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2015
La Dissonance Cognitive
et Les Problèmes
Systémiques
ASSOCIATIONFEMMES PLUS, WGEP, ETL’EDUCATIONDES
FILLES AUSENEGAL
PATRICK BLOMGREN
[1]
Table des Contents
Reconnaissance……………………………………………………………………………………………………………......2
Introduction......................................................................................................................................3
L’Organisation et Son Environnement : AFP...................................................................................4
1. Méthode des Collectes et des Données………………………………………………………………………4
2. Programme Nos Sœurs à l’Ecole (NSE)……………………………………………………………………..5
a. Programme des Bourses et de l’Encadrement………………………………………………….6
b. Programme de Microcrédit……………………………………………………………………………7
c. La Sensibilisation des Filles…………………………………………………………………………..9
3. Programme Nos Sœurs Lisent (NSL)…………………………………………………………………….....9
a. Programme des Bourses et de l’Encadrement………………………………………………..10
b. Formation des Enseignants…………………………………………………………………………10
c. La Bibliothèque…………………………………………………………………………………………..11
4. Financement des Projets…………………………………………………………………………………........13
Deuxième Partie : AFP en Analyse……………………………………………………………………………………..14
1. Situation Sociale……………………………………………………………………………………………………14
a. Manque de l’Identité…………………………………………………………………………………..15
b. Manque des Ressources………………………………………………………………………………17
c. Manque de Renforcement Sociale…………………………………………………………….....19
2. Analyse : Dissonance Cognitive et Problèmes Systémiques………………………………………..21
3. Recommandations………………………………………………………………………………………………..24
Conclusion……………………………………………………………………………………………………………………...26
[2]
Reconnaissance
Il y’a eu beaucoup de personnes sans lesquelles ce rapport ne sera pas fait. Premier, je
voudrais remercier tous les gens dans le bureau de l’AFP que j’ai rencontré et surtout mes amis
Badou Gueye et Guillaume Diop pour leur assistance avec les témoignages. Je voudrais
remercier Bathiou Diouf pour son patience, ses paroles pendant notre entretien et aussi son
assistance avec le travail du microcrédit sans lequel ce rapport n’aurait pas. Je voudrais
remercier Aminata Senghor, sans laquelle je n’aurais pas la direction ni le travail pour les
données que j’ai reçu par rapport aux tests de l’USAID ; merci beaucoup. Je voudrais remercier
aussi mon superviseur Marissa et son travail dans le bureau qui m’a aidé beaucoup pour les
idées et les paroles dans ce rapport. Je voudrais remercier Niang et son travail exceptionnel
dans le bureau, sans lequel je ne comprendrais pas les finances dans l’organisation. Je voudrais
remercier aussi ‘le grand sisi’, mon ami Karamo pour son travail dans le bureau et son assistance
pendant la sélectionne des élèves pour les bourses.
Par rapport au village de Mansarinko et l’école de Karang Soce, je voudrais remercier
tous les élèves et tous les enseignants sans lesquelles je ne comprendrais pas les réalités
Sénégalaises dans l’éducation. Surtout, je voudrais remercier les directeurs de Mansarinko et
Karang Soce, M. Mamadou Diedhiou et M. Sory Traore pour leur travail important dans leurs
écoles et pour prendre un peu du temps pour un entretien. Merci beaucoup aussi aux élèves de
Mansarinko et Karang Soce pour être très gentilles.
Par rapport aux autres personnes, je voudrais remercier tous mes amis du programme de
MSID et surtout Noah Nieting pour les nuits longes des conversations pour former notre ‘Meta
développement’. Je voudrais remercier tous les artistes Francaises et Americains qui m’inspirent
pour ces paroles incluant Maitre Gims, Youssoupha, CHVRCHES, Grimes, Chrome Sparks et
Mark Redito. Pour tous ces musiciens, je voudrais dire « Merci ! ».
Finalement, je voudrais remercier mon patron, ma mère, ma matrice et le pillard de
l’Association Femmes Plus, Adji Senghor. Sans l’assistance d’Adji Senghor, je ne comprendrais
pas les problèmes et les issus qui forment les paroles dans ce rapport. Sans ses paroles et ses
idées je n’aurais pas la compréhension de Mansarinko, de Sokone ou même de la réalité sociale
ici sur la terraine au Sénégal. Adji, tu représentes tous qui sont bonne par rapport au
développement et j’espère que vous pouvez grandir à l’avenir ‘Inch Allah’.
[3]
Introduction
Le développement de l’éducation et son système ici au Sénégal a créé beaucoup de
problèmes pour la jeunesse de la population, mais la pire situation pour la jeunesse au Sénégal
est l’éducation des filles. Il y’a les dimensions multiples qui conduit le système des problèmes ici
au Sénégal dans les communautés rurales. Le cas des filles dans ce zone n’est pas différents que
les autres régions au Sénégal, mais ça ne veut pas dire que la situation est bon pour les filles à
réussir. Prenez le témoignage de BD,1 une fille qui a réussi malgré les conditions mauvaises dans
son village de Toubacouta. Selon elle, « [son] père ne voulait pas qu’ [elle] aille à l’école
française. Par ce qu’il ne valorisait pas l’éducation des filles… Par la suite, vu qu’ [elle est]
intelligente, il [l’] encourageait… Mes parents sont analphabètes, mon père a quitter tôt l’école
par manque de moyen et craignant que la même chose [l’] arrive, ils se débrouiller pour payer
[ses] études ».2
Les problèmes qui affectent l’éducation des filles au Sénégal peuvent être renforcés par
ces paroles. Même comme BD, beaucoup d’autres filles partout le Sénégal n’ont pas le moyen
dans leur familles, elles n’ont pas le renforcement de l’assistance leurs vies quotidiennes et elles
ne sont pas données une chance de réussir à cause du contexte sociale dans le village. C’est tous
ces choses qui renforcent le but du travail pour l’Association Femmes Plus. Dans ce rapport, on
va expliquer le travail de l’AFP dans le contexte du Sokone et même partout la terraine du Sine-
Saloum qui entende aussi nord que Passy et aussi sud que la frontière Gambienne. Au début, je
vais donner les méthodes duquel j’ai trouvé cet information dans le rapport et faire une
introduction du travail et des programmes dans le bureau et même sur la terraine de l’AFP. Puis,
je vais donner un sommaire des financements, des partenaires, et du travail quotidien dans le
bureau. Ensuite, je vais souligner trois conditions sociales qui ont affectés le grand problème de
l’éducation des filles au Sénégal et dans notre région des affaires : le manque des pièces, le
1 Parceque le témoignage était faitpar l’AFP, j’ai enlevé lenom de la personnepour les raisons del’anonymat
2 Personne anonyme. Association Femmes Plus.Témoignage. Bureau de Femmes Plus,Sokone, Senegal, 2014.
[4]
manque des ressources et le manque du renforcement social. Pendant ce section, je vais donner
quelques exemples des expériences que j’ai eu sur la terraine qui ont renforcé ces problèmes
vraiment dans le travail de l’éducation formel. Apres, je vais analyser les issus que j’ai trouvé
pendant mon travail avec AFP qui inclue les issus de la dissonance cognitive et les problèmes
systémiques qui n’étaient pas vraiment adressé. Enfin je vais former les recommandations pour
l’organisation d’AFP et même les partenariats pour améliorer leur situation du travail. Ces
recommandations incluent
AFP : l’Organisation et Son Environnement
1. Méthodes de Collectes et des Données
D’abord, je voudrais donner une explication de mes données, comment je les ai trouvés,
et puis un sommaire du travail ici dans l’AFP. Apres, je vais donner une explication des deux
programmes dans AFP, Nos Sœurs à l’Ecole et Nos Sœurs Lisent. La plupart des données que
j’ai faites pendant mon temps ici étaient tire par les notes que j’ai faites et mes observations dans
l’organisation chaque jour. Ca inclue les conversations avec les personnes dans la communauté,
entre les collègues dans le bureau et aussi entre les personnes dans la communauté. Mais ses
notes ne sont pas la seule méthode que j’ai utilisé pour tire les conclusions et aussi pour collecter
les données. Avec ça, j’ai fait quelques petits entretiens formels sur la terraine et aussi dans le
bureau. Ces entretiens sur la terraine étaient entre les directeurs des deux écoles que j’ai visite :
Karang Soce et Mansarinko qui sont proche de la frontière entre la Gambie et le Sénégal.3 J’ai
fait aussi un autre entretien au bureau avec moncollègue Mbathiou pour mieux apprendre
comment ils se trouvent leur travail. En addition, j’ai fait beaucoup du travail au sujet des
statistiques pour les bourses entières et encadreurs dans les deux programmes. J’ai fait même
3 Même que j’ai faitl’entretien formel avec le directeur de KarangSoce, c’est seulement l’entretien du directeur de
Mansarinko qui estdans ce rapport.
[5]
un peu du travail au sujet des tests que l’AFP avec l’assistance de WGEP a fait parmi les villages
différents et aussi un peu sur le système du micro financement que l’organisation tient avec le
groupement des femmes Siggel Jigeen. Donc, tout ça en sommaire est devenu les méthodes du
travail qui construit la plupart du rapport.
Prochainement, je vais donner de l’information au sujet d’AFP et ses affaires par rapport
aux dieux projets : Nos Sœurs à l’Ecole (NSE) et Nos Sœurs Lisent (NSL). Le premier projet,
NSE, était le bas d’AFP au début quand l’organisation était forme à 2003. Adji Senghor, le chef
de l’Association Femmes Plus et aussi ma mère pendant mon stage, a créé l’organisation et son
premier programme après des années comme un enseignant dans le système formel pendant les
années 80s. Pendant ces années elle a commencé à voir une manque de la représentation des
filles C’était à cause des expériences et des réalités qu’elle a confronté pendant son avis dans ce
système qu’elle a essayé de résoudre ca complètement dans le village de Sokone. C’est dans
cette situation qu’elle a forme l’organisation Association Femmes Plus avec l’assistance des
autres femmes sages dans son village qui a vu ces issus et qui a voulu aider les situations
présents dans le village de Sokone et même dans les autres villages de la région de Sine-Saloum
aussi. Avec ces femmes et surtout l’ambition de l’Adji Senghor, le programme NSEa été fait.4
2. Programme Nos Sœurs à l’Ecole (NSE)
Selon leur fiche de l’information que j’ai reçu pendant mon stage et ce que j’ai vu
pendant mon temps à la bas, les activités surtout dans le programme de NSE sont la
sensibilisation, le programme des bourses, l’encadrement des filles, projet du sante et aussi la
formation professionnelle (i.e. le microcrédit et l’éducation des adultes).5 Surtout ces choses, les
4 Entretien informel avec Adji Senghor
5 Association Femmes Plus.« Programme Nos Sœurs Lisent à l’EcoleSokone Sénégal » Fiche. 2014.
[6]
activités desquelles j’ai eu une majorité de l’exposure étaient les bourses, l’encadrement des
filles, le microcrédit et la sensibilisation des filles.
a. Programme des Bourses et l’Encadrement
Pour la première activité, j’ai eu de la chance à voir le processus des bourses et
l’encadrement du début à la fin. Pour mieux comprendre, le programme des bourses est un
système de la scolarisation des filles ou AFP sélectionne quelques filles ou même les garçons
dans les écoles formels pour recevoir des bourses chaque mois. En réalité, le moyen qu’ils
reçoivent est à peu près 8,000 CFA et 15,000 CFA donnée à l’école pour payer pour les choses.
Selon Adji, le système au début était juste des enveloppes de l’argent qu’ils ont donné aux
familles des enfants. Mais après une année, ils ont trouvé des difficultés pour renforcer les
adultes dans les familles a bien utiliser l’argent pour les études de leur enfants.6 C’est pourquoi
que maintenant, ils donnent l’argent aux écoles lorsque les élèves ont besoin de l’argent pour les
études. Pour l’encadrement, c’est le même système des bourses, mais c’est ce qu’ils dissent les
demi-bourses ; ça veut dire qu’ils ont une moitié des bourses que les élèves reçoivent dans
l’autre programme. Le processus des bourses commence vraiment avec une application, qui est
vers une page des questions répondus au sujet du moyen dans l’école et les besoins des élèves
qui vont à l’école. Par exemple, on pose les questions, « Quel est la distance entre l’école et la
maison ? » et « Etes-vous orphelins ? » parce qu’il y’a les cas des enfants qui marchent les
distances longes pour aller à l’école et qui ont un parent décédé. Ces enfants prennent le
précédence surtout les autres applications parce-que les applications pour NSE sont basés par
les besoins. Apres une application est fini et un élève ou un enseignant le donne à l’AFP, ils
commencent le processus pour sélectionner les enfants. Le processus est un système ferme ou
les encadreurs qui travaillent pour l’AFP s’asseoir en conjonction avec les personnes sages pour
décider les candidats pour les bourses. Il y’a deux raisons que j’ai vu pourquoi qu’AFP fait ça : ils
6 Entretien informel avec Adji Senghor
[7]
veulent bien respecter le rôle de la communauté dans leur travail et 2) ils veulent bien voir qu’ils
ne donnent pas les bourses aux filles et même les familles qui ont le moyen dans la communauté
à soutenir leur enfants à l’école.
