Le littering dans des zones naturelles, telles que les régions de montagne ou les cours d’eau et les rives des lacs, est une problématique connue mais insuffisamment étudiée.
Lutter contre les injustices environnementales en TunisieJamaity
Lutter contre les injustices environnementales en Tunisie
Un journal des mobilisations en 2016 et 2017
Ces articles visent à retranscrire sous une forme libre et diverse les injustices environnementales en Tunisie telles qu’elles sont vécues et combattues. Ainsi, cet ouvrage vise à faire connaître des mobilisations et des problématiques ayant pu depuis évoluer au fil du temps.
200 agents du Département mobilisés pour nettoyer les routes et protéger la petite faune.
Pour la 7e édition de l’opération « Moi aussi j’agis pour l’environnement », le Département se mobilise autour de la biodiversité. Tout au long du mois de mars, la « nature ordinaire » révèle une biodiversité remarquable et une richesse patrimoniale exceptionnelle à travers 40 actions soutenues par le Département et menées par des associations et des scolaires dans 28 communes de Loire-Atlantique. Les agents du Département sont eux aussi mobilisés eux aussi lors de deux journées spéciales de ramassage des déchets sur le bord des routes. Plus de 200 d’entre eux vont nettoyer plus de 450 km de fossés. A l’issue de la première journée, ils ont déjà ramassé 5,3 tonnes de déchets. Ce jeudi 6 mars, ils combinent un ramassage des déchets et une opération de réfection d’un passage à petite faune sur le bord de la RD 723, entre Saint-Jean-de-Boiseau et Nantes.
Les Characées : de l’esquisse du taxon à l’état des connaissances pour le dép...Aurelien LABROCHE
L'article met en lumière ce groupe d’algues évoluées
auquel appartiennent les Characées, sous des angles variés afin d’en esquisser un descriptif succinct, tout en s’efforçant de rester didactique et pédagogique.
Par ailleurs, un premier état des connaissances est établi à l'échelle du département isérois.
Ateliers d'été de l'agriculture urbaine 2015, synthèse par Anaëlle Tanquerey-...Nantes ville comestible
Organisés par Natureparif, Mardi 30 juin et Mercredi 1er juillet 2015 à Paris, ces ateliers d'été avaient lieu dans un contexte particulier : l'ouverture de l'observatoire de l'agriculture urbaine et de la biodiversité d'Ile de France, mais aussi la COP 21.
Anaëlle Tanquerey-Cado, ingénieure agronome, a assisté à l'événement et nous a transmis ses notes. Merci à elle !
Lutter contre les injustices environnementales en TunisieJamaity
Lutter contre les injustices environnementales en Tunisie
Un journal des mobilisations en 2016 et 2017
Ces articles visent à retranscrire sous une forme libre et diverse les injustices environnementales en Tunisie telles qu’elles sont vécues et combattues. Ainsi, cet ouvrage vise à faire connaître des mobilisations et des problématiques ayant pu depuis évoluer au fil du temps.
200 agents du Département mobilisés pour nettoyer les routes et protéger la petite faune.
Pour la 7e édition de l’opération « Moi aussi j’agis pour l’environnement », le Département se mobilise autour de la biodiversité. Tout au long du mois de mars, la « nature ordinaire » révèle une biodiversité remarquable et une richesse patrimoniale exceptionnelle à travers 40 actions soutenues par le Département et menées par des associations et des scolaires dans 28 communes de Loire-Atlantique. Les agents du Département sont eux aussi mobilisés eux aussi lors de deux journées spéciales de ramassage des déchets sur le bord des routes. Plus de 200 d’entre eux vont nettoyer plus de 450 km de fossés. A l’issue de la première journée, ils ont déjà ramassé 5,3 tonnes de déchets. Ce jeudi 6 mars, ils combinent un ramassage des déchets et une opération de réfection d’un passage à petite faune sur le bord de la RD 723, entre Saint-Jean-de-Boiseau et Nantes.
Les Characées : de l’esquisse du taxon à l’état des connaissances pour le dép...Aurelien LABROCHE
L'article met en lumière ce groupe d’algues évoluées
auquel appartiennent les Characées, sous des angles variés afin d’en esquisser un descriptif succinct, tout en s’efforçant de rester didactique et pédagogique.
