Extraits La plume du silence, Jean Witt, Presses de la Renaissance, Paris, 2007Philippe Spitz
Jean Witt a accompagné Janine, sa femme, pendant 20 ans, depuis le début de la maladie jusqu'à son décès. A cause de cette expérience particulière et de son passé de dominicain, qu'il a pu noter dans son journal (plus de 8000 pages), il a écrit deux livres publié par des éditeurs nationaux : Presses de la Renaissance et éditions Desclée de Brouwer-DDB.
Extraits La plume du silence, Jean Witt, Presses de la Renaissance, Paris, 2007Philippe Spitz
Jean Witt a accompagné Janine, sa femme, pendant 20 ans, depuis le début de la maladie jusqu'à son décès. A cause de cette expérience particulière et de son passé de dominicain, qu'il a pu noter dans son journal (plus de 8000 pages), il a écrit deux livres publié par des éditeurs nationaux : Presses de la Renaissance et éditions Desclée de Brouwer-DDB.
EXTRAIT du roman « Renaissance » de Jean-Baptiste DethieuxTaurnada
4e de couverture : Le psychiatre m'avait pourtant prévenu. Il ne fallait pas tenter cette plongée dans les abîmes, tout seul. Surtout pas ! Vouloir remonter le temps ou plutôt le dérouler sans l'aide d'un compagnon de route, d'un guide de haute montagne aguerri, grand connaisseur du terrain et de tous les pièges que représente cette virée dans les recoins de ma mémoire, c'était de la folie !
4e de couverture : Une petite fille aux étranges pouvoirs vient au monde. Autour d'elle, c'est l'Espagne du Moyen Âge, barbare autant que raffinée, à la fois religieuse et brutale, où la reine Isabelle la Catholique s'apprête à chasser tous les Juifs du royaume. La petite Alma, celle qui parle avec Dieu, deviendra-t-elle le guide dont son peuple a besoin, ou bien sera-t-elle comme tant d'autres balayée par le vent mauvais de l'Histoire ? L'épouvante se mêle au comique, les destins s'enchevêtrent, aussi grandioses que pitoyables, dans un récit haletant, à la force d'une légende.
"The self-evidencing reason of Love..."
Quod hodie non aliud quam suisona ratio amoris instaurabit, quia lapsi sunt (Em. Swedenborg, Canons of the New Church, 1769, n°1... Divine Love and Wisdom, 1763, n°1).
Aujourd'hui, il n'y a que l'Amour métaphysique, et la Raison dialectique qui lui est propre, qui soit en mesure de restaurer, ou de réinstaurer l'Eglise (de par l'irrésistibilité de son évidence même), car l'Ame de l'homme, et sa nature, ont déchu... /
Par delà deux siècles et demi de crise française et européenne, Armée de Marie (2015), et théologie de Swedenborg (1769), s'appellent et se répondent en une même signification (Ap.12 : 14).
[... "Charité", et "Foi", ont perdu leur connotation "Métaphysique", pour devenir "ecclésiastique"...
... "Bien" (bienveillance, miséricorde), et "Vrai" (vérité, doctrine), ont perdu leur connotation Métaphysique, pour devenir "morale"... ont perdu leur Réalité substantielle, pour devenir objectivation, nécessité et contrainte...]
Un monde de 2013, 2014 et 2015 dangereux, explosif raconté à travers des histoires courtes relatant les grands événements de cette période. Un florilège de spasmes, de mots ajoutés à un grain de folie, salés avec une pointe d’humour nommé Spasmotsfolies…
Extraits un goût d'écorces dans les veinesYannick Felix
en savoir plus sur www.yannickfelix.fr
Résumé : Anne et Yanis se sont promis de ne jamais se séparer. Un engagement fou. Mais une promesse est une promesse...
Pourtant, un mot risque de tout bouleverser !
