Avec la mort du dernier Valois, Henri III, une nouvelle dynastie montait sur le trône ; les Bourbons. Henri IV dut cependant faire la conquête de son royaume resté majoritairement catholique.
Il finit par abjurer et fit la paix avec les Protestants avec l'Edit de Nantes en 1598 qui leur accordait la liberté de culte et des places de sureté.
Roi pacificateur, il restaura avec son fidèle Sully les finances royales et permit le redressement du pays. Il lança des travaux d'aménagement et d'embellissement.
Sa mort tragique montre les limites de l'apaisement.
Les querelles théologiques virent rapidement à l'affrontement entre catholiques et protestants.
Alternant entre tentatives de réconciliation et répression, le pouvoir royal, affaibli par la mort prématurée d'Henri voit son autorité menacée par les différentes factions.
Pour les protestants, il n'est question de liberté religieuse mais bien de prise de pouvoir pour établir la religion réformée.
Il appartiendra au roi Henri IV, après l'extinction de la branche des Valois, de rétablir une paix provisoire au terme d'un arrangement singulier en Europe dérogeant au traditionnel Cujus regio, ejus religio.
La porte Nointel, la dernière porte de l’enceinte du bourg de Clermont, est la seule à présenter encore des élévations significatives. Elle se situe à l’angle de la rue du Donjon et de la rue de la Porte Nointel qui longe le mur gouttereau nord de l’église Saint Samson.
Edifié par les Comtes de Clermont, le Donjon fait encore aujourd’hui débat quant à sa date de construction. On estime néanmoins qu’elle se situe entre la seconde moitié du XIe siècle et le début du XIIe. Ce qui en fait le plus ancien monument de la ville en élévation.
largeC’est en 1651 que l’Abbé HUCHER, prieur de Breuil-le-Vert et Seigneur de Béthencourtel, fit édifier cette chapelle par quatre maçons du pays, à partir de matériaux de celle qui existait jusqu’alors et qu’il avait fait démolir.
Jusqu’en 1835, cette chapelle, comme tout le hameau de Béthencourtel se situait sur le territoire de la commune d’Agnetz.
D’une architecture simple, l’édifice, dédié à Saint-André, possède une porte encadrée de bossages, surmontée d’une niche abritant de nos jours une statue de Sainte Thérèse de l’Enfant de Jésus, encadrée de consoles. Sur le pignon se dresse un petit clocher contenant la cloche de l’ancienne usine Gervais rasée au cours du bombardement aérien du 25 Août 1944.
medium-large
A l’intérieur, un autel du XIXème siècle s’appuie sur un fond de boiseries rocaille.
Au sol repose la pierre tumulaire de Louis Havart de Popincourt et de son épouse Catherine Lefevre. Deux tableaux les représentent. Dans le mur est scellée une épitaphe sur marbre noir, perpétuant le souvenir de cet écuyer, seigneur de Béthencourtel, Péteil, Agnetz et autres lieux, Maître des Eaux et Forêts de Clermont, décédé le 24 septembre 1724 à l’âge de 65 ans.
La chapelle est surnommé « chapelle du tilleul », car en jusqu’en 1990, elle était abritée par un gros tilleul plusieurs fois centenaire, que les anciens nommés autrefois « Eul’ grot’ arbe eud Tincorti » ; par sécurité, la Municipalité a dû l’abattre, mais pour respecter la tradition, elle a aussitôt replanté un nouveau tilleul. Sa toiture a été refaite en 2002.
Des camps de réfugiés espagnols de la guerre civile dans l’HéraultJean-Maxence Granier
Vincent Parello
Édition électronique
URL : http://mcv.revues.org/3943 ISSN : 2173-1306
Référence électronique
Éditeur
Casa de Velázquez
Édition imprimée
Date de publication : 15 avril 2011 Pagination : 233-249
ISBN : 978-8496820678
ISSN : 0076-230X
Vincent Parello, « Des camps de réfugiés espagnols de la guerre civile dans l’Hérault », Mélanges de la Casa de Velázquez [En ligne], 41-1 | 2011, mis en ligne le 15 avril 2013, consulté le 30 septembre 2016. URL : http://mcv.revues.org/3943
Avec la mort du dernier Valois, Henri III, une nouvelle dynastie montait sur le trône ; les Bourbons. Henri IV dut cependant faire la conquête de son royaume resté majoritairement catholique.
Il finit par abjurer et fit la paix avec les Protestants avec l'Edit de Nantes en 1598 qui leur accordait la liberté de culte et des places de sureté.
Roi pacificateur, il restaura avec son fidèle Sully les finances royales et permit le redressement du pays. Il lança des travaux d'aménagement et d'embellissement.
Sa mort tragique montre les limites de l'apaisement.