Par ailleurs, un premier état des connaissances est établi à l'échelle du département isérois.
Ateliers d'été de l'agriculture urbaine 2015, synthèse par Anaëlle Tanquerey-...Nantes ville comestible
Organisés par Natureparif, Mardi 30 juin et Mercredi 1er juillet 2015 à Paris, ces ateliers d'été avaient lieu dans un contexte particulier : l'ouverture de l'observatoire de l'agriculture urbaine et de la biodiversité d'Ile de France, mais aussi la COP 21.
Anaëlle Tanquerey-Cado, ingénieure agronome, a assisté à l'événement et nous a transmis ses notes. Merci à elle !
Acteurs de la technologie: Devenir partenaire du CREA Mont-BlancCREA Mont-Blanc
Le CREA Mont-Blanc ONG scientifique avec une double ambition de recherche sur l'impact du changement climatique sur la biodiversité, et de partage de ces connaissances pour aider décideurs et grand public à agir mieux.
Créer des solutions innovantes pour le climat passe aujourd’hui par un nouveau type de collaboration entre le monde de la technologie, le monde des ONG scientifiques et environnementales et la société.
Innovons ensemble!
Cette présentation du projet Nextic sur l'aide à la gestion de la biodiversité par les TIC a été faite le 7 décembre 2010 lors du séminaire organisé par l'OSUR de l'Université de La Réunion sur les bases de données et de connaissances.
Projet Od'spot soutenu par la Fondation Lisea BiodiversitéLISEA
En Indre-et-Loire, l’Institut de Recherche sur la Biologie de l’Insecte (CNRS) et l’association Caudalis étudient la façon dont le paysage et ses évolutions structurent les communautés de libellules (dispersion, reproduction, activités). Ces espèces sont de véritables indicateurs du bon état des milieux humides. Le projet est cofinancé par la DREAL Centre, le Conseil Général d’Indre-et-Loire et l'Agence de l'eau Loire-Bretagne. La Fondation LISEA Biodiversité a également apporté un soutien financier et d'accompagnement
Information, Communication et Intelligence Territoriale - Cyril Masselot, 2016Territorial Intelligence
Cyril Masselot présente l'Intelligence Territoriale, le réseau GDRI INTI, la méthode Catalyse et le rôle des sciences de l'information et de la communication dans la gouvernance terrioriale, lors du colloque Gouvernance et Communication territoriales 2016 à Mahdia, Tunisie, réseau LOTH.
Rapport d'activité et liste des projets 2015-2016 - Fondation LISEA BiodiversitéLISEA
Dotée de 5 millions d’euros pour la période 2012-2020, la Fondation participe au financement de projets de proximité qui sont proposés par des associations, entreprises ou établissements publics de recherche implantés dans l’un des six départements concernés par le tracé de la ligne à grande vitesse : Indre-et-Loire, Vienne, Deux-Sèvres, Charente, Charente-Maritime et Gironde.
Depuis 2013 et ce sont près de 50 journées de formation qui ont été organisées par les structures engagées. Les actions aidées par la Fondation sont complémentaires des engagements réglementaires déjà pris par LISEA, COSEA et SNCF Réseau, et viennent en sus des mesures compensatoires du projet. La fondation s'est tourné vers 3 axes : améliorer les connaissances naturalistes, protéger les espèces et leurs habitats, sensibiliser et former les acteurs du territoire.
Dossier thématique Agropolis : Biodiversité, sciences pour les humains et la ...Agropolis International
Coordinateurs : Serge Morand (UM 2) et Chantal Dorthe (INRA)
Le terme " biodiversité" est défini comme étant la diversité du vivant à toutes ses échelles d’organisation des gènes, des populations et communautés, des écosystèmes, et en y incluant les humains du fait de leurs interactions avec toutes les composantes de la biodiversité.
