Masterclass - La Transformation Numérique du Design - MBA DMB - Septembre 2019CandiceLenglart
Dans le cadre de notre MBA Marketing & Business Digital, nous avons eu l'occasion de travailler sur une Masterclass portant sur le sujet de la Transformation Numérique du Design.
Auteurs : Marina Ehrhart, Candice Lenglart, Lauraline Maniglier, Dorie Mayanda, Barbara Taveira et Audrey Zamboni.
La démarche design, un outil pour renouveler les processus de l’urbanismeGeoffrey Dorne
Parti de l’univers du mobilier, le design s’est transformé en une véritable « science des processus » au service de l’homme qui se manifeste à travers une démarche d’intervention. Depuis plusieurs années, il s’intéresse de plus en plus à l’espace urbain et lui est bénéfique à de nombreux égards. Les exemples analysés permettent d’identifier les atouts que présente le design pour la ville et les impacts que celui-ci a sur les réalisations. Enfin, il s’agit de suggérer comment les méthodes propres au design peuvent être appropriées par les urbanistes afin d’adapter les processus d’intervention sur la ville à chaque contexte. Les bénéfices potentiels pour chaque acteur sont également mis en avant dans l’optique d’atteindre une ville intense
design.
En d'autres termes, pendant que la formation du
designer continue à vivre placidement à l'ombre d'un
Bauhaus déjà légendaire, l'industrial design, pour sa
part, semble être dans une situation particulièrement
critique.
INNOVER EN FRANCE AVEC LE DESIGN THINKING ? MémoireGeoffrey Dorne
Avant de présenter le design thinking tel qu’il sera
défini dans le cadre de ce mémoire, il nous semble
important de comprendre d’où vient cette notion.
Cette mise en perspective historique mettra en
lumière le fait qu’il n’existe pas une définition
incontestée et incontestable du design thinking.
(Chapitre 1)
Fort de ce constat, nous choisirons de traiter le
design thinking en tant que méthodologie d’innovation
développée tout au long des années 90 dans
la prestigieuse université de Stanford. Plus spécifiquement,
nous présenterons la pensée de Tim
Brown, CEO de l’agence d’innovation IDEO et apôtre
depuis une quinzaine d’années du design thinking.
Il s’agit de l’approche la plus diffusée en France ces
dernières années. (Chapitre 2)
Enfin, nous dépasserons cette vision pour mettre en
lumière les grands principes sur lesquels le design
thinking repose : la reformulation de la question
de départ, le process de design et le fait de placer
l’humain au coeur de la démarche. (Chapitre 3)
Le skeuomorphisme et l'approche authentiquement numérique de MicrosoftMicrosoft Décideurs IT
Le skeuomorphisme, dont nous donnerons une définition et des exemples dans cette session, est la marque de fabrique des applications et des OS depuis maintenant 10 années. Voyons comment et pourquoi la charte Modern UI (ou Design Windows 8) de Microsoft prend hardiment le contre-pied de cette tendance.
Masterclass - La Transformation Numérique du Design - MBA DMB - Septembre 2019CandiceLenglart
Dans le cadre de notre MBA Marketing & Business Digital, nous avons eu l'occasion de travailler sur une Masterclass portant sur le sujet de la Transformation Numérique du Design.
Auteurs : Marina Ehrhart, Candice Lenglart, Lauraline Maniglier, Dorie Mayanda, Barbara Taveira et Audrey Zamboni.
La démarche design, un outil pour renouveler les processus de l’urbanismeGeoffrey Dorne
Parti de l’univers du mobilier, le design s’est transformé en une véritable « science des processus » au service de l’homme qui se manifeste à travers une démarche d’intervention. Depuis plusieurs années, il s’intéresse de plus en plus à l’espace urbain et lui est bénéfique à de nombreux égards. Les exemples analysés permettent d’identifier les atouts que présente le design pour la ville et les impacts que celui-ci a sur les réalisations. Enfin, il s’agit de suggérer comment les méthodes propres au design peuvent être appropriées par les urbanistes afin d’adapter les processus d’intervention sur la ville à chaque contexte. Les bénéfices potentiels pour chaque acteur sont également mis en avant dans l’optique d’atteindre une ville intense
design.
En d'autres termes, pendant que la formation du
designer continue à vivre placidement à l'ombre d'un
Bauhaus déjà légendaire, l'industrial design, pour sa
part, semble être dans une situation particulièrement
critique.
INNOVER EN FRANCE AVEC LE DESIGN THINKING ? MémoireGeoffrey Dorne
Avant de présenter le design thinking tel qu’il sera
défini dans le cadre de ce mémoire, il nous semble
important de comprendre d’où vient cette notion.
Cette mise en perspective historique mettra en
lumière le fait qu’il n’existe pas une définition
incontestée et incontestable du design thinking.
(Chapitre 1)
Fort de ce constat, nous choisirons de traiter le
design thinking en tant que méthodologie d’innovation
développée tout au long des années 90 dans
la prestigieuse université de Stanford. Plus spécifiquement,
nous présenterons la pensée de Tim
Brown, CEO de l’agence d’innovation IDEO et apôtre
depuis une quinzaine d’années du design thinking.
Il s’agit de l’approche la plus diffusée en France ces
dernières années. (Chapitre 2)
Enfin, nous dépasserons cette vision pour mettre en
lumière les grands principes sur lesquels le design
thinking repose : la reformulation de la question
de départ, le process de design et le fait de placer
l’humain au coeur de la démarche. (Chapitre 3)
Le skeuomorphisme et l'approche authentiquement numérique de MicrosoftMicrosoft Décideurs IT
Le skeuomorphisme, dont nous donnerons une définition et des exemples dans cette session, est la marque de fabrique des applications et des OS depuis maintenant 10 années. Voyons comment et pourquoi la charte Modern UI (ou Design Windows 8) de Microsoft prend hardiment le contre-pied de cette tendance.
Creativity | Craftmanship | Industry | Design : a interactive pathMargherita Vacca
Lecture on the relationship between Creativity, Craftsmanship, Industry and Design [ Product Design Course | Faculty of Architecture | Euro-Mediterranean University of Fes ]
Conférence sur la relation entre la Créativité, l'Artisanat, l'Industrie et le Design [ Cours de Design Produit | Faculté d'Architecture | Université Euro-Méditerranéenne de Fès ]
LA RECHERCHE-PROJET : UNE MÉTHODE POUR LA RECHERCHE EN DESIGNGeoffrey Dorne
L’étude qui suit a un double objectif, épistémologique et méthodologique. Elle vise à repérer et à énoncer, sous la forme d’une problématique circonstanciée, les conditions dans lesquelles la recherche en design est possible et souhaitable, d’une part, puis à présenter une proposition qui rende cette recherche praticable avec la rigueur, la fécondité et la pertinence nécessaires, d’autre part. En d’autres termes, on s’efforcera de
démontrer qu’il est légitime de considérer le design , non seulement comme une pratique professionnelle, mais également comme une discipline scientifique (objectif épistémologique), et que la méthode de recherche-projet constitue une méthode à privilégier pour la rechercher en design (objectif méthodologique).