"Le sang me glace. Le mot est d'une brutalité. Il fait voler en éclats notre bonheur, notre joie, nos projets. A l'image d'un tsunami, il vient de tout balayer sur son passage."
Anne et Yanis avaient tout imaginé, à l'exception d'un mot, un simple mot qui aurait le pouvoir de transformer leur destin.
246 pages, 14€ en version papier (www.yannickfelix.fr)
Une mission humanitaire tellement pas comme les autres, où les imprévisibles se fracassent avec les plus intenses et riches rencontres et moments dans les contrées de Boko Haram.
EXTRAIT du roman « Renaissance » de Jean-Baptiste DethieuxTaurnada
4e de couverture : Le psychiatre m'avait pourtant prévenu. Il ne fallait pas tenter cette plongée dans les abîmes, tout seul. Surtout pas ! Vouloir remonter le temps ou plutôt le dérouler sans l'aide d'un compagnon de route, d'un guide de haute montagne aguerri, grand connaisseur du terrain et de tous les pièges que représente cette virée dans les recoins de ma mémoire, c'était de la folie !
4e de couverture : Une petite fille aux étranges pouvoirs vient au monde. Autour d'elle, c'est l'Espagne du Moyen Âge, barbare autant que raffinée, à la fois religieuse et brutale, où la reine Isabelle la Catholique s'apprête à chasser tous les Juifs du royaume. La petite Alma, celle qui parle avec Dieu, deviendra-t-elle le guide dont son peuple a besoin, ou bien sera-t-elle comme tant d'autres balayée par le vent mauvais de l'Histoire ? L'épouvante se mêle au comique, les destins s'enchevêtrent, aussi grandioses que pitoyables, dans un récit haletant, à la force d'une légende.
"The self-evidencing reason of Love..."
Quod hodie non aliud quam suisona ratio amoris instaurabit, quia lapsi sunt (Em. Swedenborg, Canons of the New Church, 1769, n°1... Divine Love and Wisdom, 1763, n°1).
Aujourd'hui, il n'y a que l'Amour métaphysique, et la Raison dialectique qui lui est propre, qui soit en mesure de restaurer, ou de réinstaurer l'Eglise (de par l'irrésistibilité de son évidence même), car l'Ame de l'homme, et sa nature, ont déchu... /
Par delà deux siècles et demi de crise française et européenne, Armée de Marie (2015), et théologie de Swedenborg (1769), s'appellent et se répondent en une même signification (Ap.12 : 14).
[... "Charité", et "Foi", ont perdu leur connotation "Métaphysique", pour devenir "ecclésiastique"...
... "Bien" (bienveillance, miséricorde), et "Vrai" (vérité, doctrine), ont perdu leur connotation Métaphysique, pour devenir "morale"... ont perdu leur Réalité substantielle, pour devenir objectivation, nécessité et contrainte...]
Un monde de 2013, 2014 et 2015 dangereux, explosif raconté à travers des histoires courtes relatant les grands événements de cette période. Un florilège de spasmes, de mots ajoutés à un grain de folie, salés avec une pointe d’humour nommé Spasmotsfolies…
Extraits un goût d'écorces dans les veinesYannick Felix
en savoir plus sur www.yannickfelix.fr
Résumé : Anne et Yanis se sont promis de ne jamais se séparer. Un engagement fou. Mais une promesse est une promesse...
Pourtant, un mot risque de tout bouleverser !
"Le sang me glace. Le mot est d'une brutalité. Il fait voler en éclats notre bonheur, notre joie, nos projets. A l'image d'un tsunami, il vient de tout balayer sur son passage."
Anne et Yanis avaient tout imaginé, à l'exception d'un mot, un simple mot qui aurait le pouvoir de transformer leur destin.
246 pages, 14€ en version papier (www.yannickfelix.fr)
Une mission humanitaire tellement pas comme les autres, où les imprévisibles se fracassent avec les plus intenses et riches rencontres et moments dans les contrées de Boko Haram.
