Burkina Faso - “Saly, Grande Soeur”, un folleto editado por la Delegación de Tierra de hombres, basado en el tema de las pequeñas empleadas domésticas.
Brisons le silence : catalogue de l'installation du Musée éphémèreCybersolidaires
Le Musée éphémère est composé d’objets et de décors qui représentent l’enfer vécu par des survivantes de violences sexuelles commises par leur propriétaire, concierge, voisin ou co-chambreur. Une réalisation du Comité Femmes et logement. Plus d'infos sur https://www.ceaf-montreal.qc.ca/public/femmes-et-logement.html
Burkina Faso - “Saly, Grande Soeur”, un folleto editado por la Delegación de Tierra de hombres, basado en el tema de las pequeñas empleadas domésticas.
Brisons le silence : catalogue de l'installation du Musée éphémèreCybersolidaires
Le Musée éphémère est composé d’objets et de décors qui représentent l’enfer vécu par des survivantes de violences sexuelles commises par leur propriétaire, concierge, voisin ou co-chambreur. Une réalisation du Comité Femmes et logement. Plus d'infos sur https://www.ceaf-montreal.qc.ca/public/femmes-et-logement.html
Cuento ilustrado que narra la historia real de Ibrahim Bah y cómo salvó a su hija de la mutilación genital femenina. Para utilizar como herramienta de sensibilización para la prevención y erradicación de esta práctica. EN FRANCÉS
A Val-de-la-Haye, dans le département de Seine-Maritime, le médecin de la commune de 700 habitants a cessé son activité en 1991. Quelques années plus tard, il disparaissait sans avoir trouvé de jeune médecin pour reprendre son cabinet. Aujourd’hui, les Vaudésiens ont une épicerie, un coiffeur, un bar-tabac et même une école… mais toujours pas de médecin. Comme 14 millions de Français, ils vivent dans une zone où l’acc ès à un médecin généraliste est difficile. Le journaliste Mathieu Molard s’est rendu pour « H » en reportage à Val-de-la-Haye, pour raconter la vraie vie des habitants des « déserts médicaux » dont on nous parle tant.
Val-de-la-Haye (76) – Coincée entre la Seine et les collines Normandes, Val-de-la-Haye, petite commune d’à peine plus de 700 âmes. Face au fleuve les petites maisons de brique normande côtoient des pavillons de fabrication plus récente. Un petit air de France éternelle, celle des affiches de campagne de Mitterrand, si ce n’est le ciel d’un gris bien trop Normand au goût d’un Séguéla. Au fil de l’eau on aperçoit les péniches venues nourrir en matières premières les usines voisines. Le long de la départementale 51 venue de Rouen, quelques commerces : un bar-tabac-restaurant, une épicerie, un coiffeur… Tout ce qu’il faut pour le quotidien en somme, excepté un médecin.
« Jusqu’en 1991, le village avait son toubib », explique Jean-Paul David, premier adjoint au maire. « Ça changeait la vie. Chacun avait son numéro et pouvait l’appeler nuit et jour. Il ne comptait pas ses heures. Et même avant que tout le monde soit raccordé au téléphone, il suffisait de mettre un linge blanc à son portail pour signaler qu’il y avait un malade dans la maison et le doc s’arrêtait », raconte-t-il un brin nostalgique. « Mais quand il a pris sa retraite, il n’a pas trouvé de repreneur pour son cabinet. »
Cuento ilustrado que narra la historia real de Ibrahim Bah y cómo salvó a su hija de la mutilación genital femenina. Para utilizar como herramienta de sensibilización para la prevención y erradicación de esta práctica. EN FRANCÉS
A Val-de-la-Haye, dans le département de Seine-Maritime, le médecin de la commune de 700 habitants a cessé son activité en 1991. Quelques années plus tard, il disparaissait sans avoir trouvé de jeune médecin pour reprendre son cabinet. Aujourd’hui, les Vaudésiens ont une épicerie, un coiffeur, un bar-tabac et même une école… mais toujours pas de médecin. Comme 14 millions de Français, ils vivent dans une zone où l’acc ès à un médecin généraliste est difficile. Le journaliste Mathieu Molard s’est rendu pour « H » en reportage à Val-de-la-Haye, pour raconter la vraie vie des habitants des « déserts médicaux » dont on nous parle tant.
