L'Insee vient de publier sa première estimation du 3e trimestre 2016 sur les comptes nationaux trimestriels.
Au troisième trimestre 2016, le produit intérieur brut (PIB) a augmenté de +0,2% après -0,1% au deuxième trimestre.
L'Insee indique que la production totale se redresse notamment la production totale de biens et services avec un bond de +0,4% après -0,2%. La production manufacturière également a connu un bond à +0,5% après -0,1%.
Par contre, les dépenses de consommation des ménages stagnent au troisième trimestre 2016.
L'Insee a publié une étude sur les dépenses de consommation des ménages en biens, pour le mois de septembre 2016.
L'Insee note un léger fléchissement en septembre avec -0,2%.. Sur l'ensemble du 3e trimestre, la consommation des ménages en biens diminue de 0,5%.
Le secteur de l'énergie connait une baisse à -1,7%. Le secteur des biens fabriqués est stable en septembre mais recule sur le trimestre. Quant au secteur de l'alimentaire, il connait un léger mieux.
L'Insee vient de publier sa première estimation du 3e trimestre 2016 sur les comptes nationaux trimestriels.
Au troisième trimestre 2016, le produit intérieur brut (PIB) a augmenté de +0,2% après -0,1% au deuxième trimestre.
L'Insee indique que la production totale se redresse notamment la production totale de biens et services avec un bond de +0,4% après -0,2%. La production manufacturière également a connu un bond à +0,5% après -0,1%.
Par contre, les dépenses de consommation des ménages stagnent au troisième trimestre 2016.
L'Insee a publié une étude sur les dépenses de consommation des ménages en biens, pour le mois de septembre 2016.
L'Insee note un léger fléchissement en septembre avec -0,2%.. Sur l'ensemble du 3e trimestre, la consommation des ménages en biens diminue de 0,5%.
Le secteur de l'énergie connait une baisse à -1,7%. Le secteur des biens fabriqués est stable en septembre mais recule sur le trimestre. Quant au secteur de l'alimentaire, il connait un léger mieux.
L'Insee a publié, le 31 janvier 2017, les comptes nationaux trimestriels.
Selon l'Insee, au quatrième trimestre 2016, le produit intérieur brut (PIB) en volume accélère : +0,4 %, après +0,2 % au troisième trimestre.
En moyenne sur l’année, l’activité continue de progresser quasiment sur le même rythme : +1,1 % en 2016 après +1,2 % en 2015.
Hors correction des jours ouvrés, la croissance du PIB s'établit à +1,2 % en 2016, après +1,3 % en 2015.
L'Insee révèle que la production totale de biens et services accélère légèrement au quatrième trimestre (+0,6 % après +0,5 %), grâce à un net rebond dans l’énergie (+2,5 % après −2,3 %). Elle augmente au même rythme qu’au troisième trimestre dans l’industrie manufacturière (+0,7 %) et dans les services marchands (+0,6 %). En revanche, elle ralentit dans la construction (+0,3 % après +0,9 %).
Evolutions du marche du travail et de emploi en région Provence Alpes Côte d'...France Travail
Avec les impacts économiques provoqués par une crise sanitaire inédite, cette note permet de suivre l’évolution de nombreux indicateurs économiques en région : le comportement des entreprises, l’évolution de l’emploi salariés, le suivi des offres d’emploi et des embauches, un état des lieux des données du marché du travail (taux de chômage, évolution de la demande d’emploi inscrite à Pôle emploi).
En 60 ans, la consommation de soins et biens médicaux a été multipliée par 3,...Société Tripalio
En effet, une étude de la DRESS parue le 26 juillet 2017 nous révèle qu’en soixante ans la part de consommation de soins et biens médicaux (CSBM) dans la richesse nationale a été multipliée par 3, 5.
L'Insee a publié, le 28 février 2017, les principaux indicateurs des comptes nationaux trimestriels.
Selon l'Insee, au 4e trimestre 2016, le PIB en volume accélère de 0,4% après 0,2% au 3e trimestre.
