierie de haute technologie et de la gestion de

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l'eau. En effet, dès le premier moment où la population de cette petite nation a
commencé à drainer les terres pour la plantation et le logement, l'eau est devenue un fait
primordial dans son existence, une question d'identité nationale et de survie. Aucun
autre endroit en Europe ne se voit plus menacé que cette nation couverte d'eau sur les
rives du continent - après tout, une grande partie est au-dessous du niveau de la mer et
submergeant lentement. Maintenant, le changement climatique apporte la perspective de
marées plus hautes et de tempêtes encore plus violentes.
Du point de vue néerlandais, le changement climatique doit être traité,
fondamentalement, dans le but de permettre à l'eau d'entrer dans la mesure du possible
sans l'intention de soumettre Mère Nature. En d'autres termes, les Hollandais cherchent
à s'adapter à l'élément et ne pas se battre pour le vaincre. Les Hollandais ont conçu des
lacs, des garages, des parcs et des places qui ne sont pas seulement utiles pour la vie
quotidienne, car ils servent de réservoirs lorsque les mers et les rivières débordent. On
peut également construire un barrage sans fin, mais à la fin, selon les Néerlandais,
aucune des deux options ne fournira des défenses adéquates. Et c'est le message qu'ils
répandent dans le monde entier.
En effet, les Pays-Bas occupent un marécage limité en Europe d'un côté de la mer du
Nord, où d'immenses fleuves tels que le Rhin et la Meuse proviennent d'Allemagne, de
Belgique et de France. La philosophie hollandaise a changé après les inondations qui
ont forcé des milliers de personnes à évacuer dans les années 1990. Les inondations
étaient le signe avant-coureur, montrant que les Hollandais devaient retourner dans les
rivières une partie de l'espace que nous avions volé. Les Hollandais défendent la thèse
qu'ils ne peuvent pas seulement construire des digues de plus en plus nombreuses. Nous
devons donner plus de place aux rivières. La protection contre le changement
climatique, dans le cas néerlandais, comprend non seulement les écluses et les barrages
gigantesques en mer, mais toute une philosophie d'aménagement du territoire, de
gestion de crise, d'éducation de la petite enfance, d'applications en ligne et d'espaces
publics.
Les villes néerlandaises, habituées à recommencer, se sont réinventées comme des
centres d'ingéniosité environnementale. Ce fut le premier dans la construction
d'installations telles que les parkings qui deviennent des réservoirs d'urgence,
garantissant des conditions pour éviter le débordement des stations d'épuration à cause
des tempêtes qui doivent survenir tous les cinq ou dix ans. Il a installé des squares, des
jardins et des terrains de basket dans les quartiers nécessiteux qui servent également de
bassins de rétention. Pour les Néerlandais, une ville intelligente doit avoir une vision
globale et holistique qui va bien au-delà des digues et des écluses. Le défi de
l'adaptation au climat comprend la sécurité, l'assainissement, le logement, les routes, les
services d'urgence. Le public doit être mis au courant. et il doit y avoir une résilience
cybernétique car le prochain défi en termes de sécurité climatique sera lié à la sécurité
de l'internet. Vous ne pouvez pas avoir de systèmes vulnérables pour contrôler les
écluses, les ponts et les usines de traitement. Et nous avons besoin d'un système
politique sensé, à la fois grandes et petites mesures.
Selon les Néerlandais, tout commence par de petites choses telles que les gens qui
enlèvent la couverture de ciment du jardin pour que le sol absorbe l'eau de pluie et se
termine avec un barrage gigantesque pour empêcher les tempêtes dans la mer du Nord.
Cela se réfère au Maeslantkering, construit près de la sortie de la mer, à environ une
demi-heure de route à l'ouest du centre - ou la première ligne de défense de la ville.

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C'est la taille de deux Tours Eiffel tubulaires, l'une sur l'autre. Dans les vingt années qui
ont suivi son inauguration, Maeslantkering n'était pas tenu d'empêcher les
débordements, mais, bien sûr, il a été testé régulièrement.
