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I
EPIGRAPHE
« Trompe-moi sur le prix, ne me trompe pas sur la marchandise »
Le parisien
II
IN MEMORIUM
A vous mon grand frère BANZA KITEFU Jean-René et beau-frère NDAY
MWEPU KAWANDA, qui ont été emporté tôt dans les oubliettes malgré votre
disparition sur cette terre mais nous ne cesserons jamais de penser à vous.
Nous demandons que la terre de nos ancêtres vous soit douce et légère et
Dieu vous réserve une place au sein de son royaume.
III
DEDICACE
A mes parents Amerdon MPANGA ILUNGA et Marie-Rose NUMBI
NGOY pour tant des sacrifices, d’affection et de soutien tant matériel, spirituel
que moral pour que je sois ce que je suis aujourd’hui.
A vous mes frères et sœurs : NUMBI NGOY Jeanne, MPANGA KYALA
Jean, KASONGO NSHIMIKULU Hervé, MWAMBA KABUKWALUYI Papy,
BANZE WA MPANGA Biguine, MUTOMBO WA MPANGA Carine, MUJINGA WA
MPANGA Jolie.
NTAMBO NGOY Stanislas
IV
REMERCIEMENTS
Long a été le chemin parsemé d’embuches et obstacles, seules la
persévérance et la patience ont été d’un support considérable pour cette lutte
et grâce à elle nous sommes parvenus à atteindre ce niveau.
Par ce travail, nous annonçons la fin de notre temps mis pour un
apprentissage en vue d’avoir une formation dans la filière que nous avons
optée à l’institut supérieur de commerce, informatique et sciences infirmières
de Likasi I.S.C.I/Likasi en sigle.
Ainsi, la formation reçue met un terme à notre deuxième cycle de
l’enseignement supérieur universitaire.
D’où l’éthique morale et intellectuelle nous recommande que nous
puissions reconnaître la contribution de ceux qui nous ont permis à élaborer de
loin ou de près ce travail.
Nos remerciements vont tout droit à tous les corps professoral de l’ISCI
pour son encadrement dont nous avons bénéficié.
Grand merci au Directeur du présent travail chef de travaux LUCIDE
BULA qui, malgré ses multiples occupations, nous a montré son soutient avec
une grande attention.
Cependant nous sommes très heureux de vous remercier pour votre
grandiose contribution : BANZE WA MPANGA, KISIMBA MAKONGA Germain,
couple ILUNGA NKULU fiston.
A toi ma bien aimée MBAYO SEYA Chrislas pour ta patience, ta
contribution morale, spirituelle et matérielle enfin que tu aye un homme
intellectuel que ce travail soi pour toi une source d’inspiration.
Nous ne se serons jamais de montrer notre gratitude à la famille NGOY
stanislas pour leurs soutiens.
Nos remerciements s’adressent à mes plus proches de la vie UMBA
Jimmy, Louise KAYEMBE pour leurs conseils, assistances que l’éternel les
comble de bonheur.
V
Et nous disons merci, à tous nos collègues de la promotion :
ONGANOMBE OMOSONGO, ILUNGA TSHIBINDA, NGOY MALOBA MELANIE,
KABULO MWANAMFUMU, KIBAMBA NUMBI Troxel, KALENGA LUHEMBWE
Polycarpe, KABALAMBI BAKAJI Ezéchiel, YAMBISA KADITSHI Chancelle,
MAFUTALA MAHUWA la Joie pour leurs bonnes collaborations et amours
qu’ils nous ont montrés.
Nous pensons aussi aux cousins et cousines, neveux et nièces, beaux-
frères et belles sœurs
A tous ceux de près ou de loin, directement ou indirectement ont
contribués à l’élaboration de ce travail.
NTAMBO NGOY Stanislas
VI
SIGLES ET ABREVIATIONS
OCC : office congolais de contrôle ;
AV : attestation de vérification
SGBD : système de gestion de base de données
PHP : Hypertext Preprocessor
SQL : Structured Query Language
HTTP : hypertext transfer protocol
WAMP : windows apache MySQL php
WWW : World Wide Web
UML : unified modeling language
UP : unified process
OMG : Object Management Group
OCL : Object Contrain Language
MDA : Model Driven Architecture
OMG : Object Management Group
OOSE : Object-Oriented Software Engineering)
OZAC : Office Zaïroise de Contrôle
ORGAN : Régionale Africaine de la normalisation
CEI : Commission Electrotechnique Internationale
VII
LISTE DE FIGURE
Figure 1 :Organigramme OCC............................................................................32
Figure 2 : Structure organisationnelle et fonctionnelle..........................................33
Figure 3 :Périmètre du système..............................................................................................34
Figure 4 : Diagramme de cas d’utilisation ..........................................................................37
Figure 5 : Diagramme de classe gérer utilisateurs............................................................37
Figure 6 : Diagramme de classe « gérer dossier »...............................................................38
Figure 7 : Diagramme de classe « gérer les échantillons».................................................38
Figure 8 : Diagramme de classe gérer facturation.............................................................39
Figure 9 : Gérer pointage........................................................................................................39
Figure 10 : Gérer rapport journalier......................................................................................39
Figure 11 : Gérer analyse ........................................................................................................40
Figure 12 : Diagramme d’activité Gérer utilisateur...........................................................41
Figure 13 : Diagramme d’activité Gérer dossier..................................................................41
Figure 14 : Diagramme d’activité Gérer les échantillons...................................................42
Figure 15 : Diagramme d’activité gérer facturation...........................................................42
Figure 16 : Diagramme d’activité Gérer pointage ..............................................................43
Figure 17 : Diagramme d’activité gérer rapport journalier................................................43
Figure 18 : Gérer les analyses................................................................................................44
Figure 19 : Cas d’utilisation du système informatique ......................................................47
Figure 20 : Diagramme de séquence gérer dossier.............................................................50
Figure 21 : Diagramme de séquence Gérer utilisateur......................................................51
Figure 22 : Diagramme de séquence Gérer utilisateur......................................................52
Figure 23 : Diagramme de séquence gérer échantillon......................................................53
Figure 24 : Diagramme de séquence Gérer échantillon.....................................................53
Figure 25 : Diagramme de Sequence gérer pointage..........................................................54
Figure 26 : Diagramme de séquence gérer analyse ............................................................54
Figure 27 : Diagramme d'interaction Gérer utilisateur......................................................56
Figure 28 : Diagramme d'interaction Gérer dossier ...........................................................57
Figure 29 : Diagramme d'interaction gérer pointage..........................................................58
Figure 30 : Diagramme d'interaction gérer échantillon.....................................................59
Figure 31 : Diagramme d'interaction gérer rapport journalier........................................60
Figure 32 : Diagramme d'interaction gérer facturation .....................................................61
Figure 33 : Diagramme d'interaction gérer analyse............................................................62
Figure 34 : Diagramme de conception gérer utilisateur ....................................................63
Figure 35 : Diagramme de conception gérer dossier..........................................................64
Figure 36 : Diagramme de conception Gérer pointage.......................................................65
Figure 37 : Diagramme de conception Gérer pointage.......................................................66
Figure 38 : Diagramme de conception gérer échantillon...................................................67
Figure 39 : Diagramme de conception gérer facturation...................................................68
Figure 40 : Diagramme de conception gérer analyse .........................................................69
Figure 41 : Architecture logicielle ..........................................................................................72
Figure 42 : Architecture physique .........................................................................................73
Figure 43 : Fonctionnement du php......................................................................................76
VIII
Figure 44 : Diagramme de composants................................................................................79
Figure 45 : Diagramme de déploiement................................................................................80
LISTE DE TABLEAU
Tableau 1: Liste cardinalité.....................................................................................................18
Tableau 2: système informatique...........................................................................................55
1
INTRODUCTION GENERALE
Généralité
Le contrôle est une opération destinée à déterminer, avec les moyens
appropriés, si le produit (y compris, services, documents, code source) contrôlé
est conforme ou non à ses spécifications ou exigences préétablies et incluant
une décision d’acceptation, de rejet ou de retouche.
Le contrôle est un acte technique permettant de déterminer la conformité
d’un produit. Pour effectuer un contrôle sur un produit, il faut au préalable en
déterminer les caractéristiques et choisir les limites à l’intérieur desquelles le
produit est conforme.
L’OCC se veut être un organisme leader reconnu au niveau international
pour soutenir les efforts de développements économique, industriel et le progrès
social dans le pays.1 Aussi, OCC se veut un organisme tierce partie, impartial
dont la structure, le personnel, la compétence et l’intégrité lui permettent
d’accomplir ce rôle d’arbitre selon des critères définis. Encore un organisme
d’évaluation de la conformité : il est membre correspondant de l’iso, membre de
CEI et de l’ARSO aussi de l’OMS depuis le 01èr janvier 1997.2
Laissons nous dire que l’office congolais de contrôle a pour mission de
(d’) :
 Effectuez des contrôles de qualité, de quantité et de conformité de
toutes les marchandises ;
 Effectuez des contrôles de prix des marchandises et produits à
l’importation et à l’exportation ;
 Analyser tous les échantillons et produits ;
 Effectuer des contrôles techniques de tous les appareils et
travaux ;
 Prévenir des sinistres et procéder au constat des dommages ou des
avaries ;
1 http ://www.occ-rdc/implantation, consultéce 19/03/2019
2 Idem
2
 Gérer et exploiter des silos, magasins généraux et entrepôt de
douane ;
 Faire toute opération quelconque se rapportant directement ou
indirectement à son activité, sauf les opérations d’achat en vue de
la revente.
Choix Et Intérêt Du Sujet
Choixdusujet
Après avoir effectué nos recherches sur le processus de contrôle de la
marchandise à l’office congolais de contrôle agence de Likasi, nous avons trouvé
que le processus présente certaines faiblesses, la répétition de même travaux
dans différents bureaux ce qui cause les lenteurs dans la vérification et sur
l’élaboration de documents liés à l’importation de la marchandise. Vu ces
difficultés liées au contrôle de la marchandise, nous avons eu le courage de
nous lancer dans ce domaine pour chercher de solutions en vue de palier
l’entreprise au risque lié au contrôle enfin qu’elle ne tombe pas en faillite.
Intérêt du sujet
Nous avons remarqués après descente sur le lieu de recherche que
l’entreprise accusait un certains nombres de retard pour la transmission des
informations liées au contrôle de la marchandise, le retard dans l’enregistrement
des documents à la hiérarchie et présentation du rapport. Or la technologie a
déjà évolué avec la mise en place du projet de contrôle sur le web pour faciliter
aux divers contrôleurs de la marchandise d’effectuer un contrôle dans un petit
temps.
DELIMITATION DU SUJET
Amener la technologie dans le monde du travail c’est en quelque sorte
faciliter la réalisation du travail et l’amélioration du rendement. L’intérêt de
notre sujet s’étend sur trois niveaux : personnel, scientifique et social.
 Au niveau personnel : Pour nous, ce travail vient sanctionner la fin
de nos études du deuxième cycle et relève de notre propre intérêt
car nous avons constaté qu’aux siècles du jour il ne suffit pas
seulement d’avoir une marchandise pour satisfaire les besoins de la
3
population mais avoir une bonne qualité dans la voie normale, est
pour l’avoir il faut le contrôle pour assurer la sécurité de la
population. D’où la nécessite d’utiliser l’outil informatique dans
toute opération de contrôle afin d’accroitre le rendement de
l’entreprise en temps et en ressources. Partant de ceci, c’est nous
qui allons essayer d’utiliser les techniques que nous avons apprise
pour façonner un tel système et faciliter le travail aux contrôleurs
de l’entreprise office congolais de contrôle. Ce travail nous permettra
aussi de concilier la théorie à la pratique et d’assoir toutes les
connaissances apprises pendant notre parcours académique.