Les querelles théologiques virent rapidement à l'affrontement entre catholiques et protestants.
Alternant entre tentatives de réconciliation et répression, le pouvoir royal, affaibli par la mort prématurée d'Henri voit son autorité menacée par les différentes factions.
Pour les protestants, il n'est question de liberté religieuse mais bien de prise de pouvoir pour établir la religion réformée.
Il appartiendra au roi Henri IV, après l'extinction de la branche des Valois, de rétablir une paix provisoire au terme d'un arrangement singulier en Europe dérogeant au traditionnel Cujus regio, ejus religio.
La porte Nointel, la dernière porte de l’enceinte du bourg de Clermont, est la seule à présenter encore des élévations significatives. Elle se situe à l’angle de la rue du Donjon et de la rue de la Porte Nointel qui longe le mur gouttereau nord de l’église Saint Samson.
Edifié par les Comtes de Clermont, le Donjon fait encore aujourd’hui débat quant à sa date de construction. On estime néanmoins qu’elle se situe entre la seconde moitié du XIe siècle et le début du XIIe. Ce qui en fait le plus ancien monument de la ville en élévation.
largeC’est en 1651 que l’Abbé HUCHER, prieur de Breuil-le-Vert et Seigneur de Béthencourtel, fit édifier cette chapelle par quatre maçons du pays, à partir de matériaux de celle qui existait jusqu’alors et qu’il avait fait démolir.
Jusqu’en 1835, cette chapelle, comme tout le hameau de Béthencourtel se situait sur le territoire de la commune d’Agnetz.
D’une architecture simple, l’édifice, dédié à Saint-André, possède une porte encadrée de bossages, surmontée d’une niche abritant de nos jours une statue de Sainte Thérèse de l’Enfant de Jésus, encadrée de consoles. Sur le pignon se dresse un petit clocher contenant la cloche de l’ancienne usine Gervais rasée au cours du bombardement aérien du 25 Août 1944.
medium-large
A l’intérieur, un autel du XIXème siècle s’appuie sur un fond de boiseries rocaille.
Au sol repose la pierre tumulaire de Louis Havart de Popincourt et de son épouse Catherine Lefevre. Deux tableaux les représentent. Dans le mur est scellée une épitaphe sur marbre noir, perpétuant le souvenir de cet écuyer, seigneur de Béthencourtel, Péteil, Agnetz et autres lieux, Maître des Eaux et Forêts de Clermont, décédé le 24 septembre 1724 à l’âge de 65 ans.
La chapelle est surnommé « chapelle du tilleul », car en jusqu’en 1990, elle était abritée par un gros tilleul plusieurs fois centenaire, que les anciens nommés autrefois « Eul’ grot’ arbe eud Tincorti » ; par sécurité, la Municipalité a dû l’abattre, mais pour respecter la tradition, elle a aussitôt replanté un nouveau tilleul. Sa toiture a été refaite en 2002.
Des camps de réfugiés espagnols de la guerre civile dans l’HéraultJean-Maxence Granier
Vincent Parello
Édition électronique
URL : http://mcv.revues.org/3943 ISSN : 2173-1306
Référence électronique
Éditeur
Casa de Velázquez
Édition imprimée
Date de publication : 15 avril 2011 Pagination : 233-249
ISBN : 978-8496820678
ISSN : 0076-230X
Vincent Parello, « Des camps de réfugiés espagnols de la guerre civile dans l’Hérault », Mélanges de la Casa de Velázquez [En ligne], 41-1 | 2011, mis en ligne le 15 avril 2013, consulté le 30 septembre 2016. URL : http://mcv.revues.org/3943
Un grupo de alumnas de 4º de ESO, del Colegio Amor de Dios de Valladolid, con ayuda de sus profesoras de los Departamentos de Francés e Informática, han llevado a cabo el proyecto de realizar una página web con el tema: “La influencia Francesa en Valladolid”.
Sainte Jeanne d'Arc, patronne de la France 1412-1431.pptxMartin M Flynn
sainte patronne de la France, honorée en tant que défenseure de la nation française pour son rôle dans le siège d'Orléans et son insistance sur le couronnement de Charles VII de France pendant la guerre de Cent Ans.
La siguiente presentación habla sobre las guerras de religión que se presentaron en Francia durante el siglo XVI, sus diferentes causas y sus consecuencias. Está en francés.
Hecho por Camilo Agudelo y Jhon Arcila
Guerre civile entre les armagnac et les bourguignonsHistoires2Paris
Au coeur du Moyen Age, dans le XV siècle en France : Le roi est fou... les princes du sang se déchirent pour le pouvoir... les anglais rodent...
