La nécropole du Haut-Empire [Fin du 1er et début du 2ème siècle]mairieng
Noyelles-Godault, (Pas-de-Calais/France), des fouilles archéologiques ont été effectuées en 2009, rue Joseph Fontaine à l'emplacement de la résidence "La Fonderie".
Les phéniciens ne sont pas passés inaperçu à Tanger. Dans l'histoire de Tanger, on raconte que les Phéniciens ont installé un comptoir commercial depuis Lixus, vers le VIIe ou VIe siècle av. J-C.
Ils ont laissé plusieurs monuments historiques. Parmi lesquels, les tombeaux qui portent leurs noms.
Les tombeaux phéniciens sont creusés dans la roche il y a des millénaires. Ils sont situés sur une falaise donnant directement sur la mer.
Ils offrent une vue sans commune mesure sur le port, la baie de Tanger, le Cap Malabata, le détroit et la côte espagnole. C’est un petit havre de paix à visiter absolument.
La bague de George Sand : Les derniers secrets d'un bijou d'une passionnée de...ArchivesdeLyon
Conférence par Gérard Panczer et Georges Riondet
Proposée par les Amis du Musée de l'Imprimerie
La bague de George Sand, évoquée dans son livre « Histoire de ma vie », a fait l’objet d’une récente analyse gemmologique au musée de la Vie Romantique de Paris. Dans son autobiographie, George Sand décrit le rôle majeur qu’a joué ce bijou dans sa famille. Léguée par Aurore Lauth-Sand, petite-fille de George Sand, au musée Carnavalet en 1923, cette bague est présentée dans l’exposition « Dix siècles de joaillerie », au musée du Louvre en 1962, comme celle de la dauphine de Saxe. Sa récente étude a permis de livrer les derniers secrets de ce bijou d’une grande figure de la littérature romantique. Par ailleurs, la romancière s’intéresse très tôt à l’étude des sciences naturelles, dont la minéralogie. L’œuvre sandienne porte la trace de cet intérêt, notamment dans le conte fantastique « Laura, voyage dans le cristal » (1864) qui raconte le voyage au centre de la Terre, puis dans l’Arctique, du jeune Alexis, aide-conservateur du cabinet d’histoire naturelle de Fischhausen en Prusse, à la recherche de Laura. Cette conférence constituera un prélude à une exposition à venir au Musée de l’imprimerie et de la communication graphique?
La nécropole du Haut-Empire [Fin du 1er et début du 2ème siècle]mairieng
Noyelles-Godault, (Pas-de-Calais/France), des fouilles archéologiques ont été effectuées en 2009, rue Joseph Fontaine à l'emplacement de la résidence "La Fonderie".
Les phéniciens ne sont pas passés inaperçu à Tanger. Dans l'histoire de Tanger, on raconte que les Phéniciens ont installé un comptoir commercial depuis Lixus, vers le VIIe ou VIe siècle av. J-C.
Ils ont laissé plusieurs monuments historiques. Parmi lesquels, les tombeaux qui portent leurs noms.
Les tombeaux phéniciens sont creusés dans la roche il y a des millénaires. Ils sont situés sur une falaise donnant directement sur la mer.
Ils offrent une vue sans commune mesure sur le port, la baie de Tanger, le Cap Malabata, le détroit et la côte espagnole. C’est un petit havre de paix à visiter absolument.
La bague de George Sand : Les derniers secrets d'un bijou d'une passionnée de...ArchivesdeLyon
Conférence par Gérard Panczer et Georges Riondet
Proposée par les Amis du Musée de l'Imprimerie
La bague de George Sand, évoquée dans son livre « Histoire de ma vie », a fait l’objet d’une récente analyse gemmologique au musée de la Vie Romantique de Paris. Dans son autobiographie, George Sand décrit le rôle majeur qu’a joué ce bijou dans sa famille. Léguée par Aurore Lauth-Sand, petite-fille de George Sand, au musée Carnavalet en 1923, cette bague est présentée dans l’exposition « Dix siècles de joaillerie », au musée du Louvre en 1962, comme celle de la dauphine de Saxe. Sa récente étude a permis de livrer les derniers secrets de ce bijou d’une grande figure de la littérature romantique. Par ailleurs, la romancière s’intéresse très tôt à l’étude des sciences naturelles, dont la minéralogie. L’œuvre sandienne porte la trace de cet intérêt, notamment dans le conte fantastique « Laura, voyage dans le cristal » (1864) qui raconte le voyage au centre de la Terre, puis dans l’Arctique, du jeune Alexis, aide-conservateur du cabinet d’histoire naturelle de Fischhausen en Prusse, à la recherche de Laura. Cette conférence constituera un prélude à une exposition à venir au Musée de l’imprimerie et de la communication graphique?
