This document discusses approaches for managing risks from Legionella in potable water systems and cooling towers. It notes that biofilm formation and stagnant or slow moving water increase risks. Multiple barriers like disinfectants, filtration and maintenance plans are recommended, but zero risk does not exist and risks differ between potable water and cooling towers. Lessons from a 2012 Quebec outbreak highlight the need for thorough cleaning before disinfection and validating biocide dosing. The Quebec law requires documentation and maintenance plans to be signed by professionals. Increased water consumption or switching to air cooling can occur when risks are difficult to control. District cooling systems avoid Legionella risk and reduce energy use.
The document discusses various waterborne bacteria that can cause infections, including Pseudomonas aeruginosa, Stenotrophomonas maltophilia, Acinetobacter baumannii, and Chryseobacterium species. It notes that water is a common reservoir and source of these pathogens, and that they can proliferate in biofilms within water systems. The document then provides information about copper silver ionization systems for disinfecting water and preventing the growth and spread of bacteria like Legionella.
This document summarizes a study of CEO succession events among the largest 100 U.S. corporations between 2005-2015. The study analyzed executives who were passed over for the CEO role ("succession losers") and their subsequent careers. It found that 74% of passed over executives left their companies, with 30% eventually becoming CEOs elsewhere. However, companies led by succession losers saw average stock price declines of 13% over 3 years, compared to gains for companies whose CEO selections remained unchanged. The findings suggest that boards generally identify the most qualified CEO candidates, though differences between internal and external hires complicate comparisons.
Desinfection en hemodialyse generateurs traitement d'eau afib 2007Alain Birbes
12èmes journées d’ingénierie biomédicale à Toulouse - 12 – 14 septembre 2007
Présentation des méthodes de désinfection des dispositifs médicaux utilisés en hémodialyse, générateurs et traitements d'eau.
Conférence et cours à Ecole Ingénieurs ENSCR : caractérisation et séparation ...Yvon Gervaise
Cours de 5è année à l'ENSCR (Ecole Nationale Supérieure de Chimie Rennes)
1) Introduction
2) Contexte d'application des méthodes chimie et biomasse
3) Techniques et processus d'analyses
4) Champ d'application, nouveaux enjeux
Cours et conférence d'Yvon Gervaise du 12/02/2015.
This document discusses approaches for managing risks from Legionella in potable water systems and cooling towers. It notes that biofilm formation and stagnant or slow moving water increase risks. Multiple barriers like disinfectants, filtration and maintenance plans are recommended, but zero risk does not exist and risks differ between potable water and cooling towers. Lessons from a 2012 Quebec outbreak highlight the need for thorough cleaning before disinfection and validating biocide dosing. The Quebec law requires documentation and maintenance plans to be signed by professionals. Increased water consumption or switching to air cooling can occur when risks are difficult to control. District cooling systems avoid Legionella risk and reduce energy use.
The document discusses various waterborne bacteria that can cause infections, including Pseudomonas aeruginosa, Stenotrophomonas maltophilia, Acinetobacter baumannii, and Chryseobacterium species. It notes that water is a common reservoir and source of these pathogens, and that they can proliferate in biofilms within water systems. The document then provides information about copper silver ionization systems for disinfecting water and preventing the growth and spread of bacteria like Legionella.
This document summarizes a study of CEO succession events among the largest 100 U.S. corporations between 2005-2015. The study analyzed executives who were passed over for the CEO role ("succession losers") and their subsequent careers. It found that 74% of passed over executives left their companies, with 30% eventually becoming CEOs elsewhere. However, companies led by succession losers saw average stock price declines of 13% over 3 years, compared to gains for companies whose CEO selections remained unchanged. The findings suggest that boards generally identify the most qualified CEO candidates, though differences between internal and external hires complicate comparisons.
Desinfection en hemodialyse generateurs traitement d'eau afib 2007Alain Birbes
12èmes journées d’ingénierie biomédicale à Toulouse - 12 – 14 septembre 2007
Présentation des méthodes de désinfection des dispositifs médicaux utilisés en hémodialyse, générateurs et traitements d'eau.
Conférence et cours à Ecole Ingénieurs ENSCR : caractérisation et séparation ...Yvon Gervaise
Cours de 5è année à l'ENSCR (Ecole Nationale Supérieure de Chimie Rennes)
1) Introduction
2) Contexte d'application des méthodes chimie et biomasse
3) Techniques et processus d'analyses
4) Champ d'application, nouveaux enjeux
Cours et conférence d'Yvon Gervaise du 12/02/2015.
Conférence d'Yvon Gervaise à l'Université de Rouen le 28 janvier 2014Yvon Gervaise
Conférence d'Yvon Gervaise, Directeur de SGS Multilab Rouen à l'Université de Rouen pour le Master 2 professionnel "chimie et physico-chimie du médicament".
Thème : "Chimie - environnement : aspects réglementaires, industriels et sociétaux à l'ère numérique pour une veille scientifique, technologique et normative."