 Au niveau scientifique : Sur le plan scientifique, notre travail
trouvera son pesant d’or dans le fait qu’il permettra à d’autres
chercheurs venant après nous de s’inspirer de ce que nous allons
faire et de le considérer comme une source de documentation.
 Au niveau social : pour l’office congolais de contrôle, il facilitera
le travail de manière à alléger le contrôle et la satisfaction, mais
surtout d’assurer le respect les contraintes de sécurité et d’éviter
trop de fraude de la marchandise.
Etat de la question
Certains centres de recherches, instituts ou universités sont dotés d’un
bureau dédié à l’intégrité scientifique, chargé notamment de mener une enquête
en cas de soupçon de fraude, et le cas échéant de mettre en place une sanction
envers la personne reconnue responsable de fraude (par exemple le plagiat).
Dans le cas de l’INSERM, cette fonction est assurée par la Délégation à l'intégrité
scientifique.3
Dans le cadre d’éviter la fraude scientifique, nous disons que nous ne
sommes pas premier à aborder le thème lié au contrôle. Plusieurs ont parlé sur
le thème de contrôle tel est le cas de :
3 www.m.fr.wikipedia.org/wiki/fraudescientifiqueconsultéle28/01/2019 à 12h00
4
 MUKADI LUENDU Schadrac, dans son travail
intitulé : «conception et création d’une application web de gestion
d’expédition de produits miniers dans une entreprise privée (cas de
KAI PENG MINING) ».4
il analyse comment réorganiser le processus d’expédition multi-
transporteurs, faire le suivi des produits expédiés pour arriver à facturer les
clients, retrouver les produits expédiés à une date donnée et contrôler la
facturation de chaque transporteur pour nous permettre d’avoir un accès facile
aux informations sur les camions, enfin de transmettre rapidement les
documents relatifs à l’expédition pour élaborer les rapports dans un temps
record, planifier et consolider les expéditions des produits selon les normes de
qualité établies.
 CHIKURU MUGISHO Alain, dans son travail nommé : « conception
d’une application web de suivi des passagers sur tous les vols
nationaux et internationaux (cas de la RVA Lubumbashi).5
Il analyse comment modéliser le suivi des passagers sur tous les vols au
niveau de la Rva/Katanga et quelle application convient mieux à cette question.
 ONGANOMBE OMOSONGO, dans « mise en place d’une application
de gestion et suivi de la facturation des marchandises importées
(cas de l’office congolais de contrôle de Likasi) ».6
Il cherche à savoir le nombre exact des factures établies à une date
donnée si c’est nécessaire et l’accès à une facture concernant un importateur
est-elle facile.
4 LUENDU Schadrac : « conception et réalisation d’ion d’une application web de gestion d’expédition des produits miniers dans
une entreprise privée, institut supérieur de statistique2013-2014
5 CHIKURU MUGISHO Alain, conception d’une application web de suivi des passagers sur tous les
vols nationaux et internationaux, université protestante de Lubumbashi, 2010-2011.
6 ONGANOMBE OMOSONGO : « mise en place d’une application de gestion et suivi de facturation des marchandises
importées », institutsupérieur de commerce, informatiqueet sciences infirmières deLikasi,2017-2018.
5
Problématique et hypothèse du travail
problématique
La problématique est un ensemble de questions principales autour
desquelles doit graviter tout le travail.7
Elle permet d’énoncer l’ensemble de questions dans un domaine de la
science en vue d’une recherche des solutions. Elle se définit en outre comme
une approche ou comme une perspective théorique qu’on décide d’adopter pour
traiter le problème posé par la question de départ.8
Partant de définitions citées ci-haut, nous avons ressortis un ensemble
de questions qui sont les suivantes :
 Comment pouvons-nous réorganiser le processus métier lié au
contrôle de la marchandise ?
 Que faire pour retracer les clients ayant payé les frais lors de
l’importation?
Ces différentes questions constituent la préoccupation majeure de notre
recherche.
Hypothèse
L’hypothèse est une réponse anticipée à la question posée qui fait l’objet
de la recherche.9
Elle n’est qu’une idée directrice, une tentative d’explication de fait
formulé au début de la recherche et destinée à guider l’investigation et être
abandonnée ou maintenue après les résultats de l’observation.
Lorsque nous analyserons de près le cas et vu les avantages qu’offrent
l’informatique aussi dans la résolution des problèmes, nous osons croire en
partant de cette définition tout en se référant aux questions posées dans la
problématique nous proposons de mettre en place une application web de
contrôle qui permettrait de:
7 PINTO et GRAWITZ, méthode en science sociale, éd. Dalloz,Paris,1979,Page285
8 NGOIE TWITE KABULO SH. Cours de statistique descriptive, G1 informatiqueUMK 2014-2015,inédit.
9 idem
6
 Centraliser les données venant des plusieurs postes des contrôle
enregistrer dans plusieurs coins.
 De proposer une base de données fiable pour conservation des données
relatives au contrôle de la marchandise.
Méthode et technique
Méthode
Le concept de méthode tire son origine du vocable grec
methodos « chemin » ou « voie » et désigne le moyen employé pour parvenir à
des fins.10 Une méthode définit une démarche reproductive pour obtenir des
résultats fiables. Toutes les connaissances utilisent des méthodes plus ou moins
sophistiquées et plus ou moins formalisées.11
Une méthode a pour Object de :
 Décrire l’ensemble de tâches à accomplir ;
 L’ordonnancement de ces taches accomplir ;
 Fournir la documentation et des standards qui leur sont associés ;
 Prendre en charge des aspects spécifiques ou une partie du processus
de développement.
En ce qui nous concerne nous allons faires recours à la méthode UP
basée sur le langage de modélisation UML
Technique
La technique est moyen mise à la disposition des méthodes pour amener
à la découverte de la vérité.12
Les techniques suivantes seront utilisées pour bien appréhender les
concepts du système étudié.
 La technique documentaire
10 www.lesdefinitions.fr /méthode-scientifique
11 Guy orado, Démarche d’application d’uml étude de cas MIAGE2-IUP3, UEVE 2000,p.10 ;
12 ROGER, PINTO, manuel sociologie générale, Afrique 1980,p 21
7
Cette Technique nous a permis à l’assemblage de notes relatives au
sujet, des documents ainsi que des ouvrages nécessaires afin de mieux cerner le
contour de notre travail.
 la technique d’interview
Cette technique nous a permis d’obtenir à la source les informations
relatives au fonctionnement de la dite entreprise ainsi qu’au déroulement du
processus de contrôle.
Subdivision du travail
En dehors de l’introduction générale et de la conclusion générale, notre
travail portera quarte chapitres :
Chapitre premier : considérations théoriques. Ce chapitre portera sur la
clarification de différents concepts tant qu’informatiques, qu’autres concepts de
base.
Chapitre deuxième intitulé: analyse du métier, dans ce chapitre il sera
question de présenter notre domaine d’étude et de présenter une analyse relative
au cas traité.
Chapitre troisième intitulé : conception du système: c’est dans ce
chapitre que la conception du nouveau système même relatif au contrôle sera
réalisée. Il sera question de mettre en place un nouveau système informatique
de contrôle de la marchandise lors de l’importation à l’office congolais de
contrôle.
Chapitre quatrième intitulé : implémentation de l’application, nous
aurons à présenter dans ce chapitre les résultats obtenus par la programmation
de toute l’analyse ainsi faite dans le langage de programmation PHP et d’une
base de données MySQL.
8
CHAPITRE I : CONSIDERATIONS THEORIQUES
définition de concepts de base
Ici, il nous sera question de donner les différentes définitions de mots
utilisés dans le sujet que nous avons choisi et c’est entre autre : ‘’la création
d’une application web de contrôle de marchandises importée dans une
entreprise publique.’’ Cas de l’office congolais de contrôle.
 Création : est l’action de tirer du néant, action de fonder.13
 Application : est un programme. C’est une suite d’instructions
permettant de réaliser une ou plusieurs tâches, de résoudre un problème,
des manipuler les données14. Elle est une expression d’un algorithme dans
un langage donné pour une machine donnée.
 Web : est une méthode d’exploitation de l’internet, par usage de
l’hypertexte.15
 Contrôle : c’est une vérification de la conformité à des données
préétablies suivi d’un jugement.16
 Marchandise : est un ensemble de biens et services faisant l’objet de
commerce.17
 Entreprise : Selon TSHELD et JC JASTON(1970), l’entreprise est de
définie comme une entité de production des biens et services destinés à
être échangés contre moyen de paiement (Billet a Ordre, Lettre De
Change, ….).On peut l’entendre comme étant une cellule économique ou
sont combiné à l’initiative et sous la responsabilité de l’entrepreneur les
facteurs nature, travail et le capital, en vue de la production des biens et
services dans un but lucratif.
 Importer : Selon le dictionnaire Larousse 2008 le verbe un importer
prends le sens d’introduire dans un pays les produits étrangers,
introduire quelque chose qui vient d’ailleurs.
Théoriesurlamodélisation
L’informatique s’est glissée imperceptiblement dans notre vie
quotidienne. Des machines à laver aux lecteurs de disques compacts, en
passant par les distributeurs de billets et les téléphones, quasiment toutes nos
activités quotidiennes utilisent du logiciel et, plus le temps passe, plus ce logiciel
ne devient complexe et couteux.
13 Jargon informatique
14 YAV MUSHAILA, cours de génie logiciel, ISCI/Likasi,2018,inédit
15 WWW.websemantique.com consultéle 20/03/2019 à 10h20’
16 KOMBA, cours d’organisation des entreprises, ISCI /likasi,2018,inédit.
17 Norbert LUPITSHI, cours de l’économie politique, UMK /Kamina,2015,inédit
9
La demande de logiciels sophistiqués alourdit considérablement les
contraintes imposées aux équipes de développement. Le futur des informaticiens
s’annonce comme un monde de complexité croissante, à la fois du fait de la
nature des logiciels, de la composition des équipes de développement, et des
attentes ergonomiques des utilisateurs.
Pour surmonter ces difficultés, les informaticiens vont devoir apprendre à
faire, à expliquer, et à comprendre. C’est pour ces raisons qu’ils ont et auront
toujours plus besoin de méthodes.18
Il est évident que chaque méthode utilise ses propres techniques,
en ce qui concerne la démarche UP, le langage de modélisation UML est la
technique dont ses notations seront utilisées pour formaliser les modèles avec
cette méthode. Il sera aussi question de l’expliciter.
Présentationde laméthodeUP
Un processus est une séquence d’étape partiellement ordonnées qui
concourent à l’obtention d’un système logiciel ou à l’évaluation d’un système
existant.19
Le processus unifié est un processus de développement logiciel, centré
sur une architecture, piloté par les cas d’utilisation, interactif et incrémental et
orienté vers les diminutions des risques. La méthode UP est :
1. Piloter par les cas d’utilisation : la principale qualité d’un logiciel
étant son utilité, son adéquation avec les besoins des utilisateurs. Toutes les
étapes partant de la spécification des besoins à la maintenance doivent être
guidées par les cas d’utilisations qui représentent en quelque sorte les besoins
de nos utilisateurs.