Une imprimerie du “faire soi-même” / “do it yourself”
L’atelyé est un projet d’ouverture d’une imprimerie où des machines-outils d’édition seront mises à disposition de tout les créatifs.
Rapport final de l'atelier de Design Thinking - KWS14Kongossa (KWS)
Le 30 Septembre dernier, André Fortin et Juliana Alvarez ont animé un atelier de Design Thinking sur le rapprochement entre les TI et le milieu de l'innovation Sociale
Semaine mondiale de l'entrepreneuriat 2014 (Université de Genève)Dajana Kapusova
Libérez vos idées!
Semaine mondiale de l'entrepreneuriat 2014 (17.-21.11.2014)
Université de Genève
Programme
http://www.liberezvosidees.ch
Conférence-atelier LinkedIn spéciale Semaine de l'entrepreneuriat
Jeudi 20 novembre 2014, à 18h15, Uni MAIL, Université de Genève
Sujet: LinkedIn - Pourquoi le Social Selling devrait être votre prochaine étape?
Intervenante: Dajana Kapusova, spécialiste et formatrice LinkedIn certifiée par Really Connect, le premier centre de formation au monde certifié par LinkedIn eux-mêmes
http://www.liberezvosidees.ch/linkedin-pourquoi-le-social-selling-devrait-e%CC%82tre-votre-prochaine-etape/
Présentation faite dans le cadre de l'Innovation Ecosystems Agora le 2/12/2014 par ECDYS : comment co-innover avec ses clients ?
www.innovation-ecosystems-agora.com
Rendre la critique créative. La démarche abductive et pragmatique du design E...Geoffrey Dorne
La démarche à la fois abductive et pragmatique du design se nourrit du terrain puis s’en détache pour proposer des scénarii à vivre, se préoccupant de l’expérience humaine dans toutes ses dimensions. Sa vocation est d’« améliorer ou au moins maintenir l’habitabilité du monde » (Findeli, 2010, 292). Basé sur un dialogue entre textes et retours d’expériences de l’auteure, designer chercheuse française, cet article vise à dresser un portrait du praticien réflexif et à dessiner quelques jalons pour outiller sa démarche, portée par un questionnement éthique. Les notions théoriques seront interrogées au regard de l’expérience, des rencontres interdisciplinaires, et des paradoxes de l’identité flexible du praticien réflexif. Renégociant perpétuellement son positionnement ainsi que ses outils, c’est une force à la fois critique et créative que celui-ci cherche à exercer dans les entreprises et la société au sens large.
07 Manual VisionCredit Gregal Entidades Financieras Enlaces contables -Valencia Gregal
Enlaces contables
Los movimientos de la gestión de la aplicación provocan la generación de asientos contables.
Estos movimientos pueden ser exportados a otros programas de contabilidad (ContaWin), incluidos ERP (NAV,ADONIX), para su explotación.
La contabilización es opcional, (ver códigos, parámetros de gestión, Tipo de enlace contable):
- No enlaza (No genera asientos).
- Enlace y cuadre de asiento (La suma de cargos y abonos debe ser igual).
- Enlace sin cuadre (Los asientos pueden estar descuadrados, suma de debe distinta de haber).
DEFINICION DEL LENGUAJE
FACTORES PREPONDERANTES DEL LENGUAJE
DESARROLLO NORMAL DEL LENGUAJE DE 0 A 5 AÑOS
ALTERACION DEL LENGUAJE MAS FRECUENTES
DETECCION DEL RETRASO DEL LENGUAJE
CONSIDERACIONES GENERALES DE PREVENCION PARA UN BUEN DESARROLLO DEL LENGUAJE.
Creativity | Craftmanship | Industry | Design : a interactive pathMargherita Vacca
Lecture on the relationship between Creativity, Craftsmanship, Industry and Design [ Product Design Course | Faculty of Architecture | Euro-Mediterranean University of Fes ]
Conférence sur la relation entre la Créativité, l'Artisanat, l'Industrie et le Design [ Cours de Design Produit | Faculté d'Architecture | Université Euro-Méditerranéenne de Fès ]
LA RECHERCHE-PROJET : UNE MÉTHODE POUR LA RECHERCHE EN DESIGNGeoffrey Dorne
L’étude qui suit a un double objectif, épistémologique et méthodologique. Elle vise à repérer et à énoncer, sous la forme d’une problématique circonstanciée, les conditions dans lesquelles la recherche en design est possible et souhaitable, d’une part, puis à présenter une proposition qui rende cette recherche praticable avec la rigueur, la fécondité et la pertinence nécessaires, d’autre part. En d’autres termes, on s’efforcera de
démontrer qu’il est légitime de considérer le design , non seulement comme une pratique professionnelle, mais également comme une discipline scientifique (objectif épistémologique), et que la méthode de recherche-projet constitue une méthode à privilégier pour la rechercher en design (objectif méthodologique).
Une imprimerie du “faire soi-même” / “do it yourself”
L’atelyé est un projet d’ouverture d’une imprimerie où des machines-outils d’édition seront mises à disposition de tout les créatifs.
Rapport final de l'atelier de Design Thinking - KWS14Kongossa (KWS)
Le 30 Septembre dernier, André Fortin et Juliana Alvarez ont animé un atelier de Design Thinking sur le rapprochement entre les TI et le milieu de l'innovation Sociale
Semaine mondiale de l'entrepreneuriat 2014 (Université de Genève)Dajana Kapusova
Libérez vos idées!
Semaine mondiale de l'entrepreneuriat 2014 (17.-21.11.2014)
Université de Genève
Programme
http://www.liberezvosidees.ch
Conférence-atelier LinkedIn spéciale Semaine de l'entrepreneuriat
Jeudi 20 novembre 2014, à 18h15, Uni MAIL, Université de Genève
Sujet: LinkedIn - Pourquoi le Social Selling devrait être votre prochaine étape?