2. Condamné.
S’agissant d'un malade, le mot est
transparent.
Chacun a bien traduit : incurable, perdu, sans
espoir de guérir.
Mais quel mot mal choisi ! Condamné !
Il évoque la faute, le jugement, la sanction.
Comme si le malade était, en plus, coupable
et la maladie, en plus, un châtiment.
Prions pour les malades qui se croient punis,
pour ceux qui voient le Père en justicier
vengeur.
Qu’ils comprennent qu'un père ne donne pas
le cancer, et que les virus ne punissent pas les
péchés.
Le Fils l’a pourtant dit pour l’aveugle de
naissance : "À qui la faute ? Ni à lui, ni à ses
parents".
Station 1 :
Jésus est condamné à mort
3. Tous les matins, elle charge une croix de
chair.
Sa croix, c'est son propre corps, un corps
gros, très gros, trop gros, qui la gêne à
chaque effort comme si elle portait un gros
sac.
“Gros sac”, “gros tas”, “grosse vache” : depuis
son enfance, elle connaît ces moqueries qui
ignore sa souffrance.
Station 2 :
Jésus est chargé de sa croix
Prions pour ceux qui portent un handicap,
reconnu, méconnu, maîtrisé ou subi, ceux qui
vivent ou survivent avec quelque chose en
plus ou en moins, une surcharge, un déficit,
une limite, ceux qui ne s'aiment pas, mais
aimeraient qu'on les aime.
Qu'ils soient éclairés d'une dignité entière et
que les frères de Jésus les aiment sans
mesure.
4. Des maladies, il ne connaissait que celles des
autres. Et ce fut la chute en spirale.
Enfermé dans le labyrinthe de la dépression,
serré dans l’étau de l'angoisse, il lutte avec
ses idées obsédantes, froides et noires, qui le
poussent vers une mort par instants
désirable.
Accaparé par ses doutes, épuisé par une
douleur morale, il n’a plus vraiment le souci
des autres.
Qui saura écouter ses silences et ses larmes ?
Station 3 :
Jésus tombe pour la première fois
Prions pour ceux qui souffrent dans leur
esprit, déprimés, angoissés, phobiques ou
délirants.
Qu'ils acceptent sans honte les soins qui les
soulagent. Qu’ils retrouvent le sel de la vie et
le miel du désir. Qu'ils trouvent dans leurs
proches la tendresse subtile qui favorisera
doucement leur retour à la paix.
5. À l’aube, il n'était toujours pas rentré. Le
téléphone a sonné : c'était le SAMU.
"Votre fils est accidenté". Elle s'est
précipitée.
Tuméfié, couturé, pansé, il était
méconnaissable, pour sa mère. Elle était là,
penchée, comme autrefois sur son berceau.
C’est à son parfum qu'il a deviné sa
présence. Il a plissé les lèvres et entrouvert
les yeux. Une autre y aurait lu un rictus de
souffrance. Mais elle, a reconnu un sourire,
le sourire douloureux d'un fils à sa mère.
Station 4 :
Jésus rencontre sa mère
Prions pour ceux que l'accident atteint dans
sa brutalité, ceux dont la vie soudain bascule
et s'accroche à un fil, ceux qui passent en
réanimation des moments incertains et qui
n'ont pour un temps que leurs yeux pour
parler.
Que ceux qui les aiment apprivoisent leurs
peurs pendant les visites qui leur semblent
trop courtes.
6. Elle avait vocation à soigner pour guérir.
Maintenant elle soigne sans chercher à
guérir.
Par des soins palliatifs, elle ajoute de la vie
au temps.
Ne lui dites pas qu'elle aide à mourir : elle
accompagne la vie jusqu'à sa fin.
Station 5 :
Simon de Cyrène aide Jésus à
porter la Croix
Prions pour ceux qui escortent les longues
agonies, ceux qui veillent et surveillent, ceux
qui tiennent la main quand elle devient
froide, avant d'être saisie par la main du
Père.