Val-de-la-Haye (76) – Coincée entre la Seine et les collines Normandes, Val-de-la-Haye, petite commune d’à peine plus de 700 âmes. Face au fleuve les petites maisons de brique normande côtoient des pavillons de fabrication plus récente. Un petit air de France éternelle, celle des affiches de campagne de Mitterrand, si ce n’est le ciel d’un gris bien trop Normand au goût d’un Séguéla. Au fil de l’eau on aperçoit les péniches venues nourrir en matières premières les usines voisines. Le long de la départementale 51 venue de Rouen, quelques commerces : un bar-tabac-restaurant, une épicerie, un coiffeur… Tout ce qu’il faut pour le quotidien en somme, excepté un médecin.
« Jusqu’en 1991, le village avait son toubib », explique Jean-Paul David, premier adjoint au maire. « Ça changeait la vie. Chacun avait son numéro et pouvait l’appeler nuit et jour. Il ne comptait pas ses heures. Et même avant que tout le monde soit raccordé au téléphone, il suffisait de mettre un linge blanc à son portail pour signaler qu’il y avait un malade dans la maison et le doc s’arrêtait », raconte-t-il un brin nostalgique. « Mais quand il a pris sa retraite, il n’a pas trouvé de repreneur pour son cabinet. »
Présentant de l'Association les Blouses Roses
Depuis 79 ans, nos 4200 bénévoles embellissent la vie des enfants et adultes hospitalisés et des personnes âgées. Reconnue d’Utilité Publique, l’Association est apolitique et aconfessionnelle
https://www.lesblousesroses.asso.fr/fr/devenir-benevoleµ
La Mutuelle nationale des hospitaliers et des professionnels de la santé et du social vous présente ce support "Accès aux soins et précarité", un kit contre l'exclusion, réalisé par l'IFSI du centre psychothérapique de Nancy-Laxou, sur la région du grand Nancy, primé du 2ème prix lors du concours MNH pour les IFSI en 2007.
Chapitre 5 de la " Lettre à tous les résignés et indignés qui veulent des sol...segoleneroyal
Chapitre 5 de la " Lettre à tous les résignés et indignés qui veulent des solutions " :
A vous les jeunes, ne vous plaignez pas, agissez, je vous aiderais à réussir.
1. Bruxelles
Nouvelle A.S.B.L «Chezailes »
Uniquement réservée aux femmes
Être capable d’assumer un loyer est un luxe que certaines femmes ne peuvent s’offrir. « Chezailes »
est la première A.S.B.L -dans la capitale- dédiée au sans-abrisme au féminin. Dans cet endroit,
hygiène, dignité et parole sont assurés, et avec le sourire svp!
A
ujourd’hui, environ 17000 personnes n’ont pas d’endroit où vivre dans la capitale, 1/3 de
celles-ci sont des femmes. L’hiver approche, et en plus de l’insécurité, le froid menace les
personnes qui se trouvent à la rue. « Chezailes » tient son siège au dernier étage d’une
bâtisse qui se situe à la Place Annessens, au centre de Bruxelles. Cette ASBL est la seule à
aider exclusivement les femmes en leur offrant un endroit où boire un café, se doucher ou encore
trouver quelques vêtements à enfiler. Toutes les associations de ce genre sont mixtes, et
malheureusement, les femmes se sentent souvent menacées, il n’existe pas de réelle sécurité, elles
préfèreraient se retrouver entre elles, même si la solidarité n’est pas au rendez-vous. Les critères de ces
centres d’urgence sont souvent trop stricts : pas d’alcooliques, ni de droguées.
L’ambiance est agréable, et réchauffe doucement le cœur et les mains, l’endroit -ouvert depuis à peu
près 3 mois- s’équipe de plus en plus afin de subvenir au besoin des plus démunies. Il y a une salle de
bain où celles-ci peuvent se laver, une cuisine afin de pouvoir se nourrir, sans parler d’une petite pièce
munie d’un lit si quelqu’un désire se reposer. Il y a une seule règle : ce n’est pas un centre de nuit. Les
femmes peuvent revenir tous les matins, mais ne sont pas autorisées à dormir sur place. Elles peuvent
également bénéficier d’une consigne où mettre leurs affaires personnelles en sécurité, et ce pour la
modique somme de 50 cents par semaine. « J’ai perdu le ticket de ma consigne à la Gare du Nord, on
ne me l’a pas ouvert, à la rue, on perd toute crédibilité. » déplore Jenny, victime à long terme du sans-
abrisme.