En moyenne sur l’année, l’activité progresse de 1,1 %, soit quasiment autant qu’en 2015 (+1,2 %). Hors correction des jours ouvrés, la croissance du PIB s'établit à +1,2 % en 2016, après +1,3 % en 2015.
Evaluation de l'impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures d...Jean-michel Neugate
Les mesures de réaction à l'épidémie de COVID-19 sur le territoire français vont avoir un impact économique considérable du fait des mesures sanitaires absolument
nécessaires. L'OFCE estime que l'impact du confinement pourrait être d'un peu plus de 30 points de PIB mensuel par mois de confinement, soit une perte de 2,6 points de
PIB annuel, soit 60 milliards d'euros par mois de confinement.
L'Insee a publié le 21 février 2017 des données sur l'indice des prix à la consommation.
Selon l'Insee, en janvier 2017, l'indice des prix à la consommation baisse de à,2% sur un mois, après une hausse de 0,3% en décembre
Sur un an, les prix à la consommation accélèrent nettement (+1,3 % après +0,6 %). L’inflation atteint ainsi son plus haut niveau depuis novembre 2012.
L'Insee a publié, le 31 janvier 2017, les comptes nationaux trimestriels.
Selon l'Insee, au quatrième trimestre 2016, le produit intérieur brut (PIB) en volume accélère : +0,4 %, après +0,2 % au troisième trimestre.
En moyenne sur l’année, l’activité continue de progresser quasiment sur le même rythme : +1,1 % en 2016 après +1,2 % en 2015.
Hors correction des jours ouvrés, la croissance du PIB s'établit à +1,2 % en 2016, après +1,3 % en 2015.
L'Insee révèle que la production totale de biens et services accélère légèrement au quatrième trimestre (+0,6 % après +0,5 %), grâce à un net rebond dans l’énergie (+2,5 % après −2,3 %). Elle augmente au même rythme qu’au troisième trimestre dans l’industrie manufacturière (+0,7 %) et dans les services marchands (+0,6 %). En revanche, elle ralentit dans la construction (+0,3 % après +0,9 %).
Evolutions du marche du travail et de emploi en région Provence Alpes Côte d'...France Travail
Avec les impacts économiques provoqués par une crise sanitaire inédite, cette note permet de suivre l’évolution de nombreux indicateurs économiques en région : le comportement des entreprises, l’évolution de l’emploi salariés, le suivi des offres d’emploi et des embauches, un état des lieux des données du marché du travail (taux de chômage, évolution de la demande d’emploi inscrite à Pôle emploi).
En 60 ans, la consommation de soins et biens médicaux a été multipliée par 3,...Société Tripalio
En effet, une étude de la DRESS parue le 26 juillet 2017 nous révèle qu’en soixante ans la part de consommation de soins et biens médicaux (CSBM) dans la richesse nationale a été multipliée par 3, 5.
L'Insee a publié, le 28 février 2017, les principaux indicateurs des comptes nationaux trimestriels.
Selon l'Insee, au 4e trimestre 2016, le PIB en volume accélère de 0,4% après 0,2% au 3e trimestre.
En moyenne sur l’année, l’activité progresse de 1,1 %, soit quasiment autant qu’en 2015 (+1,2 %). Hors correction des jours ouvrés, la croissance du PIB s'établit à +1,2 % en 2016, après +1,3 % en 2015.
Evaluation de l'impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures d...Jean-michel Neugate
Les mesures de réaction à l'épidémie de COVID-19 sur le territoire français vont avoir un impact économique considérable du fait des mesures sanitaires absolument
nécessaires. L'OFCE estime que l'impact du confinement pourrait être d'un peu plus de 30 points de PIB mensuel par mois de confinement, soit une perte de 2,6 points de
PIB annuel, soit 60 milliards d'euros par mois de confinement.
L'Insee a publié le 21 février 2017 des données sur l'indice des prix à la consommation.
Selon l'Insee, en janvier 2017, l'indice des prix à la consommation baisse de à,2% sur un mois, après une hausse de 0,3% en décembre
Sur un an, les prix à la consommation accélèrent nettement (+1,3 % après +0,6 %). L’inflation atteint ainsi son plus haut niveau depuis novembre 2012.