En ce qui concerne les infrastructures économiques (énergie, transports et
communications) et sociales (éducation, santé, logement et assainissement de base), les
Pays-Bas sont l'un des pays les plus avancés du monde. L'État-providence a également
été établi aux Pays-Bas pour répondre aux besoins de sa population. En ce qui concerne
le secteur de l'énergie, le blog Blog A Casa do Barão,, disponible sur le site
<https://acasadobarao.wordpress.com/2009/07/28/holanda-e-brasil-diferentes-formas-de-
encarar-a-energia//> indique que les Pays-Bas ont pour objectif d'avoir 30% de leur
matrice énergétique constituée de sources d'énergie propres et renouvelables d'ici 2020.
Actuellement, 99% de tous les déchets ménagers d'Amsterdam sont transformés en
énergie verte, chaleur et les matériaux de construction. A Amsterdam, le métro,
l'éclairage public et bien d'autres fonctionnent avec ce que presque tout le monde joue
dehors. Penser aux lignes de métro entraînées par l'énergie tirée de ordure est étrange,
mais cela fonctionne. Environ 1,4 million de tonnes d'ordures sont traitées chaque année
dans la capitale néerlandaise. Ce volume de matériaux garantit également l'énergie
nécessaire à l'éclairage public de la ville. Même les restes du matériau incinéré sont
réutilisés sous la forme de composés utilisés dans l'asphalte de rue. Des cheminées des
usines de recyclage, la seule chose qui sort est la vapeur d'eau.
L'énergie éolienne et la biomasse sont les principales sources d'investissement des Pays-
Bas dans la recherche de sources d'énergie propres. Actuellement, environ 3% de
l'énergie consommée par le pays provient de l'énergie éolienne. Ses énormes éoliennes
sont maintenant réparties sur terre et sur mer. Tellement d'intérêt pour l'énergie propre
va loin des centrales nucléaires: bien qu'elles ne produisent pas d'éléments qui attaquent
la serre, elles sont extrêmement difficiles à éteindre et leurs résidus sont considérés
comme un problème difficile. Dans la capitale, Amsterdam, il existe un intérêt
indéniable à atteindre les objectifs nationaux de développement durable. Les
propriétaires de bars, restaurants, cafés et magasins sont invités à demander la visite de
consultants en énergies renouvelables. Pour les propriétaires de petites entreprises, des
prêts allant jusqu'à 10 000 euros seront mis à disposition avec un délai de grâce de
quatre ans à payer. L'intention est qu'ils investissent dans la modernisation des
établissements.
Qu'en est-il des autoroutes durables? C'est la conception d'une route qui serait entourée
d'un dôme de verre. Raison? Réduire le bruit, les émissions de particules de CO2 de
l'échappement des voitures et encore générer de l'énergie. Sur l'asphalte, les systèmes
d'absorption des chocs transformeraient le mouvement des automobiles en énergie. Sur
les dômes de verre seront installées des cellules photovoltaïques pour absorber la
lumière du soleil. Aussi à Amsterdam, De Bazel célèbre bâtiment symbole de la ville a
été transformée en un bâtiment contemporain et durable. Au sommet du bâtiment, des
gouttières descendent d'une voûte de verre. À travers eux, l'air chaud de l'été descend
dans la nappe souterraine. Cette même eau chauffée sera pompée à la surface en hiver
hollandais. Selon les prévisions, tous les investissements réalisés jusqu'à sept ans ont été
payés.