2. Centrée sur l’architecture : l’architecture vient répondre aux
besoins exprimés au niveau des cas d’utilisation définis par les utilisateurs,
mais également prendre en compte les évolutions futures et les contraintes de
réalisation.
Mettre en place une architecture revient à adapter les conditions de
succès d’un développement.
3. Itérative et incrémentale : l’ensemble du problème est décomposé
en petites itérations, définies à partir des cas d’utilisation et de l’étude des
18 Pierre-alain Muller, Modélisation objet avec UML, pam, Avril 1997,p.19
19 RAMAZANI tresor, cours de méthodologie de conduite de projet informatique, Grade II,2018-2019,inédit
10
risques. Les risques majeurs et les cas d’utilisations les plus importants sont
toujours traités en priorité.
Recourir à la modélisation est depuis fort longtemps une pratique
indispensable au développement logiciel, car un modèle est prévu pour parvenir
à anticiper les résultats du codage. Un modèle est en effet une représentation
abstraite d’un système destiné à faciliter l’étude d’un projet informatique.
vuedu processus unifié
L’objectif d’un processus unifié est de maitriser la complexité des projets
informatiques en diminuant les risques.20
UP est un ensemble des principes générique adaptés en fonction des
spécifications des projets. Elle répond aux préoccupations suivantes :
Qui participe au projet ?
Quoi, qu’Est ce qui est produit durant le projet ?
Comment doit-il être réalisé ?
Les phases et activités duprocessus UP
La gestion d’un tel processus est organisée suivant les quatre phases
suivantes : initialisation, élaboration, construction et transition. La phase
d’élaboration poursuit trois objectifs principaux en parallèle :
• identifier et décrire la majeure partie des besoins des utilisateurs,
• construire (et pas seulement décrire dans un document !) l’architecture
de base du système,
• lever les risques majeurs du projet.
La phase de construction consiste surtout à concevoir et implémenter
l’ensemble des éléments opérationnels (autres que ceux de l’architecture de
base). C’est la phase la plus consommatrice en ressources et en effort.
Enfin, la phase de transition permet de faire passer le système
informatique des mains des développeurs à celles des utilisateurs finaux. Les
mots-clés sont : conversion des données, formation des utilisateurs,
déploiement, bêta-tests.
20 Bertin LOBO MINGA, cours de conception de système d’informations1, L1, ISCI,2017-2018,Inédit.
11
Chaque phase est elle-même décomposée séquentiellement en itérations
limitées dans le temps (entre 2 et 4 semaines). Le résultat de chacune d’elles est
un système testé, intégré et exécutable. L’approche itérative est fondée sur la
croissance et l’affinement successifs d’un système par le biais d’itérations
multiples.
Le système croît avec le temps de façon incrémentale, itération par
itération, et c’est pourquoi cette méthode porte également le nom de
développement itératif et incrémental. Il s’agit là du principe le plus important
du Processus Unifié.
Les activités de développement sont définies par cinq disciplines
fondamentales qui décrivent la capture des exigences, l’analyse et la
conception, l’implémentation, le test et le déploiement.
La modélisation métier est une discipline amont optionnelle et transverse
aux projets. Enfin, trois disciplines appelées de support complètent le tableau :
gestion de projet, gestion du changement et de la configuration, ainsi que la
mise à disposition d’un environnement complet de développement incluant aussi
bien des outils informatiques que des documents et des guides
méthodologiques.
UP doit donc être compris comme une trame commune des meilleures
pratiques de développement, et non comme l’ultime tentative d’élaborer un
processus universel.
Présentationdu langagedemodélisationUML
UML compte déjà une dizaine d’années d’existence. À l’échelle d’un
courant méthodologique, c’est encore une durée relativement courte puisque l’on
estime qu’un cycle de développement d’une méthode de cette envergure s’étale
sur une période de vingt à trente ans, ce qui a été le cas par exemple pour
Merise. Mais l’accélération du renouvellement des technologies conjuguées avec
la pression économique et concurrentielle qui s’exerce sur les entreprises,
obligent les acteurs du monde informatique à produire des solutions de plus en
plus rapidement dans un contexte d’amélioration continue de la qualité et de la
performance des systèmes d’information.
12
Notons aussi qu’Internet a été un vecteur favorisant le développement de
très nombreuses applications dont une grande partie utilise des solutions à base
de langage de programmation objet comme Java, C++ ou C#.
UML a apporté tout naturellement le support méthodologique qui
manquait à tous les concepteurs et développeurs qui voulaient formaliser
l’analyse et la conception technique de leur logiciel.
UML s’est donc imposée en tant que langage graphique de modélisation
puisque non seulement ce langage répond à un véritable besoin mais en outre il
est devenu un standard de fait puisqu’il s’appuie sur une norme très
structurante.
Rendons tout de même hommage aux trois pères fondateurs d’UML que
sont James Rumbaugh, Ivar Jacobson et Grady Booch qui ont été dès le début
des années 90 des références dans le monde des méthodes de développement
objets.
C’est grâce à un premier niveau de travail de fond mené en commun par
ces trois comme pères qu’est née en 1995 la méthode dite unifiée qui a été
ensuite consacrée par’ OMG (Object Management Group) en 1997 avec la
diffusion de la première version de la norme : UMLV1.1.
Précisons aussi que les trois auteurs à l’origine d’UML ont poursuivi leur
mission d’explication et d’illustration des différentes versions successives d’UML
en publiant des ouvrages de référence comme Jacobson2000 et
Rumbaugh2004.
Il nous semble important de souligner le rôle majeur joué par l’OMG. En
effet, cet organisme international de normalisation a en charge non seulement la
norme UML mais aussi d’autres réflexions méthodologiques comme l’approche
MDA (Model Driven Architecture) qui pousse encore plus loin les limites de
l’automatisation de la production du logiciel.
Ainsi nous pouvons imaginer que nous arriverons bien un jour à
disposer d’une méthode de conception et de développement standardisée
couvrant tout le cycle de fabrication d’un logiciel en permettant une production
fortement automatisée de la programmation.
13
Mais soyons réalistes, cela demandera à notre avis probablement
plusieurs décennies étant donné les difficultés qui restent à traiter et la
complexité des niveaux d’abstraction qu’il faut arriver à modéliser.21
SYNTHESE DE GENESE ET VERSION D’UML
21 JOSEPH Gabay, uml2 analyse et conception avec étude de cas , Paris 2008,p 10-11
14
Présentationdesdiagrammes
UML 2.0 comporte ainsi treize types de diagrammes représentant
autant de vues distinctes pour représenter des concepts particuliers du
système d’information. Ils se répartissent en deux grands groupes :22
a) Diagrammes structurels ou diagrammes statique (UML Structure)
diagramme de classes (Class diagram)
diagramme d’objets (Object diagram)
diagramme de composants (Component diagram)
diagramme de déploiement (Deployment diagram)
diagramme de paquetages (Package diagram)
diagramme de structures composites (Composite structure
diagram) permet de décrire la structure interne d’objets d’un
ensemble complexe des classes et d’objets
b) Diagrammes comportemental ou dynamique (UML Behavior)
diagramme de cas d’utilisation (Use case diagram)
diagramme d’activités (Activity diagram)
diagramme d’états-transitions (State machine diagram)
diagrammes d’interaction (Interaction diagram)
diagramme de séquence (Sequence diagram)
diagramme de communication (Communication diagram)
diagramme global d’interaction (Interaction overview diagram)
diagramme de temps (Timing diagram)
Ces diagrammes, d’une utilité variable selon les cas, ne sont pas
nécessairement tous produits à l’occasion d’une modélisation. Les plus utiles
pour la maîtrise d’ouvrage sont les diagrammes d’activités, de cas
d’utilisation, de classes, d’objets, de séquence et d’états-transitions.
Les diagrammes de composants, de déploiement et de communication
sont surtout utiles pour la maîtrise d’œuvre à qui ils permettent de
formaliser les contraintes de la réalisation et la solution technique.
22 Pascal Roaues,UM2 modéliser une application web, 4ème édition, EYROLLES, p.5.
15
Diagramme de cas d’utilisation
Les cas d’utilisation ont été définis initialement par Ivar Jacobson en
1992 dans sa méthode OOSE. Les cas d’utilisation constituent un moyen de
recueillir et de décrire les besoins des acteurs du système. Ils peuvent être aussi
utilisés ensuite comme moyen d’organisation du développement du logiciel,
notamment pour la structuration et le déroulement des tests du logiciel.23
Un cas d’utilisation permet de décrire l’interaction entre les acteurs
(utilisateurs du cas) et le système. La description de l’interaction est réalisée
suivant le point de vue de l’utilisateur. La représentation d’un cas d’utilisation
met en jeu trois concepts : l’acteur, le cas d’utilisation et l’interaction entre
l’acteur et le cas d’utilisation.
Un acteur est un utilisateur type qui a toujours le même comportement
vis-à-vis d’un cas d’utilisation. Ainsi les utilisateurs d’un système
appartiennent à une ou plusieurs classes d’acteurs selon les rôles qu’ils
tiennent par rapport au système. Une même personne physique peut se
comporter en autant d’acteurs différents que le nombre de rôles qu’elle
joue vis-à-vis du système. Ainsi par exemple, l’administrateur d’un
système de messagerie peut être aussi utilisateur de cette même
messagerie. Il sera considéré, en tant qu’acteur du système, dans le rôle
d’administrateur d’une part et dans celui d’utilisateur d’autre part. Un
acteur peut aussi être un système externe avec lequel le cas d’utilisation
va interagir. Un acteur peut se représenter symboliquement par un «
bonhomme » et être identifié par son nom. Il peut aussi être formalisé par
une classe stéréotypée « acteur ».
Un cas d’utilisation se représente par un ovale dans lequel figure son intitulé.
L’interaction entre un acteur et un cas d’utilisation se représente comme une
association. Elle peut comporter des multiplicités comme toute association entre
classes. Chaque cas d’utilisation doit être décrit sous forme textuelle afin de
bien identifier les traitements à réaliser par le système en vue de la satisfaction
du besoin exprimé par l’acteur. Tout système peut être décrit par un certain
nombre de cas d’utilisation correspondant aux besoins exprimés par l’ensemble
23 Joseph GABAY et David GABAY, Op.cit,P 62-65.
16
des utilisateurs. À chaque utilisateur, vu comme acteur, correspondra un
certain nombre de cas d’utilisation du système. L’ensemble de ces cas
d’utilisation se représente sous forme d’un diagramme. Afin d’optimiser la
formalisation des besoins en ayant recours notamment à la réutilisation de cas
d’utilisation, trois relations peuvent être décrites entre cas d’utilisation : une
relation d’inclusion (« include »), une relation d’extension (« extend ») et une
relation de généralisation.
Une relation d’inclusion d’un cas d’utilisation A par rapport à un cas
d’utilisation B signifie qu’une instance de A contient le comportement
décrit dans B.
Une relation d’extension d’un cas d’utilisation A par un cas d’utilisation
B signifie qu’une instance de A peut être étendue par le comportement
décrit dans B. Deux caractéristiques sont à noter :
• le caractère optionnel de l’extension dans le déroulement du cas
d’utilisation standard (A) ;
• la mention explicite du point d’extension dans le cas d’utilisation
standard.
Une note peut être ajoutée à la représentation du cas d’utilisation
permettant d’expliciter la condition.
Une relation de généralisation de cas d’utilisation peut être définie
conformément au principe de la spécialisation-généralisation déjà
présentée pour les classes.