Es les evolutions_du_marche_du_travail_et_de_lemploi_en_region_pacaFrance Travail
Le confinement, qui a duré du mardi 17 mars au lundi 11 mai 2020, a entraîné l’arrêt de nombreuses activités économiques. Elles ont repris progressivement par la suite avec de nombreuses contraintes sanitaires. Les conséquences sur les marchés du travail et de l’emploi ont été rapidement visibles.
Cette note n’a pas de vocation conjoncturelle, elle a pour objet de décrire les impacts rapidement visibles sur les marchés du travail et de l'emploi à la suite des trois confinements et jusqu'au 4e trimestre 2021.
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 2e trimestre 2020France Travail
Au cours du 2e trimestre 2020, 20 900 employeurs (-62,5% en un an) ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage. Tous les indicateurs sont en forte baisse : de -48,0% pour le nombre de salariés à -74,6% sur le nombre de contrats de travail.
Le confinement, qui a duré du mardi 17 mars au lundi 11 mai 2020, a entraîné l’arrêt de nombreuses activités économiques. Elles ont repris progressivement par la suite avec de nombreuses contraintes sanitaires. Les conséquences sur les marchés du travail et de l’emploi ont été rapidement visibles.
Si l’inflation reste à un niveau élevé, l’économie régionale maintient sa croissance au 1er trimestre 2023 : les carnets de commandes des entreprises sont satisfaisants dans l’ensemble et les difficultés d’approvisionnement s’assou-plissent progressivement. La question des tensions de recrutement reste néanmoins prégnante dans différents secteurs, en particulier dans la Construction.
Observation partenariale-de-la-conjoncture-regionale-2 t-2020France Travail
En région, la détérioration de l’emploi et du marché du travail initiée au 1er trimestre, se poursuit au 2e trimestre pour
la plupart des indicateurs : recul de l’emploi salarié, forte baisse des déclarations préalables à l’embauche (DPAE), forte
augmentation de la demande d’emploi et de l’Indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC)… seul l’intérim repart à
la hausse notamment dans l’industrie et la construction. Pour autant, l’activité économique régionale et nationale montre
des signes de rebond malgré un contexte national et international contraint et rempli d’incertitudes.
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 2e trimestre 2021France Travail
Au cours du 2e trimestre 2021, 34 300 employeurs ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage.
Les indicateurs d’activité sont en baisse par rapport au 2e trimestre 2019 : de -7,6% pour le nombre de salariés à -38,3% pour le nombre d’employeurs. Cette diminution d’activité concerne tous les secteurs d’activité, à l’exception de la « production audiovisuelle, cinéma et animation » pour lequel la masse salariale est en hausse de 21,6% et le nombre d’heures en hausse de 17,0% comparé au 2e trimestre 2019.
Tous les indicateurs sont cependant en hausse comparativement au 2e trimestre de 2020, qui était marqué par le confinement et les restrictions administratives.
Le 15 Mars 2017, l'INSEE publiait dans une information rapide relatif aux indices des prix à la consommation, l'augmentation des prix à la consommation. .
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 1er trimestre 2020France Travail
Au cours du 1er trimestre 2020, 43 300 employeurs (-7,6% en un an) ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage. Le nombre de salariés est en baisse modérée de 2,1% sur un an alors que les autres indicateurs d’activité sont en forte baisse sur un an : de -10,4% pour le volume d’heures travaillées à -13,6% pour la masse salariale.
Convention collective de travail des salariés du secteur des assurances (2021...Luxemburger Wort
Document intégral de la convention collective de travail (CCT) des salariés des entreprises d'assurance au Luxembourg pour les années 2021, 2022 et 2023.
Paramètres sociaux valables au 1er septembre 2023Luxemburger Wort
Les valeurs des paramètres sociaux mis à jour le 1er septembre 2023 suite au déclenchement d'une nouvelle tranche indiciaire, communiqués par le ministère de la Sécurité sociale.