Apres qu’ils choisissent tous les boursières et les demi-boursières, ils visitent chaque
école, ils donnent l’argent à l’école pour bien gérer et ils donnent les élèves les sacs des
matériaux. Les matériaux dépendent sur le niveau des filles et garçons a l’école et aussi s’ils sont
donnes les bourses entières ou les bourses d’encadrement. Dans ses sacs sont les stylos, les
crayons, les cahiers, etc. ; et même pour les bourses entières, on peut recevoir aussi une carte
mutuelle gratuitement pour le système mutuel du sante.7 Et puis, les boursières sont
normalement tenir dans le système des bourses jusqu’à la fin quand ils reçoivent leur Bac au
lycée. Dans les statistiques que j’ai vues dans la courtese de WGEP, le programme maintenant
tienne un taux de la rétention vers 90% dans les programmes des bourses.8
b. Programme de Microcrédit
La deuxième activité que j’ai participé avec était le programme de microcrédit ou micro
financement avecCrédit Mutuel Sénégal et Siggil Jigeen. Dans cette activité, AFP a créé un
système du micro financement interdépendant entre l’agriculture Sénégalais et le système de
l’éducation formel. Premier, les femmes de Siggil Jigeen, qui est un groupement des femmes
base dans la région du Thiès, appliquer pour l’argent par l’organisation Crédit Mutuel Sénégal
(CMS) qui est un banque Sénégalais du microcrédit. Pour mieux faire ça, ils font les demandes
7 Pour mieux comprendre : la carte mutuelle est un partenariatBelge avec les postes de sante comme la poste
présente a Sokone pour diminuer le prix si on visite.Le but est pour diminuer le prix,mais aussi pour promouvoir
l’utilisation dela poste de sante pour renforcer les pensées sociales.
Ces partenariats nesont pas partouttous les régions desquelles AFP faitles interventions, alors c’esttrès possible
que les élèves dans quelques écoles ne reçoivent pas ces cartes mutuelles.
8 « WGEP Senegal Video—Womens’ Global Education Project ». Womens’ Global Education Project.
http://womensglobal.org/activity/wgep-senegal-video/. 06/12/2015
[8]
de prêts avec l’assistance des personnes dans le bureau d’AFP parce que la plupart des femmes
qui font ces applications sont les analphabètes. Ces applications sont assez petites et assez
simples que les femmes analphabètes peuvent même les remplir sans beaucoup de problèmes.
Elles sont données l’argent du CMS normalement vers 50,000 ou 150,000 FCFA, aveclequel ces
femmes peuvent en théorie transformer l’argent dans un profit plus grand vers 200,000 FCFA
ou même 300,000 FCFA. Donc elles peuvent utiliser l’argent prête par CMS pour mieux cultiver
leurs arachides, leur couscous, ou même vendre plus des poissons. Même quand elles payent
dans quelques mois l’argent qu’elles étaient prêtées par CMS, ce profite soit suffisant pour leur
travail agricole ou leur marchandage. Mais avec cet argent, les femmes sont contractées par les
prêts de données à donner un moyen suffisant de l’argent pour une fille ou même un garçon
dans l’école primaire. Alors, même si l’argent que l’AFP donne aux quelques élèves pour les
bourses n’est pas suffisantes, ces élèves peuvent contacter ou même visiter la femme qui est
chargée pour donner l’argent et recevoir un peu de l’argent en retourne.9
Le but de ce projet comme j’ai vu était de créer une interdépendance avec le système de
l’agriculture pour les groupements des femmes et le système de l’éducation formel pour les filles.
Les groupements des femmes peuvent dépendre sur les filles d’aller à l’école comme un avantage
économique pour recevoir de l’argent et les filles dans le système formel peuvent dépendent sur
les femmes dans ces groupements pour donner un peu de l’argent. Avec ce que j’ai observé dans
le travail, il y’a eu juste quelques applications pour le micro financement qui a eu de
l’information faux ou incomplet.10 Même dans les conversations, j’ai trouvé que dans l’histoire
de l’année passée quand ils ont commencé ce projet de micro financement il y’a eu juste 4
femmes sur 600 qui a oublié de donner l’argent aux filles comme d’habitude pour les prêts de
données.11
9 Entretien informel avec Adji Senghor
10 Données de Micro financement ; AFP, 2015.
11 Entretien informel avec Adji Senghor
[9]
c. La Sensibilisation des Filles
Le dernier projet de NSE que j’ai rencontré beaucoup dans leur travail était la
sensibilisation des filles. C’est plus difficile à dire qu’il y’a vraiment une seule activité qui
accompagne la sensibilisation des filles à l’AFP, parce que la sensibilisation des filles se trouvent
dans chaque projet qu’il y’a alors les filles peuvent réussir. Comme la fiche des descriptions pour
les activités de NSE dit, c’est, « … pour informer et sensibiliser les autorités, les partenaires et
les populations sur l’importance de la scolarisation des filles et leur maintien à l’école, [et] les
droits des femmes… ».12 La raison, selon Adji et même tous les autres que j’ai observé dans le
bureau pour faire ça est basée dans le problème fondamental d’un manque de renforcement
social dans les villages sans beaucoup des ressources pour l’éducation. Comme l’histoire de BD
dans Toubacouta, si son père n’avait pas le sentiment au début qu’elle n’a pas eu besoin d’aller à
l’école parce qu’elle était une fille, elle irait à l’école plus tôt dans son âge et peut être elle
réussirait plus facilement dans l’école, même avec son intelligence.13 Le but pour la
sensibilisation est à renforcer les droits des femmes et même les droits de l’éducation dans ces
villages parce que sans une compréhension du ca, on ne peut pas vraiment réussir.
3. Programme Nos Sœurs Lisent (NSL)
Ensuite, on va parler de deuxième programme avecAFP qui s’appelle Nos Sœurs Lisent
(NSL). Le programme de NSL était forme dans 2014 avecl’aide de l’USAID en conjonction avec
le travail de WGEP. Le but de ces projets que j’ai trouvé dans mon travail est diffèrent et plus
12 Association Femmes Plus. « Programme Nos Sœurs à l’EcoleSokone Sénégal » Fiche. 2014.
13 Personne anonyme. Association Femmes Plus.Témoignage. Bureau de Femmes Plus,Sokone, Senegal, 2014.
[10]
nuance que le travail de NSE, mais c’est telle important que l’autre programme. NSEest désigné
de soutenir les filles surtout à l’école mas NSL est désigné pour créer l’intérêt des filles même qui
ne sont pas à l’école pour la lecture.14 Les plus grandes activités que j’ai vues dans mon travail au
bas avec AFP étaient le programme des bourses et l’encadrement, la formation des enseignants
et la bibliothèque pour les enfants.
a. La programme des Bourses et de l’Encadrement
Comme le programme des bourses et encadrement pour les élèves avec NSE, NSL
supplie l’argent et les matériaux comme les sacs pour les filles et les garçons. Mais, il y’a
quelques choses qui diffèrent entre les bourses dans les deux programmes. Premier, le système
des bourses dans NSE est basé sur les besoins des élèves qui sont à l’école, mais les bourses pour
le programme de NSL sont basées dans l’excellence des élèves. Ça ne veut pas dire que les
besoins ne sont pas importants pour trouver les boursières dans quelques cas. Par exemple on
doit trouver les besoins pour les boursières dans le programme qui viennent de l’école primaire
parce que l’école primaire est un endroit trop jeune pour les bourses de les juger par l’excellence.
Aussi, les bourses de NSL peuvent occuper et balancer les espaces où il n’y a pas les bourses de
NSE. Par exemple, ces bourses de NSL remplacent la fonctionne d’une bourse de NSE dans le
niveau primaire. Ce fonctionne dans la même façonavecl’encadrement et les demi-bourses du
programme de NSE. 15
b. Formation des enseignants
14 Association Femmes Plus. « Programme Nos Sœurs Lisent Sokone » Fiche. 2014.
15 Entretiens informels avec MarissaetKaramo
[11]
La deuxième activité que j’ai vu beaucoup quand j’étais dans mon stage avec AFP était la
formation des enseignants qui se passent pendant l’année scolaire dans le centre de Toubacouta.
Ces formations se trouvent pour 3 jours ou plus pendant un week-end normalement un fois par
mois. Le but de ces activités est à donner les leçons différentes aux enseignants qui sont dans les
systèmes formels pour promouvoir la lecture dans les cours. Tous les activités, sauf quelques
d’autres qui sont fait par les personnes dans le bureau, sont fait par Véronique, un consultant
français qui a commencé son travail avec AFP pour NSL l’année dernière. Elle a créé ses leçons
avec le temps pour promouvoir la lecture dans les cours et aussi pour maintenir un relevance
culturel.16 Chaque formation pendant l’année scolaire, un enseignant est envoyé de chaque école
avec lequel AFP travaille. Pendant trois jours, les enseignants apprennent en totale 9-10 leçons
qui deviennent 3 leçons chaque jour de la formation. Pendant ce temps, ils reçoivent le petit-
déjeuner et le déjeuner gratuitement et ils sont donnés un peu de l’argent pour leur travail avec
AFP. Apres les formations, les enseignants peuvent utiliser ces leçons dans leur cours pour
augmenter l’amour de la lecture en classe. De la première fois qu’on peut observer la liste de
leçons différentes, on peut voir même la diversité dans les leçons et aussi la culture présente
dans chacun. Par exemple, pour la leçon qui s’appelle Tissus Messagers, les élèves créent un
tissu avec les symboles et les dessins seulement pour exprimer une idée ou un concept aux
autres élèves dans le cours. Le bas pour cette activité est dans la culture Sénégalaise et
l’importance culturelle dans l’histoire Sénégalaise.
c. La bibliothèque
La troisième activité que j’ai vu beaucoup dans mon temps au bureau et aussi sur la
terraine était la bibliothèque. La bibliothèque possède trois fonctionnes et ça c’est de louer les
16 Entretien informel avec Véronique
[12]
livres aux filles et aux garçons dans la bibliothèque propre, louer les livres avec la bibliothèque
mobile dans les villages sans l’accès aux livres et de louer les tablettes de Qelasy pour améliorer
la connexion avec la technologie et aussi d’améliorer l’amour avec la lecture. Pour la
bibliothèque propre, maintenant il y’a une collection des livres pour tous les niveaux différents
des élèves qui veulent visiter et avec beaucoup plus des sujets. Tous ces livres aussi
maintiennent un peu de la relevance culturel, comme les livres au sujet de la lutte, et même les
livres des auteurs Africains qui ont fait un grand impact sur la littérature Africaine comme
Cheikh Hamidou Kane et Aminata Sow Fall. Aussi, il y’a les livres des niveaux scolaires pour les
gens qui veulent réussir plus sur leurs études. Par exemple, il y’a les livres pour CI, CP, CE1, etc.
qui peuvent aider les gens dans ces niveaux scolaires différents à réussir.17
Le deuxième parti de la bibliothèque se passe pendant l’été quand les enfants n’ont pas
de l’accès à l’école même pour les enfants qui veulent réussir. Pour celles-là, il y’a la bibliothèque
mobile qui va de village a village pour louer les livres aux enfants qui n’ont pas de l’accès aux
livres. Pour ces enfants et leurs parents, ils peuvent réussir à apprendre le français ensemble
maintenant aussi parce que avec beaucoup des familles au Sénégal il y’a les parents
analphabètes pour les générations et les générations. Mais avec la bibliothèque mobile, les filles
et leurs familles peuvent réussir à apprendre le français ensemble. Même maintenant, le projet
pour la bibliothèque mobile est en train de trouver les lanternes pour cet été prochaine alors les
familles peuvent apprendre le français maintenant pendant la nuit aux villages où il n’y a pas
beaucoup de l’électricité.18
La troisième fonctionne de la bibliothèque est la plus nouvelle aussi : les tablettes de
Qelasy. Pour mieux comprendre, Qelasy est une entreprise de la Cote d’ Ivoire qui produit les
informatiques comme les ordinateurs et même les tablettes qui sont tous fait dans la Cote
17 Entretien informel avec Badou Gueye
18 Entretien Informel avec Adji Senghor
[13]
d’Ivoire. La compagnie de Qelasy a donné à l’AFP 24 tablettes désigné pour les élèves a mieux
apprendre le français avec lequel ils vont aimer plus en plus. Avec ces tablettes de Qelasy, ils
vont à une école choisie chaque semaine pour donner les tablettes aux enfants. Ces tablettes
possèdent les applications presqu’une bibliothèque électronique, les jeux qui sont focalises par
la lecture pour tous les niveaux des élèves.19 Le but de ces choses est vraiment de donner les
élèves qui n’ont pas les choses électroniques ou même les réseaux électroniques dans son école
la chance d’utiliser ça. Ils peuvent même aussi créer des connexions avec la jeunesse et ces
tablettes électroniques pour mieux comprendre la lecture dans un environnement scolaire ou ils
ont peu des ressources.
4. Financement des Projets
Maintenant, je peux parler au sujet du financement des projets dans les deux
programmes de NSE et NSL. Les deux programmes sont avec la conjonction de WGEP, mais
c’est seulement le programme de NSE qui reçoit l’argent directement financée par les actions de
WGEP. L’argent pour le programme de NSL vient seulement d’USAID dans un partenariat avec
WGEP ; ça veut dire que l’USAID donne l’argent a WGEP pour prendre le charge a donner a
l’AFP.
Avec les deux programmes et leur financement, il y’a juste quelques observations qu’on
peut noter comme une différence entre l’un et l’autre. Premier, parce que l’argent pour NSE est
financée directement par WGEP, les méthodes pour réguler l’argent sont moins strictes et moins
stresses que le financement de NSL. Par exemple, pour acheter les fournitures dans le
programme de NSL, il faut par les règles de l’USAID à trouver trois endroits au minimum ou on
peut les acheter, comparer les prix qu’on a par les trois endroits différents et choisir la chose le
19 Entretien informel avec GuillaumeDiop et Badou Gueye
[14]
plus bas.20 Ces choses ne sont pas très difficiles vraiment à faire, mais c’est un chèque qu’ils
n’ont pas vraiment quand on achète les fournitures de NSE. C’est vrai qu’ils comparaissent les
prix avec les endroits différents peut-être parce que c’est important même a trouver le prix le
plus bas dans cette situation. Mais surtout, c’est un chèque formel qui n’est pas présenté dans le
système du financement pour NSE.