Diagramme d’objets
Le diagramme d’objets permet d’éclairer un diagramme de classes en
l’illustrant par des exemples. Il est, par exemple, utilisé pour vérifier
l’adéquation d’un diagramme de classes à différents cas possibles.
Diagramme d’états-transitions
Le diagramme d’états-transitions représente la façon dont évoluent
(cycle de vie) les objets appartenant à une même classe. La modélisation du
cycle de vie est essentielle pour représenter et mettre en forme la dynamique du
système.
17
Diagramme de classes
Le diagramme de classes est le point central dans un développement
orienté objet. En analyse, il a pour objectif de décrire la structure des entités
manipulées par les utilisateurs. En conception, le diagramme de classes
représente la structure d’un code orienté objet ou, à un niveau de détail plus
important, les modules du langage de développement.24
Les diagrammes de classes expriment de manière générale la structure
statique d’un système, en termes de classes et de relations entre ces classes. De
même qu’une classe décrit un ensemble d’objets, une association décrit un
ensemble de liens ; les objets sont les instances des classes et les liens sont les
instances des relations. Un diagramme de classes n’exprime rien de particulier
sur les liens d’un objet donné, mais décrit de manière abstraite les liens
potentiels d’un objet vers d’autres objets. 25
La classe est représentée par un rectangle compartimenté. Le premier
compartiment contient le nom de la classe. Le nom de la classe doit permettre
de comprendre ce que la classe est, et non ce qu’elle fait. Une classe n’est pas
une fonction, une classe est une description abstraite, condensée d’un ensemble
d’objets du domaine de l’application. Les deux autres compartiments
contiennent respectivement les attributs et les opérations de la classe.
UML définit trois niveaux de visibilité pour les attributs et les
opérations :
 Public : qui rend l’élément visible à tous les clients de la classe ;
 Protégé : qui rend l’élément visible aux sous-classes de la classe ;
 Privé : qui rend l’élément visible à la seule classe.
L’information de visibilité ne figure pas toujours de manière explicite
dans les diagrammes de classes, ce qui ne veut pas dire que la visibilité n’est
pas définie dans le modèle. Par défaut, le niveau de visibilité est symbolisé par
les caractères + pour le public, # pour le protéger, - pour le privé.
Les associations peuvent être nommées ; le nom de l’association apparaît
alors en italique, au milieu de la ligne qui symbolise l’association, plus
précisément dessus de la ligne.
Le sens de la lecture du nom peut être précisé au moyen d’un petit
triangle dirigé vers la classe désignée par la forme verbale et placé à la proximité
du nom de l’association.
24 Pascal Roques, UML2 par la pratique étude de cas et exercices corrigés, 5ème édition
EYROLLES, P.76
25 Pierre-Alain Muller, Op.cit., P.94
18
Chaque rôle d’une association porte une indication de multiplicité qui
montre combien d’objets de la classe considérée peuvent être liés à un objet de
l’autre classe. La multiplicité est une information portée par le rôle, sous la
forme d’une expression entière bornée.
1 Un et un seul
0..1 Zéro ou un
* De zéro à plusieurs
0.. * De zéro à plusieurs
1.. * D’un à plusieurs
Tableau 1: Liste cardinalité
Nous trouvons aussi les relations entre les classes :
 L’agrégation : représente une association non symétrique dans
laquelle une des extrémités joue un rôle prédominant par rapport à
l’autre extrémité. Quelle que soit l’arité l’agrégation ne concerne
qu’un seul rôle d’une association. L’agrégation se présente en
ajoutant un petit losange du côté de l’agrégat.
Les critères suivants impliquent l’agrégation :
 Une classe fait partie d’une autre classe ;
 Les valeurs d’attributs d’une classe se propagent dans les
valeurs d’attributs d’une autre classe ;
 Une action sur une classe implique une action sur une autre
classe ;
 Les objets d’une classe sont subordonnés aux objets d’une
autre classe.
La notion d’agrégation ne suppose aucune forme de réalisation
particulière. La contenance physique est un cas particulier de l’agrégation
appelé composition.
 La composition est représentée dans les diagrammes par un
losange de couleur noire. Elle implique une contrainte sur la valeur
de la multiplicité du côté de l’agrégat. Elle ne peut prendre que la
valeur 0 ou 1. La valeur 0 du côté du composant correspond à un
attribut non renseigné. La notation par la composition s’emploie
dans un diagramme de classes lorsqu’un attribut participe à
d’autres relations dans le modèle.
 La généralisation : UML emploie le terme généralisation pour
désigner la relation de classification entre un élément plus général
et un élément plus spécifique. Dans le cas de classes, la relation de
généralisation exprime le fait que les éléments d’une classe sont
aussi décrits par une autre classe. (en fait par le type d’une autre
classe). Elle se représente au moyen d’une flèche qui pointe de la
19
classe plus spécialisée vers la classe plus générale. La tête de la
flèche est réalisée par un petit triangle vide, ce qui permet de la
distinguer d’une flèche ouverte.
 L’association : spécifie une connexion sémantique bidirectionnelle
entre types. Une association possède au moins deux rôles qui
décrivent la part prise par les types participants à l’association.
Diagramme d’activités
Un diagramme d’activités est une variante des diagrammes d’états-
transition, organisé par rapport aux actions et principalement destiné à
représenter le comportement interne d’une méthode (la réalisation d’une
opération) ou d’un cas d’utilisation.26
Chaque activité représente une étape particulière dans l’exécution de la
méthode englobante. Les activités sont reliées par des transitions automatiques,
représentées par les flèches, comme les transitions dans les diagrammes d’états-
transitions. Lorsqu’une activité se termine, la transition est déclenchée et
l’activité suivante démarre.
Les transitions entre activités peuvent être gardées par des conditions
booléennes, mutuellement exclusives. Les gardes se présentent à proximité des
transitions dont elles valident le déclenchement.
UML définit un stéréotype optionnel pour la visualisation des conditions.
Une condition est matérialisée par un losange d’où sortent plusieurs transitions.
Les diagrammes d’activités représentent les synchronisations entre flots
de contrôles, au moyen de barres de synchronisation. Une barre de
synchronisation permet d’ouvrir et de fermer des branches parallèles au sein
d’un flot d’exécution d’une méthode ou d’un cas d’utilisation.
Inversement, une barre de synchronisation ne peut être franchie que
lorsque toutes les transitions en entrée sur la barre ont été déclenchées.
Diagramme de séquence
Le diagramme de séquence est une variante du diagramme de
collaboration. Par opposition aux diagrammes de collaboration, les diagrammes
de séquence possèdent intrinsèquement une dimension temporelle mais ne
26 Pierre-alain Muller,Op.Cit,
20
représente pas explicitement les liens entre les objets. Ils privilégient ainsi la
représentation temporelle à la représentation spatiale et sont plus aptes à
modéliser les aspects dynamiques du système.27
En revanche, ils ne rendent pas compte du contexte des objets de
manière explicite, comme les diagrammes de collaboration. Le diagramme de
séquence permet de visualiser les messages par une lecture de haut en bas.
L’axe vertical représente le temps, l’axe horizontal les objets qui collaborent. Une
ligne verticale en pointillé est attachée à chaque objet et représente sa durée de
vie. Les messages sont représentés comme dans le diagramme de collaboration.
un message de retour sera représenté avec des traits en pointillés.
L’interaction se traduit par l’envoi d’un message entre objets. Le
diagramme de séquence insiste sur la chronologie des objets en utilisant la ligne
de vie des objets. Les diagrammes de séquence permettent de représenter les
périodes d’activité des objets.
Une période d’activité correspond au temps pendant lequel un objet
effectue une action, soit directement, soit par l’intermédiaire d’un autre objet qui
lui sert de sous-traitant. Les périodes d’activité se représentent par des bandes
rectangulaires placées sur la ligne de vie des objets.
Les diagrammes de séquence distinguent 3 catégories d’envois de
message :
- flot de contrôle à plat : Cette catégorie d’envois est utilisée pour
indiquer la progression vers la prochaine étape d’une séquence. Une flèche
simple symbolise de tels messages. Alternativement, une demi-flèche peut être
utilisée pour représenter explicitement des messages asynchrones pour des
systèmes concurrents (la flèche pleine correspond alors à un message avec
attente de prise en compte).
- appel de procédure (ou flot de contrôle emboîté) : Dans un contrôle
emboîté, la séquence emboîtée doit se terminer pour que la séquence en gobant
reprenne le contrôle. Un objet poursuit donc son exécution une fois le
comportement initié par le message terminé.
Le retour de procédure est implicite à la fin d’une activation. Néanmoins,
en cas d’envois de messages asynchrones, il s’avère utile pour montrer la fin de
l’exécution d’une sous procédure et le renvoi éventuel de paramètres.
27
J.STEFFE – ENITA de Bordeaux, cours uml13, école nationale des ingénieurs des travaux
Agricoles de bordeaux, Mars 2005.
21
Un objet peut s’envoyer un message. Cette situation se représente par
une flèche qui revient en boucle sur la ligne de vie de l’objet.
La ligne de vie des objets est représentée par une ligne verticale en traits
pointillés, placée sous le symbole de l’objet concerné. Cette ligne de vie précise
l’existence de l’objet concerné durant un certain laps de temps.
En général, une ligne de vie est représentée sur toute la hauteur du
diagramme de séquence. Par contre, elle peut débuter et s’interrompre à
l’intérieur du diagramme. La création se représente en faisant pointer le
message de création sur le rectangle qui symbolise l’objet créé. La destruction
est indiquée par la fin de la ligne de vie et par une croix (X), soit à la hauteur du
message qui cause la destruction, soit après le dernier message envoyé par un
objet qui se suicide.
QuelquesconceptsUML
Voici les différents concepts et principes de l’approche objet qui sont
à la base d’UML. Leur connaissance est indispensable pour comprendre les
éléments utilisés dans la panoplie des diagrammes d’UML.
 Acteur : Un acteur représente un utilisateur d’un cas d’utilisation dans
son rôle vis-à-vis du système. Le nom de l’acteur est alors celui du rôle.
Deux catégories d’acteurs doivent être distinguées :
 les acteurs primaires pour lesquels l’objectif du cas d’utilisation est
essentiel ;
 les acteurs secondaires qui interagissent avec le cas d’utilisation
mais dont l’objectif n’est pas essentiel.
 Activité : Une activité est une série d’actions. Une action consiste à
affecter une valeur à un attribut, créer ou détruire un objet, effectuer une
opération, envoyer un signal à un autre objet ou à soi-même, etc.
 Activité composée : Le contenu d’une activité composée est formé
d’autres activités.
 Agrégation ou composition faible : L’agrégation est l’association qui relie
un objet composé à ses composants. Elle est faible pour deux raisons : les
composants peuvent appartenir à d’autres objets composés et la
destruction de l’objet composé n’entraîne pas la destruction de ses
composants.
22
 Alternative : Dans un diagramme de séquence, l’alternative est l’un des
opérateurs d’un cadre d’interaction. Elle est associée à une condition. Si la
condition est vérifiée, le contenu du cadre est exécuté.
Dans un diagramme d’activités, l’alternative sert à sélectionner
l’activité suivante. Chaque branche de l’alternative est dotée d’une
condition de garde exclusive des autres conditions.
 Artefact : Un artefact est constitué par la forme physique d’un logiciel. Un
fichier exécutable, une bibliothèque partagée ou un script sont des
exemples de forme physique de logiciel.
 Association entre objets : Une association entre objets est un
ensemble de liens entre les instances de deux ou plusieurs classes. Elle
est décrite dans le diagramme des classes.