1. N° 40
20/12/19
Première estimation du PIB en volume pour
le 3ème
trimestre 2019: +3.0% sur un an
Au troisième trimestre 2019, l’évolution du PIB en volume a été de +3.0% par rapport au troisième trimestre de
2018 et de +0.2% par rapport au trimestre précédent. Les évolutions annuelles du PIB en volume pour 2019 sont
révisées comme suit: +3.2% au lieu de +3.7% pour le deuxième trimestre et +0.3% au lieu de +1.0% pour le
premier trimestre.
Le STATEC publie la première estimation du Produit Intérieur Brut (PIB) pour le troisième trimestre 2019, ainsi
que des chiffres révisés pour les trimestres précédents. Les séries trimestrielles du PIB et des principaux
agrégats sont corrigées des variations saisonnières1
.
TABLEAU 1: ÉVOLUTION DU PIB EN VOLUME
(données chaînées et corrigées des variations saisonnières)
2018 2019 2018 2019
4e trim 1er trim 2e trim 3e trim 4e trim 1er trim 2e trim 3e trim
0.0 0.7 2.1 0.2 1.2 0.3 3.2 3.0
Pourcentage de variation par rapport au trimestre précédent Pourcentage de variation par rapport au même trimestre de l'année précédente
-4
-2
0
2
4
6
8
10
1 2 3 4 1 2 3 4 1 2 3 4 1 2 3 4 1 2 3 4
2015 2016 2017 2018 2019
-4
-2
0
2
4
6
8
10
1 2 3 4 1 2 3 4 1 2 3 4 1 2 3 4 1 2 3 4
2015 2016 2017 2018 2019
2. Le PIB selon l’approche «production»
La valeur ajoutée des activités financières et d’assurance augmente de 1.2% par rapport au trimestre précédent.
L’évolution des autres branches, par ordre d’importance dans le PIB, se présente comme suit: «Commerce;
transports; hébergement et restauration» -1.7%, «Services aux entreprises et location» +0.9%, «Activités
immobilières» +0.6%, «Industrie, y compris énergie et distribution d'eau» -0.7%, «Construction» +0.3%, et
«Administration publique, éducation et santé» +1.2% (voir tableau 2).
TABLEAU 2: PIB ET VALEUR AJOUTÉE PAR BRANCHE DE PRODUCTION
(données corrigées des variations saisonnières en volume – aux arrondis près)
Pourcentage de variation par rapport au
trimestre précédent
Pourcentage de variation par rapport au même
trimestre de l’année précédente
2018 2019 2018 2019
4e trim 1er trim 2e trim 3e trim 4e trim 1er trim 2e trim 3e trim
PIB 0.0 0.7 2.1 0.2 1.2 0.3 3.2 3.0
Agriculture, sylviculture et pêche -3.8 5.6 2.2 -0.4 -3.9 1.4 5.4 3.4
Industrie, y compris énergie et
distribution d'eau
0.0 0.8 1.3 -0.7 -0.7 3.5 4.5 1.4
Construction 2.4 0.0 0.6 0.3 15.3 2.5 2.4 3.4
Commerce; transports; hébergement et
restauration
0.9 0.5 2.1 -1.7 -3.1 1.1 4.4 1.8
Information et communication 6.3 0.0 5.8 1.4 21.1 7.4 14.8 14.0
Activités financières et
d'assurance
-8.4 3.9 2.3 1.2 -8.7 -6.3 -2.1 -1.5
Activités immobilières 1.3 0.5 0.3 0.6 2.6 4.7 2.8 2.8
Services aux entreprises et
location
1.1 0.3 3.3 0.9 1.1 -0.9 3.3 5.7
Administration publique, éducation et
santé
1.8 0.5 1.6 1.2 5.5 3.8 5.0 5.1
Autres activités de services 1.0 5.9 -1.5 1.2 0.0 1.9 4.8 6.6
Valeur ajoutée totale -0.3 0.6 2.3 0.4 0.6 0.2 3.1 3.0
Source: STATEC
Le PIB selon l’approche «dépenses»
Par rapport au deuxième trimestre 2019, la dépense de consommation finale des ménages et des institutions
sans but lucratif au service des ménages a augmenté de 0.1%, celle des administrations publiques de 1.9%. La
formation brute de capital fixe est stable à 0.0%. Les exportations ont progressé de 1.1% et les importations de
1.1% (voir tableau 3).
