The format and the reason of making 8 column worksheet & closing entries is described in the presentation. I delivered this presentation in University Of Sufism and Modern Sciences.
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Lecture 18 revenue cycle - accounting information systesm james a. hall boo...Habib Ullah Qamar
Chapter 4 Accounting information system, the revenue cycle, overview, three key processes, physical system, Sales order processing, sales return processing, cash receipts and controls over revenue cycle
Understanding Audit Assertion - Overview, Types & Importance #learnauditing
Read the full story in our blog
https://lnkd.in/g8mHjEQE
𝐕𝐢𝐬𝐢𝐭 𝐮𝐬
Wisma 𝐊𝐓𝐏, 53 Jalan Molek 1/8, Taman Molek, 81100 Johor Bahru
Wisma 𝐓𝐇𝐊, 41, Jalan Molek 1/8, Taman Molek, 81100 Johor Bahru
𝐊𝐓𝐏 (𝐀𝐮𝐝𝐢𝐭,𝐓𝐚𝐱, 𝐀𝐝𝐯𝐢𝐬𝐨𝐫𝐲)
An approved audit firm and licensed tax firm operating under the KTP group based in Johor Bahru providing audit, tax planning, advisory and compliance services to clients
Website www.ktp.com.my
Instagram https://bit.ly/3jZuZuI
Linkedin https://bit.ly/3sapf4l
Telegram http://bit.ly/3ptmlpn
𝐓𝐇𝐊 (𝐒𝐞𝐜𝐫𝐞𝐭𝐚𝐫𝐢𝐚𝐥, 𝐀𝐜𝐜𝐨𝐮𝐧𝐭/𝐏𝐚𝐲𝐫𝐨𝐥𝐥, 𝐀𝐝𝐯𝐢𝐬𝐨𝐫𝐲)
A licensed secretarial firm in Johor Bahru providing fast reliable incorporation, secretarial services, corporate compliance services, outsource booking, accounting and payroll services to clients
Website www.thks.com.my
Facebook https://bit.ly/3nQ98rs
Documentation techniques and technologiespotter324
This slidecast provides an overview of the various types of documentation techniques: narrative and diagrammatic documentation, and their uses in business process modelling for use by auditors in assessing business risks and risks of material misstatements, and for providing recommendations in business analysis context to management and C-Suite executives. The presentation provides a summary of the different types of diagrammatic modelling methodologies that IT assurance professionals (CISA), CA practitioners, or management can use. The presentation closes with recommendations for practitioners to develop stronger business knowledge and familiarize themselves with the various types of documentation techniques.
Cette étude montre comment trois établissements d’enseignement supérieur à vocation professionnelle (une école de commerce, une école d’ingénieurs, une université), « fabriquent » des cadres, c’est-à-dire préparent un public étudiant sans expérience aux réalités économiques et, plus spécifiquement, au rôle et à la posture de cadre que leurs diplômés pourraient occuper après leurs études ou dans leur parcours professionnel. Le suivi chronologique d’une cohorte d’étudiants et des entretiens avec des responsables mettent en relief les spécificités de chaque établissement étudié. Les dispositifs de professionnalisation (stages, projets, conférences de professionnels, visites d’entreprise, etc.) qui y sont déployés sont mis en exergue, ainsi que la mise en adéquation entre formation et emploi qui reste au cœur de leurs objectifs.
Partenariat de recherche entre l’Apec et l’INSA Rouen Normandie (Francis Guérin), l’université de Rouen Normandie (Jean-Louis Le Goff) et NEOMA Business School (Hédia Zannad)
Synthèse des principaux résultats
Rapport complet disponible sur demande
Lecture 18 revenue cycle - accounting information systesm james a. hall boo...Habib Ullah Qamar
Chapter 4 Accounting information system, the revenue cycle, overview, three key processes, physical system, Sales order processing, sales return processing, cash receipts and controls over revenue cycle
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𝐕𝐢𝐬𝐢𝐭 𝐮𝐬
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Documentation techniques and technologiespotter324
This slidecast provides an overview of the various types of documentation techniques: narrative and diagrammatic documentation, and their uses in business process modelling for use by auditors in assessing business risks and risks of material misstatements, and for providing recommendations in business analysis context to management and C-Suite executives. The presentation provides a summary of the different types of diagrammatic modelling methodologies that IT assurance professionals (CISA), CA practitioners, or management can use. The presentation closes with recommendations for practitioners to develop stronger business knowledge and familiarize themselves with the various types of documentation techniques.