 Associations entre paquetages : Il existe deux associations entre
paquetages :
 L’association d’importation consiste à amener dans le paquetage de
destination un élément du paquetage d’origine. L’élément fait alors
partie des éléments visibles du paquetage de destination.
 L’association d’accès consiste à accéder depuis le paquetage de
destination à un élément du paquetage d’origine. L’élément ne fait
alors pas partie des éléments visibles du paquetage de destination.
 Association réflexive : Une association réflexive relie les instances d’une
classe entre elles.
 Attribut calculé : La valeur d’un attribut calculé est donnée par une
fonction basée sur la valeur d’autres attributs.
 Attribut de classe : Un attribut de classe est lié à la classe elle-même
et non à chaque instance. Un tel attribut est partagé par l’ensemble des
instances de la classe.
 Boucle : Dans un diagramme de séquence, la boucle est l’un des
opérateurs d’un cadre d’interaction. Elle consiste en une exécution répétée
du contenu du cadre tant que la condition de fin n’est pas remplie ou que
le nombre maximal de répétitions n’est pas atteint.
 Cas d’utilisation : Un cas d’utilisation décrit les interactions, entre
un utilisateur et le système. Dans un cas d’utilisation avec objectif de
23
l’utilisateur, cette suite d’interactions est liée à un objectif fonctionnel de
l’utilisateur.
Dans un cas d’utilisation de sous-fonction, cette suite d’interactions
est destinée à être incluse dans un autre cas d’utilisation.
 Cadre d’interaction : Un cadre d’interaction est une partie du diagramme
de séquence associée à une étiquette contenant un opérateur qui en
détermine la modalité d’exécution. Les principales modalités sont le
branchement conditionnel et la boucle.
 Cardinalité minimale ou cardinalité maximale : Une cardinalité est
fixée à une extrémité d’une association. Une cardinalité minimale,
respectivement maximale, permet de fixer le nombre minimal,
respectivement maximal, d’instances auxquelles une instance de la classe
située à l’autre extrémité de l’association est reliée.
 Classe : Une classe est constituée par un ensemble d’objets similaires
possédant les mêmes attributs et méthodes. Cette représentation
commune est définie en commun au niveau de la classe. Une classe
concrète définit un modèle complet. Elle possède des instances directes.
Une classe abstraite définit un modèle abstrait. Elle ne possède pas
d’instances directes. Une telle classe sert à factoriser, en tant que
surclasse, des attributs et des méthodes communes de plusieurs classes
concrètes.
Une classe - association est à la fois une association et une classe
dont les instances sont les occurrences de l’association. Ainsi, ces
occurrences peuvent être dotées d’attributs ou d’opérations.
 Composant : Un composant est une unité logicielle offrant des services au
travers d’une ou de plusieurs interfaces. C’est une boîte noire dont le
contenu n’intéresse pas ses clients.
 Composition : La composition (ou composition forte) est l’association qui
relie un objet à ses composants. Elle est forte pour deux raisons : les
composants ne peuvent pas appartenir à d’autres objets composés et la
destruction de l’objet composé entraîne la destruction de ses composants.
24
 Condition de garde : Une condition de garde est utilisée dans les
diagrammes de communication, d’états-transitions et d’activités. Elle
constitue une condition pour respectivement envoyer le message, franchir
la transition ou enchaîner les activités.
 Contraintes sur la relation d’héritage : Il existe quatre contraintes sur
la relation d’héritage entre une surclasse et ses sous-classes:
 {incomplète} : l’ensemble des sous-classes est incomplet et ne couvre
pas la surclasse, c’est-à-dire que l’ensemble des instances des sous-
classes est un sous-ensemble de l’ensemble des instances de la
surclasse.
 {complète} : l’ensemble des sous-classes est complet et couvre la
surclasse.
 {disjoint} : les sous-classes n’ont aucune instance en commun.
 {overlapping} : les sous-classes peuvent avoir une ou plusieurs
instances en commun.
 Couloir : Un couloir regroupe toutes les activités dont un même objet est
le responsable.
 Cycle de vie : Le cycle de vie d’un objet est l’ensemble de ses états et des
transitions les reliant.
 Encapsulation : L’encapsulation consiste à masquer la structure et le
comportement internes et propres au fonctionnement de l’objet. Ce
masquage peut être complet (encapsulation privée), ne pas s’appliquer aux
sous-classes (encapsulation protégée) ou ne pas s’appliquer aux classes
du même paquetage (encapsulation de paquetage).
 Enchaînement d’activités : Un enchaînement d’activités est un lien
depuis une activité d’origine vers une activité de destination. Il est franchi
lorsque l’activité d’origine est terminée.
 État : L’état d’un objet correspond à un moment de son cycle de vie.
Pendant qu’il se trouve dans un état, un objet peut réaliser une activité ou
attendre un signal provenant d’autres objets.
 Généralisation : La généralisation est la relation qui lie une sous-classe à
sa surclasse (ou l’une des surclasses en cas d’héritage multiple).La
généralisation s’applique également aux cas d’utilisation.
25
 Granularité : La granularité d’un objet représente sa taille. Un objet de
petite taille est dit de granularité fine ou de petit grain. Un objet
volumineux est dit de granularité importante ou de gros grain.
 Héritage : L’héritage est la propriété qui fait bénéficier une sous-classe de
la structure et du comportement de sa surclasse. L’héritage est multiple
quand une sous-classe possède plusieurs surclasses.
 Interface : Une interface est une classe abstraite ne contenant que des
signatures de méthodes. La signature d’une méthode est composée de son
nom et de ses paramètres. Une interface fournie décrit les services offerts
par un composant. Une interface requise décrit les services qu’un
composant attend d’un autre composant dont il est le client.
 Instance : Une instance d’une classe est un élément de l’ensemble des
objets de cette classe.
 Ligne de vie : Au sein d’un diagramme de séquence, une ligne de vie
montre les actions et réactions d’une instance, ainsi que les périodes
pendant lesquelles elle est activent.
 MDA : MDA (Model Driven Architecture ou architecture guidée par les
modèles) est une proposition de l’OMG dont l’objectif est la conception de
systèmes basée sur la seule modélisation du domaine, indépendamment
de la plateforme.
 Message : Un message est envoyé à un objet pour l’activer et provoquer
l’exécution de la méthode de même nom. Un envoi de message est un
appel de méthode. Un message peut être envoyé de façon asynchrone.
Dans ce cas, l’appelant atteint la fin de l’exécution de la méthode de l’objet
récepteur avant de continuer son exécution. Un message peut être aussi
envoyé de façon synchrone. Dans ce cas, l’appelant continue son
exécution immédiatement après l’envoi du message.
 Méthode : Une méthode est un ensemble d’instructions prenant des
valeurs en entrée et modifiant les valeurs des attributs ou produisant un
résultat. L’ensemble des méthodes d’une classe décrit le comportement
des instances de cette classe.
26
 Méthode de classe : Une méthode de classe est liée à la classe elle-même
et non à une instance. Son invocation se fait au travers de la classe et non
de l’une de ses instances.
 Navigation : La navigation d’une association en détermine le sens de
parcours.
 Nœud : Un nœud est une unité matérielle capable de recevoir et
d’exécuter du logiciel.
 Objet : Un objet est une entité identifiable du monde réel. Dans le modèle
UML, un objet est une instance d’une classe.
 Occurrence d’une association : Une occurrence d’une association est
un lien entre des instances des classes situées aux extrémités de cette
association.
 OCL : OCL (Object Contrain Language ou langage de contraintes
objet) est un langage destiné à exprimer les contraintes au sein d’un
diagramme de classes sous forme de conditions logiques.
 Paquetage : Un paquetage est un regroupement d’éléments de
modélisation : classes, composants, cas d’utilisation, autres paquetages.
 Polymorphisme : Le polymorphisme est la différence de comportement
qui existe entre des sous-classes d’une même surclasse pour les méthodes
de même nom.
 Qualification : Une association peut être qualifiée à une extrémité afin de
réduire à l’autre extrémité la cardinalité maximale. En effet, la valeur du
qualificateur est alors prise en compte pour déterminer le nombre de
liens.
 Relation de communication : La relation de communication lie un
acteur à un cas d’utilisation.
 Relation d’extension « extend » : La relation d’extension permet
d’enrichir un cas d’utilisation par un cas d’utilisation de sous-fonction.
Cet enrichissement est optionnel.
 Relation d’inclusion « include » : La relation d’inclusion permet
d’enrichir un cas d’utilisation par un cas d’utilisation de sous-fonction.
Cet enrichissement est obligatoire.
27
 Relation de réalisation : La réalisation d’une interface, c’est-à-dire
l’implantation de ses méthodes est confiée à une ou plusieurs classes
concrètes, sous-classes de l’interface. La relation d’héritage qui existe
entre une interface et une sous-classe d’implantation est appelée relation
de réalisation. Cette relation existe également entre une interface et un
composant qui implante ses méthodes.
 Scénario : Un scénario est une instance d’un cas d’utilisation dont toutes
les alternatives ont été fixées.
 Spécialisation : La spécialisation est la relation qui lie une surclasse à
l’une de ses sous-classe. La spécialisation s’applique également aux cas
d’utilisation.
 Stéréotype : Un stéréotype est un mot clé utilisé pour expliciter la
spécialisation d’un élément. Un stéréotype est noté entre guillemets.
 Transition : Une transition est un lien orienté entre deux états qui
exprime le fait que l’objet a la possibilité de passer de l’état d’origine de la
transition à son état de destination.
 Type : Le type peut être une classe ou un type standard. Les types
standards sont respectivement désignés ainsi :
 Integer pour le type des entiers ;
 String pour le type des chaînes de caractères ;
 Boolean pour le type des booléens ;
 Real pour le type des réels.28
28DEBRAUWER L., VAN DER HEYDE F., UML 2 Initiation,exemples et exercices corrigés [2 édition],p.175-180
28
CHAPITRE II. ANALYSE DU METIER
PRESENTATION DE L’OFFICE CONGOLAIS DE CONTROLE
Dans ce chapitre il est question de présenter office congolais de
contrôle(O.C.C), donner son organisation, son fonctionnement ainsi que sa
situation géographique et son statut juridique.
Historiquedel’occ
L’origine de l’office congolais de contrôle date de l’époque coloniale. En
effet, il existait une société à statut privé, de droit Suisse, dénommée « société
générale de surveillance(SGS) qui, créée en 1919 et dont les attributions étaient
quasi-semblables à celle de l’actuel OCC, avait son siège social à Genève. C’est
en 1949 que la SGS implante une filiale au Congo sous dénomination de société
congolais de surveillance(SCS) dont les principes activités :
 D’assurer le contrôle de la qualité, de la quantité et du
fonctionnement du commerce des produits et des marchandises
tant à l’importation qu’à l’exportation ;
 Le contrôle de produits agricoles d’exploitation ou de
consommation locale ;
 Assurer le contrôle d’avaries ;
 Le contrôle avant embarquement de marchandises importées ;
 Le contrôle technique se rapportant à la sécurité du travail ;
 Exploitation des silos de Kinshasa.