7. Chaque jour, le miroir lui renvoie son image.
De méchants nodules tourmentent son
visage.
Elle est affreuse ; elle le sait ; elle en est
malheureuse. Les petits la repoussent ; les
grands la dévisagent.
Elle aimerait qu'on oublie la laideur de ses
traits et que des regards clairs la
transpercent jusqu'au cœur pour y découvrir
sa beauté intérieure.
Prions pour ceux que la maladie défigure :
brûlures, cicatrices, taches de vin ou pustules,
ceux qui se cachent et ceux que l'on cache.
Qu'ils connaissent enfin le goût des baisers, la
douceur des caresses que le Père a créés pour
tous ses enfants.
Station 6 :
Véronique
essuie la face de Jésus
8. Le voici à nouveau à plat ventre sur le sol.
La première fois, il s'était persuadé qu'il avait
trébuché. Mais cette fois, il était assis sur la
chaise.
On ne trébuche pas d'une chaise...
Pour l'heure, il n'arrive pas à se relever seul.
Il gémit, il appelle, il frappe sur le plancher. Il
sait bien que quelqu'un finira par l'entendre.
En attendant, il mesure combien elle est
redoutable la solitude dans le quatrième âge.
Prions pour ceux dont le cheveu blanchit,
dont la peau devient sèche, ceux qui titubent
ou qui béquillent, qui vivent hantés par la
peur de tomber, la peur d’être encore plus
diminués et dépendants.
Qu’ils trouvent à coté d'eux des voisins
attentifs et au fond de leur âme la solide
espérance de se voir un jour relevé par leur
Père définitivement.
Station 7 :
Jésus tombe
pour la deuxième fois
9. Le vieux professeur s'est beaucoup donné. Il
a enseigné avec sa tête, ses mains, son cœur.
Ses élèves disaient que parfois il prêchait.
Quand on leur a appris qu'il était perdu, ils lui
ont délégué celles qu'il préférait.
Il leur a soufflé un dernier enseignement :
quelques phrases seulement, comme un
testament.
Prions pour ceux qui aiment à partager ce
qu'ils ont reçu, compris ou découvert : les
passionnés de vie, les éveilleurs de sens, ceux
qui vont en avant en faisant avancer.
Qu’au soir de leur vie, ils puissent se réjouir
d'offrir le patrimoine qu'ils ont fait fructifier à
des héritiers qui vont les dépasser.
Station 8 :
Jésus parle aux femmes
qui le suivent
10. La première rechute avait été précoce.
Il s'en était tiré et se croyait guéri.
Le mal était parti, les marqueurs étaient bons
et le dernier scanner l’avait rasséréné. Il y eut
même des jours où il n'y pensait plus...
Et c'est la récidive : retour en case départ et
tout à répéter : la chimio, les rayons, leur
cortège de nausées, de perruque, de fatigue
et de découragement face à la métastase.
Prions pour ceux qui reviennent à l'entrée du
tunnel vers les retrouvailles hideuses du déjà
souffert et de l'inévitable "Est-ce bien
nécessaire ?"
Qu’ils trouvent dans ce calvaire des refuges
fraternels où des amis discrets peuvent
encore leur faire du bien. Et que pour cette
épreuve renouvelée le Père leur donne une
dernière sève pour nourrir encore quelques
fruits tardifs.
Station 9 :
Jésus tombe
pour la troisième fois
11. Elle a toujours fait profession d'élégance.
Elle est un ravissement pour son entourage.
Toujours mise avec soin, elle attire les
regards.
Mais aujourd'hui, dans cette chambre à
plusieurs, on la prépare avant l'opération.
Vêtue seulement de cette chemise
innommable qu'on omet parfois d'attacher
correctement, elle se sent impudique,
dépersonnalisée.
