4e de couverture : Une petite fille aux étranges pouvoirs vient au monde. Autour d'elle, c'est l'Espagne du Moyen Âge, barbare autant que raffinée, à la fois religieuse et brutale, où la reine Isabelle la Catholique s'apprête à chasser tous les Juifs du royaume. La petite Alma, celle qui parle avec Dieu, deviendra-t-elle le guide dont son peuple a besoin, ou bien sera-t-elle comme tant d'autres balayée par le vent mauvais de l'Histoire ? L'épouvante se mêle au comique, les destins s'enchevêtrent, aussi grandioses que pitoyables, dans un récit haletant, à la force d'une légende.
4e de couverture : Une petite fille aux étranges pouvoirs vient au monde. Autour d'elle, c'est l'Espagne du Moyen Âge, barbare autant que raffinée, à la fois religieuse et brutale, où la reine Isabelle la Catholique s'apprête à chasser tous les Juifs du royaume. La petite Alma, celle qui parle avec Dieu, deviendra-t-elle le guide dont son peuple a besoin, ou bien sera-t-elle comme tant d'autres balayée par le vent mauvais de l'Histoire ? L'épouvante se mêle au comique, les destins s'enchevêtrent, aussi grandioses que pitoyables, dans un récit haletant, à la force d'une légende.
HOME IS WHERE THE PALM TREES ARE : Los Angeles - PreviewMarion Gruber
Découvrez les 10 premières pages du city-guide lifestyle à Los Angeles de Marion Gruber, auteur du blog FRINGE&FRANGE : HOME IS WHERE THE PALM TREES ARE.
Disponible ici : http://www.fringeandfrange.com/p/eshop.html
Le blog Coeur et Plus tenu par la journaliste et photographe Meem Shoomeatove Vincent lance le mini magazine Coeur et Plus qui propose un menu dynamique chaque mois!
Extrait de La douceur angevine, roman de Blandine Cain : chapitres 1 à 4Blandine Cain
Quatrième de couverture :
Olivia et Sylvestre, c’est tout un poème. Depuis leur rencontre passionnée, leur couple ne tient qu’à un fil.
Ajoutez à cela l’arrivée inopinée d’un bébé, et leur équilibre vacille. Heureusement, une joyeuse tribu hétéroclite les entoure : Tyarah la solaire, Constantin le lunaire, Pénélope l’activiste, Lucie la femme-enfant et tant d’autres, qui composent une puissante famille de cœur.
Vous avez aimé cet extrait ?
Retrouvez le roman complet « La douceur angevine » de Blandine Cain sur Amazon :
en format ebook : https://www.amazon.fr/dp/B08Q8J62Y7
en format broché : https://www.amazon.fr/dp/B08QDPMWLM
Vous pouvez aussi partager votre ressenti avec l’auteur en lui écrivant un mail à : contact@blandinecain.fr
Voilà la première étape du projet Douzi'Action, une réflexion personnelle sur le monde rural et l'intérêt de la création d'un site citoyen pour le village de Douzillac
Une quête à la recherche de soi ou à la recherche de l'autre ? Tous deux sont enfants des deux rives. Lui part là bas de l'autre côté. Pourquoi, il ne le sait pas, au départ en tout cas !
Est ce pour reconstruire son identité ou bien pour elle...
Un voyage où se melent la découverte d'un pays riche, beau, à la population accueilante et les paysages de sa passion amoureuse...
Cherche editeur pour publication.
Lors d'un cours sur le "Design d'interface" à l'IESA Multimédia, nous avions l'objectif de créer une application SoLoMo (Social, Local, Mobile). Nous avons choisi de créer une application autour des demandes en mariage.
Extrait du roman " Et Dieu créa le sillon interfessier " de Sandie KhougassianJohn Doz
Sortie du roman " Et Dieu créa le sillon interfessier " de Sandie Khougassian
Synopsis
Prénom : Thiena.
Âge : 29 ans au début et à la fin on ne sait plus.
Carte génétique : des lettres ADN qui se finissent en IAN brodées sur un drapeau bleu blanc rouge.
Formation : l’école de la vie, de l’art, des lois et du vent.
Signe astro : un taureau qui rugit comme une lionne et qui danse comme Lady Gaga quand personne ne la regarde.
Défaut et qualité : elle a un avis sur tout.
Péchés mignons : les soudjouks et les cornichons.
Passion : l’art des écorchés vifs et le son des rockeurs morts à leurs vingt-sept printemps et plus.
Mission : dire bonjour, porter un tablier, des gants Mapa quand c’est possible et sourire à des fions toute la journée.