Cependant, quelques temps après l’indépendance du pays, la décision du
bureau du mouvement populaire de la révolution(MPR) du 27 octobre 1971
portant changement du nom du Congo à celui du Zaïre, la SCS devient la société
zaïroise de surveillance(S.Z.S) et poursuivit toujours ses activités en tant que
filiale de la SGS mais qui sera dissoute à la suite des mesures économiques du
30 novembre 1971. Néanmoins, avec la politique de la zaïrianisation, le
président en à l’époque, le feu Maréchal Joseph MOBUTU SESESEKO,
promulgue l’ordonnance-loi N°74/013 du 10 janvier 1974 portant création de
l’office zaïroise de contrôle « OZAC » qui se veut alors à une entreprise de droit
public à caractère technique et commercial doté de la personnalité juridique et
non plus cette société privée avant 1974.
Avec le renversement du régime de l’ex-zaïre de MOBUTU par l’arrivée au
pouvoir de Laurent Désiré KABILA le 17 Mai 1997 et le pays étant devenus la
République Démocratique du Congo(RDC), l’office zaïroise de contrôle changea
également d’application et devint l’office congolais de contrôle(O.C.C).
29
Situationgéographique
Au niveau national, une couverture géographique de territoire national
avec des directions provinciales et agences.
Au niveau local, l’agence de l’office congolais de contrôle O.C.C en sigle,
se situe dans la province du haut Katanga, ville de Likasi, avenue LUMUMBA,
N°60 à côté de l’Eglise Sion en face de boulangerie NEW QWOVADIS.
Cadrejuridiquedecontrôle
L’office Congolais de contrôle de l’est un organisme public à caractère
technique et scientifique depuis le décret N°09/42 03 décembre 2009 fixant les
statuts d’un établissement public à caractère scientifique et technique dénommé
office congolais de contrôle(O.C.C) en sigle, doté de la personnalité juridique et
place sous la tutelle du ministère du commerce, il à été créé par l’ordonnance-loi
N°74/013 du 13 janvier 1974.
Ainsi donc, les différents textes de base régissant ses services29 :
a) L’ordonnance-loi N°74/013 de la 10/01/1974 portante création de
l’OZAC ;
b) La loi N°73/009 du 05/01/1973 particulière sur le commerce telle
que modifiée et complétée par la loi N°74/014 du 10/07/1974,
rendant le contrôle de l’O.C.C obligatoire les et produit tant à
l’importation qu’à l’exportation en article 20.
c) L’ordonnance-loi N°74/219 du 05 Mai 1978 portant statut de l’O.C.C.
d) L’office Congolais de contrôle(O.C.C), fixant les statuts d’un
établissement public à caractère scientifique et commercial de son
temps est devenue un établissement public à caractère scientifique et
technique par le décret-loi N°09/42 du 03/12/2009.
Sa vision
L’office congolais de contrôle à une vision d’être un organisme leader
reconnu au niveau international pour soutenir les efforts de développement
économique, industriel et le progrès social dans le pays. Aussi, l’O.C.C. se veut
un organisme tierce partie, impartial et dont la structure, le personnel, la
compétence et l’intégrité permettent d’accomplir son rôle d’arbitre selon des
critères définis, l’office congolais de contrôle est un organisme d’évaluation de la
conformité : il est membre correspondant de l’organisation internationale de la
normalisation(ISO) membre du programme des pays affiliés à la commission
électrotechnique internationale (CEI et de l’ARSON) et membre de l’organisation
régionale Africaine de la normalisation « ORGAN ».
29 Cadre juridique,in.www.occ-rdc.cd
30
Sa mission
Les missions assignées à l’office congolais de contrôle par l’article 3 de
l’ordonnance-loi N°74/013 du 10 janvier 1974 sont les suivants30 :
 Effectuer des contrôles de qualité, quantité et de conformité de
toutes marchandises ;
 Effectuer des contrôles de prix des marchandises et produits à
l’importation ;
 Analyser tous les échantillons et produits ;
 Effectuer des contrôles techniques de tous appareils et travaux ;
 Prévenir des sinistres et procéder au contrat des dommages ou des
avaries ;
 Gérer et exploiter des silos, magasins généraux et entrepôts de
douane.
 Faire toutes les opérations quelconques se rapportant directement
ou indirectement à son activité légale, sauf les opérations d’achat
en vue de la revendre31.
Objectifsprincipaux
Les principaux objectifs de l’O.C.C, peuvent se résumer en trois volets
comme ci-après :
1. EN FAVEUR DE L’ETAT
L’office congolais de contrôle :
 Aide l’Etat à juguler la fraude fiscale et à maitriser la balance
des paiements extérieurs par le contrôle de prix ;
 Aide l’Etat à disposer des statistiques fiables dans le commerce
extérieur et à maitriser la valeur en douane de la marchandise ;
 Soutient l’Etat dans ses efforts de développement intégral.
2. EN FAVEUR DE L’OPERATION ECONOMIQUE
L’O.C.C :
 Rassure les importateurs, les exportateurs, les assureurs ainsi que
les fournisseurs de la qualité, de la quantité, de la conformité et du
prix réel des marchandises et produits ;
 Aide les opérateurs économiques et industriels à assurer le respect
des normes.
3. EN FAVEUR DU CONSOMMATEUR ET DE L’USAGER
30 Cadre juridique,Op.cit
31 idem
31
L’office congolais de contrôle :
 Sécuriser et rassure le consommateur et l’usager de la qualité du
produit identifié et retenu comme propre à la consommation ou
des ouvrages en chantier prêts à être utilisé ;
 Sécurise l’usager sur le lieu de travail ;
 Prévient contre les atteintes à l’environnement humain.
STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ET FONCTIONNELLE
Structurefonctionnellede l’agence de likasi
A l’agence de LIKASI, nous avons un chef d’agence en la personne de Mr
Thierry MWENGE KABAMBI et secondé par le chef d’agence adjoint Mr KILOLO
WA KABWENDE. Le secrétariat est assuré par Mme Valencia MAMBA AWEZAYI
et Mme SOMWE BANEME assure l’encodage.
En effet, l’agence de LIKASI est subdivisée en plusieurs services que nous
allons isoler notre domaine d’étude qui est le service import.
Présentation du service import
Le service import est coordonné par un chef de service en la personne de
monsieur MACHAIL MUNENG Claude, secondé par un chef de service adjoint en
la personne de monsieur TSHISINGA WA TSHISINGA Faustin, ils sont les
collaborateurs directs de la direction de l’agence de O.C.C/LIKASI(chef d’agence
et le chef d’agence adjoint) en matière des importations. En ce qui concerne le
service import, il est composé de deux approches, dont une approche qui est
administrative(les bureaux) et une autre qui est technique(les sections)32.
32 Source : chef de bureau d’émission des documents d’importation, SAMBA MAWETE Benjamain
Direction de l’agent
Service importation
32
Figure 1:Organigramme OCC
33
Figure 2: Structure organisationnelle et fonctionnelle
STRUCTUREORGANISATIONNELLEETFONCTIONNELLE
BureauSMM BureauREI SECTIONS
BureauCAE
BureauCA
BureauEDI
Le chef de service
Chef de service adjoint
LUITA
Quartierindustriel
BULUO
LUISHA2
LUISHA1
POSTE
POSTE
POSTE POSTE
POSTE POSTE
KAKANDA
GECAMINE ET CONN
CENTRE VILLE
SNCCET CONN.
KAMBOVE2
KAMBOVE1
POSTE
POSTE
POSTE POSTE
POSTE POSTE
KAKONTWE
34
Spécification des besoin
Périmètredu système
Le diagramme de contexte va nous montrer les limites du domaine à
étudier.
Figure 3:Périmètre du système
Analysefonctionnelle
Descriptiontextuelle dumétier
1) Gérer pointage
A chaque arrivé de la marchandise d’un client, l’inspecteur de conformité
établi un rapport de pointage de marchandise importée.
Après avoir établi le rapport de pointage l’agent présente le rapport au chef
de section. Ce dernier fait le contrôle et corrige les erreurs s’il y en a et pose sa
signature puis il le garde pour établir le rapport journalier.
2) Gérer les échantillons
System
CHEF SERVICE
CHEF SECTION
ADMINISTRATEUR
ANALYSTE
INSPECT DE CONF
SYSTEME DE CONTROLE DE MARCHANDISE
IMPORTEE
FACTURIER
35
Après avoir rédigé le rapport de pointage, l’inspecteur de conformité
demande les échantillons de produit importé à l’entreprise, en suite il rédige le
rapport d’échantillonnage en précisant l’entreprise, la résidence, le numéro du
camnion qui a transporté la marchandise, la nature de la marchandise, le poids, la
date de prélèvement des échantillons, l’emballage, la quantité. Hors mis ça l’agent
échantillonneur doit mettre ses identités et sa signature.
Après tous, le rapport sera donné au chef de section pour le contrôle et la
validation de ce dernier qui sera déposé au chef de service importation.
3) Etablir le rapport journalier
Chaque fin de la journée le chef de section établi le rapport journalier pour
chaque entreprise ayant été objet de contrôle, celui-ci sera constitué du nom du
responsable de l’entreprise ayant participé au déchargement et sa signature, les
coordonnées de la marchandise (nature, valeur, quantité, poids, le numéro du
camnion, numéro licence, la liquidation…) enfin le nom et la signature du chef de
section. Le rapport est transmis au chef de service importation.
4) Gérer la facturation
A chaque cas de non-paiement de frais à l’importation, le facturier calcule
les éléments de la facturation. C’est le cas de FOB, valeur CIF, frais ouverture, frais
contrôle et impôt, en calculant le frais de contrôle 3,5 % de la valeur CIF puis
détermine les valeurs suivantes : CIF= valeur FOB+frais manutentionnés.
S’il y a erreur ou oublie, le facturier reprend tous les calculs conduisant à
l’élaboration de la facture.
Au cas où il n’y a pas d’imperfection sur les calculs, la facture sera signée
par les parties concernées.
5) Gérer les utilisateurs
Lorsqu’il y a engagement d’un nouvel agent, l’administrateur procède à sa
création ou en cas de changement de service d’un agent l’administrateur peut
modifier ou supprimer le compte.
6) Gérer le dossier
Lorsqu’il y a le dépôt de la lettre de transport de la marchandise le chef de
service procède par vérifier les cordonnées de la lettre si sont vraies, il vérifie si
l’importateur existe, il renouvelle le dossier et si il n’existe pas il crée le dossier.
7) Gérer les analyses
Chaque analyste une fois connecté au système, peut analyser plusieurs
échantillons et restitué ainsi les résultats. Les activités qu’effectuent chaque
analyste est ensuite maintenu à jour par le système. Il précise les analyses faites,
36
les échantillons traités, ainsi que les dates d’analyses. L’analyste est par la suite à
même de consulter ces informations de suivi.
IDENTIFICATIONDES ACTEURS
 Chef de service : crée le dossier, consulte tous les rapports
journaliers de différentes sections.
 Chef de section : il consulte le rapport de pointage et
d’échantillonnage et établi le rapport journalier.
 Inspecteur de conformité : il se charge d’établir le pointage et le
rapport d’échantillon.
 Analyste : partant des échantillons réceptionnés l’analyste restitue
les résultats des analyses correspondants, en complétant La fiche
d’analyse.
 Administrateur : gère les identités des utilisateurs. son impression
et le calcul de différents frais à payer.