Prions pour ceux qui n'aiment pas être nus, et
pour qui la pudeur est une grande valeur,
ceux qui sont humiliés quand ils sont dévêtus
et pour qui c'est souffrance quand on les
déshabille.
Que ceux qui les soignent ne soient jamais
blasés de les respecter dans leur intimité.
Station 10 :
Jésus est dépouillé
de ses vêtements
12. Dans sa nébuleuse confusion, il a tout
arraché : le masque à oxygène et même la
perfusion.
"Il va falloir l'attacher".
Attacher, voilà le mot lâché ; crève-cœur des
soignants qui n'apprécient jamais le rôle de
geôliers. Les bracelets de contention
évoquent trop les menottes.
Il se débat un moment, puis s'abandonne
tristement, réveillant peut-être dans sa
conscience obscure le souvenir de cinq
années de captivité.
Prions pour ceux que la lucidité quitte avant
le souffle, ceux qui meurent en deux temps et
qui dans l'intervalle ne peuvent communiquer
et déconcertent tant ceux qui veulent les
aider.
Que la voix du Père les rejoigne dans le
mystère de ce brouillard où se perdent les
voix des hommes.
Station 11 :
Jésus est attaché à la croix
13. La morphine a dissous ses dernières
douleurs.
Il n'a plus mal, plus froid, plus soif.
Il n'a plus de raison d'appeler puisqu'il n'a
rien à demander.
Le souffle est court, la vie chancelle.
C'est le temps du grand passage.
Il fait nuit dans sa solitude.
Prions pour ceux qui meurent tout seuls, ceux
qui sont préparés comme ceux qui sont
surpris, ceux qui sont résignés comme ceux
qui se rebellent, ceux qui appellent la mort et
ceux qui se la donnent.
Que les instants décisifs ne soient pas trop
cruels et que la souffrance, un moment, laisse
la place à la paix.
Station 12 :
Jésus meurt sur la croix
14. Il avait vu le jour au crépuscule, ce tout petit
prématuré. On l'avait réchauffé, perfusé, massé,
ventilé.
Pendant la nuit, il allait mieux puis moins bien,
puis mieux, puis moins bien... C’est au matin
qu'il a craqué.
Calmement on a tout ôté : les fils, les sondes et
les tuyaux.
Et on l'a déposé sur un lange blanc, avec
douceur, pour ne pas lui faire mal.
Prions pour les enfants qui meurent avant de
naître ou que la mort saisit à l'aube de la vie.
Que celles qui avaient tant rêvé cette mise au
monde, un monde auquel ils font défaut,
osent espérer d'un temps où ils vivront
ensemble dans un monde éternel.
Station 13 :
Jésus est descendu de la croix
15. Il est garçon d'amphithéâtre.
On parle aussi de dépositoire : c'est plus joli
que morgue. Il est au service des morts.
Il les pare, les prépare, parfois même les
répare.
Il les rend beaux pour adoucir le moment
tragique où le cercueil se referme sur le
visage aimé.
Prions pour ceux qui travaillent au respect
des corps, ceux qui assurent les rites de
passage, ceux qui favorisent le travail de
deuil.
Qu'ils sachent que Dieu bénit leur délicate
mission, lui qui crée l'Homme à son image.
Station 14 :
Jésus est mis au tombeau
16. Les défigurés resplendissent.
Les dépressifs rayonnent.
Les vieillards exultent.
Les mourants revivent.
Il n'y a plus ni douleur,
ni souffrance, ni malade, ni soignant.
Car Jésus est ressuscité.
Prions pour ceux qui doutent de la
résurrection.
Qu'ils trouvent sur leur chemin des chrétiens
joyeux et convaincus qui leur disent
l’espérance de leurs eucharisties : "Et lorsque
prendra fin notre pèlerinage sur la terre,
accueille-nous dans ton Royaume où nous
espérons être comblés de ta gloire, tous
ensemble et pour l'éternité.
Amen."
Station 15 :
Jésus est ressuscité