Cette étude montre comment trois établissements d’enseignement supérieur à vocation professionnelle (une école de commerce, une école d’ingénieurs, une université), « fabriquent » des cadres, c’est-à-dire préparent un public étudiant sans expérience aux réalités économiques et, plus spécifiquement, au rôle et à la posture de cadre que leurs diplômés pourraient occuper après leurs études ou dans leur parcours professionnel. Le suivi chronologique d’une cohorte d’étudiants et des entretiens avec des responsables mettent en relief les spécificités de chaque établissement étudié. Les dispositifs de professionnalisation (stages, projets, conférences de professionnels, visites d’entreprise, etc.) qui y sont déployés sont mis en exergue, ainsi que la mise en adéquation entre formation et emploi qui reste au cœur de leurs objectifs.
Partenariat de recherche entre l’Apec et l’INSA Rouen Normandie (Francis Guérin), l’université de Rouen Normandie (Jean-Louis Le Goff) et NEOMA Business School (Hédia Zannad)
Synthèse des principaux résultats
Rapport complet disponible sur demande
Entreprise Collaborative - Ecollab - Une Introduction Au Social LearningPREDA
Pour ce livre blanc, nous avons demandé à nos contributeurs de répondre à la question suivante : Comment décririez-vous le Social Learning et pourquoi est-il important pour l'entreprise aujourd'hui?
AQISEP 2010 - La construction du projet professionnel des collégiens : le rôl...Louis Cournoyer
La transition du secondaire au collégial s’accompagne de nombreuses transformations sur le plan personnel, scolaire et social. C’est également la période de vie où les choix sont passablement déterminants pour l’avenir. Au même moment, les relations sociales des jeunes sont à la fois les plus nombreuses, les plus diversifiées et les plus changeantes. Comment cela affecte t-il le comportement décisionnel ? Quel est notre véritable rôle d’influence en tant que professionnel, alors que tant d’autres personnes (parents, amis, amours) semblent aussi jouer un rôle sur l’évolution de la construction du projet des jeunes ? L’atelier propose d’approfondir les influences interpersonnelles à l’entrée dans l’âge adulte et d’exposer une grille d’analyse de ces dernières en contexte d’intervention en contexte scolaire.
9 personnes, 5 jours (en présence et à distance), 11 articles.
Un livre blanc sur le Social Learning co-écrit au format Booksprint du 8 au 12 janvier 2018, IMT de Nantes
Si des progrès ont pu être réalisés ces dernières années, les universités souffrent encore d’un déficit de pluridisciplinarité, d’internationalisation et de professionnalisation et notre système reste l’un des plus inégalitaires. Dans un contexte français marqué par de multiples fractures et segmentations, des gains d'efficacité importants sont possibles, à moyens budgétaires constants. Il en va du développement économique, social et intellectuel de notre pays.
Dans un débat sur l’utilité sociale de la sociologie, il est des figures imposées comme celles qui opposent le “savant” au “politique”, la sociologie scientifique à la sociologie profane, la sociologie critique à la sociologie mondaine... Ce qui n’empêche d’ailleurs pas la posture critique d’assurer les plus grands succès mondains, voire même d’en être un des ingrédients. Débats sans doute intéressants et utiles mais que je préfère contourner pour réfléchir sur une expérience plus banale et plus directe, celle de la rencontre d’un travail que je considérerai, par convention, comme sociologique, et d’un monde social composé d’acteurs divers, lecteurs, syndicalistes, hommes politiques...
Expérience modeste aussi car aucun de mes livres, individuel ou collectif, n’a été ce qu’on appelle un best-seller (je me limiterai ici aux travaux sur l’éducation). Cependant, chacun de ces travaux a donné lieu à un très grand nombre de conférences et de débats, soit avec des lecteurs, soit avec des personnes intéressées par les problèmes de l’éducation et de la jeunesse : enseignants,
étudiants des IUFM, militants pédagogiques... Ces rencontres provoquent des réactions si régulières et si prévisibles qu’il est possible d’en tirer quelques observations et quelques leçons quant à l’influence de la sociologie de l’éducation sur ce que, faute de mieux, on pourrait appeler l’opinion éclairée. Évidemment, je ferai comme si mes recherches singulières n’étaient
pas en cause dans cette analyse et comme si elles participaient de la sociologie en général.
2010 06-18 ... la construction du projet professionnel
Les 10 difficultés du jeune sociologue en entreprise
1. Les dix difficultés du jeune sociologue en entreprise
Gaëtan Brisepierre1
Cet article vise à contribuer à une réflexion sur la formation des sociologues à
l’Université dans la perceptive d’une professionnalisation de la sociologie. Il a été élaboré
à partir de mon expérience de trois ans de sociologue en entreprise après avoir suivi un cursus
de sociologie à l’Université jusqu’au niveau Master. Il a également été enrichi par la
contribution de deux responsables de formation qui ont formé des étudiants à la pratique des
études pendant 20 ans, ainsi que celle d’un camarade de promotion qui travaille aujourd’hui
dans un Observatoire social d’une commune francilienne2.
