Afin de donner une vision d’ensemble de l’Anthropocène, François Gemenne, spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement, chercheur à l'Université de Liège, enseignant à Sciences Po et à l’Université libre de Bruxelles et membre du GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat), présentera l’Atlas de l’anthropocène (Presses de Sciences Po, 2019). Cet ouvrage, réalisé avec Aleksandar Rankovic et l’Atelier de cartographie de Sciences Po, multiplie les points de vue et mobilise tant les sciences sociales et que les sciences expérimentales pour montrer le caractère systémique des problèmes environnementaux qui surgissent de manière éparse. Il connecte les questions de réchauffement climatique, de chute de la biodiversité ou encore de pollution avec leurs conséquences sociales et politiques.
Cours Public 1: La quatrième voie : les politiques de la terre face à l’Anthr...EcoleUrbaineLyon
Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits « globaux » montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
Cours Public 3: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'ANTHR...EcoleUrbaineLyon
This document discusses several frameworks for conceptualizing humanity's relationship with the Earth and the environment in the context of the Anthropocene era. It summarizes scenarios from different groups for how global socioeconomic systems and the Earth system may evolve. It argues that the dominant economic frameworks rely on an incorrect view of opposing relationships rather than complementary ones between systems and their environments. Alternative paradigms outlined include panarchy, the triumph of the commons, planetary security, and cosmobiopolitics.
Cours Public 5 et 6: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'...EcoleUrbaineLyon
Nous prenons conscience de l’avènement d’un nouvel âge de la Terre. La croissance continue dont dépend la pérennité politique du système socio-économique mondial bouleverse, par un jeu complexe et non linéaire de rétroactions, les conditions physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes qui régulent la biosphère depuis des millénaires, au point de compromettre son habitabilité pour les générations futures, en affectant irréversiblement l’évolution des espèces et la dynamique géologique de la planète.
Ce vertigineux changement d’échelle, qui explicite les liens de co-viabilité entre les organisations sociales et leurs contextes écologiques, produit des effets de convergence inouïs qui effacent la séparation établie par la modernité entre l’histoire humaine et l’ordre de la nature. Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits "globaux" (Global Scenario Group, SRES, MEA…) montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Or nous savons désormais que la biosphère est à la fois la condition et le produit de toutes les formes de vie qui la constituent. C’est pourquoi ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons, dans ce cours, d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
Cours Public 3: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'ANTHR...EcoleUrbaineLyon
Nous prenons conscience de l’avènement d’un nouvel âge de la Terre. La croissance continue dont dépend la pérennité politique du système socio-économique mondial bouleverse, par un jeu complexe et non linéaire de rétroactions, les conditions physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes qui régulent la biosphère depuis des millénaires, au point de compromettre son habitabilité pour les générations futures, en affectant irréversiblement l’évolution des espèces et la dynamique géologique de la planète.
Ce vertigineux changement d’échelle, qui explicite les liens de co-viabilité entre les organisations sociales et leurs contextes écologiques, produit des effets de convergence inouïs qui effacent la séparation établie par la modernité entre l’histoire humaine et l’ordre de la nature. Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits "globaux" (Global Scenario Group, SRES, MEA…) montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Or nous savons désormais que la biosphère est à la fois la condition et le produit de toutes les formes de vie qui la constituent. C’est pourquoi ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons, dans ce cours, d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
Cours Public 4: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'ANTHR...EcoleUrbaineLyon
Nous prenons conscience de l’avènement d’un nouvel âge de la Terre. La croissance continue dont dépend la pérennité politique du système socio-économique mondial bouleverse, par un jeu complexe et non linéaire de rétroactions, les conditions physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes qui régulent la biosphère depuis des millénaires, au point de compromettre son habitabilité pour les générations futures, en affectant irréversiblement l’évolution des espèces et la dynamique géologique de la planète.
Ce vertigineux changement d’échelle, qui explicite les liens de co-viabilité entre les organisations sociales et leurs contextes écologiques, produit des effets de convergence inouïs qui effacent la séparation établie par la modernité entre l’histoire humaine et l’ordre de la nature. Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits "globaux" (Global Scenario Group, SRES, MEA…) montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Or nous savons désormais que la biosphère est à la fois la condition et le produit de toutes les formes de vie qui la constituent. C’est pourquoi ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons, dans ce cours, d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
Cours Public 6: L’ANTHROPOCÈNE SERAIT-IL UN URBANOCÈNE? OU COMMENT L’URBANISA...EcoleUrbaineLyon
L’entrée dans l’anthropocène est directement liée à la phase intense d’urbanisation de la planète qui a débuté après la seconde guerre mondiale.