Intervenante: Dajana Kapusova, spécialiste et formatrice LinkedIn certifiée par Really Connect, le premier centre de formation au monde certifié par LinkedIn eux-mêmes
http://www.liberezvosidees.ch/linkedin-pourquoi-le-social-selling-devrait-e%CC%82tre-votre-prochaine-etape/
Présentation faite dans le cadre de l'Innovation Ecosystems Agora le 2/12/2014 par ECDYS : comment co-innover avec ses clients ?
www.innovation-ecosystems-agora.com
Rendre la critique créative. La démarche abductive et pragmatique du design E...Geoffrey Dorne
La démarche à la fois abductive et pragmatique du design se nourrit du terrain puis s’en détache pour proposer des scénarii à vivre, se préoccupant de l’expérience humaine dans toutes ses dimensions. Sa vocation est d’« améliorer ou au moins maintenir l’habitabilité du monde » (Findeli, 2010, 292). Basé sur un dialogue entre textes et retours d’expériences de l’auteure, designer chercheuse française, cet article vise à dresser un portrait du praticien réflexif et à dessiner quelques jalons pour outiller sa démarche, portée par un questionnement éthique. Les notions théoriques seront interrogées au regard de l’expérience, des rencontres interdisciplinaires, et des paradoxes de l’identité flexible du praticien réflexif. Renégociant perpétuellement son positionnement ainsi que ses outils, c’est une force à la fois critique et créative que celui-ci cherche à exercer dans les entreprises et la société au sens large.
07 Manual VisionCredit Gregal Entidades Financieras Enlaces contables -Valencia Gregal
Enlaces contables
Los movimientos de la gestión de la aplicación provocan la generación de asientos contables.
Estos movimientos pueden ser exportados a otros programas de contabilidad (ContaWin), incluidos ERP (NAV,ADONIX), para su explotación.
La contabilización es opcional, (ver códigos, parámetros de gestión, Tipo de enlace contable):
- No enlaza (No genera asientos).
- Enlace y cuadre de asiento (La suma de cargos y abonos debe ser igual).
- Enlace sin cuadre (Los asientos pueden estar descuadrados, suma de debe distinta de haber).
DEFINICION DEL LENGUAJE
FACTORES PREPONDERANTES DEL LENGUAJE
DESARROLLO NORMAL DEL LENGUAJE DE 0 A 5 AÑOS
ALTERACION DEL LENGUAJE MAS FRECUENTES
DETECCION DEL RETRASO DEL LENGUAJE
CONSIDERACIONES GENERALES DE PREVENCION PARA UN BUEN DESARROLLO DEL LENGUAJE.
Ce recueil s'inscrit dans le cadre d'une opération de sensibilisation des chefs d’entreprise de l’artisanat à la démarche design dont la mise en œuvre de 3 actions a été confiée par la DGE à l'ISM. Il a été constitué par l’ISM en 2015 sous l’égide de la DGE et en partenariat avec les membres du comité de pilotage du projet: DGE, APCMA, UPA, APCI, VIA, R3iLab.
Il fait un état, non exhaustif, de la réalité des pratiques professionnelles du secteur de l’artisanat dans toute sa diversité en s’appuyant sur des expériences de collaborations entre des artisans et des designers dans des contextes, des secteurs d’activité et des applications aussi variés que possible.
Il vise l’illustration de ce que les designers professionnels ont à apporter à l’entreprise artisanale. À savoir, au-delà de l’effet esthétique produit, de l’expérience sensorielle permise ou du service rendu, construire ou co-construire une approche stratégique qui différencie son offre de produits et de services dans un marché mondialisé, ultra concurrentiel et marqué par des mutations exceptionnelles.
Date : Décembre 2015 Auteur : ISM / Coordination Mathilde Jacquemet
Cette semaine, dans la veille de Né Kid :
L’actu mise à nu :
• Les pronostics pour Noël
• Une « happy hour » du savoir en 2012?
• Quelles marques proches des Français?
Point de vue : l’UX
Innovations et tendances :
• Erreur de communication?
• Le monde a besoin de filles
• Sortez couverts
Nous sommes de plus en plus sollicités sur des questions RH:
Aidez nous à repenser les parcours et l'expérience candidat (Groupement des Mousquetaires)
Nous déménageons, aidez-nous à repenser l'architecture et les nouvelles méthodes de collaboration (Michelin)
Aidez moi à faire en sorte que mes chercheurs dialoguent avec 10% de mes clients qui nous poussent à innover (St Gobain Recherche)
Aidez-nous à structurer et former mon entreprise aux méthodes de co-innovation (Shiseido)
Aidez-nous à inventer l'agence de demain et à faire évoluer la posture des collaborateurs dans nos agences (Pôle Emploi)
Fondé il y a 20 ans, notre collectif, les Sismo animent un studio de design et d'innovation indépendant, reconnu et souvent primé pour ses créations iconiques, ses outils méthodologiques éprouvés et ses expositions grand public. Notre équipe créative, pluridisciplinaire et expérimentée vous accompagne dans chaque étape de votre projet d'innovation RH de la génération d’idées à l’exécution de solutions concrètes.
FLUPA2015-R.CASTAING-LA RESPONSABILITÉ DE PENSER DESIGNRenaud Castaing
Le Design est aujourd'hui un élément stratégique majeur pour les entreprises. Certains prérequis, certaines garanties sont à comprendre et à appliquer pour offrir une nouvelle dimension dans l'experience proposée par une entreprise.
Appréhender et s'adapter aux mutations de l'économie numérique. Thibaut Brousse
En moins de 20 ans le numérique a bouleversé un certains nombres d’industries. Il a entrainé de nombreuses migrations de valeurs, au profit des GAFA (Google, facebook, Amazon, Apple).
Ces acteurs émergents proposent de nouveaux modèles via des plateformes d’intermédiation performantes, des applications intuitives ou des prototypes innovants répondant immédiatement aux besoins des utilisateurs.
Souvent inspirés par la philosophie de l'opensource et les méthodes de production des logiciels libres, ces acteurs s’appuient sur des communautés très fortes.
Celles ci s’organisent s’organisent aux quatre coins du monde autour de problématiques diverses. Qu’il s’agisse de construire son village (http://opensourceecology.org), de construire sa maison (http://www.wikihouse.cc), de fabriquer une voiture http://wikispeed.org, de concevoir des meubles (https://www.opendesk.cc), ou de développer des objets intelligents la révolution culturelle est en marche.
Certaines communautés comme OUISHARE revendique même une nouvelle forme d’économie, appelée économie collaborative ou économie du partage représentée par son ambassadeur Jérémy Rifkin.
Ces nouveaux entrants bouleversent des leaders historiques, plus aucune entreprise et aucun secteur d’activité ne sont épargnés (la musique, le commerce de détail, la presse écrite, la télévision, les hôtels et restaurants, les taxis, les agences immobilières, la Poste et aussi les agences matrimoniales).
Face au « tsunami numérique » la menace de disparition peut provenir de n’importe où !
