2. Page 2 Contact 0698217214 « J’aime m’y perdre, prendre le détail que j’imagine être le seul à voir, prendre
diverses architectures et leurs donner du sens »
Constructions, architectures, sens, lignes de forces, perspectives Vous l’aurez
compris Olivier Bareau est un photographe urbain.
« Photographier du déjà beau
c’est vraiment présomptueux !
Comment le rendre p lu s
beau que ce qu’il n’est déjà ?
Non ! je préfère photographier le
quotidien, le laids parfois,
l’utile plutôt que le futile. »
3. Page 10 Contact 0698217214 Olivier Bareau Page 3
Photographe
Ma vision...Vos objectifs ...Notre image
Diplômes
. . , . .
M.J.M7,falseAutre,M.J.M
Diplôme de graphiste publicitaire
Publications
Red alert 11/07/2007
Illustration pour un article sur le fitness pour le site http://
www.misstilly.de/172+M542d9fa5512.html
Mondrian 21/10/2007
Iconographie du livre de MarK Hampshire "Square, Checks and Grids http://
www.rotovision.com/description.asp?isbn=978-2-940361-82-3
Références
Ma Gallerie Flash http://flickr.flashapis.com/host/?username=34287289@N00
Gallerie reprenanr certains de mes sets photos
Mon Best of 2006 splashr.com/show/desktop/kowax/100
Images les plus vues durant l’année 2006
Récompenses
"Images du jour " sur le site Flickr http://
Plusieurs Citations comme "
interestingby.isaias.com.mx/pm.php?id=34287289@N00&theme=white
Top contributor sur le site StockphotoPro http://www.stockphotopro.com
Matériel Photo
Nikon D50 Nikkor AF 50mn f/1,8 D, Nikkor AF 18-55 f3.5/5.6 G ED, Nikkor AF-S
55-200 f4/5.6 G ED, Tamron 100-300mm f6.3 , Sigma 24-70 f2.8 EX, Lensbabies
2.0, Kenko Teleconverter X2 pro 300
4. »Bien sûr en tant qu’infographiste je pourrais retoucher mes photos numérique-
Page 4 Contact 0698217214 ment, je ne cache pas que je rajoute un peu de contraste par ci de saturation
par là et que je recadre parfois mais rien de plus en tout cas rien qui ne pourrait
étre fait en labo traditionnel »
Ce qui ne l’empêche pas de participer a des essais de logiciels dans des domai-
Présentation nes tel qu la photo panoramiques ou les rendus HDR ( images a hautes plages
dynamiques).
Olivier Bareau est un autodidacte pas-
sionné d’images, très tôt il a su prendre « C’est mon coté geek, mais
le virage des arts numériques. Touche-à- ce n’est pas de la triche les
tout, curieux et envieux d’apprendre il procèdes sont clairement iden-
s’est forgé au fil des ans une identité tifiables, ce n’est pas du
numérique aux travers de ses différents maquillage juste une fa-
métiers. Ayant obtenu en 1992 un çons de pen- ser ses photos
diplôme de graphiste publicitaire au sein autrement, tout se passe à
de l’école MJM à Nice il se spécialisa la prise de vue, il faut pen-
dans la P.A.O à l’époque encore balbu- ser une image panoram ique,
tiante. Mais la double révélation fut pour lui la découverte des œuvres de Nam de plus ca nécessite sou-
Jun Paik ainsi que l’achat d’un ordinateur à la capacité graphique étonnante vent de se trimballer avec
pour l’époque : un Amiga 500 ! un matériel lourd. Il y a
donc une ré- elle intention de
« Mon père avait acheté un des tout premier Mac Plus, je trouvais que Macpaint le faire et ce n’est pas pour moi une façons de rattraper une image foutue !!! »
était sympa mais tout ça manquait de couleurs et de possibilités vidéos et puis
c’était surtout son jouet pas le mien ! « Pas de triche donc mais une réelle intention de capturer l’instant .
