3. Les causes, souvent très personnelles, ont du mal à être toutes détectées car extrêmement vastes. Les personnes dites « à risque » c'est à dire celles étant plus susceptibles d'être malades sont les suivantes : - Pré-adolescentes, adolescentes et jeunes femmes dans le début de la vingtaine. - Athlètes d'élite, particulièrement les femmes pratiquant des sports tels que le patinage artistique, la gymnastique et la danse LES CAUSES
4. Comment savoir si on est anorexique ? Voici différents symptômes : Un manque d’appétit. Un refus alimentaire. Un refus de reconnaître sa maigreur. Un phénomène d’amaigrissement. Une hyperactivité, essayer de résister à la fatigue. Une absence de règles chez les femmes. Une situation de conflits avec l’entourage familial. Vouloir obtenir une identité autonome. Mentir pour ne pas prendre les repas en famille.
5. CONSEQUENCES Les risques et les dangers de l’anorexie à court et moyen terme : Un manque de glucides et de lipides Une forte perte de poids qui varie selon les personnes. Une fragilité des ongles et des cheveux Une perte des capacités physiques et musculaires. Des œdèmes des membres inférieurs Apparition de constipations Une froideur des membres, généralement les mains et les pieds. Un vomissement du à une prise importante de laxatifs. Sur le plan physique, cette maladie se traduit par une perte de poids extrême atteignant jusqu’à 50% du poids normal.
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7. Traitement Le traitement doit se faire préférablement en institution spécialisée afin d'effectuer une séparation d'avec la famille qui participe inconsciemment au "jeu de rôle pathologique". Il est multidisciplinaire et consiste en : Une prise en charge nutritionnelle qui permettra de corriger la malnutrition en fixant des objectifs
8. Conclusion - L’anorexie , comme nous l’avons vu, une maladies extrêmement grave, nécessitant une prise en charge rapide par le médecin avant qu’elle s’aggrave ( car ces maladies peuvent aboutir à la mort des malades ). Même après un traitement, dans le cas de l’anorexie, les rechutes sont fréquentes et les malades restent psychologiquement très fragiles. Certains malades gardent des séquelles qui rendent la vie sociale, conjugale et familiale difficiles. Enfin, près d’un quart des cas se terminent de façon dramatique: soit par un décès, soit par un suicide. Plus tôt le traitement psychiatrique est entrepris, plus les chances de guérison sont grandes