Exploiter la créativité pour construire aujourd'hui ses produits ou services ...CCI de Maine-et-Loire
Consultez le support des intervenants de la Rencontre Innovation RI² du 11 décembre 2014 :
Exploiter la créativité pour construire aujourd'hui ses produits ou services de demain !
Avec l'intervention d'Anthony DELAMARRE de ISTIA « Des méthodes de créativité puissantes au service de l'innovation »
Témoignage de Thierry GAUCHET, TRIOPLAST
Témoignage de Yann NASLAIN, DOREL / PRI DESIGN'IN
Présentation du parcours CCI Innovation
Où et comment innover?
On nous affirme qu'il existe 3 à 5 espaces dans l'entreprise où il est possible de créer de l'innovation...
Ce document montre 18 espaces d'innovation, en partant du cycle de vie d'une prestation (bien ou service) où il est possible de changer les choses.
Mélangé avec 9 stratégies d'innovation, du document Quels modèles d'innovation aujourd'hui?
Direction de la prospective et du dialogue public
de la Métropole de Lyon, cela donne théoriquement 162 possibilités de réfléchir à l'innovation au sein de votre organisation.
Ou et comment recruter un.e UX designer pour ma startup ? @GENFrenchTechCentral
Où commencer quand on veut enrichir son équipe d'un profil UX/UI ? Comment trouver le professionnel idéal quand les métiers du numérique sont en tension ? Pourquoi se concentrer sur le recrutement inclusif ?
Méthodes pédagogiques innovantes; axées sur le marché ;
Profils d'apprenants issus de la diversité ;
Outils disponibles pour exploiter le vivier de talents de la GEN ;
Focus sur la formation de "designer UX" avec Popschool,
Interview d'une startup qui a recruté avec la Grande École du Numérique....
Inscrivez-vous et posez toutes vos questions en direct !
Découvrez, l'Auberge, sas de décompression pour créatifs ! Cette présentation est un cas client, mais elle s'adapte à tous vos demandes et besoins !
Pour plus d'infos : http://auberge.50a.fr/
Vous pouvez nous retrouver sur :
http://www.50a.fr/
http://blog.50a.fr/
https://www.facebook.com/agence50A
https://twitter.com/agence50A
http://vimeo.com/agence50a
2. MERCREDI 06.11.2013
• Arrivée début de soirée
• Visite de la gallerie Roca
• visite Harrod’s et Harvey Nichols
JEUDI 07.11.2013
• 3D Print Show - Business Design Center (visite des
stands et conférences)
VENDREDI 08.11.2013
• visite des espaces commerciaux sur Oxford Street -
analyse retail
SAMEDI 09.11.2013
• programme libre + retour dans l’après-midi
SHARING WITH ESVMD1
3. Dans le cadre de la formation, les
étudiants de deuxième année se sont
rendus à Londres afin d’y effectuer
un workshop « retail » de 4 jours. Ce
séjour avait pour but la découverte
des domaines du commerce et de la
vente, ainsi que les diverses appli-
cations de stratégies VMD possibles.
Ces dernières s’expriment différem-
ment selon le positionnement, les
produits proposés et la clientèle vi-
sée par les enseignes. Le retail étant
un domaine d’activité important du
designer en visual merchandising, il
apparaissait très intéressant d’étu-
dier la façon dont sont conciliés
communication, design, esthétisme
et stratégie commerciale sur diffé-
rentes surfaces de vente.
En outre, afin de rester constam-
ment à l’avant-garde et dans les ten-
dances, une partie de ce workshop
était consacrée au 3D Printshow qui
se tenait au Business Design Cen-
ter de Londres. Des conférences et
des visites des exposants étaient
au programme de cette journée très
enrichissante, autant à titre profes-
sionnel que personnel. Technolo-
gie d’avenir en expansion depuis
quelques années, l’impression 3D
révolutionne le monde de l’art, la
médecine et l’économie globale.
Sa portée est d’autant plus grande
qu’elle exploite les tendances de
consommation et les modes de com-
portements sociaux actuels.
Grandes métropole active, Londres
constitue l’une des « place to be »
d’Europe en matière de retail. De
nombreuses marques y ont installé
leur flagship. De plus, la ville dis-
pose d’une grande mixité culturelle
et sociale qui a permis l’implanta-
tion de jeunes marques branchées
et de concept store audacieux. Ces
nouveaux espaces de vente côtoient
ainsi les plus vieilles enseignes telles
que Selfridges et Harrod’s qui ont
contribué à la notoriété de Londres
et à son aura particulière.
INTRODUCTION
4. GALLERIE ROCA
• Visite de la Roca Gallery, un projet
réalisé par la renommée Zaha Hadid.
• espace immersif, formé de courbes
chaleurseuses, contrastant avec des
matériaux bruts.
MERCREDI 06.11.2013
6. HARVEY NICHOLS
• Grand magasin multimarque londo-
nien.
• Comparable à Jelmoli en Suisse,
Harvey Nichols propose néanmoins
quelques concepts VM intéressants.
HARVEY NICHOLS
7. HARROD’S
• Harrod’s constitue la référence londo-
nienne en matière de luxe. Il s’agit d’une
des plus vieilles enseignes de la ville.
• Réputé pour l’originalité très british de
ses vitrines.
• aménagement intérieur très luxueux
8. 3D PRINTSHOW
• Journée de conférences au Design
Business Center de Londres
• Visite de stands consacrés à l’im-
pression 3D sous toutes ses formes et
usages
JEUDI 07.11.2013
9. Imprimantes 3D destinées aux par-
ticuliers
technique du dépôt de fil pour la ré-
alisation de petits objets (max 15cm
de haut)
14. 3D print show London, le 7 no-
vembre 2013 de 11h à 11h45 : «
l’art imprimé en 3D vs design et
produit »
L’artiste américain Joshua Harker est
considéré comme un pionnier et un vi-
sionnaire de l’art et de la sculpture en im-
pression 3D. A travers cette conférence,
il explique comment l’impression 3D mé-
lange les notions de design, de produit et
d’art, ainsi que les enjeux et possibilités
uniques qu’offre cette technique pour ré-
aliser les idées et les pensées des indivi-
dus.
Points importants :
• L’impression 3D malgré les multiples
possibilités, reste avant tout un outil de
travail pour l’artiste et ne remplace en
rien le processus créatif.
• Néanmoins, cet outil donne l’impression
d’être exclu du processus de création, car
il est si perfectionné et précis, qu’il pren-
drait presque une dimension magique.
• En outre, Joshua Harker rend attentif
sur la différence entre art et expérimen-
tation. Selon lui, même si le design ne re-
quiert pas forcément une application mais
davantage un concept, le fait de pouvoir
tout créer ne relève pas forcément d’un
processus artistique, mais plutôt de l’ex-
périmentation et de la découverte.