Ce témoignage, très subjectif et qui n’engage que moi, permet de souligner les carences des
formations actuelles en sociologie à l’Université pour des étudiants qui ne se destinent
pas à une carrière académique, mais à exercer une activité de sociologue sur le marché des
études et plus largement dans le cadre d’une recherche contractuelle. Une réalité qui est par
ailleurs de plus en plus répandue aujourd’hui y compris dans la recherche publique.
L’ambition de cette liste est moins de faire le procès de l’Université que de fournir des pistes
d’amélioration à la formation des sociologues, en considérant qu’aujourd’hui une partie de
plus en plus importante des étudiants est confrontée aux exigences de la recherche en
organisation (entreprises, institutions publiques, ONG…) dont les contraintes sont très
différentes de celles de la recherche académique.
1. Une absence d’aide à l’insertion professionnelle : à l’Université les étudiants ne
trouvent pas facilement d’interlocuteur pour les aider à chercher un stage ou une
première expérience professionnelle. Ce point est d’autant plus gênant que les
Universités entretiennent rarement un réseau d’anciens élèves. C’est donc le réseau
personnel de l’étudiant qui devient un facteur décisif. Par ailleurs les étudiants de
sociologie n’ont pas de stage obligatoire les poussant à se poser la question du métier
avant le Master. Dans certaines Grandes Ecoles françaises il est courant que les
étudiants bénéficient d’année de césure afin de se confronter au monde du travail, au
Canada les étudiants sociologues travaillent pour leurs professeurs ce qui leur permet
de s’essayer à une recherche dont les contraintes sont autres que scolaires.
2. Un rapport négatif à l’entreprise : ou plutôt une absence de discours sur le monde
du travail. Au bout de cinq années de formation à l’Université je n’avais jamais
entendu parler de sociologie hors du cadre académique et je n’avais jamais eu
l’occasion de voir un praticien parler de son métier. Le corps enseignant a souvent
tendance à tenir un discours négatif à l’égard des entreprises dans le cadre d’une
sociologie critique, mais beaucoup plus rarement à les présenter comme une des
origines de la demande sociale de sociologie. Cette distance critique des enseignants à
l’entreprise renvoie d’ailleurs à la première difficulté, ces derniers ayant une relative
méconnaissance de la diversité des débouchés possibles et ne jouant que rarement le
rôle de relais auprès des entreprises. Il me semble donc urgent d’ouvrir les
enseignements à des intervenants sociologues praticiens dès la Licence.
1
Doctorant en sociologie, http://gbrisepierre.free.fr.
2
J’adresse mes remerciements à Sophie Alami, Dominique Desjeux (professeur d’anthropologie et directeur de
la formation doctorale professionnelle à la Sorbonne, www.argonautes.fr) et Ugo Soudrie pour l’aide précieuse
qu’ils m’ont apporté en acceptant de me livrer leurs réflexions sur ce sujet.
2. 3. Un déficit de compétences de base : cette difficulté n’est pas liée en tant que telle à la
formation des sociologues à l’Université mais plus au recrutement des étudiants.
L’origine sociale et la trajectoire scolaire des étudiants qui s’inscrivent en sociologie
en font des étudiants plus fragiles que ceux qui entrent à Science Po ou à HEC. Issus
pour une part non négligeable d’un baccalauréat technique ou de Lycées situés dans
des zones sensibles, ils arrivent à l’Université avec des insuffisances en expression
écrite, des difficultés à structurer une argumentation, des carences en matière de
synthèse et des pratiques de lecture relativement faibles. Le problème réside dans le
fait que ces handicaps ne sont en aucun cas compensés par la formation à l’Université.
4. Une ignorance du travail en mode projet : alors que le « projet » est aujourd’hui le
mode de collaboration dominant dans les organisations privées et publiques. La
capacité à monter un projet c'est-à-dire savoir le défendre devant des non-spécialistes,
travailler en groupe, programmer son travail de temps, faire un budget… sont des
compétences décisives dans la recherche de financement qui ne font absolument pas
partie de la formation de jeunes sociologues universitaires. Même si l’expérience du
« mémoire » se rapproche de celle d’un projet elle n’est n’y présentée ni perçue
comme telle.