Mémoire master 1- Sensibilisation au patrimoine vivant: démarches artistiques...AurlieMoreau9
Dès leur origine, et avant même leur création officielle, les futurs parcs nationaux et parcs naturels régionaux sont valorisés et défendus selon leur potentiel esthétique et artistique. Puis, des arguments scientifiques sont apportés et évoluent en parallèle. Ils sont les chevaux de bataille d’artistes ou de personnalités à double posture : à la fois écrivains et naturalistes, à la fois peintres et défenseurs de la nature… Voilà qui nous laisse entrevoir l’originalité de ces structures territoriales : des territoires observés à la fois pour leurs paysages et pour leurs écosystèmes. L’enjeu culturel y cohabite avec l’enjeu écologique. Ces structures font face à des défis mais aussi à des opportunités et ont une mission à relever : s’emparer d’un patrimoine vivant. Il s’agit d’un patrimoine qui sort désormais des premières catégories de monuments et de sites, et d’un patrimoine en évolution, à la fois culturel, à la fois naturel. Le patrimoine des parcs nationaux et régionaux revêt alors une certaine dynamique, puisqu’il devient une véritable ressource au service d’enjeux territoriaux : économiques, touristiques, culturels, sociaux. Ce patrimoine interroge les relations de l’homme avec son environnement et contribue à un modèle de territoire qui souhaite faire cohabiter un objectif de développement avec un objectif de protection. Tout l’enjeu est alors celui-ci : comment valoriser un tel patrimoine ? Au-delà de la valorisation, nous comprenons qu’il convient pour les médiateurs des parcs de parvenir à sensibiliser. C’est ici que s’essaient différentes démarches artistiques. L’art par ses originalités se propose comme médium alternatif voir complémentaire du médium scientifique. Il s’attache non plus seulement à exposer des faits mais à faire sentir, à faire imaginer, à construire de nouvelles perceptions. Par extension, il devient un terrain d’expérimentation pour les parcs à la recherche de projets interdisciplinaires qui répondent à leur problématique centrale de développement durable.
Projet DéCLIC : Réduire les Inégalités d’accès au Dépistage des Cancers au niveau Local (DéCLIC): le partenariat chercheurs-décideurs-acteurs comme levier d’action
Présentation de Zoé Vaillant au colloque "Recherche interventionnelle contre le cancer : Réunir chercheurs, décideurs et acteurs de terrain » - 17 et 18 novembre 2014, BnF, Paris
La nouvelle publication de La Fabrique Ecologique, Agir pour la biodiversité : quel outil ? – La configuration et les missions de l’Agence française pour la biodiversité, est désormais disponible.
Face à l’enjeu majeur de la protection de la biodiversité, le projet de loi adopté sur ce sujet par le Conseil des ministres du 26 mars 2014 et dont la discussion au parlement commence ces jours-ci peut constituer une avancée importante.
La note rédigée par un groupe diversifié d’experts et d’acteurs animé par Yann Wehrling, fait le point et formule des propositions sur les missions de la nouvelle agence française pour la biodiversité attendue depuis longtemps et prévue dans ce projet. Elle fait notamment le point sur les missions à accomplir de manière innovante et dynamique et considère qu’il n’est pas raisonnable ni efficace que l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), principal organisme chargé de la biodiversité terrestre, ne soit pas intégrée dans l’agence.
Le CREA Mont-Blanc ONG scientifique avec une double ambition de recherche sur l'impact du changement climatique sur la biodiversité, et de partage de ces connaissances pour aider décideurs et grand public à agir mieux.
Créer des solutions innovantes pour le climat passe aujourd’hui par un nouveau type de collaboration entre le monde de l'entreprise, le monde des ONG scientifiques et environnementales et la société.
Rejoignez-nous!
Intervention de M. Patrick Audebert sur le thème du développement durable en bibliothèque à l'occasion du Congrès 2009 de l'Association des Bibliothécaires de France.
What happens when one resident puts their foot down against aquatic litter ? Read this case study based on three years of correspondence between one person and state and local officials.
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Depuis 2013 et ce sont près de 50 journées de formation qui ont été organisées par les structures engagées. Les actions aidées par la Fondation sont complémentaires des engagements réglementaires déjà pris par LISEA, COSEA et SNCF Réseau, et viennent en sus des mesures compensatoires du projet. La fondation s'est tourné vers 3 axes : améliorer les connaissances naturalistes, protéger les espèces et leurs habitats, sensibiliser et former les acteurs du territoire.