• L’impression en trois dimensions remet
en question la notion d’original et de co-
pie, puisque techniquement, la première
pièce à sortir de l’imprimante est déjà une
copie.
• Avec l’impression 3D, on évolue hors de
la physique et de la gravité, ce qui contri-
bue à ouvrir l’esprit à la créativité. Cela
peut également conduire à un retour à la
fabrication manuelle.
• L’utilisation de cette technique requiert
auparavant une étude précise du sujet à
réaliser, sa physique, l’équilibre des pro-
portions et la répartition des volumes, car
l’ordinateur reste un outil qui n’est pas à
même de résoudre ces problèmes.
Il ne fait aucun doute que les technologies
associées à l’impression 3D changeront
notre économie, mais de quelle façon et
jusqu’à quel point ? Dans le contexte éco-
nomique global actuel de crise et d’enjeux
environnementaux, quels sont les effets,
à long terme de l’impression 3D ? Que si-
gnifie-t-elle pour la ré-industrialisation et
le développement durable ?
JOSHUA HARKER
15. 3D print show London, le 7 no-
vembre 2013 de 12h à 12h45 :
« impacts économiques à long
terme de l’impression 3D »
Conférence donnée par le prof. Thierry
Rayna dont les recherches portent
sur les conséquences économiques
des changements technologiques
des industries high tech, créative et
culturelle. Il est l’auteur de plusieurs
publications dans les domaines de
l’innovation et de l’économie digitale.
Points importants :
• Le marché de l’impression 3D est
en expansion, les imprimantes com-
mencent à arriver dans les maisons,
les bureaux etc et on observe l’émer-
gence massive de mécénat.
• Il s’agit d’une technologie qui pos-
sède plusieurs niveaux de compré-
hension. Nous sommes actuellement
capable de fabriquer rapidement
toutes sortes d’objets, cependant la
fabrication home made d’objets com-
plexes n’est pas prévue avant une
quinzaine d’années.
• L’impression 3D est une réelle op-
portunité pour le développement de
la créativité et de l’entrepreneurship.
Elle permet un prototypage rapide et
à moindres coûts, puisque l’on peut
imprimer des objets très précis, le
tester et le réadapter. Cela contribue
grandement à développer la créativi-
té. En outre, l’émergence de plate-
forme de crowdfunding comme kicks-
tarter contribue à se faire rencontrer
l’offre et la demande, de faire tester
les produits directement aux consom-
mateurs sans être obligé de les pro-
duire à grande échelle.
• De ce fait, l’innovation est plus que
jamais encouragée. L’impression 3D
permet de créer à bas coûts mais éga-
lement sans impact écologique. La
production peut se faire à la mesure
de la demande encourageant l’en-
traide et la manufacture locale.
• Son développement peut néan-
moins engendrer des problèmes rela-
tifs à la propriété intellectuelle, car
il devient alors difficile de détermi-
ner d’où vient réellement l’idée. Le
consommateur devient également
entrepreneur. Il design, produit et
distribue.
• L’enjeu majeur devient donc de dé-
terminer à qui incombe la responsa-
bilité en cas d’échec ou de problème
(designer, producteur, fournisseur de
matière première ou consommateur
?)
• Les effets économiques à long
terme :
o Davantage d’innovation
o Economie de coûts de produc-
tion et de manufacture, de trans-
port (léger), de stockage (pas
besoin si ce n’est le fichier infor-
matique)
o Pas de gaspillage
o Retour à la manufacture locale,
développement régional
o Compétitivité
o Développement durable
• La ressource clé de l’humanité au-
jourd’hui c’est l’information. L’organi-
sation c’est la communauté. L’expan-
sion de l’impression 3D est inévitable
et ses conséquences à la mesure de
celles amenées par l’informatique.
16. 3D print show London, le 7 no-
vembre 2013 de 13h à 13h45
: « le rôle de l’impression 3D
dans la démocratisation de
l’innovation »
La 3ème conférence est donnée par
le CEO de l’entreprise américaine
Mcor, spécialisée dans le design, le
développement et la manufacture de
systèmes d’impression 3D utilisant
le papier comme matière première.
Cette technique permet une impres-
sion rapide et relativement abordable
pour l’individu lambda.
Points importants :
• La mission de tous les innovateurs
constitue à repousser les limites du
possible, au travers de diverses in-
ventions. Ils puisent leurs idées dans
leur imagination et dans le monde
qui les entoure. Puis ils transposent
ces idées en des concepts digitaux
qui contribueront à des apports phy-
siques réels et possiblement impor-
tants.
• Cependant, les contraintes du mar-
ché inhibent souvent ces innovations.
Il s’agit principalement :
o Limites de temps et de budget
o Difficultés à collaborer efficace-
ment à l’élaboration du projet.
o Limites technologiques et tech-
niques des outils de design
o Mais surtout, accès limité ou inexis-
tant à ces outils
• Ceci contribue à limiter l’innovation
uniquement à ceux ayant accès aux
outils tels que l’impression 3D.
• Or l’innovation devrait conduire
chaque phase du processus, du
concept au design en passant par
l’analyse et la manufacture. L’impres-
sion 3D permet aux individus d’inno-
ver directement à l’étape du design,
à « moindre coût » et tout ça depuis
leur ordinateur ou même leur smart-
phone. Ainsi, la prolifération d’idées
engendre davantage de communica-
tion qui amène plus d’innovation.
• L’enjeu réside alors dans la manière
de donner à davantage d’innovateurs
un accès de haut qualité à l’impres-
sion 3D.
17. 3D print show London, le 7 novembre 2013
de 15h à 14h45 : « Fashion et Architecture »
Ludovico Lombardi, architecte, explique le déroule-
ment d’un projet, de l’application digitale à la pro-
duction et la réalisation. Sa collaboration avec l’ar-
chitecte Zaha Hadid l’a conduit à développer des
projets ambitieux voire irréalisables sans l’appui de la
technologie 3D. Qu’il s’agisse de mode, de design de
produit ou d’architecture, les outils d’impression 3D
et les logiciels de visualisation renferment un formi-
dable potentiel de création et de développement de
nouveaux concepts.
18. 3D print show London, le 7 no-
vembre 2013 de 16h à 16h45 :
« URBEE 3D printed car »
L’augmentation de la population
conduit à une augmentation du
nombre de voiture. Si on continue
ainsi on ne pourra, à terme tout sim-
plement plus survivre sur Terre, car la
végétation ne pourra pas recycler l’air
assez rapidement.