La réduction de l’empreinte hydrique des entreprises | LIEGE CREATIVE, 08.03....LIEGE CREATIVE
Après l’empreinte carbone, l’empreinte eau (water footprint) devient petit à petit un indicateur du caractère durable d’un produit.
La plupart des gens se méprennent sur cette notion d’empreinte eau : sur la façon dont elle est calculée et sur les conclusions que l’on en tire. Après avoir expliqué cette notion, les différents niveaux d’action possible pour réduire la consommation d’eau lors de la production d’un produit seront évoqués. Diverses questions seront également soulevées, comme celles de l’intérêt environnemental et économique de réduire son empreinte eau au minimum.
Enfin, les technologies les plus utilisées pour le recyclage de l’eau usée seront mentionnées par Jean-François Gérard avant de passer à une illustration concrète d’une telle démarche avec le cas de la Brasserie de Jupille.
La Brasserie participe en effet à diminuer son empreinte hydrique via plusieurs axes (diminution de la consommation d’eau via l’optimisation des processus, récupération des eaux au cours du process de fabrication, potabilisation des effluents de la station d’épuration, surveillance du niveau de la nappe phréatique où l’eau est puisée).
Grâce à ces initiatives, le volume d’eau nécessaire pour produire un litre de bière a baissé d’environ 40% en une quinzaine d’années. Frederic Lecler partagera ces résultats ainsi que les défis à venir pour aller encore un pas plus loin.
Conférence d'Yvon Gervaise à l'Université de Rouen le 28 janvier 2014Yvon Gervaise
Conférence d'Yvon Gervaise, Directeur de SGS Multilab Rouen à l'Université de Rouen pour le Master 2 professionnel "chimie et physico-chimie du médicament".
Thème : "Chimie - environnement : aspects réglementaires, industriels et sociétaux à l'ère numérique pour une veille scientifique, technologique et normative."
La réduction de l’empreinte hydrique des entreprises | LIEGE CREATIVE, 08.03....LIEGE CREATIVE
Après l’empreinte carbone, l’empreinte eau (water footprint) devient petit à petit un indicateur du caractère durable d’un produit.
La plupart des gens se méprennent sur cette notion d’empreinte eau : sur la façon dont elle est calculée et sur les conclusions que l’on en tire. Après avoir expliqué cette notion, les différents niveaux d’action possible pour réduire la consommation d’eau lors de la production d’un produit seront évoqués. Diverses questions seront également soulevées, comme celles de l’intérêt environnemental et économique de réduire son empreinte eau au minimum.
Enfin, les technologies les plus utilisées pour le recyclage de l’eau usée seront mentionnées par Jean-François Gérard avant de passer à une illustration concrète d’une telle démarche avec le cas de la Brasserie de Jupille.
La Brasserie participe en effet à diminuer son empreinte hydrique via plusieurs axes (diminution de la consommation d’eau via l’optimisation des processus, récupération des eaux au cours du process de fabrication, potabilisation des effluents de la station d’épuration, surveillance du niveau de la nappe phréatique où l’eau est puisée).
Grâce à ces initiatives, le volume d’eau nécessaire pour produire un litre de bière a baissé d’environ 40% en une quinzaine d’années. Frederic Lecler partagera ces résultats ainsi que les défis à venir pour aller encore un pas plus loin.
GreenCentre Canada : Transformer les technologies vertes en entreprises vertes
toursdeau-chimie-150129115047-conversion-gate02
1. TOURS D’EAU - CHIMIE
Qui a l’expertise?
Colloque et Assemblée Générale Annuelle 2013
Philippe-André Boileau
2. BIOCIDES
• Critique au succès de la gestion de risque
• Réglementation fédérale d’application
provinciale: non suivie.
• concentration désirée ≥ minimum efficace
pour un temps de contact ≥ minimum requis
dans tout le réseau en tenant compte du pH,
température et de la contamination.
3. BIOCIDES
• France: 75% des installations commerciales et
institutionnelles sont non conformes.
• Québec?
4. BIOCIDES - Sélection
• Compatibilité : matériaux, inhibiteur, filtre au sable
• pH, température : efficacité et durée de vie
• Cibles: microbes, biofilm
• Moussage vs efficacité énergétique
• Hydraulique: déconcentration, apport d’eau chlorée,
vitesses d’écoulement, lignes mortes opérationnelles
• Usage régulier, remisage ou arrêt temporaire?
• Temps de résidence
• Emportement vs exposition environnementale
• SIMDUT vs conformité attendue
7. BIOCIDES - Application
• Où dans le circuit?
• Quand vs opération hydraulique?
• Quand vs consommation d’eau?
• Continu ou Choc?
• Paramètres de vérification et validation.
• Interférences: matières organiques, TOCs, etc.
8. Biocide - Concentration
• Concentration minimale efficace
• Volume du réseau
– Sélection d’un traceur (ex LiCl)
– Poids traceur dans la qqt de sel choisi
[Li] / [LiCl] : humidité, impuretés
• Choix méthode d’analyse
• Calcul volume avec concentration traceur
9. BIOCIDES - Concentration
• Dilution du biocide retenu
• Cible biocide actif
• Pompe : appropriée ou non? Calibrable?