Deuxième, le financement par rapport à la différence des chèques le montre que les
partenariats dans le programme de NSL tiennent un rôle plus actifs que le programme de NSE.
Surtout la raison pour ça que j’ai trouvée était l’intervention de l’USAID et les règles qui sont
devenu avec le temps d’habitude dans l’organisation. Par exemple, la plus grande différence qui
peut montrer ca est les tests. Par les règles de l’USAID, il faut avoir un système pour mieux
comprendre le succès et leur impact sur la terraine. Pour le programme de NSL, USAID a créé
un système des indicateurs et des tests qui analysent statistiquement comment leur travail était
fait sur la terraine et s’ils ont fait un bon impact. Ces tests incluent des questions de
compréhension, de l’oralisation, de la lecture, etc. qui sont réalisés pour chaque niveau de
l’école. Avec cet information, on peut voir comment l’impact du travail a l’école a changé du
début à la fin de l’année. Ce processus est bon, mais il n’y a pas le même système ou les memes
facons qu’on utilise pour mesurer l’impact dans le programme de NSE. Il n’y a pas même les
tests qu’on peut utiliser pour mesurer les niveaux des élèves qui reçoivent leurs bénéfices ; ils
peuvent regarder seulement le moyen général ou même l’examenfinal des élèves qui sont dans
le système formel. Donc, le système du financement est devenu plus interventionniste avec le
programme de NSL que NSE.
Deuxième Partie : AFP En Analyse
20 Entretien informel avec Karamo
[15]
1. Situation Sociale
Pendant mon temps au stage, j’ai vu quelques choses sur la terraine qui m’a montré les
réalités des situations sociales dans le contexte Sénégalais. Ces choses étaient multiples et ils ont
variées beaucoup, mais avec tous que j’ai vu j’ai identifié trois choses en particulaire que
j’appelle les ‘trois manques’ qui font les plus grandes barrières pour les élèves et surtout les filles
d’aller à l’école. Premier, il y’a le manque de l’identité que veut dire la manque des pièces d’états
civiles desquelles la plupart des Sénégalaises ne possèdent pas. Deuxième, il y’a le manque des
ressources dans l’école formel et même dans l’école informel qui le fait alors les filles ne peuvent
pas réussir comme elles veulent dans l’école. Finalement, il y’a le manque de renforcement
sociale dans la vie quotidienne aux villages et même dans les écoles pour le droit de l’éducation
des filles. Surtout ça, pour mieux expliquer ces problèmes, je vais utiliser le cas de Mansarinko,
un petit village sur la frontière avec la Gambie qui possède tous ces problèmes dans les façons
extrêmes.
a. Manque de l’identité
Le manque de l’identité est un concept très complexe dans les écoles formelles et
informelles, mais c’est un aspect qui est devenu une habitude pour les générations des
Sénégalaises. Ce processus est devenu un grand problème dans les années en passe et même
maintenant à cause des tests dans le système éducatif au Sénégal. Pour réussir d’un niveau a un
autre niveau dans le système éducatif au Sénégal, il faut prendre un test pour accélérer. Par
exemple, pour les élèves qui sont dans le niveau de l’école primaire, il y’a le niveau de
l’éducation de CI jusqu’à CM2, mais après l’année de CM2 il faut prendre le teste de CFEE. Pour
ce test, et même pour tous les tests qu’on doit prendre pour accélérer d’un autre niveau au
Sénégal, c’est nécessaire d’avoir une pièce de l’état civile. Pour la plupart des élèves qui sont
dans ce système, c’est impossible de recevoir une pièce de l’état civile parce qu’ils ne les ont pas,
[16]
surtout même les filles. C’est le cas parce que c’est d’habitude dans ces familles de n’acheter pas
une pièce de l’état civile après les enfants sont nées. Le cout pour les pièces des états civiles sont
très peu quand on peut les acheter au début, mais quand un enfant est déjà à l’école et les
années sont passées sans une pièce de l’état civile, ça devient plus en plus difficile pour la famille
d’actualiser. C’est à cause de ça que le manque de l’identité ou la manque des pièces est devenu
un problème tellement grand au Sénégal pour l’éducation.21
Il faut dire, que quand je suis allé sur la terraine et quand j’ai même analyse les données
qu’AFP a commencé à construire, j’ai vu totalement les problèmes avec ça. La première fois que
j’ai vu ça était dans une conversation informelle avecma mère, Adji Senghor. Elle m’a dit aussi
que les problèmes systémiques des pièces au Sénégal a commencé pendant l’époque de
colonialisme quand les Françaises ont commencé a inscrit les soldats Africains pour la
Deuxième Guerre Mondiale. Alors, pour échapper l’inscription dans l’armée Française,
beaucoup de Sénégalaises a commencé à échapper leurs pièces des états civiles.
Malheureusement, l’habitude n’a pas arrêté avec la fin de la guerre et c’est pourquoi que vous
avez les générations des individus qui n’ont pas ces pièces.22
La deuxième fois que j’ai vu la magnitude des problèmes des pièces étaient dans les données
statistiques des boursières de NSL. Pour toutes les boursières qui sont choisi, ils ont dû créer
une fiche des données électroniques pour toutes les applications au papier qui sont acceptés.
Partout tous les applications acceptes de chaque école, il y’a eu les personnes sans un date de
naissance ou même un lieu de naissance. Quelquefois même, il y’a eu des personnes qui ont mis
sur leurs applications simplement qu’ils n’ont pas eu une pièce. Par exemple, juste dans les
écoles de Sokone que j’ai fait (Sokone 3, Sokone 4, Sokone 5, et Sokone 6) il y’a eu une école
seulement qui a eu moins que 50% des élèves choisi pour le programme des bourses
21 Sene, Fulgence. « Semaine 3 Lecture de l’Education et l’Alphabetisme ». Lecture du cours,MSID, Dakar,Senegal,
22/09/2015
22 Entretien informel avec Adji Senghor
[17]
d’encadrement avec un date et un lieu écrit sur leurs applications. Toutes les autres écoles ont eu
une majorité des boursières sans une date ou un lieu de naissance mis sur l’application. En
totale, parmi les 4 écoles et 80 élèves choisi en totale, il y’a eu 51 élèves qui n’ont pas mis leurs
dates ou leurs lieus de naissance sur les applications. Ça veut dire à peu près de 63% des élèves
parmi les 4 écoles de Sokone desquelles va recevoir les bénéfices d’encadrement n’ont pas eu
leurs pièces des états-civiles dans les villages.
La troisième fois que j’ai rencontré cette barrière était pendant mon voyage sur la terraine a
Mansarinko. Pour mieux comprendre le contexte, Mansarinko est un très petit village situe
directement 500-800m de la frontière avec la Gambie. J’étais au bas pour mieux découvrir la
situation sociale dans cette école spécifiquement pendant que les encadreurs du bureau de l’AFP
ont donné les tests de l’USAID à faire. Pendant cette visite, j’ai eu de la chance à parler avec le
directeur de l’école à Mansarinko, M. Mamadou Diedhiou. Pendant mon entretien aveclui, il
m’a informé vraiment qu’il y’a un grand problème avec les pièces des états civiles parmi les
élèves et même qu’on peut voir comment ça change le numéro et le genre des élèves dans chaque
niveau des cours aussi.23 Par exemple, de ce qu’on a vu, dans le cours de CI/CP il y’a eu a peu
près 30 élèves en totale pour les deux niveaux et une majorité des filles surtout avec moins que 4
ou 5 garçons. Dans le cours de CM1/ CM2, il y’a eu a peu près 15 ou 17 élèves dans le cours et
une majorité des garçons avec a peu près 3 filles. C’est possible vraiment que ces numéros
peuvent être à cause des pièces des états civiles et le fait qu’on doit les posséder si on veut
accélérer. Mais au même temps, comme on va voir, il y’a beaucoup de barrières dans le système
éducatif au Sénégal.
b. Manque des Ressources
23 Diedhiou,Mamadou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien formel. Mansarinko,Senegal,26/11/2015
[18]
Le manque des ressources est aussi un problème grave pour les parents et surtout les filles à
réussir dans le système éducatif au Sénégal. Ici au Sénégal, le budget pour l’éducation est
vraiment le plus grand que beaucoup d’autres choses que l’état finance comme l’énergie et les
subventions. Mais dans ce budget, la plupart de l’argent, à peu près 90%, va seulement pour
payer les enseignants dans les écoles formelles. Ca veut dire que la plupart de l’argent qui va aux
écoles pour financer ces écoles va vraiment pour payer les enseignants qui sont dans ces écoles.
En actualité, l’argent que les enseignants reçoivent de l’état dans ce façon n’est pas suffisant
pour leurs vies, mais au même temps ça veut dire qu’à peu près 10% de l’argent financier pour
les écoles va seulement pour les ressources ; et même avec ça la plupart de cet 10% va seulement
pour la recherche dans les niveaux de l’Université comme l’Université de Cheikh Anta Diop.
Donc, la plupart des écoles primaires, collèges, et lycées ont un manque des ressources dans
leurs établissements pour enseigner les filles et les garçons. Même dans le système informel que
beaucoup plus des élèves choisissent sur le système formel, il y’a un manque pire que les écoles
formelles. La raison pour ça est seulement parce que les écoles informelles comme les Daaras ou
écoles Coraniques, n’ont pas l’aide de l’état pour éduquer les enfants ; il y’a seulement la revenue
qui viennent des Talibés qui travaillent dans les champs. Alors, dans tous les niveaux de l’école
au Sénégal, il y’a un manque des ressources qu’ils doivent pour l’éducation des élèves.24
Pendant mon temps à Mansarinko, j’ai vu une situation grave des ressources qui sont
manques pour les élèves de CI jusqu’à CM2. Par exemple, par rapport aux cartes j’ai vu un
manque des cartes Françaises dans les deux ou trois salles de classes qui étaient a Mansarinko ;
ça veut dire que les deux cartes mondiales qu’ils ont eu dans l’école étaient seulement en
Anglais. Pour une école qui enseigne l’Anglais peut-être ça marcherait, mais dans cet école ils
ont enseigne la Français seulement parce que c’était une école primaire. Alors, ils ont eu
vraiment les difficultés avec l’enseignement des cartes et même l’enseignement de la géographie.
24 Sene, Fulgence. « Semaine 3 Lecture de l’Education et l’Alphabetisme ». Lecture du cours,MSID, Dakar,Senegal,
22/09/2015
[19]
La seule carte en Française qu’ils ont eu était une carte dessinée en Française avec une craie des
régions Sénégalaises.
Malheureusement, quand j’ai parlé avec le directeur de Mansarinko M. Mamadou Diedhiou,
j’ai trouvé qu’il y’a plus des issus avec les ressources dans l’école. Seulement à Mansarinko et
même dans les autres villages a la frontière avec la Gambie, j’ai entendu des histoires des élèves
qui ont croisse a la bas pour étudier dans les écoles à la Gambie. Quand j’ai posé cette question,
il a confirmé que c’est un grave problème pour les élèves ici et il m’a donné quelques raisons
pourquoi que ça se passe beaucoup. Premier, l’école Gambien qui est moins qu’un kilomètre
possède plus des ressources que l’école Française qu’il y’a Mansarinko selon le directeur.
Deuxième, il y’a les familles qui habitent dans le village de Mansarinko qui ont aussi des relatifs
qui habitent dans les villages a la Gambie.25 Alors, c’est comme d’habitude pour ces familles
d’envoyer leurs enfants pour aller à l’école au bas avec ces relatives. Même dans le centre du
village que j’ai visite, j’ai vu beaucoup des voitures Gambiennes qui ont croisse la frontière pour
aller à la Gambie. Même dans les écoles Coraniques, le Directeur m’a dit qu’il y’a eu beaucoup
des issus même avec les garçons avec un manque des ressources pour leur éducation. Alors,
dans tous les niveaux de l’éducation, on peut voir ce problème des ressources.
c. Manque de Renforcement Sociale
Le troisième manque dans les écoles que j’ai vu était le manque de renforcement sociale et
c’est vraiment surtout les autres manques l’un qui est oublie le plus. Prends l’exemple de BD au
début du rapport : dans son cas, son père a eu des problèmes d’envoyer sa fille a l’école mais ce
n’était pas jusqu’à il a trouvé qu’elle était intelligente qu’il a changé son opinion. C’est bon que
BD a eu les capabilités d’être très intelligent dans l’école et de réussir, mais sans ca elle n’a eu
25 Diedhiou,Mamadou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien formel. Mansarinko,Senegal,26/11/2015
[20]
aucun chance de réussir à l’école.26 La raison pour ça est simplement parce qu’il n’y a pas dans
quelques villages avec tous ces autres manques dans l’éducation un renforcement des droits des
femmes et même des filles d’aller à l’école. C’est la raison exactement pour ça que beaucoup plus
des filles ne vont pas à l’école malgré elles sont intelligents et elles décident d’être une bonne ou
de se marier avec une autre personne dans un âge trop jeune. Ce n’est pas à dire que les femmes
ou même les filles ne peuvent pas trouver la valeur dans leur travail dans ces cas et qu’on peut
voir le système des bonnes ou les filles comme le problème dans la vie Sénégalaise. Mais, c’est-à-
dire que c’est un problème si les filles se pensent qu’elles peuvent trouver la valeur dans leurs
vies sans un droit de l’éducation. Et dans la plupart des villages que j’ai visite, c’est un problème
qui existe même maintenant dans leurs vies.