Dossier thématique Agropolis : Biodiversité, sciences pour les humains et la ...Agropolis International
Coordinateurs : Serge Morand (UM 2) et Chantal Dorthe (INRA)
Le terme " biodiversité" est défini comme étant la diversité du vivant à toutes ses échelles d’organisation des gènes, des populations et communautés, des écosystèmes, et en y incluant les humains du fait de leurs interactions avec toutes les composantes de la biodiversité.
Mémoire master 1- Sensibilisation au patrimoine vivant: démarches artistiques...AurlieMoreau9
Dès leur origine, et avant même leur création officielle, les futurs parcs nationaux et parcs naturels régionaux sont valorisés et défendus selon leur potentiel esthétique et artistique. Puis, des arguments scientifiques sont apportés et évoluent en parallèle. Ils sont les chevaux de bataille d’artistes ou de personnalités à double posture : à la fois écrivains et naturalistes, à la fois peintres et défenseurs de la nature… Voilà qui nous laisse entrevoir l’originalité de ces structures territoriales : des territoires observés à la fois pour leurs paysages et pour leurs écosystèmes. L’enjeu culturel y cohabite avec l’enjeu écologique. Ces structures font face à des défis mais aussi à des opportunités et ont une mission à relever : s’emparer d’un patrimoine vivant. Il s’agit d’un patrimoine qui sort désormais des premières catégories de monuments et de sites, et d’un patrimoine en évolution, à la fois culturel, à la fois naturel. Le patrimoine des parcs nationaux et régionaux revêt alors une certaine dynamique, puisqu’il devient une véritable ressource au service d’enjeux territoriaux : économiques, touristiques, culturels, sociaux. Ce patrimoine interroge les relations de l’homme avec son environnement et contribue à un modèle de territoire qui souhaite faire cohabiter un objectif de développement avec un objectif de protection. Tout l’enjeu est alors celui-ci : comment valoriser un tel patrimoine ? Au-delà de la valorisation, nous comprenons qu’il convient pour les médiateurs des parcs de parvenir à sensibiliser. C’est ici que s’essaient différentes démarches artistiques. L’art par ses originalités se propose comme médium alternatif voir complémentaire du médium scientifique. Il s’attache non plus seulement à exposer des faits mais à faire sentir, à faire imaginer, à construire de nouvelles perceptions. Par extension, il devient un terrain d’expérimentation pour les parcs à la recherche de projets interdisciplinaires qui répondent à leur problématique centrale de développement durable.
Projet DéCLIC : Réduire les Inégalités d’accès au Dépistage des Cancers au niveau Local (DéCLIC): le partenariat chercheurs-décideurs-acteurs comme levier d’action
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Face à l’enjeu majeur de la protection de la biodiversité, le projet de loi adopté sur ce sujet par le Conseil des ministres du 26 mars 2014 et dont la discussion au parlement commence ces jours-ci peut constituer une avancée importante.
La note rédigée par un groupe diversifié d’experts et d’acteurs animé par Yann Wehrling, fait le point et formule des propositions sur les missions de la nouvelle agence française pour la biodiversité attendue depuis longtemps et prévue dans ce projet. Elle fait notamment le point sur les missions à accomplir de manière innovante et dynamique et considère qu’il n’est pas raisonnable ni efficace que l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), principal organisme chargé de la biodiversité terrestre, ne soit pas intégrée dans l’agence.
Le CREA Mont-Blanc ONG scientifique avec une double ambition de recherche sur l'impact du changement climatique sur la biodiversité, et de partage de ces connaissances pour aider décideurs et grand public à agir mieux.
Créer des solutions innovantes pour le climat passe aujourd’hui par un nouveau type de collaboration entre le monde de l'entreprise, le monde des ONG scientifiques et environnementales et la société.
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Intervention de M. Patrick Audebert sur le thème du développement durable en bibliothèque à l'occasion du Congrès 2009 de l'Association des Bibliothécaires de France.
What happens when one resident puts their foot down against aquatic litter ? Read this case study based on three years of correspondence between one person and state and local officials.
How does shoreline litter density compare between Switzerland, England, Portugal Denmark and Belgium ? Analysis of 210 beach litter surveys from six countries.