De l’avis de ces ingénieurs et desi-
gners, la survie de l’espèce humaine
dépend désormais de notre capacité
à créer une voiture qui fonctionne to-
talement avec des énergies renouve-
lables. Urbee constitue actuellement
la voiture fonctionnelle la plus éco-
logique jamais construite. C’est une
réinterprétation et une vision nouvelle
du design et de la manufacture auto-
mobiles.
Deux places, cette petite voiture pos-
sède un intérieur et une carrosserie
imprimés en 3D et son moteur fonc-
tionne au biocarburant.
L’inconvénient majeur de ce projet ré-
side actuellement dans ses coûts de
production, ainsi que, à mon sens,
dans la sécurité. En effet, même si
elle incite à une conduite prudente,
cette voiture ne pourrait pas protéger
efficacement ses passagers en cas
d’accident.
19. Après avoir visité les différents stands
d’exposition du 3D print show de
Londres, je constate en premier lieu
le retard certain qu’a la Suisse en
matière d’impression 3D. Il existe
aujourd’hui, à travers le monde, de
nombreuses entreprises spécialisées
dans ce domaine, alors qu’il en existe
encore très peu en Suisse. En outre, le
champ d’application des différentes
techniques d’impression 3D sont très
larges, il en va de l’art pur à l’applica-
tion médicale extrêmement pointue,
en passant par la mode et l’aménage-
ment intérieur.
Il existe déjà des imprimantes 3D
pour les particuliers. Très design,
elles utilisent pour la plupart la tech-
nique du dépôt de matière. Il s’agit
de faire fondre un fil de plastique
qui va construire l’objet par dépôt de
couches successives. Le produit ainsi
obtenu est totalement creux et léger.
Cependant, j’ai pu constater que tout
cela reste très petit ; ces imprimantes
ne permettant généralement pas de
créer des objets dépassant les 15cm
maximum.
On constate donc que si ces tech-
niques d’impression 3D offrent d’im-
menses possibilités, notamment dans
les domaines médical et artistique,
elles deviennent très vite limitées
lorsque l’on sort du cadre de l’utilisa-
tion professionnelle.
Observations et constat
20. • Visite des différents magasins d’Oxford
St.
• Analyse des stratégies VM et propo-
sitions d’améliorations
VENDREDI 08.11.2013
24. ANALYSE DE MAGASIN
New Look est une chaîne européenne
de magasins de mode fondée en 1969 à
Taunton, en Angleterre. Numéro 1 des
ventes d’accessoires en Grande-Bretagne,
la marque a reçu de nombreux prix pour la
qualité de ses produits.
Sa philosophie constitue à s’approprier
les tendances issues des défilés, afin de
les adapter à un style de tous les jours.
En 2012, New Look a enregistré plus
de 10.8 de transactions pour la collec-
tion womenswear. Aujourd’hui, la chaîne
compte plus de 1'100 boutiques à travers
le monde, notamment en GB, France, ser-
bie, russie, singapour.
La marque dispose également d’une forte
présence « online ».
LA MARQUE
25. Type de PDV
Il s’agit du flagship de la marque
Positionnement
Moyen – bas de gamme, comparable à
H&M
Clientèle cible
New look vise principalement les jeunes
branchées, adeptes de mode et de ten-
dances quel que soit leur style ou leur
taille (grandes, rondes ou enceintes). La
marque a également développé sa ligne
masculine depuis 2 ans.
Concept général
La volonté de la marque est d’adapter les
créations de défilés à un « street style ».
Cela mis à part, il n’y a pas de concept VM
chez New Look.
Forme de vente
Classique, semblable à de nombreux
autres magasins du même genre
Emplacement, accessibilité
Le magasin est situé à proximité de la
station de métro Bond Street, il est donc
facilement accessible à pied.
Façade : architecture, identification
Sa façade est très commune et ne se
distingue pas particulièrement de celles
des magasins voisins. New Look passe
relativement inaperçu lorsque l’on passe
devant. Seul le logo, inscrit en grand sur
la devanture de la boutique signale son
entrée aux visiteurs.
Vitrine : thème, visibilité
Aucun thème ou histoire racontée en vi-
trine. Il s’agit de vitrines purement dé-
diées à montrer certaines tenues de la
collection la plus récente, et sont presque
uniquement composées de mannequins.
Comme dans le cas de la façade, les vi-
trines n’attirent pas l’œil du passant et
n’invitent pas à traverser la rue.
EXTÉRIEUR
26. Accueil, première impression
Il n’y a pas d’accueil spécial. La présence d’un
agent de sécurité maussade à l’entrée n’invite
pas à entrer dans le magasin. On se sent observé
à tous instant, ce qui est très dérangeant.
Cohésion extérieure - intérieure
On retrouve le noir de la façade sur certaines
parois, à l’intérieur. Le tout reste cohérent, dans
la mesure où il n’y a pas d’identité forte, ni à
l’extérieur, ni à l’intérieur.
ENTRÉE, SAS
27. Le magasin est relativement grand puisqu’il s’étend
sur 3 étages.
Atmosphère, ambiance
Il n’y a pas d’ambiance générale prédominante,
car l’espace est divisé en zones plus ou moins dis-
tinctes qui ont chacune une atmosphère légèrement
différente (casual, glamour, jeune).
Eclairage, son, température, odeur
L’éclairage général est le même sur toute la sur-
face de vente, il se compose de spots incrustés dans
le plafond. En outre pour chaque zone promotion-
nelle ou zone spéciale dédiée à une collection, on
retrouve parfois un éclairage ponctuel plus fantai-
siste, afin de donner une ambiance différente.
Il n’y a rien de notable en matière de 5 sens.
Interactivité, nouvelles technologies
Les nouvelles technologies sont très peu mises en
avant chez New Look. On ne trouve que quelques
écrans LCD dans certaines zones, mais ils n’offrent
aucune interaction avec le visiteur.
Design, style, mobilier et matériaux
Outre les supports de produits classiques (stander,
muraux etc.) le mobilier varie selon les zones du
magasin. Du mobilier spécifique est souvent installé
pour créer un focus, surtout aux abords des allées
centrales. Le style et les matériaux peuvent alors
varier selon les produits proposés et l’ambiance re-
cherchée. (masculine= mobilier foncé, métallique,
moderne / féminin= bois clair, arrondis, vintage)
Zoning
Le flux à l’intérieur s’organise en allées centrales,
situées autour de l’escalier roulant. C’est aux abords
de ces allées que sont placées les différentes zones
promotionnelles. Plus l’on s’éloigne dans les rayons,
plus les passages sont étroits et plus l’on évolue
aléatoirement entre les displays de produits.
Espaces promotionnels et visibilité générale
Etonnement, les promotions ne sont pas toutes
rassemblées au même endroit, mais sont parfois
intégrées dans les rayons, ce qui peut amener de
la confusion. Elles sont signalées de manière clas-
sique, au moyen d’affichettes en couleur.