Même quand j’ai visité le village de Mansarinko, j’ai vu comment un manque de
renforcement social à change vraiment leurs pensées par rapport à l’éducation. Quand j’ai parlé
même des daaras et du système informel dans le village de Mansarinko, le directeur m’a dit qu’il
y’a deux daaras qui vraiment prennent la charge de la plupart des élèves dans le village et même
quelques élèves qui étaient dans l’école formel. Quand j’ai posé pourquoi que les Daaras étaient
vraiment favorables pour les parents des enfants, il m’a dit que c’était lie par la langue. Par
rapport aux Daaras, la plupart des parents dans le village de Mansarinko se pensent que l’Arabe
est lie dans les pratiques de l’Islam, et si leurs élèves étudient le Français et ils n’apprennent pas
l’Arabe ils vont perdre leur religion.27 C’est ces pensées sociales qui vraiment posent le plus
grand obstacle pour les élèves de réussir dans les écoles formelles. Meme les filles qui sont dans
le système ne peuvent pas reussir avec ce pensee sociale parce que ca barre meme les filles
d’aller a l’ecole et donc normalement elles ne sont pas permi par leurs parents.
26 Personne anonyme. Association Femmes Plus.Témoignage. Bureau de Femmes Plus,Sokone, Senegal, 2014.
27 Diedhiou,Mamadou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien formel. Mansarinko,Senegal,26/11/2015
[21]
J’ai trouvé que les écoles comme Mansarinko a commencé à introduire l’enseignement de
l’arabe dans les écoles, mais même dans ce façon il y’a eu les problèmes à cause des mariages des
enfants. Par exemple, dans le village de Mansarinko j’ai rencontré une fille qui allait à l’école
pour un peu du temps mais elle a du arrêter parce que ces parents a décider de marier elle avec
un autre homme. Maintenant, elle n’a eu que 25 ans, elle était avec le même mari et elle a eu 5
enfants avec lui.28 C’est bon que tous leurs enfants a eu la chance d’aller à l’école de
Mansarinko, mais ça montre un peu le problème avec les femmes et même les enfants qui se
marient très tôt et qui n’ont pas l’accès aux autres choses comme la planification familiale à
cause de la distance ou les pensées sociales. C’est ces pensées sociales qui continuent le
problème de garder les filles Sénégalaises à l’école.
2. L’Analyse : La Dissonance Cognitive et Les Problèmes Systémiques
Par rapport aux ses manques et le travail de l’AFP que j’ai parlé duquel déjà, il y’a beaucoup
des points d’analyses que j’ai trouvé pendant mon temps avec l’organisation. Surtout, j’ai
rencontré deux choses que je vais utiliser pour tirer les recommandations ensuite aussi.
Premier, par rapport à résoudre ces problèmes, j’ai rencontré une dissonance cognitive entre les
partenariats (WGEP et USAID) et la nature de la société civile sur la terraine (AFP). Ça veut dire
que les différences culturelles lie dans la nature du travail Sénégalais et du travail Américain
n’étaient pas bien comprises, surtout avec les partenariats. La nature de ces problèmes était
différente entre WGEP et USAID, mais dans les deux ces problèmes étaient très évidents. Le
deuxième problème que j’ai vu était vraiment un manque du travail directement sur les
problèmes systémiques pas lie à la pensée sociale qui ont continué. Il y’a eu beaucoup plus du
travail sur les pensées sociales qui est vraiment un grand manque dans la société ; mais
28 Entretien informel avec GuillaumeDiop
[22]
quelques fois j’ai vu les aspects du système informel ou du système formel qui n’était pas attaque
directement par l’AFP. Donc, ces problèmes ont continue pendant qu’ils ont travaillé pour
améliorer la pensée sociale.
Premier, il y’a eu la dissonance cognitive de ce que j’ai vu entre les partenariats et les
personnes dans le bureau d’AFP. Pendant mon stage, j’ai vu beaucoup plus des problèmes par
rapport à la communication effective entre les partenariats et les gens dans le bureau. Quelque
fois c’était vraiment parce que la personne n’a pas écouté, mais la plupart du temps c’était
vraiment à cause des mauvaises compréhensions entre les cultures du travail. Surtout, ces
problèmes étaient lie dans le travail du programme NSL parce que c’était plus direct dans le
travail entre WGEP et AFP. Par exemple, beaucoup de fois au bureau il y’a eu des manques de
communication entre le représentatif pour WGEP sur la terraine et les différents encadreurs qui
ont travaillé dans le bureau. Par rapport aux statistiques données après les tests de l’USAID et
aux enquêtes pour les enseignants à remplir, il y’a eu des problèmes des directions entre les
partenariats et la société civile.29 Mais de ce que j’ai vu, la raison pour la plupart de ces issus
étaient vraiment aux différences en actualités entre le travail Sénégalais et le travail Américain.
C’est comme d’habitude dans les bureaux américains et même dans les autres bureaux de
l’Ouest d’avoir un temps toujours presse avec les emplois du temps fixes. S’il y’a quelques choses
qui ne marche pas et les quotas sont manques, on sait qu’il y’a un problème. Mais dans les
bureaux de Sénégal ‘le temps n’est pas l’argent’ comme ils disent aux Etats-Unis ; le temps est
les peuples. Dans les bureaux d’AFP, les partenariats de WGEP avaient la plupart du temps
l’expectation de suivre le modèle des Etats-Unis avec les quotas à faire et les dates fixes pour la
complétion. Mais tout à fait, les gens dans le bureau n’ont pas eu de l’habitude pour suivre ce
modèle Américaine ; justement parce que surtout ils étaient dans un bureau Sénégalais et pas un
29 Entretien informel avec Marissa;Entretien informel avec GuillaumeDiop
[23]
bureau Américain. C’était cette situation qui dans mon opinion a créé une dissonance cognitive
entre le partenariat de WGEP et le travail d’AFP.
Mais comme on a dit, le problème de la dissonance cognitive n’était pas seulement un
problème entre WGEP et AFP, mais aussi un problème enter USAID et AFP. Par rapport aux
tests, on a vu beaucoup des problèmes avec l’idée et l’implémentation des tests dans la théorie
du développement. Premier, les tests montrent un problème évident entre la réalité et les
pratiques des tests sur la terraine pour montrer l’impact de l’AFP pour battre ces situations
sociales. Par exemple, il y’a les indicateurs et les mesures donne par USAID pour montrer
combien des étudiants qu’ils enseignent pendant l’été ; mais il n’y a pas un indicateur pour les
élèves des daaras qui viennent parfois pour apprendre les leçons aussi. Il n’y a pas vraiment
aucun indicateur qui est engage avec l’impact indirecte qui se passe entre les programmes de
l’AFP et le système informel. Ce manque entre les realites sur la terraine et les pratiques de
l’USAID peuvent montre un des grands problemes par rapport aux tests qui mesurent le progrès
du developpment avec l’AFP.
Deuxième, les tests montrent un problème théorétique aussi avec la compréhension du
développement et l’impact de l’AFP. Les indicateurs et les tests suivent le même modèle des
quotas et des statistiques qui est aussi suivi dans le travail et l’environnement des Etats-Unis.
Dans une façon c’est bon d’avoir ces statistiques pour montrent l’impact un peu, mais si l’USAID
fait ça tout simplement pour découvrir son impact sur la terraine on oublie un aspect
fondamentale dans le travail Sénégalais : l’aspect humain. Sans un personne sur la terraine avec
l’AFP qui peut comprendre la situation sociale et la relevance culturelle du cas, il n’y a aucun
chance que l’USAID peut trouver son impact sur la terraine dans une façon complet. Onne va
pas être représentatif de ce qui se passe vraiment sur la terraine sans cet aspect.
L’autre chose que j’ai trouvé dans mon analyse des choses à l’AFP était un manque quelques
fois de vraiment lutter contre les problèmes systémiques qui se posent dans le système informel.
[24]
Ça veut dire, le travail qu’AFP fait par rapport au système formel est très bon pour la
communauté. Même selon mon ami dans le bureau Mbathiou Diouf, il y’a eu un grand
changement a Sokone juste dans 10 années à cause de Adji et le travail d’AFP.30 Mais
maintenant qu’ils ont commencé à faire les choses grandes dans le système formel, on a vu un
manque du travail spécifiquement pour améliorer la situation des Talibés directement dans les
daaras. L’organisation fait tous qu’on peut pour améliorer même les pensées sociales dans les
écoles formelles et dans les familles, mais quand ça se concerne vraiment aux daaras ils font
seulement l’action indirecte. A mon avis, c’est grave à faire ça parce que si on veut vraiment
changer le manque du renforcement social que l’AFP batte contre déjà avec la sensibilisation des
filles, il faut aussi sensibiliser les garçons. C’est la puissance des filles qui se pensent qu’elles
n’ont aucune valeur dans leurs familles qui peuvent vraiment casser ces pensées sociales ; mais
on ne peut pas faire ça sans un regard aux garçons qui sont forme au début avec ces pensées
sociales aussi. C’est dans ce cas qu’AFP doit vraiment lutter pour l’avenir.
3. Recommandations
Apres tous ces problèmes avec la situation sociale et avec un peu de l’analyse par rapport au
travail d’AFP, il faut faire les recommandations pour améliorer les choses à l’avenir. Tout à fait,
j’ai trouvé trois recommandations qui peuvent aider vraiment le travail d’AFP. Premier, il faut
que les partenariats essayent d’apprendre plus ces différences entre les cultures du travail
Sénégalaises et Américains et réfléchissent leurs travails dans ce cas pour représenter les
besoins des Sénégalaises au bureau. Seconde, il faut que les personnes dans le bureau puissent
assister aussi un peu avec un petit plus de la patience avec les partenariats Américains aussi.
30 Diouf, Mbathiou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien Formel. Bureau d’AFP, Sokone, Senegal, 4/12/2015.
[25]
Finalement, il faut que pour l’avenir l’AFP essaie de lutter plus directement par rapport aux
conditions des daaras dans les communautés ou ils travaillent.
Premier, les partenariats doivent assister plus les personnes dans le bureau d’AFP sans un
regard seulement à la dissonance cognitive entre les deux. C’est seulement par le travail
ensemble qu’on peut vraiment résoudre les conflits et les issus qu’on a maintenant. Il faut
vraiment comprendre que les conditions du travail ne sont pas le même qu’aux Etats-Unis et on
va se mettre avec beaucoup de problèmes si on ne réfléchit pas ces différences avec une
planification. C’est seulement par une planification qui représente les aspects de la relevance
culturel qu’on va réussir.
Deuxième, il faut que les encadreurs et les autres dans le bureau soit un peu plus patient
maintenant avec leur travail. C’est vrai que la plupart des issus que j’ai vu était un manque de la
relevance culture dans le travail, mais aussi ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas eu les
complications par rapport au travail qui puissent résoudre par les encadreurs. Le grand issu que
ca pose vraiment est quand il y’a un manque de l’information dans le travail qui fait les
problèmes grands quand on travaille sur la terraine. Par exemple, dans quelques écoles pendant
qu’on a administré les tests, il y’a eu des enseignants qui n’a pas reçu les fiches pour corriger le
travail des élèves. Ca a créé un problème très grand sur la terraine, mais c’est un manque de
l’information qu’on a pu éviter. Si on a pris seulement un peu plus du temps et même peut-être
un peu plus de l’instruction pour ça, c’est possible qu’on a pu l’éviter et qu’on n’ait pas ce
problème. C’est pourquoi que le travail des encadreurs dans le bureau et leur patience est très
important.
La recommandation finale que j’ai est de refocaliser un peu du travail directement sur le
secteur informel avec la sensibilisation même des garçons. C’est vrai comme on a dit déjà que la
sensibilisation des filles est très importante pour améliorer la situation des filles dans les écoles.
Mais c’est difficile de vraiment lutter contre ces problèmes sans un regard aux daïras et au
[26]
secteur informel qui peut perpétuer ces pensées sociales parmi les garçons. C’est-à-dire, pour
vraiment sensibiliser les filles, il faut aussi sensibiliser les garçons dans ces villages aussi. Sans
un regard par rapport à ce problème, on va avoir toujours une population des filles qui ont
réussi, mais les hommes qui ne peuvent pas comprendre pourquoi et qui peuvent continuer le
manque du renforcement sociale
Conclusion
Les problèmes que les personnes dans le bureau d’AFP luttent chaque jour peuvent être
voir comme impossible de résoudre. Mais pour le travail de NSE et NSL, on peut voir comment
juste un peu du travail si c’est la sensibilisation ou les formations d’enseignants peut faire un
impact extrême. Mais pour les personnes dans le bureau d’AFP, ça n’est pas seulement un autre
travail pour le développement de Sénégal ; c’est une lutte personnelle, un lutte pour la société
civile et pour l’avenir de la communauté. Même s’il y’a les manques des pièces, les manques des
ressources et les manques de renforcement sociale dans la plupart de ces villages, on peut voir
comment a l’avenir une solution est possible. Pour les étudiants formeur dans le système formel
comme Mbathiou Diouf, elles peuvent voir les changements dans 10 ans seulement que l’AFP a
fait pour la communauté.31 Ça n’est pas à dire qu’il y’a les problèmes dans le bureau qu’on peut
résoudre ; par rapport aux problèmes systémiques qui existent dans les daaras et les relations
avec les partenariats. Mais, il y’a les solutions possible pour les améliorer aussi. On peut
refocaliser un peu par rapport aux daaras, on peut changer comment les partenariats interfacent
avec les encadreurs et on peut faire plus d’attention dans le bureau alors les petits problèmes ne
peuvent pas devenir les grands problèmes à l’avenir. Il y’a l’espoir pour l’Association Femmes
Plus, plus qu’on peut vraiment dire. Ce n’est pas parce qu’il comprend le développement, mais
31 Diouf, Mbathiou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien Formel. Bureau d’AFP, Sokone, Senegal, 4/12/2015.