TABLEAU 3: PIB ET COMPOSANTES DE LA DEMANDE
(données corrigées des variations saisonnières en volume – aux arrondis près)
Pourcentage de variation par rapport au
trimestre précédent
Pourcentage de variation par rapport au même
trimestre de l'année précédente
2018 2019 2018 2019
4e trim 1er trim 2e trim 3e trim 4e trim 1er trim 2e trim 3e trim
PIB 0.0 0.7 2.1 0.2 1.2 0.3 3.2 3.0
Dépense de consommation finale des
ménages et des institutions sans but
lucratif au service des ménages
1.0 0.3 0.8 0.1 4.2 2.6 3.9 2.3
Dépense de consommation finale des
administrations publiques
1.5 1.2 0.7 1.9 4.0 4.5 4.7 5.5
Formation brute de capital fixe 9.0 -0.5 0.5 0.0 -0.6 -1.3 -0.4 9.0
Exportations 0.8 -0.5 1.6 1.1 -1.2 -1.6 1.0 3.1
Importations 1.9 -0.1 0.6 1.1 -1.0 -1.8 0.4 3.5
Source: STATEC
3. Les résultats détaillés peuvent être consultés sur le Portail des statistiques www.statistiques.lu sous la rubrique «Économie et finances» - «Comptes
nationaux». Pour une comparaison avec les autres pays de l’Union Européenne, veuillez consulter la base de données «Eurobase» d’Eurostat
(http://ec.europa.eu/eurostat/data/database).
Bureau de presse
Christian Welter | Tél 247-84281 | Gsm 621 206 683 | Fax 26 20 19 02 | press@statec.etat.lu
Pour en savoir plus
Mehran Kafaï I Comptes nationaux I Tél 247-84372 I mehran.kafai@statec.etat.lu ou
Bastien Larue I Conjoncture I Tél 247-84339 I bastien.larue@statec.etat.lu
La reproduction totale ou partielle du présent bulletin d’information est autorisée à condition d’en citer la source.
Définitions
PIB - approche production : d'après l'approche de production, le Produit intérieur brut (aux prix du
marché) est égal à la somme des valeurs ajoutées brutes (aux prix de base) des différents secteurs
institutionnels ou des différentes branches d’activité, augmentée des impôts moins les
subventions sur les produits (lesquels ne sont pas affectés aux secteurs et aux branches
d’activité).
PIB - approche dépense : d'après l'approche de dépense, le Produit intérieur brut (aux prix du
marché) est égal à la somme des emplois finaux de biens et de services par les unités
institutionnelles résidentes (consommation finale effective, formation brute de capital), plus les
exportations, moins les importations de biens et services.
1
Désaisonnalisation (ajustement saisonnier) : traitement statistique qui élimine l’influence des
variations saisonnières dans l’observation des phénomènes économiques. Des facteurs
climatiques et institutionnels qui surviennent régulièrement à la même époque d’une année ont
une influence sur l’activité économique et sociale, et font varier les habitudes de consommation
et/ou de production. La désaisonnalisation d’une série économique consiste à utiliser des
techniques mathématiques afin d’éliminer l’effet de ces disparités périodiques afin de pouvoir
mieux analyser le cycle économique sous-jacent. Ainsi, les séries des comptes trimestriels sont
systématiquement corrigées des effets saisonniers.
Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter la rubrique: Méthodologie – Sources
et méthodes – Économie et finances – Comptes nationaux sur le Portail des statistiques
Taux de croissance annuel (en glissement annuel): ce taux mesure en pourcents, la variation
d'une grandeur (par exemple, le Produit Intérieur Brut) entre deux années consécutives, en
comparant sa valeur d’un trimestre T d’une année par rapport au même trimestre de l’année
précédente (T-4).