L’organisation de l’espace de vente est très banale.
Les tables et les displays sont situés aux abords
des allées et les murs sont habillés de parois de
produits ou de visuels. Cela permet une vue d’en-
semble de chaque étage et une lecture à 3 niveaux
(table, stander, murs), mais qui devient très rapide-
ment ennuyeuse et répétitive.
INTÉRIEUR
28. Assortiment
Le large assortiment que propose la
marque est cohérent avec son positionne-
ment moyen-bas de gamme. Il s’agit prin-
cipalement de textile, d’accessoires et de
chaussures. Malgré sa volonté de se diver-
sifier, la marque reste en majorité dédiée
à une clientèle féminine.
Rayons
1 étage consacré à la mode féminine, qui
regroupe les collections principales de la
marque (tall, glamour, inspire)
1 étage dédié aux chaussures
Il existe aussi un espace masculin et un
autre pour adolescents. Le rez-de-chaus-
sée présente les principaux accessoires.
Multimarque, shop in shop
La marque ne vend pratiquement que ses
propres produits. Cependant, New Look
propose quelques pièces issues d’autres
marques, notamment sur Internet.
Mannequins, posters
Comme dans d’autres enseignes, les man-
nequins sont parfois détournés afin de cor-
respondre à un style particulier. Présentés
sans la tête ou arborant des accessoires,
ils sont principalement utilisés pour sug-
gérer des associations de produits. Les
posters reprennent des images de cam-
pagnes publicitaires et donnent le ton de
chaque collection.
MERCHANDISING
30. Confort, orientation, signalétique
Les différents étages et leurs spécificités
sont bien indiqués à l’arrivée des escaliers
roulants. Les noms des différentes lignes
sont signalés en grand afin que le client
se repère facilement dans les rayons. En
outre, le logo New Look est relativement
présent, surtout vers les caisses.
Cabines
Les cabines sont nombreuses et assez
spacieuses, mais restent très simples et
fonctionnelles.
Caisses, achats additionnels, accessoires
On retrouve les habituels petits acces-
soires et gadgets près des caisses. Le
système de queue à l’anglaise permet de
placer certains produits tout le long de la
file d’attente et ainsi provoquer un achat
impulsif de dernière minute.
RH
Il y a très peu de vendeurs (ses) qui cir-
culent dans les étages, ce qui laisse une
grande autonomie au visiteur. A l’inverse
de Topshop, New Look ne propose pas de
« personal shopper » et se situe davantage
au niveau d’H&M en ce qui concerne le
service.
SERVICE
31. Le site de vente en ligne de New Look est
l’un des sites de mode les plus visités de
Grande-Bretagne.
Son fonctionnement général est sem-
blable à celui d’autres sites tel que Za-
lando. La navigation est aisée et il est
possible de choisir certains critères (type
de vêtement, prix, couleurs), pour facili-
ter la recherche. De plus, la livraison est
assurée partout dans le monde. Les frais
de port et les taxes varient selon le pays.
La livraison est gratuite au Royaume-Uni
à partir de 40£ d’achat.
SITE INTERNET
32. • le site internet, qui permet de visualiser
chaque produit, par thème ou par couleur ou
matière. Il répond très bien aux attentes des
consommateurs d’aujourd’hui, qui veulent
pouvoir acheter depuis n’importe où sur leur
smartphone.
• La diversité de collections adaptées aux
différentes morphologies, ce qui permet à la
marque de toucher un public cible relative-
ment large, en lien avec son positionnement.
• pas de concept VM permettant de créer
une réelle identité.
• Forme de vente et merchandising clas-
siques et ennuyeux
Points faiblesPoints forts
PROPOSITION D’AMÉLIORATIONS
A mon sens, la direction qu’a pris New
Look conduit à une impasse, car au vu de
son positionnement actuel et de sa clien-
tèle cible, la marque n’a pas beaucoup
de marge de manœuvre. Il faudrait réus-
sir à implanter un réel concept de ma-
gasin, afin d’offrir une expérience inédite
aux consommateurs. Le problème majeur
reste la gestion des espaces de vente, qui
sont submergés de produits aux styles
différents. Cela conduit souvent à décou-
rager le client, car si la quantité de choix
sur internet est nécessaire, en magasin
elle aurait plutôt un effet lassant et né-
gatif.
Une autre solution serait de se focaliser
davantage sur la vente en ligne, et de
n’avoir que certaines pièces ou séries
limitées en magasin, ce qui lui donne-
rait davantage d’attractivité. On pourrait
alors organiser des événements dans les
plus grandes boutiques (Oxford Street),
comme des ventes flash ou des « défilés
», et ainsi utiliser la force de diffusion
des réseaux sociaux pour communiquer.
On imagine aussi un service de retrait des
commandes dans un magasin, ce qui per-
met de faire son shopping sans stress sur
internet, tout en gagnant du temps dans
le magasin.
33. SHOP ANALYSIS
Urban outfitters is an American company that
owns and operates five brands selling clothes
retail.
The first store opened in Philadelphia in 1970.
Today Urban Outfitters operates more than 170
outlets in the United States, Canada, United
Kingdom, Ireland, Denmark, Sweden, Germany
and Belgium.
The worldwide success of the Urban Outfitters
brand is due to its simple philosophy: to provide
an accessible funky style to majority. This suc-
cess has also led to new lines, including jewel-
lery, shoes and vintage clothing collections that
already have a strong presence in the market. We
can also find most trends like retro, romantic,
kitsch, rock or bohemian.
THE BRAND
34. Point of sale
Concept store
Market position
Mid-range, quite affordable
Target client
18-30 years old, supporter of chic kitsch,
vintage, retro and hipster
General concept
Play on the vintage character, unfinished,
work-in-process style
Outdoor design
The front of the store is classic with a large
logo, which is clearly visible. Brand is re-
cognized through the windows that catch
the eye from afar. (colours) the windows of
the store upstairs are also very flashy and
colourfull.
Type of sale
Self-service, classic. We have the impres-
sion of an organised disorder.
Location, access
The access is easy by public transport. It
stands near Bond Street station.
Façade, architecture, identification
We easily identify the brand thanks to the
awning and the logo, that is brought out
by the colour (blue)
Window, theme, display
The windows always seem to be under
construction, in process, with an unfini-
shed style. There are paint spurts, wooden
cases and odd furniture. We notice them
from across the street because they are
always very colourful.
Signage
Windows are used as communication me-
dia. Stickers are sometimes glued to re-
port news from the store or from the upco-
ming collection.
OUTDOOR
35.
36. Reception area, first impression
We strongly detect the urban identity.