[27]
parce qu’il comprend les situations sociales et les chemins à résoudre les problèmes dans la
société civile. C’est une organisation qui comprend que les petits solutions avec un peu du temps
par l’organisation communautaire peut trouver n’importe qu’elle solution d’un problème.

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FinalPaper

  • 1. 2015 La Dissonance Cognitive et Les Problèmes Systémiques ASSOCIATIONFEMMES PLUS, WGEP, ETL’EDUCATIONDES FILLES AUSENEGAL PATRICK BLOMGREN
  • 2. [1] Table des Contents Reconnaissance……………………………………………………………………………………………………………......2 Introduction......................................................................................................................................3 L’Organisation et Son Environnement : AFP...................................................................................4 1. Méthode des Collectes et des Données………………………………………………………………………4 2. Programme Nos Sœurs à l’Ecole (NSE)……………………………………………………………………..5 a. Programme des Bourses et de l’Encadrement………………………………………………….6 b. Programme de Microcrédit……………………………………………………………………………7 c. La Sensibilisation des Filles…………………………………………………………………………..9 3. Programme Nos Sœurs Lisent (NSL)…………………………………………………………………….....9 a. Programme des Bourses et de l’Encadrement………………………………………………..10 b. Formation des Enseignants…………………………………………………………………………10 c. La Bibliothèque…………………………………………………………………………………………..11 4. Financement des Projets…………………………………………………………………………………........13 Deuxième Partie : AFP en Analyse……………………………………………………………………………………..14 1. Situation Sociale……………………………………………………………………………………………………14 a. Manque de l’Identité…………………………………………………………………………………..15 b. Manque des Ressources………………………………………………………………………………17 c. Manque de Renforcement Sociale…………………………………………………………….....19 2. Analyse : Dissonance Cognitive et Problèmes Systémiques………………………………………..21 3. Recommandations………………………………………………………………………………………………..24 Conclusion……………………………………………………………………………………………………………………...26
  • 3. [2] Reconnaissance Il y’a eu beaucoup de personnes sans lesquelles ce rapport ne sera pas fait. Premier, je voudrais remercier tous les gens dans le bureau de l’AFP que j’ai rencontré et surtout mes amis Badou Gueye et Guillaume Diop pour leur assistance avec les témoignages. Je voudrais remercier Bathiou Diouf pour son patience, ses paroles pendant notre entretien et aussi son assistance avec le travail du microcrédit sans lequel ce rapport n’aurait pas. Je voudrais remercier Aminata Senghor, sans laquelle je n’aurais pas la direction ni le travail pour les données que j’ai reçu par rapport aux tests de l’USAID ; merci beaucoup. Je voudrais remercier aussi mon superviseur Marissa et son travail dans le bureau qui m’a aidé beaucoup pour les idées et les paroles dans ce rapport. Je voudrais remercier Niang et son travail exceptionnel dans le bureau, sans lequel je ne comprendrais pas les finances dans l’organisation. Je voudrais remercier aussi ‘le grand sisi’, mon ami Karamo pour son travail dans le bureau et son assistance pendant la sélectionne des élèves pour les bourses. Par rapport au village de Mansarinko et l’école de Karang Soce, je voudrais remercier tous les élèves et tous les enseignants sans lesquelles je ne comprendrais pas les réalités Sénégalaises dans l’éducation. Surtout, je voudrais remercier les directeurs de Mansarinko et Karang Soce, M. Mamadou Diedhiou et M. Sory Traore pour leur travail important dans leurs écoles et pour prendre un peu du temps pour un entretien. Merci beaucoup aussi aux élèves de Mansarinko et Karang Soce pour être très gentilles. Par rapport aux autres personnes, je voudrais remercier tous mes amis du programme de MSID et surtout Noah Nieting pour les nuits longes des conversations pour former notre ‘Meta développement’. Je voudrais remercier tous les artistes Francaises et Americains qui m’inspirent pour ces paroles incluant Maitre Gims, Youssoupha, CHVRCHES, Grimes, Chrome Sparks et Mark Redito. Pour tous ces musiciens, je voudrais dire « Merci ! ». Finalement, je voudrais remercier mon patron, ma mère, ma matrice et le pillard de l’Association Femmes Plus, Adji Senghor. Sans l’assistance d’Adji Senghor, je ne comprendrais pas les problèmes et les issus qui forment les paroles dans ce rapport. Sans ses paroles et ses idées je n’aurais pas la compréhension de Mansarinko, de Sokone ou même de la réalité sociale ici sur la terraine au Sénégal. Adji, tu représentes tous qui sont bonne par rapport au développement et j’espère que vous pouvez grandir à l’avenir ‘Inch Allah’.
  • 4. [3] Introduction Le développement de l’éducation et son système ici au Sénégal a créé beaucoup de problèmes pour la jeunesse de la population, mais la pire situation pour la jeunesse au Sénégal est l’éducation des filles. Il y’a les dimensions multiples qui conduit le système des problèmes ici au Sénégal dans les communautés rurales. Le cas des filles dans ce zone n’est pas différents que les autres régions au Sénégal, mais ça ne veut pas dire que la situation est bon pour les filles à réussir. Prenez le témoignage de BD,1 une fille qui a réussi malgré les conditions mauvaises dans son village de Toubacouta. Selon elle, « [son] père ne voulait pas qu’ [elle] aille à l’école française. Par ce qu’il ne valorisait pas l’éducation des filles… Par la suite, vu qu’ [elle est] intelligente, il [l’] encourageait… Mes parents sont analphabètes, mon père a quitter tôt l’école par manque de moyen et craignant que la même chose [l’] arrive, ils se débrouiller pour payer [ses] études ».2 Les problèmes qui affectent l’éducation des filles au Sénégal peuvent être renforcés par ces paroles. Même comme BD, beaucoup d’autres filles partout le Sénégal n’ont pas le moyen dans leur familles, elles n’ont pas le renforcement de l’assistance leurs vies quotidiennes et elles ne sont pas données une chance de réussir à cause du contexte sociale dans le village. C’est tous ces choses qui renforcent le but du travail pour l’Association Femmes Plus. Dans ce rapport, on va expliquer le travail de l’AFP dans le contexte du Sokone et même partout la terraine du Sine- Saloum qui entende aussi nord que Passy et aussi sud que la frontière Gambienne. Au début, je vais donner les méthodes duquel j’ai trouvé cet information dans le rapport et faire une introduction du travail et des programmes dans le bureau et même sur la terraine de l’AFP. Puis, je vais donner un sommaire des financements, des partenaires, et du travail quotidien dans le bureau. Ensuite, je vais souligner trois conditions sociales qui ont affectés le grand problème de l’éducation des filles au Sénégal et dans notre région des affaires : le manque des pièces, le 1 Parceque le témoignage était faitpar l’AFP, j’ai enlevé lenom de la personnepour les raisons del’anonymat 2 Personne anonyme. Association Femmes Plus.Témoignage. Bureau de Femmes Plus,Sokone, Senegal, 2014.
  • 5. [4] manque des ressources et le manque du renforcement social. Pendant ce section, je vais donner quelques exemples des expériences que j’ai eu sur la terraine qui ont renforcé ces problèmes vraiment dans le travail de l’éducation formel. Apres, je vais analyser les issus que j’ai trouvé pendant mon travail avec AFP qui inclue les issus de la dissonance cognitive et les problèmes systémiques qui n’étaient pas vraiment adressé. Enfin je vais former les recommandations pour l’organisation d’AFP et même les partenariats pour améliorer leur situation du travail. Ces recommandations incluent AFP : l’Organisation et Son Environnement 1. Méthodes de Collectes et des Données D’abord, je voudrais donner une explication de mes données, comment je les ai trouvés, et puis un sommaire du travail ici dans l’AFP. Apres, je vais donner une explication des deux programmes dans AFP, Nos Sœurs à l’Ecole et Nos Sœurs Lisent. La plupart des données que j’ai faites pendant mon temps ici étaient tire par les notes que j’ai faites et mes observations dans l’organisation chaque jour. Ca inclue les conversations avec les personnes dans la communauté, entre les collègues dans le bureau et aussi entre les personnes dans la communauté. Mais ses notes ne sont pas la seule méthode que j’ai utilisé pour tire les conclusions et aussi pour collecter les données. Avec ça, j’ai fait quelques petits entretiens formels sur la terraine et aussi dans le bureau. Ces entretiens sur la terraine étaient entre les directeurs des deux écoles que j’ai visite : Karang Soce et Mansarinko qui sont proche de la frontière entre la Gambie et le Sénégal.3 J’ai fait aussi un autre entretien au bureau avec moncollègue Mbathiou pour mieux apprendre comment ils se trouvent leur travail. En addition, j’ai fait beaucoup du travail au sujet des statistiques pour les bourses entières et encadreurs dans les deux programmes. J’ai fait même 3 Même que j’ai faitl’entretien formel avec le directeur de KarangSoce, c’est seulement l’entretien du directeur de Mansarinko qui estdans ce rapport.
  • 6. [5] un peu du travail au sujet des tests que l’AFP avec l’assistance de WGEP a fait parmi les villages différents et aussi un peu sur le système du micro financement que l’organisation tient avec le groupement des femmes Siggel Jigeen. Donc, tout ça en sommaire est devenu les méthodes du travail qui construit la plupart du rapport. Prochainement, je vais donner de l’information au sujet d’AFP et ses affaires par rapport aux dieux projets : Nos Sœurs à l’Ecole (NSE) et Nos Sœurs Lisent (NSL). Le premier projet, NSE, était le bas d’AFP au début quand l’organisation était forme à 2003. Adji Senghor, le chef de l’Association Femmes Plus et aussi ma mère pendant mon stage, a créé l’organisation et son premier programme après des années comme un enseignant dans le système formel pendant les années 80s. Pendant ces années elle a commencé à voir une manque de la représentation des filles C’était à cause des expériences et des réalités qu’elle a confronté pendant son avis dans ce système qu’elle a essayé de résoudre ca complètement dans le village de Sokone. C’est dans cette situation qu’elle a forme l’organisation Association Femmes Plus avec l’assistance des autres femmes sages dans son village qui a vu ces issus et qui a voulu aider les situations présents dans le village de Sokone et même dans les autres villages de la région de Sine-Saloum aussi. Avec ces femmes et surtout l’ambition de l’Adji Senghor, le programme NSEa été fait.4 2. Programme Nos Sœurs à l’Ecole (NSE) Selon leur fiche de l’information que j’ai reçu pendant mon stage et ce que j’ai vu pendant mon temps à la bas, les activités surtout dans le programme de NSE sont la sensibilisation, le programme des bourses, l’encadrement des filles, projet du sante et aussi la formation professionnelle (i.e. le microcrédit et l’éducation des adultes).5 Surtout ces choses, les 4 Entretien informel avec Adji Senghor 5 Association Femmes Plus.« Programme Nos Sœurs Lisent à l’EcoleSokone Sénégal » Fiche. 2014.