Mairies communes du Pays de Fouesnant --phpba qzou
Archéologie à fouesnant
1. René
BLEUZEN
Découverte d’un site néolithique
à Clohars-Fouesnant
Au mois de décembre dernier,
Monsieur Bernard Dilosquer creusait une
tranchée pour la pose d’une conduite
d’assainissement de sa maison, située dans
un hameau donnant sur la route de
Kercolin. L’endroit est connu sous le nom
de « Parc Miné Ti Touchard », appellation
d’un lieu dit voisin. C’était autrefois un
champ de lande dépendant de la ferme de
Min Ven ; c’est aujourd’hui un hameau
comprenant six parcelles, toutes bâties par
six enfants Dilosquer.
Déjà, dans la partie haute du champ
avait été constatée la présence d’un gros
bloc de pierre réputé être l’assise d’un
moulin à vent. Mais personne ne put
confirmer
l’existence
d’une
telle
construction à cet endroit.
Bernard Dilosquer piochait donc
allègrement quand, à une profondeur de 80
centimètres et dans un espace réduit de 40
centimètres environ, son outil a heurté des
pierres dont la présence et surtout la forme
l’ont intrigué. Il les nettoyées et a compris
alors l’intérêt de sa découverte : d’abord
une belle hache de pierre polie, dont il a
malencon-treusement ébréché le tranchant.
Puis un bâtonnet de la même roche
verdâtre, des éclats de silex, des galets...
Réunion de famille : Frères, soeurs,
beaux-frères
et
belles-soeurs
se
souvenaient alors de découvertes du même
genre, et on voyait bientôt côte à côte trois
haches de pierre, des fragments d’outils,
des éclats de roches dont la présence en ce
lieu ne s’expliquait pas.
La famille Dilosquer, désireuse
d’avoir des explications sur le sujet m’a
prié
de
contacter
l’archéologue
départemental, Monsieur Michel Le
Goffic, qui a bien voulu venir sur place
identifier ces objets. Un examen sommaire
lui a suffi pour déterminer que les haches
sont faites dans une roche éruptive appelée
« dolérite », roche provenant de la carrière
de Plussulien, dans les Côtes d’Armor. Il
en est de même du bâton retoucheur. Un
éclat de grès provient de la carrière de
Moulin du Pont, en Pleuven. Les galets,
dont on admet qu’ils étaient utilisés
comme percuteurs, ont sans doute été
ramassés sur place et choisis pour une
bonne prise en main.
Tous ces instruments datent de la
période néolithique ou âge de la pierre
polie, précédant l’âge des métaux, vers les
troisième et quatrième millénaires avant
notre ère. Ils attestent donc la présence de
l’homme dès cette époque dans une
commune qui, curieusement, est la seule
du canton dépourvue de monument
mégalithique.
Quant à la présence sous terre, à
une profondeur de 0m80, de ces témoins
d’un lointain passé, on peut l’expliquer par
le fait qu’ils appartiennent probablement
au mobilier d’une tombe, les autres
vestiges ayant disparu, tout comme les os
de l’occupant : les terres acides de notre
région ne permettent pas la conservation
des tissus végétaux ou animaux.
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2. Les objets ont été confiés à
Mr Le Goffic pour un examen plus
approfondi en laboratoire. Ils seront
rendus à leurs « inventeurs », qui en
restent propriétaires.
N.D.L.R. : Les découvertes de haches
de pierre polie sont courantes dans le
sud-Finistère. Ces haches sont
souvent façonnées dans une roche
appelée « hornblendite », roche grisverdâtre avec des inclusions noires.
Ce
matériau
est
de
nature
exceptionnelle, il n’en existe qu’un
seul gisement connu en Europe, qui
se trouve dans la commune de
Pleuven, près de la ferme de
Kerlévot. Il a servi en particulier pour
la fabrication de haches perforées.
Si la plus grande part des
objets en hornblendite a été trouvée
dans le Pays bigouden, certains ont
été exportés : le Morbihan en est
largement doté ; mais aussi les vallées
de la Loire et de ses affluents, de la
Seine et de l’Oise. Il en a même été
découvert en Dordogne, dans le Jura,
et jusqu’en Hollande ! Nos ancêtres
du Néolithique étaient de grands
voyageurs...
(D’après « Documents de
l’Histoire de Bretagne » de Jean
Delumeau)
Les haches réalisées dans la hornblendite
de Pleuven sont le plus souvent
naviformes (en forme de navire, dessins
de gauche). Elles sont à deux tranchants,
donc percées pour recevoir un manche.
Les haches en pierre polie, les éclats de roches et
les galets proposés à l’étude de l’archéologue
départemental.
PREHISTOIRE ET PROTOHISTOIRE
AMORICAINES
9. Carte de répartition des objets en hornblendite de
Pleuven (Finistère) : 1 le gisement de la roche ; 3 haches
polies ; 3 ébauche ou objets incomplétement perforés ; 4
instruments perforés ; 5 pièces de localisation incertaine.
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