Cadre dans la mode depuis sept ans, Thiena atterrit au pays du SIF (ou sillon interfessier pour les connaisseurs), dont elle ne connaît ni les codes ni les lois. Co-patronne d’un SPA basé dans une petite banlieue bourgeoise de la région parisienne, elle enfile un tablier de bouchère pour
jouer une fausse experte de la beauté qui va très vite déchanter. Entre les points noirs non extraits depuis des décennies, les dingues en liberté et les obsédés du cul qui cherchent plus qu’une stimulation du bulbe pilaire,
la traversée du SIF est bourrée de sables mouvants.
Livre version broché ou kindle sur Amazon.fr, Lulu.com et autres plateformes numériques du cyberespace…
HOME IS WHERE THE PALM TREES ARE : Los Angeles - PreviewMarion Gruber
Découvrez les 10 premières pages du city-guide lifestyle à Los Angeles de Marion Gruber, auteur du blog FRINGE&FRANGE : HOME IS WHERE THE PALM TREES ARE.
Disponible ici : http://www.fringeandfrange.com/p/eshop.html
Le blog Coeur et Plus tenu par la journaliste et photographe Meem Shoomeatove Vincent lance le mini magazine Coeur et Plus qui propose un menu dynamique chaque mois!
Extrait de La douceur angevine, roman de Blandine Cain : chapitres 1 à 4Blandine Cain
Quatrième de couverture :
Olivia et Sylvestre, c’est tout un poème. Depuis leur rencontre passionnée, leur couple ne tient qu’à un fil.
Ajoutez à cela l’arrivée inopinée d’un bébé, et leur équilibre vacille. Heureusement, une joyeuse tribu hétéroclite les entoure : Tyarah la solaire, Constantin le lunaire, Pénélope l’activiste, Lucie la femme-enfant et tant d’autres, qui composent une puissante famille de cœur.
Vous avez aimé cet extrait ?
Retrouvez le roman complet « La douceur angevine » de Blandine Cain sur Amazon :
en format ebook : https://www.amazon.fr/dp/B08Q8J62Y7
en format broché : https://www.amazon.fr/dp/B08QDPMWLM
Vous pouvez aussi partager votre ressenti avec l’auteur en lui écrivant un mail à : contact@blandinecain.fr
Voilà la première étape du projet Douzi'Action, une réflexion personnelle sur le monde rural et l'intérêt de la création d'un site citoyen pour le village de Douzillac
Une quête à la recherche de soi ou à la recherche de l'autre ? Tous deux sont enfants des deux rives. Lui part là bas de l'autre côté. Pourquoi, il ne le sait pas, au départ en tout cas !
Est ce pour reconstruire son identité ou bien pour elle...
Un voyage où se melent la découverte d'un pays riche, beau, à la population accueilante et les paysages de sa passion amoureuse...
Cherche editeur pour publication.
Lors d'un cours sur le "Design d'interface" à l'IESA Multimédia, nous avions l'objectif de créer une application SoLoMo (Social, Local, Mobile). Nous avons choisi de créer une application autour des demandes en mariage.
Extrait du roman " Et Dieu créa le sillon interfessier " de Sandie KhougassianJohn Doz
Sortie du roman " Et Dieu créa le sillon interfessier " de Sandie Khougassian
Synopsis
Prénom : Thiena.
Âge : 29 ans au début et à la fin on ne sait plus.
Carte génétique : des lettres ADN qui se finissent en IAN brodées sur un drapeau bleu blanc rouge.
Formation : l’école de la vie, de l’art, des lois et du vent.
Signe astro : un taureau qui rugit comme une lionne et qui danse comme Lady Gaga quand personne ne la regarde.
Défaut et qualité : elle a un avis sur tout.
Péchés mignons : les soudjouks et les cornichons.
Passion : l’art des écorchés vifs et le son des rockeurs morts à leurs vingt-sept printemps et plus.
Mission : dire bonjour, porter un tablier, des gants Mapa quand c’est possible et sourire à des fions toute la journée.
Cadre dans la mode depuis sept ans, Thiena atterrit au pays du SIF (ou sillon interfessier pour les connaisseurs), dont elle ne connaît ni les codes ni les lois. Co-patronne d’un SPA basé dans une petite banlieue bourgeoise de la région parisienne, elle enfile un tablier de bouchère pour
jouer une fausse experte de la beauté qui va très vite déchanter. Entre les points noirs non extraits depuis des décennies, les dingues en liberté et les obsédés du cul qui cherchent plus qu’une stimulation du bulbe pilaire,
la traversée du SIF est bourrée de sables mouvants.