  • 7. [6] activités desquelles j’ai eu une majorité de l’exposure étaient les bourses, l’encadrement des filles, le microcrédit et la sensibilisation des filles. a. Programme des Bourses et l’Encadrement Pour la première activité, j’ai eu de la chance à voir le processus des bourses et l’encadrement du début à la fin. Pour mieux comprendre, le programme des bourses est un système de la scolarisation des filles ou AFP sélectionne quelques filles ou même les garçons dans les écoles formels pour recevoir des bourses chaque mois. En réalité, le moyen qu’ils reçoivent est à peu près 8,000 CFA et 15,000 CFA donnée à l’école pour payer pour les choses. Selon Adji, le système au début était juste des enveloppes de l’argent qu’ils ont donné aux familles des enfants. Mais après une année, ils ont trouvé des difficultés pour renforcer les adultes dans les familles a bien utiliser l’argent pour les études de leur enfants.6 C’est pourquoi que maintenant, ils donnent l’argent aux écoles lorsque les élèves ont besoin de l’argent pour les études. Pour l’encadrement, c’est le même système des bourses, mais c’est ce qu’ils dissent les demi-bourses ; ça veut dire qu’ils ont une moitié des bourses que les élèves reçoivent dans l’autre programme. Le processus des bourses commence vraiment avec une application, qui est vers une page des questions répondus au sujet du moyen dans l’école et les besoins des élèves qui vont à l’école. Par exemple, on pose les questions, « Quel est la distance entre l’école et la maison ? » et « Etes-vous orphelins ? » parce qu’il y’a les cas des enfants qui marchent les distances longes pour aller à l’école et qui ont un parent décédé. Ces enfants prennent le précédence surtout les autres applications parce-que les applications pour NSE sont basés par les besoins. Apres une application est fini et un élève ou un enseignant le donne à l’AFP, ils commencent le processus pour sélectionner les enfants. Le processus est un système ferme ou les encadreurs qui travaillent pour l’AFP s’asseoir en conjonction avec les personnes sages pour décider les candidats pour les bourses. Il y’a deux raisons que j’ai vu pourquoi qu’AFP fait ça : ils 6 Entretien informel avec Adji Senghor
  • 8. [7] veulent bien respecter le rôle de la communauté dans leur travail et 2) ils veulent bien voir qu’ils ne donnent pas les bourses aux filles et même les familles qui ont le moyen dans la communauté à soutenir leur enfants à l’école. Apres qu’ils choisissent tous les boursières et les demi-boursières, ils visitent chaque école, ils donnent l’argent à l’école pour bien gérer et ils donnent les élèves les sacs des matériaux. Les matériaux dépendent sur le niveau des filles et garçons a l’école et aussi s’ils sont donnes les bourses entières ou les bourses d’encadrement. Dans ses sacs sont les stylos, les crayons, les cahiers, etc. ; et même pour les bourses entières, on peut recevoir aussi une carte mutuelle gratuitement pour le système mutuel du sante.7 Et puis, les boursières sont normalement tenir dans le système des bourses jusqu’à la fin quand ils reçoivent leur Bac au lycée. Dans les statistiques que j’ai vues dans la courtese de WGEP, le programme maintenant tienne un taux de la rétention vers 90% dans les programmes des bourses.8 b. Programme de Microcrédit La deuxième activité que j’ai participé avec était le programme de microcrédit ou micro financement avecCrédit Mutuel Sénégal et Siggil Jigeen. Dans cette activité, AFP a créé un système du micro financement interdépendant entre l’agriculture Sénégalais et le système de l’éducation formel. Premier, les femmes de Siggil Jigeen, qui est un groupement des femmes base dans la région du Thiès, appliquer pour l’argent par l’organisation Crédit Mutuel Sénégal (CMS) qui est un banque Sénégalais du microcrédit. Pour mieux faire ça, ils font les demandes 7 Pour mieux comprendre : la carte mutuelle est un partenariatBelge avec les postes de sante comme la poste présente a Sokone pour diminuer le prix si on visite.Le but est pour diminuer le prix,mais aussi pour promouvoir l’utilisation dela poste de sante pour renforcer les pensées sociales. Ces partenariats nesont pas partouttous les régions desquelles AFP faitles interventions, alors c’esttrès possible que les élèves dans quelques écoles ne reçoivent pas ces cartes mutuelles. 8 « WGEP Senegal Video—Womens’ Global Education Project ». Womens’ Global Education Project. http://womensglobal.org/activity/wgep-senegal-video/. 06/12/2015
  • 9. [8] de prêts avec l’assistance des personnes dans le bureau d’AFP parce que la plupart des femmes qui font ces applications sont les analphabètes. Ces applications sont assez petites et assez simples que les femmes analphabètes peuvent même les remplir sans beaucoup de problèmes. Elles sont données l’argent du CMS normalement vers 50,000 ou 150,000 FCFA, aveclequel ces femmes peuvent en théorie transformer l’argent dans un profit plus grand vers 200,000 FCFA ou même 300,000 FCFA. Donc elles peuvent utiliser l’argent prête par CMS pour mieux cultiver leurs arachides, leur couscous, ou même vendre plus des poissons. Même quand elles payent dans quelques mois l’argent qu’elles étaient prêtées par CMS, ce profite soit suffisant pour leur travail agricole ou leur marchandage. Mais avec cet argent, les femmes sont contractées par les prêts de données à donner un moyen suffisant de l’argent pour une fille ou même un garçon dans l’école primaire. Alors, même si l’argent que l’AFP donne aux quelques élèves pour les bourses n’est pas suffisantes, ces élèves peuvent contacter ou même visiter la femme qui est chargée pour donner l’argent et recevoir un peu de l’argent en retourne.9 Le but de ce projet comme j’ai vu était de créer une interdépendance avec le système de l’agriculture pour les groupements des femmes et le système de l’éducation formel pour les filles. Les groupements des femmes peuvent dépendre sur les filles d’aller à l’école comme un avantage économique pour recevoir de l’argent et les filles dans le système formel peuvent dépendent sur les femmes dans ces groupements pour donner un peu de l’argent. Avec ce que j’ai observé dans le travail, il y’a eu juste quelques applications pour le micro financement qui a eu de l’information faux ou incomplet.10 Même dans les conversations, j’ai trouvé que dans l’histoire de l’année passée quand ils ont commencé ce projet de micro financement il y’a eu juste 4 femmes sur 600 qui a oublié de donner l’argent aux filles comme d’habitude pour les prêts de données.11 9 Entretien informel avec Adji Senghor 10 Données de Micro financement ; AFP, 2015. 11 Entretien informel avec Adji Senghor
  • 10. [9] c. La Sensibilisation des Filles Le dernier projet de NSE que j’ai rencontré beaucoup dans leur travail était la sensibilisation des filles. C’est plus difficile à dire qu’il y’a vraiment une seule activité qui accompagne la sensibilisation des filles à l’AFP, parce que la sensibilisation des filles se trouvent dans chaque projet qu’il y’a alors les filles peuvent réussir. Comme la fiche des descriptions pour les activités de NSE dit, c’est, « … pour informer et sensibiliser les autorités, les partenaires et les populations sur l’importance de la scolarisation des filles et leur maintien à l’école, [et] les droits des femmes… ».12 La raison, selon Adji et même tous les autres que j’ai observé dans le bureau pour faire ça est basée dans le problème fondamental d’un manque de renforcement social dans les villages sans beaucoup des ressources pour l’éducation. Comme l’histoire de BD dans Toubacouta, si son père n’avait pas le sentiment au début qu’elle n’a pas eu besoin d’aller à l’école parce qu’elle était une fille, elle irait à l’école plus tôt dans son âge et peut être elle réussirait plus facilement dans l’école, même avec son intelligence.13 Le but pour la sensibilisation est à renforcer les droits des femmes et même les droits de l’éducation dans ces villages parce que sans une compréhension du ca, on ne peut pas vraiment réussir. 3. Programme Nos Sœurs Lisent (NSL) Ensuite, on va parler de deuxième programme avecAFP qui s’appelle Nos Sœurs Lisent (NSL). Le programme de NSL était forme dans 2014 avecl’aide de l’USAID en conjonction avec le travail de WGEP. Le but de ces projets que j’ai trouvé dans mon travail est diffèrent et plus 12 Association Femmes Plus. « Programme Nos Sœurs à l’EcoleSokone Sénégal » Fiche. 2014. 13 Personne anonyme. Association Femmes Plus.Témoignage. Bureau de Femmes Plus,Sokone, Senegal, 2014.
  • 11. [10] nuance que le travail de NSE, mais c’est telle important que l’autre programme. NSEest désigné de soutenir les filles surtout à l’école mas NSL est désigné pour créer l’intérêt des filles même qui ne sont pas à l’école pour la lecture.14 Les plus grandes activités que j’ai vues dans mon travail au bas avec AFP étaient le programme des bourses et l’encadrement, la formation des enseignants et la bibliothèque pour les enfants. a. La programme des Bourses et de l’Encadrement Comme le programme des bourses et encadrement pour les élèves avec NSE, NSL supplie l’argent et les matériaux comme les sacs pour les filles et les garçons. Mais, il y’a quelques choses qui diffèrent entre les bourses dans les deux programmes. Premier, le système des bourses dans NSE est basé sur les besoins des élèves qui sont à l’école, mais les bourses pour le programme de NSL sont basées dans l’excellence des élèves. Ça ne veut pas dire que les besoins ne sont pas importants pour trouver les boursières dans quelques cas. Par exemple on doit trouver les besoins pour les boursières dans le programme qui viennent de l’école primaire parce que l’école primaire est un endroit trop jeune pour les bourses de les juger par l’excellence. Aussi, les bourses de NSL peuvent occuper et balancer les espaces où il n’y a pas les bourses de NSE. Par exemple, ces bourses de NSL remplacent la fonctionne d’une bourse de NSE dans le niveau primaire. Ce fonctionne dans la même façonavecl’encadrement et les demi-bourses du programme de NSE. 15 b. Formation des enseignants 14 Association Femmes Plus. « Programme Nos Sœurs Lisent Sokone » Fiche. 2014. 15 Entretiens informels avec MarissaetKaramo
  • 12. [11] La deuxième activité que j’ai vu beaucoup quand j’étais dans mon stage avec AFP était la formation des enseignants qui se passent pendant l’année scolaire dans le centre de Toubacouta. Ces formations se trouvent pour 3 jours ou plus pendant un week-end normalement un fois par mois. Le but de ces activités est à donner les leçons différentes aux enseignants qui sont dans les systèmes formels pour promouvoir la lecture dans les cours. Tous les activités, sauf quelques d’autres qui sont fait par les personnes dans le bureau, sont fait par Véronique, un consultant français qui a commencé son travail avec AFP pour NSL l’année dernière. Elle a créé ses leçons avec le temps pour promouvoir la lecture dans les cours et aussi pour maintenir un relevance culturel.16 Chaque formation pendant l’année scolaire, un enseignant est envoyé de chaque école avec lequel AFP travaille. Pendant trois jours, les enseignants apprennent en totale 9-10 leçons qui deviennent 3 leçons chaque jour de la formation. Pendant ce temps, ils reçoivent le petit- déjeuner et le déjeuner gratuitement et ils sont donnés un peu de l’argent pour leur travail avec AFP. Apres les formations, les enseignants peuvent utiliser ces leçons dans leur cours pour augmenter l’amour de la lecture en classe. De la première fois qu’on peut observer la liste de leçons différentes, on peut voir même la diversité dans les leçons et aussi la culture présente dans chacun. Par exemple, pour la leçon qui s’appelle Tissus Messagers, les élèves créent un tissu avec les symboles et les dessins seulement pour exprimer une idée ou un concept aux autres élèves dans le cours. Le bas pour cette activité est dans la culture Sénégalaise et l’importance culturelle dans l’histoire Sénégalaise. c. La bibliothèque La troisième activité que j’ai vu beaucoup dans mon temps au bureau et aussi sur la terraine était la bibliothèque. La bibliothèque possède trois fonctionnes et ça c’est de louer les 16 Entretien informel avec Véronique
  • 13. [12] livres aux filles et aux garçons dans la bibliothèque propre, louer les livres avec la bibliothèque mobile dans les villages sans l’accès aux livres et de louer les tablettes de Qelasy pour améliorer la connexion avec la technologie et aussi d’améliorer l’amour avec la lecture. Pour la bibliothèque propre, maintenant il y’a une collection des livres pour tous les niveaux différents des élèves qui veulent visiter et avec beaucoup plus des sujets. Tous ces livres aussi maintiennent un peu de la relevance culturel, comme les livres au sujet de la lutte, et même les livres des auteurs Africains qui ont fait un grand impact sur la littérature Africaine comme Cheikh Hamidou Kane et Aminata Sow Fall. Aussi, il y’a les livres des niveaux scolaires pour les gens qui veulent réussir plus sur leurs études. Par exemple, il y’a les livres pour CI, CP, CE1, etc. qui peuvent aider les gens dans ces niveaux scolaires différents à réussir.17 Le deuxième parti de la bibliothèque se passe pendant l’été quand les enfants n’ont pas de l’accès à l’école même pour les enfants qui veulent réussir. Pour celles-là, il y’a la bibliothèque mobile qui va de village a village pour louer les livres aux enfants qui n’ont pas de l’accès aux livres. Pour ces enfants et leurs parents, ils peuvent réussir à apprendre le français ensemble maintenant aussi parce que avec beaucoup des familles au Sénégal il y’a les parents analphabètes pour les générations et les générations. Mais avec la bibliothèque mobile, les filles et leurs familles peuvent réussir à apprendre le français ensemble. Même maintenant, le projet pour la bibliothèque mobile est en train de trouver les lanternes pour cet été prochaine alors les familles peuvent apprendre le français maintenant pendant la nuit aux villages où il n’y a pas beaucoup de l’électricité.18 La troisième fonctionne de la bibliothèque est la plus nouvelle aussi : les tablettes de Qelasy. Pour mieux comprendre, Qelasy est une entreprise de la Cote d’ Ivoire qui produit les informatiques comme les ordinateurs et même les tablettes qui sont tous fait dans la Cote 17 Entretien informel avec Badou Gueye 18 Entretien Informel avec Adji Senghor