Cette hypothèse reprend celle dite de la « grande accélération » (Steffen), mais en se focalisant sur une part explicative souvent minorée par les études anthropocènes : le rôle effectif de l’urbanisation généralisée et des bouleversements géographiques, économiques, sociaux, culturels et politiques qui l’accompagnent. Il s’agira donc de cerner ce rôle et de l’examiner à toutes les échelles de temps et d’espace.
Cours Public 5: L’ANTHROPOCÈNE SERAIT-IL UN URBANOCÈNE? OU COMMENT L’URBANISA...EcoleUrbaineLyon
L’entrée dans l’anthropocène est directement liée à la phase intense d’urbanisation de la planète qui a débuté après la seconde guerre mondiale.
Cette hypothèse reprend celle dite de la « grande accélération » (Steffen), mais en se focalisant sur une part explicative souvent minorée par les études anthropocènes : le rôle effectif de l’urbanisation généralisée et des bouleversements géographiques, économiques, sociaux, culturels et politiques qui l’accompagnent. Il s’agira donc de cerner ce rôle et de l’examiner à toutes les échelles de temps et d’espace.
Afin de donner une vision d’ensemble de l’Anthropocène, François Gemenne, spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement, chercheur à l'Université de Liège, enseignant à Sciences Po et à l’Université libre de Bruxelles et membre du GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat), présentera l’Atlas de l’anthropocène (Presses de Sciences Po, 2019). Cet ouvrage, réalisé avec Aleksandar Rankovic et l’Atelier de cartographie de Sciences Po, multiplie les points de vue et mobilise tant les sciences sociales et que les sciences expérimentales pour montrer le caractère systémique des problèmes environnementaux qui surgissent de manière éparse. Il connecte les questions de réchauffement climatique, de chute de la biodiversité ou encore de pollution avec leurs conséquences sociales et politiques.
Cours Public 1: La quatrième voie : les politiques de la terre face à l’Anthr...EcoleUrbaineLyon
Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits « globaux » montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
Cours Public 3: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'ANTHR...EcoleUrbaineLyon
This document discusses several frameworks for conceptualizing humanity's relationship with the Earth and the environment in the context of the Anthropocene era. It summarizes scenarios from different groups for how global socioeconomic systems and the Earth system may evolve. It argues that the dominant economic frameworks rely on an incorrect view of opposing relationships rather than complementary ones between systems and their environments. Alternative paradigms outlined include panarchy, the triumph of the commons, planetary security, and cosmobiopolitics.
Cours Public 5 et 6: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'...EcoleUrbaineLyon
Nous prenons conscience de l’avènement d’un nouvel âge de la Terre. La croissance continue dont dépend la pérennité politique du système socio-économique mondial bouleverse, par un jeu complexe et non linéaire de rétroactions, les conditions physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes qui régulent la biosphère depuis des millénaires, au point de compromettre son habitabilité pour les générations futures, en affectant irréversiblement l’évolution des espèces et la dynamique géologique de la planète.
Ce vertigineux changement d’échelle, qui explicite les liens de co-viabilité entre les organisations sociales et leurs contextes écologiques, produit des effets de convergence inouïs qui effacent la séparation établie par la modernité entre l’histoire humaine et l’ordre de la nature. Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits "globaux" (Global Scenario Group, SRES, MEA…) montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Or nous savons désormais que la biosphère est à la fois la condition et le produit de toutes les formes de vie qui la constituent. C’est pourquoi ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons, dans ce cours, d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
Cours Public 3: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'ANTHR...EcoleUrbaineLyon
Nous prenons conscience de l’avènement d’un nouvel âge de la Terre. La croissance continue dont dépend la pérennité politique du système socio-économique mondial bouleverse, par un jeu complexe et non linéaire de rétroactions, les conditions physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes qui régulent la biosphère depuis des millénaires, au point de compromettre son habitabilité pour les générations futures, en affectant irréversiblement l’évolution des espèces et la dynamique géologique de la planète.
Ce vertigineux changement d’échelle, qui explicite les liens de co-viabilité entre les organisations sociales et leurs contextes écologiques, produit des effets de convergence inouïs qui effacent la séparation établie par la modernité entre l’histoire humaine et l’ordre de la nature. Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits "globaux" (Global Scenario Group, SRES, MEA…) montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Or nous savons désormais que la biosphère est à la fois la condition et le produit de toutes les formes de vie qui la constituent. C’est pourquoi ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons, dans ce cours, d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
Cours Public 4: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'ANTHR...EcoleUrbaineLyon
Nous prenons conscience de l’avènement d’un nouvel âge de la Terre. La croissance continue dont dépend la pérennité politique du système socio-économique mondial bouleverse, par un jeu complexe et non linéaire de rétroactions, les conditions physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes qui régulent la biosphère depuis des millénaires, au point de compromettre son habitabilité pour les générations futures, en affectant irréversiblement l’évolution des espèces et la dynamique géologique de la planète.