5. Une difficulté à expliciter l’utilité de la sociologie : c'est-à-dire à savoir répondre à
la question « A quoi sert la sociologie ? » sans rentrer dans les débats internes à la
discipline. A l’Université, entre sociologues, l’intérêt de la discipline est une évidence
même s’il est questionné. Mais en organisation il est essentiel de savoir convaincre ses
interlocuteurs, qui n’ont pas toujours une culture en SHS, de l’intérêt d’une telle
approche, et de savoir dire ce qu’elle apporte notamment par rapport à d’autres
disciplines. Ceci est d’autant plus vrai pour les méthodes qualitatives qui se heurtent à
la culture du chiffre prévalant dans les organisations, et aux représentations de la
sociologie (sondage ou recensement, population défavorisée…). La légitimité de la
sociologie n’est pas acquise d’avance, il faut la conquérir, en un mot il faut apprendre
aux étudiants à vendre la sociologie et ses méthodes.
6. Une méconnaissance des grands enjeux contemporains : si l’Université enseigne
bien les théories sociologiques contemporaines on ne parle que très rarement des
enjeux politiques, économiques et sociaux (Développement Durable, montée des pays
émergeants, NTIC…) qui sont pourtant indispensables pour comprendre les marchés
et faire valoir l’approche sociologique. Ce point marque une différence de plus avec
les étudiants de Grandes Ecoles qui travaillent ces enjeux à partir d’articles de presse.
7. Une difficulté à faire le lien entre théorie et données empiriques : en organisation
la sociologie pratiquée est avant tout une sociologie empirique et les étudiants
éprouvent souvent de grandes difficultés à faire le lien avec les théories sociologiques.
Pourtant les opérationnels, contrairement à une idée reçue, sont loin d’être allergiques
à la théorie, elle les intéresse à condition qu’elles éclairent les données et ne
constituent pas une partie à part entière. Hors l’enseignement de sociologie à
l’Université est séparé en deux blocs distincts : la théorie sociologique d’un côté, les
méthodes sociologiques de l’autre. Il me semble important de former davantage les
étudiants à monter en généralité à partir de leur terrain, au risque de voir les étudiants
« plaquer » la théorie ou s’en passer à leur dépens.
8. Un malaise avec la finalité opérationnelle des recherches : si à l’Université les
recherches sont thématiques et doivent contribuer à la discipline, en organisation les
recherches sont orientées vers la résolution de problèmes qui sont des problèmes
d’action. Autrement dit les connaissances produites doivent être utiles pour répondre à
3. la question « Qu’est-ce qu’on fait ? ». La formation universitaire n’apprend pas à
traiter avec cette orientation qui peut s’avérer déroutante pour un apprenti sociologue
praticien. J’ai personnellement ressenti un profond malaise les premières fois que je
me suis trouvé confronté à un de mes « clients » (commanditaires) qui ne s’intéressait
absolument pas à ma méthodologie et aux détails de mes résultats, mais seulement à la
manière dont il pouvait utiliser mes conclusions.
9. Un manque d’expérience dans la valorisation de la recherche : alors qu’en
organisation la valorisation a autant d’importance que la recherche elle-même car les
résultats doivent servir à d’autres. L’Université n’apprend pas directement à valoriser
la recherche même sous une forme académique (article scientifique…). C’est une
pratique qui s’acquiert par l’observation dans les colloques et rarement avant la thèse.
Elle enseigne encore moins à mettre en forme les résultats pour qu’ils soient
compréhensibles et entendus par les non sociologues. Pourtant la capacité à rédiger
une synthèse pertinente ou faire une présentation pédagogique est aujourd’hui la base
de la compétence sur le marché des études.
10. Le manque de compétence orale fait cruellement défaut aux étudiants confrontés à
une culture orale centrale dans les organisations. L’Université évalue quasi-
exclusivement sur l’écrit, en cinq ans de formation j’ai eu tout au plus deux ou trois
oraux et je n’avais jamais ouvert le logiciel Power Point, ce qui renvoi à la question de
la valorisation mais pas seulement. L’Université n’apprend pas non plus à débattre,
d’égal à égal, argument contre argument. L’étudiant, en position d’élève faisant face à
un professeur qui a le monopole du discours, ne s’exerce pas à apporter la
contradiction. Pourtant l’interaction la plus courante en organisation est la réunion où
il est essentiel de savoir argumenter son point de vue. Pourquoi ne pas mettre plus
souvent les élèves en position de débat les uns avec les autres et développer les cours
participatifs ?
Ce réquisitoire bienveillant à l’encontre des formations universitaires en sociologie montre
qu’il est possible de changer pour donner toutes les chances aux étudiants de réussir leur
vie professionnelle et de s’épanouir hors de la recherche académique. Ces changements
n’impliquent pas de sacrifier l’autonomie de la recherche au « Grand Capital » mais
demandent des modifications substantielles dans les pratiques pédagogiques et l’ouverture de
l’Université aux praticiens. Ce qui est en jeu c’est l’existence même de la sociologie comme
formation et finalement l’utilité sociale que lui attribuaient déjà ses Pères fondateurs.