  • 14. [13] d’Ivoire. La compagnie de Qelasy a donné à l’AFP 24 tablettes désigné pour les élèves a mieux apprendre le français avec lequel ils vont aimer plus en plus. Avec ces tablettes de Qelasy, ils vont à une école choisie chaque semaine pour donner les tablettes aux enfants. Ces tablettes possèdent les applications presqu’une bibliothèque électronique, les jeux qui sont focalises par la lecture pour tous les niveaux des élèves.19 Le but de ces choses est vraiment de donner les élèves qui n’ont pas les choses électroniques ou même les réseaux électroniques dans son école la chance d’utiliser ça. Ils peuvent même aussi créer des connexions avec la jeunesse et ces tablettes électroniques pour mieux comprendre la lecture dans un environnement scolaire ou ils ont peu des ressources. 4. Financement des Projets Maintenant, je peux parler au sujet du financement des projets dans les deux programmes de NSE et NSL. Les deux programmes sont avec la conjonction de WGEP, mais c’est seulement le programme de NSE qui reçoit l’argent directement financée par les actions de WGEP. L’argent pour le programme de NSL vient seulement d’USAID dans un partenariat avec WGEP ; ça veut dire que l’USAID donne l’argent a WGEP pour prendre le charge a donner a l’AFP. Avec les deux programmes et leur financement, il y’a juste quelques observations qu’on peut noter comme une différence entre l’un et l’autre. Premier, parce que l’argent pour NSE est financée directement par WGEP, les méthodes pour réguler l’argent sont moins strictes et moins stresses que le financement de NSL. Par exemple, pour acheter les fournitures dans le programme de NSL, il faut par les règles de l’USAID à trouver trois endroits au minimum ou on peut les acheter, comparer les prix qu’on a par les trois endroits différents et choisir la chose le 19 Entretien informel avec GuillaumeDiop et Badou Gueye
  • 15. [14] plus bas.20 Ces choses ne sont pas très difficiles vraiment à faire, mais c’est un chèque qu’ils n’ont pas vraiment quand on achète les fournitures de NSE. C’est vrai qu’ils comparaissent les prix avec les endroits différents peut-être parce que c’est important même a trouver le prix le plus bas dans cette situation. Mais surtout, c’est un chèque formel qui n’est pas présenté dans le système du financement pour NSE. Deuxième, le financement par rapport à la différence des chèques le montre que les partenariats dans le programme de NSL tiennent un rôle plus actifs que le programme de NSE. Surtout la raison pour ça que j’ai trouvée était l’intervention de l’USAID et les règles qui sont devenu avec le temps d’habitude dans l’organisation. Par exemple, la plus grande différence qui peut montrer ca est les tests. Par les règles de l’USAID, il faut avoir un système pour mieux comprendre le succès et leur impact sur la terraine. Pour le programme de NSL, USAID a créé un système des indicateurs et des tests qui analysent statistiquement comment leur travail était fait sur la terraine et s’ils ont fait un bon impact. Ces tests incluent des questions de compréhension, de l’oralisation, de la lecture, etc. qui sont réalisés pour chaque niveau de l’école. Avec cet information, on peut voir comment l’impact du travail a l’école a changé du début à la fin de l’année. Ce processus est bon, mais il n’y a pas le même système ou les memes facons qu’on utilise pour mesurer l’impact dans le programme de NSE. Il n’y a pas même les tests qu’on peut utiliser pour mesurer les niveaux des élèves qui reçoivent leurs bénéfices ; ils peuvent regarder seulement le moyen général ou même l’examenfinal des élèves qui sont dans le système formel. Donc, le système du financement est devenu plus interventionniste avec le programme de NSL que NSE. Deuxième Partie : AFP En Analyse 20 Entretien informel avec Karamo
  • 16. [15] 1. Situation Sociale Pendant mon temps au stage, j’ai vu quelques choses sur la terraine qui m’a montré les réalités des situations sociales dans le contexte Sénégalais. Ces choses étaient multiples et ils ont variées beaucoup, mais avec tous que j’ai vu j’ai identifié trois choses en particulaire que j’appelle les ‘trois manques’ qui font les plus grandes barrières pour les élèves et surtout les filles d’aller à l’école. Premier, il y’a le manque de l’identité que veut dire la manque des pièces d’états civiles desquelles la plupart des Sénégalaises ne possèdent pas. Deuxième, il y’a le manque des ressources dans l’école formel et même dans l’école informel qui le fait alors les filles ne peuvent pas réussir comme elles veulent dans l’école. Finalement, il y’a le manque de renforcement sociale dans la vie quotidienne aux villages et même dans les écoles pour le droit de l’éducation des filles. Surtout ça, pour mieux expliquer ces problèmes, je vais utiliser le cas de Mansarinko, un petit village sur la frontière avec la Gambie qui possède tous ces problèmes dans les façons extrêmes. a. Manque de l’identité Le manque de l’identité est un concept très complexe dans les écoles formelles et informelles, mais c’est un aspect qui est devenu une habitude pour les générations des Sénégalaises. Ce processus est devenu un grand problème dans les années en passe et même maintenant à cause des tests dans le système éducatif au Sénégal. Pour réussir d’un niveau a un autre niveau dans le système éducatif au Sénégal, il faut prendre un test pour accélérer. Par exemple, pour les élèves qui sont dans le niveau de l’école primaire, il y’a le niveau de l’éducation de CI jusqu’à CM2, mais après l’année de CM2 il faut prendre le teste de CFEE. Pour ce test, et même pour tous les tests qu’on doit prendre pour accélérer d’un autre niveau au Sénégal, c’est nécessaire d’avoir une pièce de l’état civile. Pour la plupart des élèves qui sont dans ce système, c’est impossible de recevoir une pièce de l’état civile parce qu’ils ne les ont pas,
  • 17. [16] surtout même les filles. C’est le cas parce que c’est d’habitude dans ces familles de n’acheter pas une pièce de l’état civile après les enfants sont nées. Le cout pour les pièces des états civiles sont très peu quand on peut les acheter au début, mais quand un enfant est déjà à l’école et les années sont passées sans une pièce de l’état civile, ça devient plus en plus difficile pour la famille d’actualiser. C’est à cause de ça que le manque de l’identité ou la manque des pièces est devenu un problème tellement grand au Sénégal pour l’éducation.21 Il faut dire, que quand je suis allé sur la terraine et quand j’ai même analyse les données qu’AFP a commencé à construire, j’ai vu totalement les problèmes avec ça. La première fois que j’ai vu ça était dans une conversation informelle avecma mère, Adji Senghor. Elle m’a dit aussi que les problèmes systémiques des pièces au Sénégal a commencé pendant l’époque de colonialisme quand les Françaises ont commencé a inscrit les soldats Africains pour la Deuxième Guerre Mondiale. Alors, pour échapper l’inscription dans l’armée Française, beaucoup de Sénégalaises a commencé à échapper leurs pièces des états civiles. Malheureusement, l’habitude n’a pas arrêté avec la fin de la guerre et c’est pourquoi que vous avez les générations des individus qui n’ont pas ces pièces.22 La deuxième fois que j’ai vu la magnitude des problèmes des pièces étaient dans les données statistiques des boursières de NSL. Pour toutes les boursières qui sont choisi, ils ont dû créer une fiche des données électroniques pour toutes les applications au papier qui sont acceptés. Partout tous les applications acceptes de chaque école, il y’a eu les personnes sans un date de naissance ou même un lieu de naissance. Quelquefois même, il y’a eu des personnes qui ont mis sur leurs applications simplement qu’ils n’ont pas eu une pièce. Par exemple, juste dans les écoles de Sokone que j’ai fait (Sokone 3, Sokone 4, Sokone 5, et Sokone 6) il y’a eu une école seulement qui a eu moins que 50% des élèves choisi pour le programme des bourses 21 Sene, Fulgence. « Semaine 3 Lecture de l’Education et l’Alphabetisme ». Lecture du cours,MSID, Dakar,Senegal, 22/09/2015 22 Entretien informel avec Adji Senghor
  • 18. [17] d’encadrement avec un date et un lieu écrit sur leurs applications. Toutes les autres écoles ont eu une majorité des boursières sans une date ou un lieu de naissance mis sur l’application. En totale, parmi les 4 écoles et 80 élèves choisi en totale, il y’a eu 51 élèves qui n’ont pas mis leurs dates ou leurs lieus de naissance sur les applications. Ça veut dire à peu près de 63% des élèves parmi les 4 écoles de Sokone desquelles va recevoir les bénéfices d’encadrement n’ont pas eu leurs pièces des états-civiles dans les villages. La troisième fois que j’ai rencontré cette barrière était pendant mon voyage sur la terraine a Mansarinko. Pour mieux comprendre le contexte, Mansarinko est un très petit village situe directement 500-800m de la frontière avec la Gambie. J’étais au bas pour mieux découvrir la situation sociale dans cette école spécifiquement pendant que les encadreurs du bureau de l’AFP ont donné les tests de l’USAID à faire. Pendant cette visite, j’ai eu de la chance à parler avec le directeur de l’école à Mansarinko, M. Mamadou Diedhiou. Pendant mon entretien aveclui, il m’a informé vraiment qu’il y’a un grand problème avec les pièces des états civiles parmi les élèves et même qu’on peut voir comment ça change le numéro et le genre des élèves dans chaque niveau des cours aussi.23 Par exemple, de ce qu’on a vu, dans le cours de CI/CP il y’a eu a peu près 30 élèves en totale pour les deux niveaux et une majorité des filles surtout avec moins que 4 ou 5 garçons. Dans le cours de CM1/ CM2, il y’a eu a peu près 15 ou 17 élèves dans le cours et une majorité des garçons avec a peu près 3 filles. C’est possible vraiment que ces numéros peuvent être à cause des pièces des états civiles et le fait qu’on doit les posséder si on veut accélérer. Mais au même temps, comme on va voir, il y’a beaucoup de barrières dans le système éducatif au Sénégal. b. Manque des Ressources 23 Diedhiou,Mamadou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien formel. Mansarinko,Senegal,26/11/2015
  • 19. [18] Le manque des ressources est aussi un problème grave pour les parents et surtout les filles à réussir dans le système éducatif au Sénégal. Ici au Sénégal, le budget pour l’éducation est vraiment le plus grand que beaucoup d’autres choses que l’état finance comme l’énergie et les subventions. Mais dans ce budget, la plupart de l’argent, à peu près 90%, va seulement pour payer les enseignants dans les écoles formelles. Ca veut dire que la plupart de l’argent qui va aux écoles pour financer ces écoles va vraiment pour payer les enseignants qui sont dans ces écoles. En actualité, l’argent que les enseignants reçoivent de l’état dans ce façon n’est pas suffisant pour leurs vies, mais au même temps ça veut dire qu’à peu près 10% de l’argent financier pour les écoles va seulement pour les ressources ; et même avec ça la plupart de cet 10% va seulement pour la recherche dans les niveaux de l’Université comme l’Université de Cheikh Anta Diop. Donc, la plupart des écoles primaires, collèges, et lycées ont un manque des ressources dans leurs établissements pour enseigner les filles et les garçons. Même dans le système informel que beaucoup plus des élèves choisissent sur le système formel, il y’a un manque pire que les écoles formelles. La raison pour ça est seulement parce que les écoles informelles comme les Daaras ou écoles Coraniques, n’ont pas l’aide de l’état pour éduquer les enfants ; il y’a seulement la revenue qui viennent des Talibés qui travaillent dans les champs. Alors, dans tous les niveaux de l’école au Sénégal, il y’a un manque des ressources qu’ils doivent pour l’éducation des élèves.24 Pendant mon temps à Mansarinko, j’ai vu une situation grave des ressources qui sont manques pour les élèves de CI jusqu’à CM2. Par exemple, par rapport aux cartes j’ai vu un manque des cartes Françaises dans les deux ou trois salles de classes qui étaient a Mansarinko ; ça veut dire que les deux cartes mondiales qu’ils ont eu dans l’école étaient seulement en Anglais. Pour une école qui enseigne l’Anglais peut-être ça marcherait, mais dans cet école ils ont enseigne la Français seulement parce que c’était une école primaire. Alors, ils ont eu vraiment les difficultés avec l’enseignement des cartes et même l’enseignement de la géographie. 24 Sene, Fulgence. « Semaine 3 Lecture de l’Education et l’Alphabetisme ». Lecture du cours,MSID, Dakar,Senegal, 22/09/2015
  • 20. [19] La seule carte en Française qu’ils ont eu était une carte dessinée en Française avec une craie des régions Sénégalaises. Malheureusement, quand j’ai parlé avec le directeur de Mansarinko M. Mamadou Diedhiou, j’ai trouvé qu’il y’a plus des issus avec les ressources dans l’école. Seulement à Mansarinko et même dans les autres villages a la frontière avec la Gambie, j’ai entendu des histoires des élèves qui ont croisse a la bas pour étudier dans les écoles à la Gambie. Quand j’ai posé cette question, il a confirmé que c’est un grave problème pour les élèves ici et il m’a donné quelques raisons pourquoi que ça se passe beaucoup. Premier, l’école Gambien qui est moins qu’un kilomètre possède plus des ressources que l’école Française qu’il y’a Mansarinko selon le directeur. Deuxième, il y’a les familles qui habitent dans le village de Mansarinko qui ont aussi des relatifs qui habitent dans les villages a la Gambie.25 Alors, c’est comme d’habitude pour ces familles d’envoyer leurs enfants pour aller à l’école au bas avec ces relatives. Même dans le centre du village que j’ai visite, j’ai vu beaucoup des voitures Gambiennes qui ont croisse la frontière pour aller à la Gambie. Même dans les écoles Coraniques, le Directeur m’a dit qu’il y’a eu beaucoup des issus même avec les garçons avec un manque des ressources pour leur éducation. Alors, dans tous les niveaux de l’éducation, on peut voir ce problème des ressources. c. Manque de Renforcement Sociale Le troisième manque dans les écoles que j’ai vu était le manque de renforcement sociale et c’est vraiment surtout les autres manques l’un qui est oublie le plus. Prends l’exemple de BD au début du rapport : dans son cas, son père a eu des problèmes d’envoyer sa fille a l’école mais ce n’était pas jusqu’à il a trouvé qu’elle était intelligente qu’il a changé son opinion. C’est bon que BD a eu les capabilités d’être très intelligent dans l’école et de réussir, mais sans ca elle n’a eu 25 Diedhiou,Mamadou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien formel. Mansarinko,Senegal,26/11/2015