En savoir plus : http://www.histoires-de-paris.fr/guerre-civile-armagnac-bourguignons/
2. Henri IV qui s’appelait Henri de
Bourbon est ne le 13 décembre
1553 a Pau et il est mort le 14 mai
1610 a Paris. Henri a été le roi de
Navarre de 1572 a 1610, il a été
connu comme Henri III de Navarre.
Aussi, il a été le roi de France de
1589 jusqu’a ce mort et il a été
connu comme le fameux Henri IV.
Il était le fils de Jeanne d’Albret
reine de Navarre et d’Antoine de
Bourbon, chef de la maison de
Bourbon et descendant du roi Louis
IX. Il est souvent considéré par les
Français comme le meilleur
monarque qui a gouverné son pays,
en essayant d'améliorer toujours
les conditions de vie de ses sujets.
3.
4. En 1572, succédant à sa mère
Jeanne d’Albret. Henri de Navarre
devient roi de Navarre sous le nom
de Henri III. Le 18 août 1572, il
est marié à Paris à la sœur du roi
Charles IX, Marguerite de
Valois. Ce mariage a été arrangé
pour favoriser la réconciliation
entre catholiques et protestants.
Ils se sont mariés à Notre- Dame.
Henri est devenu catholique mais il
a eu des problèmes et il a participe
aux guerres de religion en 1576 et
1577.
5. La mort d‘Henri III de France a
formellement fait retomber en
1589, la couronne française sur la
tête d'Enrique de la Navarre. Mais
seulement il a été reconnu comme
roi pour les huguenots. Le Pape et
Philippe II de l'Espagne se sont
refusés à le reconnaître comme roi
de France . Ils ont proposé le
cardinal Charles de Bourbon
(Charles X de la France). La Ligue
l'a obligé à se retirer au sud du
pays. Mais, l'intervention de
Philippe II de l'Espagne en sujets
français a divisé les partisans de la
Ligue Catholique, en facilitant
finalement à Enrique l'accès
effectif au trône français. Avec un
condition qui était de repousser le
protestantisme.
6. Le mariage entre Henri
IV et Margarita de Valois
n’état pas voulu ni par
eux ni par le pape ni par
le peuple à Paris. Après
quelques jours ,Paris a
commencé un massacre
contre des protestants
où plus de 30.000
personne sont mortes
sauf Henri IV et Henri I,
son cousin. Ce massacre
était ordonné par
Catalina de Médici de
peurde la puissance des
protestants.
7. Louis Borré: Hervé Borre (1576-1643).
Françoise de Montmorency-Fosseux Fosseux: Une fille
mort-née en 1581.
Un seul avec Esther Imber (ou Ysambert), rochelaise:
Gédéon.
Trois avec sa maîtresse Gabrielle d'Estrées, ces trois
enfants furent légitimés: César de Bourbon, Catherine
Henriette de Bourbon (1596-1663) et Alexandre de
Vendôme (1598-1629).
Trois également avec Catherine Henriette de Balzac
d'Entragues, marquise de Verneuil: Henri de Verneuil, né
en 1600;Henri de Bourbon (1601-1682) et Gabrielle-
Angélique de Verneuil (1603-1627).
Un seul avec Jacqueline de Bueil: Antoine de Bourbon-
Bueil (1607-1632).
Deux avec Charlotte des Essarts :Jeanne-Baptiste de
Bourbon (1608-1670) et Marie Henriette de Bourbon
(1609-1629).
8. Beaucoup de personne
étaient opposés à Henri et ont
essayé de le tuer mais la fin du
règne de Henri IV est marquée
par les tensions avec les
Habsbourg et la reprise de la
guerre contre l'Espagne.
La déclenchement d’une
guerre à Europe était la fin.
Tout en préparant la guerre,
on s'apprête au
couronnement officiel de la
reine à Saint-Denis qui se
déroule le 13 mai 1610. Le
lendemain, Henri IV meurt
assassiné par François
Ravaillac, un catholique
fanatique, dans la rue de la
Ferronnerie à Paris. Henri IV est
enterré à la basilique Saint-
Denis le 1er juillet 1610.
9. Pendant la révolution française,
les corps de princesses etc.
étaient volés de leurs cercueils
respectifs, comme le corps de
Henri IV. Son corps était en bon
état après avoir été momifié.
En 1817, Louis XVIII a décidé de
retourner les restes du corps dans
ses places, mais il a trouvé que
quelques corps n’avaient pas de
tête, comme le corps d’Henri IV.
En 1919, Joseph-Emile Bourdais a
acheté la tête aux enchères et
personne n’a cru que la tête était
d’Henri.
Finalement, Jean-Pierre Babelons
a trouvé à Bellanger (qui avait la
tête) et après avoir fait un test
d’ADN, la tête a été envoyée à
Alfonso de Bourbon, héritier du
trône de France comme Louis XX.