Hammerdirt California activity Nov 2015 - May 2016Roger Erismann
This document summarizes litter survey results from Rancho Cordova and Clear Lake, California between November 2015 and May 2016. Over 7,000 pieces of debris were removed from 35 locations. At Cordova Creek in Rancho Cordova, the top items collected were styrofoam, candy wrappers, cigarette butts, plastic pieces, and plastic bags. In Clear Lake at Austin Park, the most common debris were cigarette butts, shopping bags, bottles/glass, paper, and styrofoam. The project aims to evaluate litter mitigation strategies and is conducted by the nonprofit Hammerdirt using citizen science methods.
The document summarizes the results of the Montreux Clean Beach Project II from November 2015 to April 2016. Over 16,000 pieces of litter were collected from 9 locations around Lake Geneva through 48 surveys. Plastic made up 87% of the total debris. The top items collected were cigarettes, foam, plastic pieces, glass, and candy wrappers. Data on litter composition and amounts were provided for each individual location. The project aims to evaluate litter mitigation strategies and is conducted through citizen science methods with no funding by the hammerdirt association.
This document summarizes two litter removal and data collection projects on the shoreline of Lake Léman between November 2015 and January 2016. Over 8,500 pieces of trash were removed from five locations, with plastics making up 60-97% of the waste. Cigarette butts comprised 25% of the total, while foam and small plastic pieces each made up around 10-15%. The data was collected using the Marine Litter Watch system and is available in an open database. The document calls for further research integrating the litter data with socioeconomic and water quality studies to better understand litter sources and impacts on the local environment.
Hammerdirt conducted litter surveys along Cordova Creek in Rancho Cordova, California from November 2015 to January 2016. They collected a total of 1819 pieces of litter across 80 categories. Foam, candy wrappers, shopping bags, and bits of plastic made up 42% of the total litter. The average amount of litter increased by 38.7% over the period. The data collected is available online and helps identify effective litter mitigation strategies, such as targeting areas where food is sold to reduce food packaging waste.
Hammerdirt is a nonprofit that collects litter data along Cordova Creek to evaluate litter mitigation strategies. From November 24th to December 13th, volunteers removed 817 pieces of litter representing 75 categories from two locations. Plastic accounted for 68.1-84.8% of litter. At location 1, 313 pieces were collected, with candy wrappers, foam, drink bottles, and plastic lids making up 33%. At location 2, 540 pieces were collected, with candy wrappers, foam, plastic bags, and fishing line making up 38%. The data is available online to analyze litter trends over time.
This document provides a draft plan for the Montreux Clean Beach Project II (MCBPII) from November 2015 to November 2016. The project aims to remove trash from shorelines, collect data on accumulation rates using standardized methods, and produce training materials. It will build upon the first project by streamlining data collection and regular communication of results. Volunteers will remove trash, count and categorize debris, and participate in education. Data will help anti-litter campaigns and research by providing a baseline and early warnings on pollution trends over a large area. The benefits are direct environmental and aesthetic improvements as well as information to address diffuse aquatic pollution challenges.
This document provides an activity report summarizing the results of the Montreux Clean Beach Project from November 11, 2014 to August 31, 2015. Key details include:
- 81 clean-up operations were completed across 6 sites, collecting a total of 1,765 liters of trash.
- Cigarette butts, various plastics, and styrofoam made up the majority of collected trash.
- The Baye de Montreux rive gauche and rive droite sites contributed the most trash, with over 1,000 liters collected between them.
1. Etudes du littering dans les zones naturelles
La situation
Le littering dans des zones naturelles, telles que les régions de montagne ou les cours d’eau et les
rives des lacs, est une problématique connue mais insuffisamment étudiée.
Cette pratique fait en effet déjà l’objet d’un questionnement au niveau politique. Suite à des
campagnes médiatiques et à la pression de l’Union suisse des paysans, le conseiller national
Andreas Aebi a ainsi posé la question suivante lors de la séance du Conseil national du 6 juin
2012 : « Le volume des déchets abandonnés dans des prairies et des champs (littering) a-t-il
tendance à augmenter? » (Assemblée fédérale, s.d.).