  • 21. [20] aucun chance de réussir à l’école.26 La raison pour ça est simplement parce qu’il n’y a pas dans quelques villages avec tous ces autres manques dans l’éducation un renforcement des droits des femmes et même des filles d’aller à l’école. C’est la raison exactement pour ça que beaucoup plus des filles ne vont pas à l’école malgré elles sont intelligents et elles décident d’être une bonne ou de se marier avec une autre personne dans un âge trop jeune. Ce n’est pas à dire que les femmes ou même les filles ne peuvent pas trouver la valeur dans leur travail dans ces cas et qu’on peut voir le système des bonnes ou les filles comme le problème dans la vie Sénégalaise. Mais, c’est-à- dire que c’est un problème si les filles se pensent qu’elles peuvent trouver la valeur dans leurs vies sans un droit de l’éducation. Et dans la plupart des villages que j’ai visite, c’est un problème qui existe même maintenant dans leurs vies. Même quand j’ai visité le village de Mansarinko, j’ai vu comment un manque de renforcement social à change vraiment leurs pensées par rapport à l’éducation. Quand j’ai parlé même des daaras et du système informel dans le village de Mansarinko, le directeur m’a dit qu’il y’a deux daaras qui vraiment prennent la charge de la plupart des élèves dans le village et même quelques élèves qui étaient dans l’école formel. Quand j’ai posé pourquoi que les Daaras étaient vraiment favorables pour les parents des enfants, il m’a dit que c’était lie par la langue. Par rapport aux Daaras, la plupart des parents dans le village de Mansarinko se pensent que l’Arabe est lie dans les pratiques de l’Islam, et si leurs élèves étudient le Français et ils n’apprennent pas l’Arabe ils vont perdre leur religion.27 C’est ces pensées sociales qui vraiment posent le plus grand obstacle pour les élèves de réussir dans les écoles formelles. Meme les filles qui sont dans le système ne peuvent pas reussir avec ce pensee sociale parce que ca barre meme les filles d’aller a l’ecole et donc normalement elles ne sont pas permi par leurs parents. 26 Personne anonyme. Association Femmes Plus.Témoignage. Bureau de Femmes Plus,Sokone, Senegal, 2014. 27 Diedhiou,Mamadou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien formel. Mansarinko,Senegal,26/11/2015
  • 22. [21] J’ai trouvé que les écoles comme Mansarinko a commencé à introduire l’enseignement de l’arabe dans les écoles, mais même dans ce façon il y’a eu les problèmes à cause des mariages des enfants. Par exemple, dans le village de Mansarinko j’ai rencontré une fille qui allait à l’école pour un peu du temps mais elle a du arrêter parce que ces parents a décider de marier elle avec un autre homme. Maintenant, elle n’a eu que 25 ans, elle était avec le même mari et elle a eu 5 enfants avec lui.28 C’est bon que tous leurs enfants a eu la chance d’aller à l’école de Mansarinko, mais ça montre un peu le problème avec les femmes et même les enfants qui se marient très tôt et qui n’ont pas l’accès aux autres choses comme la planification familiale à cause de la distance ou les pensées sociales. C’est ces pensées sociales qui continuent le problème de garder les filles Sénégalaises à l’école. 2. L’Analyse : La Dissonance Cognitive et Les Problèmes Systémiques Par rapport aux ses manques et le travail de l’AFP que j’ai parlé duquel déjà, il y’a beaucoup des points d’analyses que j’ai trouvé pendant mon temps avec l’organisation. Surtout, j’ai rencontré deux choses que je vais utiliser pour tirer les recommandations ensuite aussi. Premier, par rapport à résoudre ces problèmes, j’ai rencontré une dissonance cognitive entre les partenariats (WGEP et USAID) et la nature de la société civile sur la terraine (AFP). Ça veut dire que les différences culturelles lie dans la nature du travail Sénégalais et du travail Américain n’étaient pas bien comprises, surtout avec les partenariats. La nature de ces problèmes était différente entre WGEP et USAID, mais dans les deux ces problèmes étaient très évidents. Le deuxième problème que j’ai vu était vraiment un manque du travail directement sur les problèmes systémiques pas lie à la pensée sociale qui ont continué. Il y’a eu beaucoup plus du travail sur les pensées sociales qui est vraiment un grand manque dans la société ; mais 28 Entretien informel avec GuillaumeDiop
  • 23. [22] quelques fois j’ai vu les aspects du système informel ou du système formel qui n’était pas attaque directement par l’AFP. Donc, ces problèmes ont continue pendant qu’ils ont travaillé pour améliorer la pensée sociale. Premier, il y’a eu la dissonance cognitive de ce que j’ai vu entre les partenariats et les personnes dans le bureau d’AFP. Pendant mon stage, j’ai vu beaucoup plus des problèmes par rapport à la communication effective entre les partenariats et les gens dans le bureau. Quelque fois c’était vraiment parce que la personne n’a pas écouté, mais la plupart du temps c’était vraiment à cause des mauvaises compréhensions entre les cultures du travail. Surtout, ces problèmes étaient lie dans le travail du programme NSL parce que c’était plus direct dans le travail entre WGEP et AFP. Par exemple, beaucoup de fois au bureau il y’a eu des manques de communication entre le représentatif pour WGEP sur la terraine et les différents encadreurs qui ont travaillé dans le bureau. Par rapport aux statistiques données après les tests de l’USAID et aux enquêtes pour les enseignants à remplir, il y’a eu des problèmes des directions entre les partenariats et la société civile.29 Mais de ce que j’ai vu, la raison pour la plupart de ces issus étaient vraiment aux différences en actualités entre le travail Sénégalais et le travail Américain. C’est comme d’habitude dans les bureaux américains et même dans les autres bureaux de l’Ouest d’avoir un temps toujours presse avec les emplois du temps fixes. S’il y’a quelques choses qui ne marche pas et les quotas sont manques, on sait qu’il y’a un problème. Mais dans les bureaux de Sénégal ‘le temps n’est pas l’argent’ comme ils disent aux Etats-Unis ; le temps est les peuples. Dans les bureaux d’AFP, les partenariats de WGEP avaient la plupart du temps l’expectation de suivre le modèle des Etats-Unis avec les quotas à faire et les dates fixes pour la complétion. Mais tout à fait, les gens dans le bureau n’ont pas eu de l’habitude pour suivre ce modèle Américaine ; justement parce que surtout ils étaient dans un bureau Sénégalais et pas un 29 Entretien informel avec Marissa;Entretien informel avec GuillaumeDiop
  • 24. [23] bureau Américain. C’était cette situation qui dans mon opinion a créé une dissonance cognitive entre le partenariat de WGEP et le travail d’AFP. Mais comme on a dit, le problème de la dissonance cognitive n’était pas seulement un problème entre WGEP et AFP, mais aussi un problème enter USAID et AFP. Par rapport aux tests, on a vu beaucoup des problèmes avec l’idée et l’implémentation des tests dans la théorie du développement. Premier, les tests montrent un problème évident entre la réalité et les pratiques des tests sur la terraine pour montrer l’impact de l’AFP pour battre ces situations sociales. Par exemple, il y’a les indicateurs et les mesures donne par USAID pour montrer combien des étudiants qu’ils enseignent pendant l’été ; mais il n’y a pas un indicateur pour les élèves des daaras qui viennent parfois pour apprendre les leçons aussi. Il n’y a pas vraiment aucun indicateur qui est engage avec l’impact indirecte qui se passe entre les programmes de l’AFP et le système informel. Ce manque entre les realites sur la terraine et les pratiques de l’USAID peuvent montre un des grands problemes par rapport aux tests qui mesurent le progrès du developpment avec l’AFP. Deuxième, les tests montrent un problème théorétique aussi avec la compréhension du développement et l’impact de l’AFP. Les indicateurs et les tests suivent le même modèle des quotas et des statistiques qui est aussi suivi dans le travail et l’environnement des Etats-Unis. Dans une façon c’est bon d’avoir ces statistiques pour montrent l’impact un peu, mais si l’USAID fait ça tout simplement pour découvrir son impact sur la terraine on oublie un aspect fondamentale dans le travail Sénégalais : l’aspect humain. Sans un personne sur la terraine avec l’AFP qui peut comprendre la situation sociale et la relevance culturelle du cas, il n’y a aucun chance que l’USAID peut trouver son impact sur la terraine dans une façon complet. Onne va pas être représentatif de ce qui se passe vraiment sur la terraine sans cet aspect. L’autre chose que j’ai trouvé dans mon analyse des choses à l’AFP était un manque quelques fois de vraiment lutter contre les problèmes systémiques qui se posent dans le système informel.
  • 25. [24] Ça veut dire, le travail qu’AFP fait par rapport au système formel est très bon pour la communauté. Même selon mon ami dans le bureau Mbathiou Diouf, il y’a eu un grand changement a Sokone juste dans 10 années à cause de Adji et le travail d’AFP.30 Mais maintenant qu’ils ont commencé à faire les choses grandes dans le système formel, on a vu un manque du travail spécifiquement pour améliorer la situation des Talibés directement dans les daaras. L’organisation fait tous qu’on peut pour améliorer même les pensées sociales dans les écoles formelles et dans les familles, mais quand ça se concerne vraiment aux daaras ils font seulement l’action indirecte. A mon avis, c’est grave à faire ça parce que si on veut vraiment changer le manque du renforcement social que l’AFP batte contre déjà avec la sensibilisation des filles, il faut aussi sensibiliser les garçons. C’est la puissance des filles qui se pensent qu’elles n’ont aucune valeur dans leurs familles qui peuvent vraiment casser ces pensées sociales ; mais on ne peut pas faire ça sans un regard aux garçons qui sont forme au début avec ces pensées sociales aussi. C’est dans ce cas qu’AFP doit vraiment lutter pour l’avenir. 3. Recommandations Apres tous ces problèmes avec la situation sociale et avec un peu de l’analyse par rapport au travail d’AFP, il faut faire les recommandations pour améliorer les choses à l’avenir. Tout à fait, j’ai trouvé trois recommandations qui peuvent aider vraiment le travail d’AFP. Premier, il faut que les partenariats essayent d’apprendre plus ces différences entre les cultures du travail Sénégalaises et Américains et réfléchissent leurs travails dans ce cas pour représenter les besoins des Sénégalaises au bureau. Seconde, il faut que les personnes dans le bureau puissent assister aussi un peu avec un petit plus de la patience avec les partenariats Américains aussi. 30 Diouf, Mbathiou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien Formel. Bureau d’AFP, Sokone, Senegal, 4/12/2015.
  • 26. [25] Finalement, il faut que pour l’avenir l’AFP essaie de lutter plus directement par rapport aux conditions des daaras dans les communautés ou ils travaillent. Premier, les partenariats doivent assister plus les personnes dans le bureau d’AFP sans un regard seulement à la dissonance cognitive entre les deux. C’est seulement par le travail ensemble qu’on peut vraiment résoudre les conflits et les issus qu’on a maintenant. Il faut vraiment comprendre que les conditions du travail ne sont pas le même qu’aux Etats-Unis et on va se mettre avec beaucoup de problèmes si on ne réfléchit pas ces différences avec une planification. C’est seulement par une planification qui représente les aspects de la relevance culturel qu’on va réussir. Deuxième, il faut que les encadreurs et les autres dans le bureau soit un peu plus patient maintenant avec leur travail. C’est vrai que la plupart des issus que j’ai vu était un manque de la relevance culture dans le travail, mais aussi ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas eu les complications par rapport au travail qui puissent résoudre par les encadreurs. Le grand issu que ca pose vraiment est quand il y’a un manque de l’information dans le travail qui fait les problèmes grands quand on travaille sur la terraine. Par exemple, dans quelques écoles pendant qu’on a administré les tests, il y’a eu des enseignants qui n’a pas reçu les fiches pour corriger le travail des élèves. Ca a créé un problème très grand sur la terraine, mais c’est un manque de l’information qu’on a pu éviter. Si on a pris seulement un peu plus du temps et même peut-être un peu plus de l’instruction pour ça, c’est possible qu’on a pu l’éviter et qu’on n’ait pas ce problème. C’est pourquoi que le travail des encadreurs dans le bureau et leur patience est très important. La recommandation finale que j’ai est de refocaliser un peu du travail directement sur le secteur informel avec la sensibilisation même des garçons. C’est vrai comme on a dit déjà que la sensibilisation des filles est très importante pour améliorer la situation des filles dans les écoles. Mais c’est difficile de vraiment lutter contre ces problèmes sans un regard aux daïras et au
  • 27. [26] secteur informel qui peut perpétuer ces pensées sociales parmi les garçons. C’est-à-dire, pour vraiment sensibiliser les filles, il faut aussi sensibiliser les garçons dans ces villages aussi. Sans un regard par rapport à ce problème, on va avoir toujours une population des filles qui ont réussi, mais les hommes qui ne peuvent pas comprendre pourquoi et qui peuvent continuer le manque du renforcement sociale Conclusion Les problèmes que les personnes dans le bureau d’AFP luttent chaque jour peuvent être voir comme impossible de résoudre. Mais pour le travail de NSE et NSL, on peut voir comment juste un peu du travail si c’est la sensibilisation ou les formations d’enseignants peut faire un impact extrême. Mais pour les personnes dans le bureau d’AFP, ça n’est pas seulement un autre travail pour le développement de Sénégal ; c’est une lutte personnelle, un lutte pour la société civile et pour l’avenir de la communauté. Même s’il y’a les manques des pièces, les manques des ressources et les manques de renforcement sociale dans la plupart de ces villages, on peut voir comment a l’avenir une solution est possible. Pour les étudiants formeur dans le système formel comme Mbathiou Diouf, elles peuvent voir les changements dans 10 ans seulement que l’AFP a fait pour la communauté.31 Ça n’est pas à dire qu’il y’a les problèmes dans le bureau qu’on peut résoudre ; par rapport aux problèmes systémiques qui existent dans les daaras et les relations avec les partenariats. Mais, il y’a les solutions possible pour les améliorer aussi. On peut refocaliser un peu par rapport aux daaras, on peut changer comment les partenariats interfacent avec les encadreurs et on peut faire plus d’attention dans le bureau alors les petits problèmes ne peuvent pas devenir les grands problèmes à l’avenir. Il y’a l’espoir pour l’Association Femmes Plus, plus qu’on peut vraiment dire. Ce n’est pas parce qu’il comprend le développement, mais 31 Diouf, Mbathiou. Faitpar Blomgren, Patrick.Entretien Formel. Bureau d’AFP, Sokone, Senegal, 4/12/2015.
  • 28. [27] parce qu’il comprend les situations sociales et les chemins à résoudre les problèmes dans la société civile. C’est une organisation qui comprend que les petits solutions avec un peu du temps par l’organisation communautaire peut trouver n’importe qu’elle solution d’un problème.