Des subsides de l’Etat ? Non !
Recevez-vous une aide financière de l’Etat, ou un quelconque soutien de sa part ? A cette question,
2. Rim Id Miloud, unique employée de Chezailes, répond « Non mais c’est un choix volontaire, nous
voulons être indépendants et ne pas devoir se soumettre à tous les critères ». Ne pas se soumettre à
tous les critères ? C’est un euphémisme ! Lorsque que Mlle Id Miloud s’est lancée dans ce projet, ils
squattaient illégalement un endroit pendant près d’un an, avant d’être expulsés, et d’ouvrir -grâce au
soutien financier d’un particulier- un lieu conforme à la loi. La situation s’est régulée petit à petit.
Seule employée de cet A.S.B.L, la patronne travaillait auparavant pour l’A.S.B.L « Chez nous ». C’est
en faisant une enquête dans les rues que l’idée d’ouvrir ce centre pour femmes s’est développée.
Aujourd’hui, c’est un réel projet de vie qu’il faut construire avec ces femmes. Il faut leur redonner
confiance car elles ne peuvent s’empêcher d’être méfiantes au vu de leur passé. Il n’en est pas de
même pour leurs enfants, qui eux parviennent encore à avoir des rêves plein la tête ! « Je voudrais
travailler avec les chevaux plus tard, je faisais des compétitions quand j’étais petite.. » s’extasie
Laetitia, 17 ans et fille de Jenny.
Un accueil à bas seuil, voilà ce qui est prôné. Il n’y a pas de restrictions, les femmes de tous genres
confondus sont admises. Les personnes qui vivent en situation précaires peuvent s’y rendre et faire
des lessives par exemple, ce qui semble, par ailleurs, attirer bon nombre d’habitantes du quartier.
De l’aide d’ici et d’ailleurs
Si bénéficier d’une aide financière de l’Etat n’est pas l’objectif de la maison, celle d’une aide plus
humaine l’est. Pour mettre une telle organisation en œuvre, sachant qu’elle n’a pas de but lucratif, il
faut un petit coup de main. Voilà pourquoi nous retrouvons en les personnes qui y travaillent
quelques infirmiers de rue, des bénévolats, des gens au cœur sur la main. Ce n’est pas tout, il est
possible pour chacun d’aider, nous pouvons également donner les vêtements que nous ne voulons
plus à cette A.S.B.L qui les mettra, pour presque rien, à la disposition des personnes en difficulté.
Pour terminer, une telle infrastructure intervient également dans la réinsertion. Mais ce n’est pas dans
le fait de trouver un logement ou un travail qu’elle réside, mais plutôt dans la construction d’un projet
de vie. Les personnes y travaillant cherchent avant tout à donner de l’espoir, à rendre un semblant de
dignité et de place dans la société actuelle. Et cela, à n’importe quelles femmes, étant donné l’absence
de critère, Mlle Id Miloud et son équipe vont même les chercher dehors. « Rim est venue vers moi à la
Gare du Nord, je l’ai suivie. Il n’y a pas beaucoup d’endroits comme celui-ci. » déclare Jenny.
Il y a des bons côtés, mais n’oublions pas les mauvais. Les femmes sans abris ne sont pas solidaires
comme nous pourrions le croire. Il y a des tensions entre certaines, et cela les pousse quelque fois à ne
pas venir, ou à arrêter de fréquenter l’endroit.
ChezAiles est peut-être le commencement d’une nouvelle sorte d’aide aux personnes. Pour se faire
3. connaître, elle compte beaucoup sur le bouche-à-oreilles. Alors dès à présent, vous pouvez en parler
autour de vous si l’idée vous tente !
« Chouette initiative, mais je ne voudrais pas me retrouver juste avec des femmes. » S.