Le volume des déchets abandonnés dans certaines aires naturelles des lieux résidentiels ainsi que
le coût de leur nettoyage a par ailleurs été répertorié dans un rapport de l’Office fédéral de
l’environnement paru en 2011 et intitulé « Le littering a un coût » (OFEV, 2011). Toutefois, les
milieux naturels à proprement parler, en dépit de leur proximité des lieux urbanisés et de leur
facilité d’accès, n’ont pas été pris en compte dans ce rapport.
En fait, très peu d’études s’intéressent à cette thématique spécifique. Les études scientifiques
indépendantes traitant du littering sont difficiles à trouver : à l’heure actuelle, il n’existe à notre
connaissance que quelques études traitant du littering à proximité des cours d’eau et des lacs
(Wagner, Scherer, Alavrez-Munoz, & Brenholt, 2014) (Dreideger, Durr, Mitchel, & Van Capellan,
2015)et aucune étude relative au littering en montagne, que ce soit en Suisse ou à l’étranger.
Les études
Dans le canton de Vaud, il y a une étude en place qui se focalise sur les rives du Lac Léman.
Inspirée d’une part par une étude de l’EPFL (Faure, Demars, Kunz, & de AlenCastro, 2015) et
d’autre part par l’intérêt personnelle,cette étude a pour objectif de recenser les déchets présents
dans certaines zones déterminées. Menée par une association (hammerdirt), à but non lucratif,
This work is licensed under the Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 4.0 International License.
2. cette étude est initiée par des personnes déjà impliquées dans le domaine environnemental et la
quête de solutions innovantes en la matière. Elle se caractérise par un souci de rigueur
scientifique.
Cette étude se fonde sur une approche
statistique. Elle nécessite une récolte de données
(nombre de déchets par m2
ou sur une surface
déterminée) à intervalles réguliers et de manière
systématique. Afin d’établir une tendance, les
données récoltées doivent réunir des paramètres
temporels (nombre d’années) et quantitatifs
(nombres de déchets triés par nature) ainsi
qu’établir une représentation géographique
suffisante. L’utilisation statistique de ces
données est effectuée en comparant les données
dans le temps afin de mettre en évidence
l’évolution du littering. Que ce soit en montagne
ou en eau douce, la méthode est la même :
l’analyse des séries temporelles (Rogers & Salm,
2015).
La récolte des données
Pour pouvoir répertorier les différents déchets ainsi que leur évolution de manière fiable et
significative, une étude de grande échelle, recensant un grand nombre de données et couvrant
une large zone géographique, est cependant nécessaire. Dans ce contexte, plusieurs méthodes
de récoltes de données sont possibles. La méthodologie utilisée par hammerdirt s’appuie sur
l’approche Citizen Science, c’est-à-dire la collecte des données par les citoyens eux-mêmes
(Dickinson1, et al.). Cette démarche permet de mobiliser tous les citoyens, y compris les écoliers,
au service des sciences environnementales en utilisant des logiciels « open-source » et en s’aidant
des technologies existantes (European Commision, 2013).
Les données récoltées de manière citoyenne par des personnes « non-qualifiées » peuvent
soulever des doutes (Catlin-Groves, 2012). Cependant, si les bénévoles sont informés et qu’ils
reçoivent des instructions adéquates, ils peuvent suivre avec succès les protocoles scientifiques.
Une expérience réalisée en 2013-2014 et qui compare les résultats des recensements des déchets
par des écoliers et des scientifiques démontre ainsi que « les bénévoles appliquent les protocoles
scientifiques avec succès » et que « cette méthode peut être appliquée à des études de grandes
échelles et à d’autres environnements naturels » (Rech, et al., 2015).
En combinant les activités effectuées lors des opérations classiques de ramassage des déchets
avec des inventaires statistique précis, cette approche permet ainsi la mise en place d’une base
de données sur le littering (Erismann & Erismann, 2015). La méthode de collecte des données et
3. la méthode de gestion des bénévoles lors des opérations de ramassage sont étroitement liées
(Bonney, et al., 2009). Il faut d’une part que les données soient utiles à des fins bien définies, et
d’autre part que le bénévole soit à la hauteur des tâches exigées. La méthode de collecte doit
aussi mettre en valeur le lien science-citoyen (Raddick & Bracey, 2010).
Les relations existantes de hammerdirt
avec les chercheurs et d’autres autorités
compétentes ont permis de développer des
méthodes de collecte de données fiables,
efficaces et simple. L’exploitation des
données par les diverses branches
académiques et d’autres associations est
par ailleurs envisagée.