Ce vertigineux changement d’échelle, qui explicite les liens de co-viabilité entre les organisations sociales et leurs contextes écologiques, produit des effets de convergence inouïs qui effacent la séparation établie par la modernité entre l’histoire humaine et l’ordre de la nature. Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits "globaux" (Global Scenario Group, SRES, MEA…) montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Or nous savons désormais que la biosphère est à la fois la condition et le produit de toutes les formes de vie qui la constituent. C’est pourquoi ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons, dans ce cours, d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
Cours Public 6: L’ANTHROPOCÈNE SERAIT-IL UN URBANOCÈNE? OU COMMENT L’URBANISA...EcoleUrbaineLyon
L’entrée dans l’anthropocène est directement liée à la phase intense d’urbanisation de la planète qui a débuté après la seconde guerre mondiale.
Cette hypothèse reprend celle dite de la « grande accélération » (Steffen), mais en se focalisant sur une part explicative souvent minorée par les études anthropocènes : le rôle effectif de l’urbanisation généralisée et des bouleversements géographiques, économiques, sociaux, culturels et politiques qui l’accompagnent. Il s’agira donc de cerner ce rôle et de l’examiner à toutes les échelles de temps et d’espace.
Cours Public 5: L’ANTHROPOCÈNE SERAIT-IL UN URBANOCÈNE? OU COMMENT L’URBANISA...EcoleUrbaineLyon
L’entrée dans l’anthropocène est directement liée à la phase intense d’urbanisation de la planète qui a débuté après la seconde guerre mondiale.
Cette hypothèse reprend celle dite de la « grande accélération » (Steffen), mais en se focalisant sur une part explicative souvent minorée par les études anthropocènes : le rôle effectif de l’urbanisation généralisée et des bouleversements géographiques, économiques, sociaux, culturels et politiques qui l’accompagnent. Il s’agira donc de cerner ce rôle et de l’examiner à toutes les échelles de temps et d’espace.
Communicato stampa : MAPPING RIFLESSIVO SUL CONTAGIO DEL COVID-19 Dalla geolo...EcoleUrbaineLyon
Dopo il comunicato stampa di fine marzo in cui abbiamo presentato la prima fase della ricerca1 (
https://www.ageiweb.it/senza-categoria/progetto-atlante-covid-19/) il presente comunicato anticipa
i risultati del 2° rapporto dal titolo L’evoluzione del contagio in relazione ai territori (aprile 2020 –
maggio 2020).
Cours Public 6: LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLE...EcoleUrbaineLyon
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
Cours Public 5: Olivier Hamant, LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIR...EcoleUrbaineLyon
Titre
Cours Public 5: LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLESSES POUR CO-EXISTER DANS L'ANTHROPOCÈNE
Description
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
Communiqué de presse du Centro studi del Territorio de l'Université de Bergame.
Coordination scientifique : Emanuela Casti et Fulvio Adobati. Chercheurs impliqués : Andrea Azzini, Andrea Brambilla, Francesca Cristina Cappennani, Emanuele Comi, Elisa Consolandi, Marta Rodeschini, Maria Rosa Ronzoni, Anna Maria Variato
Lien institutionnel : https://cst.unibg.it/it
LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLESSES POUR CO-EXI...EcoleUrbaineLyon
Olivier Hamant: LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLESSES POUR CO-EXISTER DANS L'ANTHROPOCÈNE.
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
COURS 1: L’Anthropocène serait-il un urbanocène ? Ou comment l’urbanisation g...EcoleUrbaineLyon
Nous examinerons une hypothèse : l’entrée dans l’Anthropocène est directement liée à la phase intense d’urbanisation de la planète qui a débuté après la seconde guerre mondiale. Cette hypothèse reprend celle dite de la « grande accélération » (Steffen), mais en se focalisant sur une part explicative souvent minorée par les études anthropocènes : le rôle effectif de l’urbanisation généralisée et des bouleversements géographiques, économiques, sociaux, culturels et politiques qui l’accompagnent. Il s’agira donc de cerner ce rôle et de l’examiner à toutes les échelles de temps et d’espace.
Cours Public 3: LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLE...EcoleUrbaineLyon
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
The document lists 3 names: Johann Rivat, Niek van de Steeg, and Ning Zhuo Hong. It does not provide any other details about these individuals or what context they are being listed in. In summary, the document only contains 3 names without any other explanatory or connecting information.