 Le facturier : il se charge de l’élaboration de la facture,
DIAGRAMME DE CAS D’UTILISATION
Partant de toute la théorie donnée ci-haut nous optons pour la relation
d’inclusion et nous présentons le cas d’utilisation de notre travail comme suit :
37
Figure 4 : Diagramme de cas d’utilisation
Analyse du domaine
Diagrammedeclassesdudomaine
Voici comment nous avons présenté le diagramme de classe pour notre
travail :
1) diagramme de classe « Gérer utilisateurs »
Figure 5 : Diagramme de classe gérer utilisateurs
38
2) diagramme de classe « gérer dossier »
Figure 6: Diagramme de classe « gérer dossier »
3) Diagramme de classe « gérer les échantillons»
Figure 7: Diagramme de classe « gérer les échantillons»
39
4) Diagramme de classe gérer facturation
Figure 8 : Diagramme de classe gérer facturation
5) Gérer pointage
Figure 9: Gérer pointage
6) Gérer rapport journalier
Figure 10 : Gérer rapport journalier
40
7) Gérer les analyses
Figure 11 : Gérer analyse
41
2.2.3. DIAGRAMME D’ACTIVITE OUPROCESSUS METIER
a) Diagramme d’activité « Gérer utilisateur »
Figure 12: Diagramme d’activité Gérer utilisateur
b) Diagramme d’activité « Gérer dossier »
Figure 13 : Diagramme d’activité Gérer dossier
42
c) Diagramme d’activité « Gérer les échantillons »
Figure 14 : Diagramme d’activité Gérer les échantillons
d) Diagramme d’activité « gérer facturation »
Figure 15 : Diagramme d’activité gérer facturation
43
e) Diagramme d’activité « Gérer pointage »
Figure 16 : Diagramme d’activité Gérer pointage
f) Diagramme d’activité « gérer rapport journalier »
Figure 17 : Diagramme d’activité gérer rapport journalier
44
g) Gérer les analyses
Figure 18 : Gérer les analyses
45
Critique de l’existant et conclusion partielle
 critique de l’existant
Nous avons constaté certaines faiblesses dans le service importation qui
sont :
 Les entreprises donnent les échantillons en retard ce qui cause
aussi le retard dans l’établissement de documents ;
 Le traitement manuel occasionne beaucoup d’erreurs et oublie
causant le problème au chef de section et aux agents de la
section.
 Le système manuel prend du temps dans la vérification, le
contrôle s’il y a un cas de perte de document.
 Encombrement de documents (copies archives).
 Faible mécanisme de contrôle.
 Certains documents se perdent et il y a lieu de perdre tous les
documents en cas d’incendie.
 Conclusion partielle
Par rapport à ce qui précède, nous disons que l’informatisation sera dans ce
contexte une solution la meilleure pour épargner l’office congolais de contrôle et
précisément le service importation dans certains problèmes liés au contrôle de la
marchandise.
Passons à l’étape suivante pour voir la conception du système informatique.
46
CHAPITRE III. CONCEPTION DU SYSTEME INFORMATIQUE
Analyse du système informatique
Le système d’information prend toujours en charge la partie du système
informatique.
Casd’utilisationpourlesbesoinsinformations
Les acteurs retenus pourle systèmeinformatique
 Administrateur
 Chef de service
 Chef de section
 Analyste
 Inspecteur de conformité
 facturier
Cas d’utilisation retenu pourle systèmeinformatique
 Gérer pointage
 Etablir facture
 Gérer échantillon
 Gérer rapport journalier
 Gérer dossier
 Gérer utilisateur
 Gérer les analyses
Cas d’utilisationdusystèmeinformatique
A ce niveau, nous voulons juste présenter les aspects qui feront l’objet
d’informatisation. Ce sont les cas d’utilisation système.
Pour le besoin de la sécurité nous retenons le cas d’utilisation
d’authentification.
47
Figure 19: Cas d’utilisation du système informatique
Scénario desCasd’utilisationdusystèmeinformatique
a. Gérer utilisateurs
 L’administrateur sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;
 Le système affiche la page d’authentification ;
 L’administrateur introduit les coordonnées ;
 Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne
l’administrateur sur la page d’authentification ;
 si les coordonnées sont vraies, il connecte maintenant l’administrateur
sur la page d’administration des utilisateurs ;
48
 l’administrateur choisi l’opération à effectuer
 le système affiche la page choisi
 l’administrateur effectue l’opération et valide si il termine, il peut se
déconnecter.
b. Gérer pointage
 L’inspecteur de conformité sélectionne le formulaire gérer pointage ;
 Le système affiche la page d’authentification ;
 L’administrateur introduit les coordonnées ;
 Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne
L’inspecteur de conformité sur la page d’authentification ;
 si les coordonnées sont vraies, il le connecte sur le formulaire du
pointage;
 L’agent rempli le formulaire enregistre et envoi le pointage au chef de
section.
a) Gérer dossier
 Le chef de service sélectionne le formulaire gérer dossier ;
 Le système affiche la page d’authentification ;
 Le chef de service introduit les coordonnées ;
 Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne le chef
de service sur la page d’authentification ;
 si les coordonnées sont vraies, il le connecte maintenant à la page de
gestion de dossier ;
 le chef de service rempli le formulaire pour la création de l’importateur
et valide ;
 le système affiche le formulaire de la création du produit ;
 le chef de service rempli le formulaire et valide ;
 le système affiche le formulaire de création du déclarant ;
 le chef de service rempli le formulaire et valide ;
 le système demande les paramètres ;
 le chef de service introduit les paramètres et valide.
b) Gérer les échantillons
 L’inspecteur de conformité sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;
 Le système affiche la page d’authentification ;
 L’inspecteur de conformité introduit les coordonnées ;
 Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne l’agent
ehantillonnaire sur la page d’authentification ;
49
 si les coordonnées sont vraies, il affiche maintenant la page des
échantillonnages
 l’agent ehantillonnaire rempli le formulaire valide et transfert le
formulaire au chef de section ;
 le chef de section vérifie si oui il valide et transfert au chef de service et
si non il corrige.
c) Gérer rapport journalier
 Le chef de section sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;
 Le système affiche la page d’authentification ;
 Le chef de section introduit les coordonnées ;
 Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne le chef
de section sur la page d’authentification ;
 si les coordonnées sont vraies, il affiche maintenant la page de gestion
de rapport;
 le chef de section rempli le formulaire et valide enfin le transmet au
chef de service.
d) Gérer facturation
 Le facturier sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;
 Le système affiche la page d’authentification ;
 Le facturier introduit les coordonnées ;
 Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne le
facturier sur la page d’authentification ;
 si les coordonnées sont vraies, il lui connecte maintenant à la page de
facturation ;
 le facturier rempli le formulaire et valide ;
e) gérer les analyses
 L’analyste sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;
 Le système affiche la page d’authentification ;
 L’analyste introduit les coordonnées ;
 Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne
l’analyste sur la page d’authentification ;
 si les coordonnées sont vraies, il lui connecte maintenant à la page
des analyses ;
 l’analyste rempli le formulaire des analyses et transmet au chef de
service.
50
descriptionformelledescasd’utilisation
 Diagramme de séquence
a. Gérer dossier
Figure 20 : Diagramme de séquence gérer dossier
Chef de service
Système
1. Selectionne la page Gérer dossier
2. le système affiche la page d'authentification
3. le chef de service introduit les coordonnées
4.Le sytème vérifie
les coordonnées
Alt [si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5. le système affiche toujours la page d'authentification
7. le système affiche la page de la création de l'importateur
8. le chef de service rempli le formulaire et valide
9. le système affiche la page de création du produit
10. le chef de service rempli le formulaire et valide
11. le système affiche la page de créationdu déclarant
12. le chef de service rempli le formulaire et valide
51
b. Gérer utilisateur
Figure 21 : Diagramme de séquence Gérer utilisateur
Administrateur
Système
1. Selectionne la page Gérer utilisateurs
2.Authentification
3. l'administrateur introduit les coordonnées
4.vérification
de coordonnées
Alt
[si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5. Erreur recommence
6. page d'administration des utilisateurs
7. choisir l'opération et valider
8. le système affiche la page demandée
9.l'administrateur effectue l'opération et valide
52
c. Gérer facturation
Figure 22 : Diagramme de séquence Gérer utilisateur
Facturier
Système
1. Selectionne la page de facturation
2. page d'authentification
3. introduit les coordonnées et valider
4.Le sytème vérifie
les coordonnées
Alt [si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5. Erreur recommencer
6. la pagede rapport journalier
7. remplir le formulaire et valider
8.envoyer le rapport
53
d. Gérer échantillons
Figure 23 : Diagramme de séquence gérer échantillon
e. Gérer rapport journalier
Figure 24 : Diagramme de séquence Gérer échantillon
Système
4. vérifie
les coordonnées
Alt [si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5.Erreur recommencer
7. remplir le formulaire et valider
8. transmettre rapport
inspect de conf
Système
1. Selectionne la page rapport echantillonnage
2.Afficher authentification
3. introduire les coordonnées
4. vérifie
les coordonnées
Alt [si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5.Erreur recommencer
6. Afficher rapport echantillonnage
7. remplir le formulaire et valider
8. transmettre rapport
Système
4. vérifie
les coordonnées
Alt [si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5.Erreur recommencer
6. Afficher rapport journalier
7. remplir le formulaire et valider
8. transmettre rapport
chef de section
Système
1. Selectionne la page rapport journalier
2.Afficher authentification
3. introduire les coordonnées
4. vérifie
les coordonnées
Alt [si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5.Erreur recommencer
6. Afficher rapport journalier
7. remplir le formulaire et valider
8. transmettre rapport
54
f. Gérer pointage
Figure 25 : Diagramme de Sequence gérer pointage
f) Gérer analyses
Figure 26 : Diagramme de séquence gérer analyse
INSPECT DE CONF
Système
1. Selectionne la page de pointage
2. afficher la page d'authentification
3. introduit les coordonnées
4vérifier
les coordonnées
Alt [si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5. Erreur recommencer
6. afficher la pagede pointage
7.Remplir formulaire et valider
8.Transmettre rapport
Analyste
Système
1. Selectionne la page Gérer analyse
2.Authentification
3. Saisir les coordonnées et valider
4.vérification
de coordonnées
Alt
[si authentification incorrecte]
[si authentification correcte]
5. Erreur recommence
6. page analyse
7. remplir formùulaire et valider
8. Transmettre resultat analyse
55
Conception du système
De manière générale, le système doit permettre de créer, supprimer,
modifier, transmettre un rapport journalier, les échantillons, le dossier, la facture et
imprimer la facture, le rapport journalier.