Sortie en 2014, l’étude de Loyola University
(Chicago, Etats-Unis) utilise les données
récoltées pendant douze ans par les
bénévoles de « The Great Lakes Association ». Les bénévoles participent à des opérations de
ramassages ponctuelles organisées sur les rives de Lake Michigan. Munis d’un formulaire digital
et en suivant les instructions des professionnels, les bénévoles ramassent les déchets sur place et
remplissent les formulaires. Les données récoltées sont ensuite combinées aux données récoltées
précédemment et analysées pour cerner les tendances statistiques (Hoellein et all, 2014).
Conclusion
À l’actuelle il n’existe pas d’outil fiable pour les autorités, le public ou les chercheurs académiques
pour quantifier et étudier l’évolution du littering en Suisse. En collaboration avec les universités,
des associations à but non lucratif issues de la société civile peuvent récolter de manière
scientifique des données en impliquant tous les citoyens dans cette démarche. De telles actions
permettent non seulement de contribuer à une meilleure protection de l’environnement, mais
encore de sensibiliser le public à cette cause et transforment les citoyens en véritables parties
prenantes de la protection des milieux naturels.
Dans ce contexte, l’étude menée sur les rives du lac Léman par hammerdirt a un fort potentiel et
mérite d’être suivie avec attention par les autorités et la communauté scientifiques.
4. Références
Assemblée fédérale. (s.d.). Curia Vista - Objets parlementaires. Récupéré sur Curia Vista - Objets
parlementaires:
http://www.parlament.ch/f/suche/pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20125258
Bonney, R., Cooper, C., Dickinson, J., Kelling, S., Phillips, T., Rosneberg, K., & Shirk, J. (2009).
Citizen Science: A Developing Tool for Expanding Science and Knowledge. BioScience,
977-984. Récupéré sur www.biosciencemag.org
Catlin-Groves, C. (2012). The Citizen Science Landscape: From Volunteers to Citizen.
International Journal of Zoology, 14.
Cheshire, A., & Adler, E. (2009). Guidelines on Survey and Monitoring of Marine Litter. United
Nations Environment Programme/Intregovernmental Oceanographic Commision,
Regional Seas. United Nations Environment Programme. Récupéré sur
http://www.unep.org/regionaLseas/marinelitter/publications/default.asp
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of citizen science as a tool. The Ecological Society of America, 294-297. Récupéré sur
www.frontiersinecology.org
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Great Lakes. Journal of Great Lakes Research, 9-19.
Erismann, S., & Erismann, R. (2015). Sous nos pieds au bord de l'eau. La Tour-de-Peilz: Self.
Récupéré sur http://www.slideshare.net/RogerErismann/rapport-dactivite
European Commision. (2013). IN-DEPTH REPORT: Environmental Citizen Science. Brussels:
Science for Environment Policy.
Faure, F., Demars, C., Kunz, M., & de AlenCastro, L. F. (2015). Plastic pollution in Swiss surface
waters: nature and concetrations, interation with pollutants. Environmental chemistry,
1-10. Récupéré sur http://www.publish.csiro.au/nid/188.htm
Hoellein, T., Rojas, M., Pink, A., Gasior, J., & Kelly, J. (2014). Anthropogenic Litter in Urban
Freshwater Ecosystems: Distribution and Microbial Interactions. Plos One, 1-13.
Récupéré sur
http://www.plosone.org/article/fetchObject.action?uri=info:doi/10.1371/journal.pone.0
098485&representation=PDF
Hoellein, T., Westhoven, M., & Lyandres, O. (2014). Abundance and environmental drivers of
anthropogenic litter on 5 Lake Michigan beaches: A study facilitated by citizen science
data collection. Journal of Great Lakes Research, 1-9. Récupéré sur
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0380133014002767
5. OFEV. (2011). Le Littering à un coût. Bern: Office fédéral de l'environment. Récupéré sur
http://www.bafu.admin.ch/publikationen/publikation/01604/index.html?lang=fr
Raddick, J., & Bracey, G. (2010). Galaxy Zoo: Exploring the Motivations of Citizen Science.
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