This document summarizes the transformation of a 2.75 square kilometer workers village in Shanghai with a population of over 100,000 people. Through co-design workshops involving 1200+ hours of local communication and benefiting 20,000+ residents, an open street lab was created from a former garbage station to establish a more circular community. The street lab maximizes its 100 square meters of space to provide additional value and change the community.
Siping community in Shanghai's Yangpu district is one of Shanghai's first workers' villages, built in 1950. It covers an area of 2.75 square kilometers and has a population of over 100,000 people. Local workshops and communications with over 1,200 hours helped transform a 50 square meter former garbage station into a circular community benefitting over 20,000 residents.
Adrien PINON will present the history of train station in Lyon and introduce the notion of distance, maintenance and development in the metropolitan area. A focus on les atelier la mouche will question the mental representation of space and distance crossing the Rhône river from Perrache
Communicato stampa : MAPPING RIFLESSIVO SUL CONTAGIO DEL COVID-19 Dalla geolo...EcoleUrbaineLyon
Dopo il comunicato stampa di fine marzo in cui abbiamo presentato la prima fase della ricerca1 (
https://www.ageiweb.it/senza-categoria/progetto-atlante-covid-19/) il presente comunicato anticipa
i risultati del 2° rapporto dal titolo L’evoluzione del contagio in relazione ai territori (aprile 2020 –
maggio 2020).
Cours Public 6: LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLE...EcoleUrbaineLyon
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
Cours Public 5: Olivier Hamant, LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIR...EcoleUrbaineLyon
Titre
Cours Public 5: LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLESSES POUR CO-EXISTER DANS L'ANTHROPOCÈNE
Description
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
Communiqué de presse du Centro studi del Territorio de l'Université de Bergame.
Coordination scientifique : Emanuela Casti et Fulvio Adobati. Chercheurs impliqués : Andrea Azzini, Andrea Brambilla, Francesca Cristina Cappennani, Emanuele Comi, Elisa Consolandi, Marta Rodeschini, Maria Rosa Ronzoni, Anna Maria Variato
Lien institutionnel : https://cst.unibg.it/it
LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLESSES POUR CO-EXI...EcoleUrbaineLyon
Olivier Hamant: LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLESSES POUR CO-EXISTER DANS L'ANTHROPOCÈNE.
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
COURS 1: L’Anthropocène serait-il un urbanocène ? Ou comment l’urbanisation g...EcoleUrbaineLyon
Nous examinerons une hypothèse : l’entrée dans l’Anthropocène est directement liée à la phase intense d’urbanisation de la planète qui a débuté après la seconde guerre mondiale. Cette hypothèse reprend celle dite de la « grande accélération » (Steffen), mais en se focalisant sur une part explicative souvent minorée par les études anthropocènes : le rôle effectif de l’urbanisation généralisée et des bouleversements géographiques, économiques, sociaux, culturels et politiques qui l’accompagnent. Il s’agira donc de cerner ce rôle et de l’examiner à toutes les échelles de temps et d’espace.
Cours Public 3: LA RÉSILIENCE DU VIVANT, OU COMMENT CONSTRUIRE SUR SES FAIBLE...EcoleUrbaineLyon
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
La redondance, la lenteur, l’aléatoire… Autant de notions perçues négativement dans une société qui privilégie la performance, le contrôle et la vitesse à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Pourtant, nous avons bien le sentiment confus d’une inadéquation contre-nature de ce dogme de l’optimum.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques d’une efficacité redoutable, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des hétérogénéités, des lenteurs dans la construction et la résilience des organismes vivants. Notre vraie nature serait-elle dès lors sous-optimale ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’anthropocène ?
The document lists 3 names: Johann Rivat, Niek van de Steeg, and Ning Zhuo Hong. It does not provide any other details about these individuals or what context they are being listed in. In summary, the document only contains 3 names without any other explanatory or connecting information.
This document summarizes the transformation of a 2.75 square kilometer workers village in Shanghai with a population of over 100,000 people. Through co-design workshops involving 1200+ hours of local communication and benefiting 20,000+ residents, an open street lab was created from a former garbage station to establish a more circular community. The street lab maximizes its 100 square meters of space to provide additional value and change the community.
Siping community in Shanghai's Yangpu district is one of Shanghai's first workers' villages, built in 1950. It covers an area of 2.75 square kilometers and has a population of over 100,000 people. Local workshops and communications with over 1,200 hours helped transform a 50 square meter former garbage station into a circular community benefitting over 20,000 residents.
Adrien PINON will present the history of train station in Lyon and introduce the notion of distance, maintenance and development in the metropolitan area. A focus on les atelier la mouche will question the mental representation of space and distance crossing the Rhône river from Perrache