2. 1 Histoire de l'écriture japonaise
L'écriture japonaise est venue de Chine au IV° siècle. Il n'y a pas
de preuve définitive d'écriture spécifiquement japonaise utilisée
au Japon auparavant. La langue japonaise s'est, durant des
siècle,accommodée des sinogrammes pour forger une écriture
composée, aujourd'hui, de quatre systèmes graphiques ; kanji
(sinogrammes), hiragana et katakana (deux écritures syllabiques)
et romaji (l'alphabet latin).
3. 2 L'écriture Kanji
Les kanjis contiennent également une très petite proportion de
caractères créés au Japon, appeler Shikoku. Pour chaque kanji, on
distingue trois attributs fondamentaux, que sont ses significations, ses
prononciations ou lectures et ses formes. Au sein de l'ensemble des
caractères, des listes officielles régissent l'usage pour les textes
courants et les prénoms.
4. 3 L'écriture Katakana
Les katakanas sont un des deux syllabaires utilisés en japonais.
Comme les hiraganas, l'autre syllabaire – les katakanas sont des signes
correspondant à des syllabes . Ils sont utilisés dans le système d'écriture
japonais pour transcrire les mots étrangers, les noms propres étrangers,
les noms scientifiques des plantes et animaux, et les onomatopées
japonaises.
5. 4 L' écriture Hiragana
Les hiragana ont été formés par abréviation cursive des kanjis
homophones. Ils permettent de transcrire la langue japonaise sans
ambigüité, au contraire des kanjis. En effet, chaque hiragana représente
une syllabe qui peut être une voyelle seule ou une consonne suivie
d'une voyelle ; il y a également le n syllabique , dont la prononciation
varie en fonction de la syllabe qui le suit.
6. 5 L'écriture Romaji
Le terme romaji ( ローマ字 ?, ou plus anciennement 羅馬字 ) désigne
les caractères de l'alphabet romain utilisés dans le cadre de l'écriture
japonaise. Ils se surajoutent aux trois systèmes graphiques initiaux du
japonais : les kanjis, les hiraganas et les katakanas.