Livre version broché ou kindle sur Amazon.fr, Lulu.com et autres plateformes numériques du cyberespace…
1. PHOTOS:HÉLÈNEMERCIER.
humeur74
04.20096www.clindoeil.canoe.ca
MOI,MES SOULIERS...J’ai toujours voulu voir du pays. En 2002, la tête remplie de noms mythiques,
j’ai pris la route pour la première fois. Une quarantaine de pays plus tard, j’ai
rayé Ouagadougou, Reykjavik et Zanzibar de ma liste. Les déplacements sont
devenus mon style de vie. Ma «zone de confort» pèse 25 kg et a un drapeau
du Québec en écusson sur le devant. • PAR HÉLÈNE MERCIER
6Avoir inscrit autant de kilomètres au compteur ne m’a pas insufflé la vérité
infuse, le grand je-ne-sais-quoi qui me ferait commencer mes phrases, la
tête penchée vers la droite, par un: «Tu sais fiston...». Que nenni! Je me suis posé
mille questions et, la plupart du temps, je n’ai pas trouvé de réponses. J’ai
interrogé mes convictions les plus fondamentales et j’ai ébranlé mes principes.Je
suis par contre convaincue d’une chose: voyager humanise les nouvelles.Ça aide
àmettredesnoms,desvisagesetdesodeurssurdesendroitsquipeuventparaître
diamétralement opposés à notre réalité. Ça aide à réaliser qu’on rit tous pour les
mêmes raisons, que l’humour est un moyen extraordinaire pour dissiper les
ambiguïtés culturelles.
LE DÉCLIC
C’est en mars 2003, dans un village karen du nord de la Thaïlande, que je réalise
pour la première fois que je suis loin du Québec.Après une journée de trek dans
les montagnes, notre sympathique guide prend sa guitare désaccordée et se met
à chanter Hotel California, version karaoké, d’une voix qui ne l’aurait pas mené
bien loin aux auditions de Star Académie. Une fois la surprise passée, tout le
groupe se met à fredonner avec lui: «Such a lovely place, such a lovely face.» C’est
à ce moment que mon âme s’envole pour nous fixer du haut des airs. J’observe
mon gros bonheur à distance et le savoure encore plus. Je vois soudainement la
lumière vaciller sur la carte,quelque part à une centaine de kilomètres de Chang
Mai. Ouah! Je suis en T-H-A-Ï-L-A-N-D-E, que je me répète. Les voyages ne
changent peut-être pas la vie, mais ils ont le pouvoir d’intensifier des moments
comme celui-là.
ON A DU FUN AU MALI! IL FAIT 12 000 DEGRÉS, ET
ON EST 17 DANS UN VAN À 7 PLACES. DE GAUCHE À
DROITE: EDITH, JOAN, MÉLANIE ET HÉLÈNE. MARS 2007.
CHEFCHAOUEN, DANS LE RIFF MAROCAIN
VILLE BLEUE AUX GAMINS ADORABLES. AVRIL 2007.
TURQUIE
2. Depuis, j’ai appris que tout le monde, il n’est pas beau, que tout le monde, il n’est pas gentil.
Il n’est pas laid ni méchant non plus.Tout le monde est en va-et-vient constant quelque part
entre ces deux pôles, ça dépend du moment et du point du vue. Récemment, j’ai visité le
Tribunal pénal international pour le Rwanda, à Arusha, en Tanzanie. Je discutais avec les
gens qui faisaient la queue avec moi pour passer le contrôle de sécurité.J’ai mis cinq minutes
à comprendre qu’ils étaient les familles des accusés, des diables qui ont serré la main de
Roméo Dallaire. Même les diables ont des petits garçons au regard d’ange. Le saviez-vous?
LA RÉVOLTE
J’ai été souvent déçue par la bête humaine. À Moscou, par exemple. Me voici avec des amis
français passionnés d’architecture dans le métro moscovite; une mine d’or en matière de
design. Il fait froid et gris. Il y a deux jeunes avec des manteaux de cuir qui jouent de
l’accordéon en grelottant. Ça ajoute à l’ambiance. On est sur le quai, à attendre la prochaine
rame qui nous ramènera à l’hôtel. Les portes s’ouvrent sur trois skinheads hurlant d’un rire
grotesque, des bouteilles de bière à la main. Leurs regards méprisants nous forcent à poser
les nôtres au sol.Sitôt entrés à l’intérieur de la voiture,on comprend.Un vieillard est tailladé
au visage. Il saigne. À ses pieds, des éclats de verre. Du bout de son nez, la bière dégoutte.
Il a des doigts bleuis par le froid, une barbe grise inégale et le regard perdu. Je jette un coup
d’œil aux autres passagers, qui ont dû assister à la triste scène. Par réflexe, je cherche un
regard compatissant, un signe d’indignation, une réaction... Niet. Je suis sidérée. Ça hurle
dans ma tête. C’est quoi, son crime? D’avoir été au mauvais endroit au mauvais moment?