De la couleur ? Point trop n’en faut ! Reprenant à son compte l’adage de Tati « J’aime photographier ce que je ressens et pas seulement la réalité, je shoote
« Trop de couleurs distrait le spectateur ! » au feeling et je ne m’attarde jamais sur une composition »
Olivier se dirige de plus en plus vers une réduction du nombre de ses couleurs. Trente seconde maximum ! A
cette règle stricte olivier s’y
« Je gère très mal la diversité de couleurs, je n’aime pas les explosions de cou- attache avec fermeté.
leurs et je me contente généralement de deux voire trois gamme de couleurs
pas plus » « Au-delà j’in- tellectualise trop
l’image avec pour risque de la
Son gout pour le minimalisme (c’est un fan du Bauhaus – l’école d’art comme le rendre trop compliquée ou
groupe de musique des années 80 se plait-il à dire) le pousse à ne dessiner ratée »
qu’en noir et blanc, car c’est bien par le dessin qu’il commença a s’exprimer par
l’image, délaissant la photo qu’il considérait a tort comme une simple copie du Pudique il re- chigne aussi à
réel. Là aussi ce fut la peinture et encore plus la sculpture qui changea l’opinion faire des por- traits
d’Olivier « Je me souviens être resté en extase devant un monochrome de « je n’aime pas le faire «dit-il
Klein, j’étais fasciné par l’IKB « mais ce jour là au Mamac il n’était pas au bout simplement Ce n’est pourtant
de ses surprises pas par manque de courage qu’olivier s’attaque au façades et monument de sa
« La deuxième claque je l’ai prise avec une exposition sur l’Arte Povera, c’était ville de Nice.
tellement minimal que les gardiens devait chasser les visiteurs qui prenait les
œuvres pour le mobilier du musée » « Je me trimballe souvent prés de 15 kilos de matos heureusement j’ai une car-
La rue devint alors son terrain de jeu étant à l’époque parmi les premiers tagger rure de rugbyman ça aide »
Car se qu’il aime par-dessus tout c’est ce balader à travers Nice, sa ville, ses
racines et son terrain de jeu.
6. de Nice .
Olivier Bareau Page 6
« Avec plusieurs amis comme Big-B et man-X mais j’étais beaucoup moins
doué qu’eux ! »
Puis il y eu la découverte d’Ernest Pignon Ernest et de ses mise en scène sou-
vent macabre puis du « Support-Surface »
« A l’époque je passais beaucoup de temps a faire des textures synthétiques
sur ordinateurs, j’étais fasciné par les fractales et par les motifs du quotidien. »
Fan d’Escher, Olivier garde un gout pour les constructions géométriques stric-
tes .
« Et pourtant j’étais nul en math !!! »
Qu’importe l’outil informatique était là pour pallier les manques théoriques. Et là
photo dans tout cela ?
« J’ai eu la chance de travailler avec les premiers vrais scans couleurs à l’épo-
que les moniteurs n’affichaient que 256 couleurs il fallait imaginer le rendu final.
»
Le virus du numérique était présent, il n’attendait que le terrain propice pour se
développer.
« La photo ? A l’époque je n’y pensait pas, mon père en faisait mais il manquait
le coté instantané et le résultat n’étais pas souvent a la hauteur de mes espé-
rances, je me rappelle avoir acheté des petites boites à savon kodak je crois
bien ne les avoirs jamais fait développées !!! »
Il fallu attendre 2003 et la fin des aventure musicales d’olivier (qui est aussi
compositeur de musiques électroniques) pour qu’Olivier achète son premier
appareil numérique un Sony DSC F717.
« Je le conserve jalousement c’est un appareil très ludique avec une optique
peu commune dans cette gamme de prix »
Tout s’enchaina alors très vite, inscription sur le site de partage de photos «
Flickr », premiers avis favorables de ses pairs, premières images vendues.
« J’ai appris tout ce que je sais avec cet appareil j’y suis très attaché, mais je
me sentais peu à peu limité alors j’ai craqué »
Fan de Nikon il opta pour un reflex de la marque
« Tout mes reflexes étaient à revoir, et je rageais de faire de moins bonnes pho-
tos qu’avec mon ancien bridge «
Jusqu’au jours ou olivier découvre les filtres optiques Cokin