• Calibration pompe doseuse
• Durée de pompage requis?
• Cible de cycle de concentration pré-injection?
• Durée de blocage de purge post injection?
10. BIOCIDES - Vérification
• Bilan de masse
• Test de mesure de la concentration:
Trousses colorimétriques pour Oxydants,
Isothiazolin, glutaraldéhyde et PolyQuats.
• Échantillonnages : où, quand, comment?
11. BIOCIDES – Validation efficacité
• Bactéries aérobes (ATP, BHAA, etc), anaérobes
(générales, SRBs, Ferrugineuses), Legionella
pneumophila
• Quand: vs la dernière injection de biocide
– vs la température
– vs opération
• Où?
• Qui? : formation
• Test sur place ou externe?
13. DÉCONTAMINATION - Halogène
Peut être efficace seulement si:
• Absence de dépôts minéraux causés par le
tartre et la corrosion
• Biofilm n’est pas établi et assez mince
• Temps de recirculation est assez rapide
• Circulation partout dans le circuit
• Les matériaux peuvent le tolérer
14. DÉCONTAMINATION – Québec 2012
ÉTAPES FAIT?
Éliminateur haute efficacité X
Désinfection √
Évaluation de la présence de dépôts X
Enlèvement des dépôts X
Évaluation de la présence de biofilms X
Enlèvement des biofilms X
Mesure du volume des réseaux (qqt vs concentration) X
Biocides post décontamination: sélection, application X
Biodispersants X
15. DÉCONTAMINATION – Québec 2012
• Personnel technique plus qualifié que
normalement disponible
Hygiénistes, Épidémiologistes, MDs, Microbiologistes
• Ressources beaucoup plus importantes que ce
qui est typiquement disponible
• Motivation et bonne volonté
• MAIS pas de chimiste! Pas responsable
puisque hors champs d’expertise
Résumé
PA Côté: concept de gestion du risque appliqué aux systèmes des TAR: HACCP, ASHRAE 188
L'éclosion de L. pneumophila de Québec 2012 était préventable, la désinfection des TARs mené par la DSP a été largement inefficace et l'implication obligatoire de chimistes aurait minimisé sinon éliminé le risque d'éclosion majeure. Celle-ci est maintenant sur wikipedia pour la postérité. Elle a affecté la santé et la vie de plusieurs. Mais aussi l'industrie touristique et sa réputation au niveau international. Un cas chez un touriste aurait mis Québec sur une autre liste : celle de ceux qui suivent 'travel-associated legionella' dont EWGLI. La meilleure façon de réduire l'exposition est de minimiser la production d'aérosol. Lorsque l'eau passe à travers le flux d'air dans une tour d'eau il y a bionébulization et potentiel de diffusion de pathogènes causant des pneumonies. L'installation d'un éliminateur de microgouttelettes à très haute efficacité permet de réduire cette exposition d'au moins 2 logs pour environ 500$. Cette mesure n'a pas été appliquée bien que ce soit la 1er recommandation de la norme du CTI. Quand à la validation selon le protocole du CTI de l'efficacité de la stratégie d'élimination des microgouttelettes elle n'est pas appliquée, n'est pas mentionnée spécifiquement dans les recommandations de la RBQ ni dans le règlement. Cet aspect relève du génie mécanique. Certains ont affirmé durant la formation que la 'vapeur' d'eau est visible et donc que si un panache important est visible au dessus d'une tour cela ne signifie pas qu'il y a un emportement important. La 'vapeur' est de l'eau évaporée qui est sous forme gazeuse. Elle n'est pas visible à l'oeil nu. Elle peut condenser ce qui la rend liquide et visible. Cette notion élémentaire de chimie est très mal comprise. C’est l’eau emportée qui peut contenir des pathogènes. Celle qui est évaporée n’en contient pas. Un des points critiques de contrôle est le dosage de biocide. La vaste majorité des installations commerciales et institutionnelles ont une ou des déficiences graves à ce niveau. Révisons ensemble rapidement les étapes pour ce faire:le volume du réseau
sélection des biocides-biodispersants et mitigations des conséquences néfastes
compatibilité de l'inhibiteur de tartre et de corrosion.
stratégie à pH neutre ou alcalin
stratégie d'injection continue ou discontinue
concentration en actif du biocide à doser
concentration visée du biocide formulé (dilué) retenu
Temps de pompage requis avec calibration de la pompe si possible
détermination de la cible de cycle de concentration pré purge
détermination de la durée du blocage de la purge en minutes
vérification de l'atteinte de la concentration désirée de biocide pour la période de temps de contact minimale dans tout le réseau en tenant compte du pH et de la température
mesure du résiduel dans le réseau: à quel point et à quel moment?
validation de l'efficacité: comment? quand? où?
ajustements dans la sélection des produits, les fréquences et les dosages d'injection selon les résultats.
À qui peut-on se fier pour réaliser ces tâches?Merci de votre attention et de votre intérêt d'impacter positivement la santé-sécurité.