«Monsieur, êtes-vous correct?» que je lui demande en anglais alors que mon amie pose la
main sur son épaule. Il ne bronche pas et continue de fixer cette cible invisible droit devant
lui, la bouche ouverte. C’est notre station, on débarque. Le trajet jusqu’à l’hôtel se fait en
silence. Ça hurle encore dans ma tête.
L’ÉMOTION
Évidemment, j’ai aussi été émue d’innombrables fois. Surtout sur le continent africain. Si le
voyage intensifie tout, l’Afrique elle, a un pouvoir exponentiel. Je vis en ce moment à Nairobi, au
Kenya.J’ai eu la chance de partager le vibrato de ses habitants lorsqu’ils ont appris que leur «frère»
— le père d’Obama est originaire du Kenya — avait été élu.
Il est 6 h 45, je suis dans un resto du centre-ville. On s’assoit, on jase, on regarde CNN,
et puis BANG! Ça y est: il leur annonce que oui, ils ont le droit de rêver, eux aussi. Des yeux
embués, des sourires qui semblent avoir attendu ce moment depuis des siècles. Quel grand
moment, même si, au fond, ça ne changera rien à leur vie. Mais le concret et l’abstrait ne se
mesurent pas de la même façon. C’est dur de «graticuler» en chiffres l’effet qu’aura sur eux
l’envie de changer le monde, de se prendre en main plutôt que de la tendre. C’était grand,
c’était beau, simplement. On s’est mutuellement serrés dans les bras, eux se sentant
probablement un peu plus égaux que la veille face à ma blancheur.
Finalement, une dizaine de visas plus tard, je me rends compte que c’est dans la classe
moyenne que se trouvent les différences. Aux extrêmes, ça se ressemble partout. Les riches
trimballent les mêmes grosses bagnoles aux mêmes vitres teintées à Berlin, à New York ou
à Dar es-Salaam. Leurs enfants écoutent la même musique sur les mêmes iPod en se
traînant les pieds dans les mêmes souliers griffés. Les très pauvres, eux, portent
inévitablement la totalité de leur garde-robe sur le dos, en couches superposées où se
mélangent des odeurs d’urine et de transpiration. C’est quelque part entre ces deux strates
qu’on prend le pouls d’un pays. C’est chez les enseignants, les infirmières et les chauffeurs
de taxi qu’on goûte les plats typiques, qu’on écoute la chaîne de télé locale en discutant de
politique. Par manque de moyens ou par obstination, ils n’ont pas fait passer à la
mondialisation le seuil de leur maison. Et c’est tant mieux.•
Hélène Mercier prépare actuellement une maîtrise en gestion du développement international à
l’Université de Lund, en Suède. Dans le cadre de ses recherches au Kenya, elle a aussi effectué un
stage avec l’UNICEF. Elle est également journaliste et chroniqueuse à C’est bien meilleur le matin
et à Macadam Tribus, à la radio de Radio-Canada.
PHOTOS:HÉLÈNEMERCIER.
04.2009
humeur76
M O I , M E S S O U L I ER S . . .
DE MES MOMENTS
LES PLUS ÉTRANGES
1. Je me suis fait tâter les seins par la
vieille du village de Zogbodomey, au Bénin,
qui n’avait encore jamais vu de femme
aussi âgée – j’avais alors 22 ans – sans
enfants. J’ai reçu toutes ses félicitations
pour ma poitrine bien ferme.
2. Perdue en Serbie par une nuit de
tempête de neige, je cherche à me
rendre au Kosovo. C’est dans une Lada
qui n’avait plus de plancher à l’arrière,
avec le conducteur qui buvait au
goulot sa vodka russe en hurlant des
chansons traditionnelles serbes,
que j’y suis arrivée.
3. Traduire, live et en anglais, la
chanson Saskatchewan, des Trois
Accords, à une bande de Suédois qui
apprécient le rythme et aimeraient bien
savoir ce que ça raconte... tout un défi!
Surtout après de nombreux verres...
«My cows tell me you-ou-ou!»
4. J’ai mangé Pumba! Mea culpa, amis
du roi Lion, mais je n’ai pu résister à la
viande de phacochère grillée qu’offrait le
menu du resto de la réserve de Nazinga,
au Burkina Faso.Allez, sans rancune,
Hakuna Matata?
TOP 4
ÉLECTION D’OBAMA, KENYA. NOVEMBRE 2008
AVEC BÉBÉ JUSTIN ET SA MAMAN. J'AI AIDÉ
LES INFIRMIÈRES LORS DE L'ACCOUCHEMENT.
ZOGBODOMEY, BÉNIN. JUILLET 2004.
OSLO VIGELANDSPARKEN. NOVEMBRE 2007