Une grande partie du succès des Pays-Bas en matière d'aménagement du territoire et de
développement est due à l'éducation de sa population. Le système éducatif néerlandais a
une excellente réputation partout dans le monde en raison de sa haute qualité. Les

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établissements d'enseignement supérieur et les universités néerlandaises offrent plus de
1 700 cours et programmes internationaux entièrement en anglais. Ces programmes
couvrent une grande variété de domaines. Les cours sont intenses, de haut niveau et
avec une orientation pratique conçue pour répondre aux attentes des étudiants cherchant
à acquérir des connaissances spécialisées. Ces cours combinent théorie et pratique dans
des situations réelles ou des simulations. Les cours fournissent un diplôme ou un
certificat, selon le programme entrepris pour les baccalauréats, les maîtrises et les
doctorats. Les Pays-Bas a reçu une reconnaissance internationale pour son système «
d'apprentissage basé sur les problèmes » qui permet aux étudiants d'analyser et de
résoudre les problèmes pour eux-mêmes par l'accent mis sur l'auto-apprentissage et
l'auto-discipline. Les Pays-Bas ont deux formes d'enseignement supérieur. Les
universités de recherche, qui sont axées sur la recherche indépendante à un poste
universitaire et les universités des sciences appliquées, qui sont plus concentrés dans la
pratique et préparent les étudiants directement à des carrières spécifiques. Une petite
partie des universités est composée d'institutions internationales d'enseignement, qui
offrent des programmes spécifiques aux étudiants étrangers.
11 des 14 universités de recherche aux Pays-Bas figurent dans le top 200 des
classements QS World University 2013-2014. 6 d'entre eux sont dans le top 100 et tous
ont amélioré leurs positions par rapport à l'année précédente. Les universités de
recherche néerlandaises ont visiblement amélioré leurs positions dans les classements
universitaires QS 2013 récemment publiés. Six d'entre eux ont atteint le sommet des
100 universités du monde. L'Université d'Amsterdam, classée 58e cette année, s'est
classée première aux Pays-Bas. Les cinq autres institutions néerlandaises qui sont parmi
les 100 meilleurs, Université de Leiden (74e), Université d'Utrecht (de 81e), l'Université
Erasmus de Rotterdam (92), Delft University of Technology (95) et l'Université de
Groningen (97) ont également amélioré leur score global. L'université de technologie
d'Eindhoven et l'université de Wageningen ont également amélioré leur classement.
* Fernando Alcoforado, 78, membre de l´Académie Bahia de l'Education et de l'Académie Rotary
Brésilienne de Lettres - Section de Bahia, ingénieur et docteur de planification du territoire et du
développement régional pour l'Université de Barcelone, professeur d'université et consultant en
planification stratégique, la planification la planification stratégique, la planification d'entreprise,
planification des systèmes d'énergie, est l'auteur de livres de la Globalização (Editora Nobel, São Paulo,
1997), De Collor a FHC- O Brasil e a Nova (Des)ordem Mundial (Editora Nobel, São Paulo, 1998), Um
Projeto para o Brasil (Editora Nobel, São Paulo, 2000), Os condicionantes do desenvolvimento do
Estado da Bahia (Tese de doutorado. Universidade de
Barcelona,http://www.tesisenred.net/handle/10803/1944, 2003), Globalização e Desenvolvimento
(Editora Nobel, São Paulo, 2006), Bahia- Desenvolvimento do Século XVI ao Século XX e Objetivos
Estratégicos na Era Contemporânea (EGBA, Salvador, 2008), The Necessary Conditions of the
Economic and Social Development- The Case of the State of Bahia (VDM Verlag Dr. Müller
Aktiengesellschaft & Co. KG, Saarbrücken, Germany, 2010), Aquecimento Global e Catástrofe
Planetária (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2010), Amazônia Sustentável-
Para o progresso do Brasil e combate ao aquecimento global (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do
Rio Pardo, São Paulo, 2011), Os Fatores Condicionantes do Desenvolvimento Econômico e Social
(Editora CRV, Curitiba, 2012), Energia no Mundo e no Brasil- Energia e Mudança Climática
Catastrófica no Século XXI (Editora CRV, Curitiba, 2015), As Grandes Revoluções Científicas,
Econômicas e Sociais que Mudaram o Mundo (Editora CRV, Curitiba, 2016) et A Invenção de um novo
Brasil (Editora CRV, Curitiba, 2017). Il a Blog propre sur Internet (http://fernando.alcoforado.zip.net).
E-mail: falcoforado@uol.com.br.