Outdoor- indoor cohesion
The entrance is true to the style proposed
by the windows. As it is very wide, we can
already feel the ambiance from outside
the store. It invites the customer in the
shop.
ENTRANCE
37. The store has 4 flours: a ground floor, two floors
upstairs and a basement.
Atmosphere, ambiance
The ambiance is cool and relaxed. We feel good
in this store. There are different worlds and
styles that match well.
Interior lighting
The lighting is also different depending on the
area. It works good with the unfinished and re-
covered look of the concept.
Sound, temperature, smell
The background music is enjoyable, not oppres-
sing. It could be an everyday music. There is no
particular odour, except a light smell of wooden
displays. It depends on the different areas of
the store.
Interactive, new technology
The new technologies aren’t very developed
because of the vintage concept of the brand.
However, there is a corner where it is possible to
listen to music with earphones, just like we used
to do in old records shops.
Design, style, store furniture
Style, materials and colours vary from the diffe-
rent departments. There are tables and displays,
stander and wall panels but everything is un-
matching. Use of wood, wrought iron, construc-
tion cases, old furniture (old desks, wardrobes,
etc)
Zoning
First of all, the stream is organised around the
central staircase. Further there are some wider
paths, and then the spaces get smaller. Some-
times we might feel a little tightened up. There
are a lot of hidden corners. It is interesting be-
cause we discover unexpected areas.
Promotional spacing
The only promotional space I saw was quite
hidden in the back of the store. Sales aren’t
necessarily highlighted in the high flow areas.
The store seems to be intended for regular cus-
tomers who know where to find each product.
General visibility
It is pretty good. Some areas might be less vi-
sible. We have the impression that the shop is
not tidy but it actually is. There is 3 different
level in reading merchandising. (display, stan-
der, walls)
INTERIOR
40. Assortment according to market position
It is very consistent. We have many diffe-
rent products but they all match the style
of the store
Department
Men, Women, book shop and accessories
downstairs. The store is mostly organised
in thematic spaces (denim, urban re-
newal). There are a department for “home
& gift” and another for women shoes.
multibrand
Urban outfitters propose an assortment of
eclectic brands, with a vintage and out of
the box style.
Shop in shop
Some areas of the shop are dedicated to
a special collection of designers that col-
laborated with the brand, in order to have
a chance to launch their products.
Mannequins, posters
Mannequins stand mostly near the stairs
and the widest paths. In departments, we
rather find chests on tables or on shelves.
The merchandising ist very diversified
such as products displays.
There is almost no posters, but rather
graphic or vintage posters. Sometimes,
the walls are covered with wallpaper or
retro patterns.
MERCHANDISING
42. Shopping comfort, space
Despite the visual diversity and wide
range of products, we feel good at Ur-
ban Outfitters. The merchandising is well
thought out, organized and we walk rela-
tively easily between the displays. There
is a consistency in this odd set.
Signage, orientation
Signage panels, on the top of each floor
lead the customers to the different de-
partments.
Fitting rooms
The changing rooms are located on the
top floor and are highly visible and well
indicated. Built out of old storehouse
sliding doors, they are true to the shop
global style and offer a real experience,
which is part of the purchase process.
Cash desk, additional articles to buy, ac-
cessories
The cashier areas are not explicitly in-
dicated through signage, but are placed
at strategic locations, which make them
easily accessible to visitors (in front of
the entrance, directly on the top of the
stairs).
Many gadgets and accessories are avai-
lable around the cash desks (pens, pro-
tective case for smartphone, sunglasses,
wallet)
Human resources, service
The style of the staff is in total accord
with the concept and the type of products
in the store. Very diversified (gender,
style, nationality) they reflect the brand
identity (a little crazy, heterogeneous)
and are very helpful and discreet.
Last impression
When we go out it is a little shocking,
because we switch between two complete
different universes. Urban Outfitters real-
ly makes us feel in ozone.
SERVICE
43.
44. The website is easy to use and you can buy
online. You can search through precise criteria
(size, colour, type, price).
We can also visualize products or brands sepa-
rately.
The main problem is I think, that the design
of the website does not mirror the universe in
the store. This is quite a shame because it is
precisely the shopping experience that matters
and is interesting.
WEBSITE
45. • Strong and attractive concept that matches and
translates well a special universe.
• Merchandising very well thought out and adapted to
assorted products display.
• The assortment has been selected carefully, which
gives strength and consistency to the whole shop,
despite of the mixed styles.
• All the events proposed through the brand’s blog or
social networks.
• The concept has lost a part of his craziness for a
few years.
• The brand has difficulties to renew itself, to keep
people interested in the concept.
• The type of sale and the management of the shop-
ping areas that remain the same, year after year. It
could lead the customers to think that the collection
actually never change much at all. (ex. Spring-sum-
mer and autumn-winter)
WeaknessesStrengths
As the brand has already a really strong and
good concept that works very well, I would
not change much. However, I think it would
be better for Urban Outfitters to create more
buzz, in order to keep the customer’s atten-
tion. The online network of the brand is huge
so it could be a possibility to focus more on
communication rather than on online product
selling.
By creating event and happenings in the
shops or elsewhere, and communicating in-
tensively through the website, social networks
and blog, (build a community) Urban Outfit-
ters would keep in touch with the customer
expectations, and continue to find new ideas
to express the “way of life” it created.
PROPOSITION OF IMPROVEMENT
46. CONCLUSION / WORKSHOP
Ce workshop a été très intéressant et ins-
tructif à différents niveaux. D’une part, la
visite du 3D print show nous a permis de
nous confronter à la réalité de ce marché en
expansion, ainsi que sur les possibilités de
développement futur et les conséquences
économiques de l’impression 3D. Les confé-
rences nous ont éclairé sur les multiples do-
maines d’utilisation de cette technique. Il
apparaît clairement que la Suisse est encore
en retard dans le développement et l’indus-
trialisation des techniques d’impression 3D.
D’une autre part, les visites et analyses de
magasins nous ont montré les différences
d’implémentation des concepts VMD. Nous
avons pu remarquer que selon les enseignes,
les stratégies visuelles et commerciales al-
laient du concept complétement out of the
box à un concept inexistant. Il est très inté-
ressant de constater les différences entre le
concept de base et sa réalité sur la surface
de vente. Parfois, un concept peut être très
beau mais ne fonctionne pas en magasin,
pour diverses raisons (mauvaise implémen-
tation, flux difficile, non adapté du point de
vue commercial et vente). C’est pourquoi
il est toujours important de garder en tête
les besoins et impératifs sur les surfaces de
ventes, lorsque l’on conçoit une stratégie
VMD, tout en restant très émotionnel et es-
thétique, afin d’offrir une réelle expérience
d’achat.