Système
Tableau 2: système informatique
Diagrammed’interaction
Le diagramme d’interaction de se cas d’utilisation se présente comme suit :
Système
-Créer utilisateur
-modifier utilisateur
-afficher utilisateur
-supprimer utilisateur
-créer dossier
-Renouveler dossier
-consulter dossier
-Editer facture
-annuler facture
-imprimer facture
-Consulter facture
-ajouter échantillon
-consulter échantillon
-supprimer échantillon
-ajouter pointage
-supprimer pointage
-consulter pointage
-consulter pointage
-ajouter rapport journalier
-modifier rapport journalier
-consulter rapport journalier
-imprimer rapport journalier
-consulter pointage
-ajouter analyse
- supprimer analyse
-modifier analyse
-consulter analyse
56
a) Gérer utilisateur
Figure 27 : Diagramme d'interaction Gérer utilisateur
[S'authentifier]
seq
loop
[créer utilisateur]
opt
[Modifier]
opt
[Consulter]
opt
[Supprimer]
opt
: administrateur
Ecran général Ecran utilisateur utlisateur utilisateur
1 : Gérer utilisateur()
2 : activer()
3 : Saisir login et mot de passe()
4 : Valider()
5 : Créer login et password()
6 : create()
7 : enregistrement réussi
8 : Selectionner login()
9 : Modifier()
10 : Afficher informations
11 : Saisir nouvelles informations()
12 : Confirmer()
13 : set()
14 : Consulter utilisateur()
15 : selectionner()
16 : select()
17 : Afficher liste utilisateur
18 : Suuprimer()
19 : selectionner()
20 : Delete()
21 : Utilisateur supprimer
57
b) Gérer dossier
Figure 28 : Diagramme d'interaction Gérer dossier
c) Gérer pointage
[S'authentifier]
Ref
loop
[créer dossier]
opt
[Renouveler dossier]
opt
[Consulter Dossier]
opt
[Consulter analyse]
seq
[Consulter rapport journalier]
opt
: Chef service
Ecran général dossier Dossier Importateur Produit
Declarant
Analyse analyse
Rapport journalier Rapport joulier
1 : Créer dossier()
2 : Activer()
3 : Remplir le formulaire importateur()
4 : Valider()
5 : Créer importateur()
6 : Create()
7 : Remplir formulaire Declarant()
8 : Créer Déclarant()
9 : create declarant()
10 : Remplir formulaire produit()
11 : créer Produit()
12 : Create Produit()
13 : Selectionner Dosiier()
14 : Selectionner()
15 : Afficher dossier
16 : Modifier dossier()
17 : Modifier()
18 : Set importateur()
19 : Set Déclarant() 20 : Set Produit()
21 : Consulter Dossier()
22 : Sélection importateur, declarant, produit()
23 : Select importateur()
24 : Importateur 25 : Select Declarant()
26 : selet produit()
27 : Declarant
28 : Produit()
29 : Consulter analyse()
30 : Selectionnet analyse()
31 : selct analyse()
32 : Liste analyse
33 : Consuleter rapport ournalier()
34 : selectionner rapport()
35 : Select rapport()
36 : Liste rapport journalier()
58
Figure 29 : Diagramme d'interaction gérer pointage
d) Gérer échantillon
[S'authentifier]
Ref
loop
[Ajouter]
opt
[Transferer]
opt
[Consulter pointage]
opt
[Supprimer]
opt
: inspecteur de conf
Ecran géneral pointage pointage pointage
1 : Gerer pointage()
2 : Activer()
3 : Remplir formulaire()
4 : Valider()
5 : créer pointage()
6 : Create pointage()
7 : Transferer pointage()
8 : Envoyer()
9 : Send pointage()
10 : Envoi réussi
11 : Consulter pointage()
12 : Selectionner()
13 : select pointage()
14 : liste pointage
15 : Supprimer()
16 : selectionner pointage()
17 : delete()
18 : suppression réussi
59
Figure 30 : Diagramme d'interaction gérer échantillon
e) Gérer rapport journalier
[S'authentifier]
Ref
Frame1
Loop
[Ajouter]
opt
[Transferer]
opt
alt
alt
alt
[Consulter]
opt
[Supprimer]
loop
: inspecteur de conf Ecran général
echantillon
echantillon echantillon
1 : Gérer echantillon()
2 : Activer()
3 : Remplir formulaire et valider()
4 : Ajouter echantillon()
5 : insert echantion()
6 : Ajout réussi
7 : Transferer echantillon()
8 : Envoyé()
9 : Send echantillon()
10 : Echantillon envoyé
11 : Erreur d'envoi
12 : Consulter echantillon()
13 : Selectionner echantillon()
14 : Select echantillon()
15 : Liste echantillon
16 : Supprimer echantillon()
17 : Selectionner()
18 : Select echantillon()
19 : Echantillon supprimer
60
Figure 31 : Diagramme d'interaction gérer rapport journalier
f) Gérer facturation
[S'authentifier]
Ref
loop
Ajouter rapport journalier
opt
alt
alt
alt
Modifier
opt
Transferer rapport
opt
Consulter rapport
opt
Supprimer rapport
opt
: Chef section
Ecran général Journalier
Journalier
Journalier
Pointage pointage
echantillon
echantillon
1 : Gerer rapport journalier()
2 : Activer()
3 : Consulter pointage et echantillon()
4 : Selectioner()
5 : Select * pointage()
6 : Liste pointage
7 : selectionner()
8 : select * echantillon()
9 : Liste echantillon
10 : Remplir formulaire()
11 : créer journalier()
12 : Create journalier()
13 : ajouter éffectuée
14 : Aucun pointage ni echantillon
15 : Selectionner rapport journalier()
16 : Selectionner rapport()
17 : Select rapport()
18 : Afficher rapport
19 : Saisir les informations()
20 : Modifier()
21 : Set rapport journalier()
22 : Transferer()
23 : Envoyer()
24 : Send()
25 : Consulter rapport()
26 : selectionner rapport()
27 : Select * rapport()
28 : Liste rapport journalier
29 : Selectionner rapport()
30 : Supprimer rapport()
31 : Delete rapport()
32 : rapport supprimer
61
Figure 32 : Diagramme d'interaction gérer facturation
g) Gérer analyses
[S'auhentifier]
Ref
loop
Editer facture
opt
Annuler
opt
[Imprimer]
alt
[Consulter]
opt
Ecran géneral Facture
facture
facture
: Facturier
1 : gerer facturation()
2 : Activer()
3 : Remplir formulaire()
4 : Ajouter()
5 : Create facture()
6 : Imprimer()
7 : Imprimer()
8 : Print()
9 : Erreur
10 : Annuler facture() 11 : Annuler()
12 : Reset Facture()
13 : Consulter factures()
14 : Selectionner()
15 : Select facture()
16 : Liste facture
62
Figure 33 : Diagramme d'interaction gérer analyse
[S'authentifier]
Ref
loop
[Ajouter]
opt
transferer
opt
alt
[Modifier]
opt
ConsulterAnalyse
opt
Supprimer
opt
: Analyste
ecran general analyse analyse
analyse
1 : Gerer analyse()
2 : Activer()
3 : Remplir le formulaire()
4 : Créer analyse()
5 : create analyse()
6 : Ajout éffectué
7 : Transferer analyse()
8 : Transferer()
9 : Send analyse()
10 : Opération éffectuer
11 : Echec d'envoi
12 : Modifier analyse()
13 : Selectionner()
14 : Select analyse()
15 : Afficher analyse
16 : Saisir nouvelle informaton()
17 : Modifier analyse()
18 : Set Analyse()
19 : ConsulterAnalyse()
20 : selectionner()
21 : Select *()
22 : Liste Analyses
23 : Spprimer analyse()
24 : selectionner()
25 : Select analyse()
26 : Confirmer
27 : Valider()
28 : Supprimer()
29 : Delete()
30 : Suppression effectuée
63
Diagrammedeconception
1. Gérer utilisateur
Figure 34 : Diagramme de conception gérer utilisateur
<<Dialogue>>
Menu Princinpal
+ gerer_utlisateur()
+ gerer_dossier()
+ gerer_pointage()
+ gerer_echantillon()
+ gerer_rapport_journalier()
+ gerer_facturation()
<<Control>>
Contrôleur Utilisateur()
+ Créer()
+ Modifier()
+ Supprimer()
+ Consulter()
<<Entity>>
:Utilisateur
- Login :String
- Mot de passe :String
<<Dialogue >>
Authentification
+ Login: String
+ mot de passe: Varchar
+ Connexion()
+ Annuler()
<<Dialogue >>
Utilisateur
+ Login : String
+ Mot_de_passe: String
+ Créer()
+ Modifier()
+ Supprimer()
+ Consulter()
64
2. Gérer dossier
Figure 35 : Diagramme de conception gérer dossier
<<Dialogue>>
Menu Principal
+ gerer_utlisateur()
+ gerer_dossier()
+ gerer_pointage()
+ gerer_echantillon()
+ gerer_rapport_journalier()
+ gerer_facturation()
<<Dialogue>>
Authentification
+ Connexion()
+Annuler()
<<Dialogue>>
Dossier
+ CreerDossier()
+RenouvellerDossier()
<<Dialogue>>
Creation Dossier
+ NumDossier: Varchar
+ NumLicence: Varchar
+Id_Importateur
+ Raison_social: String
+Adesse_Importateur: Varchar
+ Qte_Declaree: Integer
+ Periode: String
+ Ident_Declarant: String
+NomDecl:String
+AdresseDec:Varchar
+NumTelDec: String
+ Valider()
+Annuler
<<Control>>
ControleurDossier
+ Creer()
+ Consulter()
<<Entity>>
:Dossier
+ Creer()
+ Consulter()
+Renoveller()
<<Entity>>
:importateur
+ Creer()
+ Consulter()
+ Renouveller()
<<Entity>>
:Declarant
+ Creer()
+ Consulter()
+ Renouveller()
<<Dialogue>>
RenouvellerDossier
+ chercher()
+ Afficher()
+ Modifier()
65
3. Gérer pointage
Figure 36 : Diagramme de conception Gérer pointage
<<Dialogue>>
Menu Princinpal
+ gerer_utlisateur()
+ gerer_dossier()
+ gerer_pointage()
+ gerer_echantillon()
+ gerer_rapport_journalier()
+ gerer_facturation()
<<Dialogue >>
Authentification
+ Login: String
+ mot de passe: Varchar
+ Connexion()
+ Annuler()
<<Dialogue>>
Pointage
+ Nom_entreprise: String
+ Adresse: Varchar
+ nom_marchandise: String
+ Quantite: Varchar
+ Poids: Varchar
+ Numero_camminion:Varchar
+ Emballage:String
+ Ajouter()
+Modifier()
+Transferer()
+Supprimer()
+Consulter()
<<Control >>
Controleur_Pointage
+ Ajouter()
+Modifier()
+Transferer()
+Supprimer()
+Consulter()
<<Entity >>
:Pointage
+ Ajouter()
+Modifier()
+Transferer()
+Supprimer()
+Consulter()
66
4. Gérer Echantillon
Figure 37 : Diagramme de conception Gérer pointage
<<Dialogue >>
Authentification
+ Login: String
+ mot de passe: Varchar
+ Connexion()
+ Annuler()
<<Dialogue>>
Menu Princinpal
+ gerer_utlisateur()
+ gerer_dossier()
+ gerer_pointage()
+ gerer_echantillon()
+ gerer_rapport_journalier()
+ gerer_facturation()
<<Dialogue >>
Authentification
+ T1 E:Integer
+ T1 D:Integer
+ Lieu_du_travail:String
+ Nom_agent: String
+ Fonction_Agent: String
+ MatriculeAgent :Integer
+ Nom_Entreprise:String
+ Nom_declarant :String
+ Qualite: String
+ Adresse_entreprise:Varchar
+ Nature_marchandise:String
+ Poids_marchandise:String
+ Emballage:String()
+ Date_prelevelement_ech:Date
+ Quantite: Varchar
+ Ajouter()
+ Modifier()
+ Supprimer()
+ Consulter()
+ Transferer()
<<Control>>
Controleur_Echantillon
+ Ajouter()
+ Modifier()
+ Supprimer()
+ Consulter()
+ Transferer()
<<Entity>>
Echantillon
+ T1 E:Integer
+ T1 D:Integer
+ Lieu_du_travail:String
+ Nom_agent: String
+ Fonction_Agent: String
+ MatriculeAgent :Integer
+ Nom_Entreprise:String
+ Nom_declarant :String
+ Qualite: String
+ Adresse_entreprise:Varchar
+ Nature_marchandise:String
+ Poids_marchandise:String
+ Emballage:String()
+ Date_prelevelement_ech:Da
+ Quantite: Varchar
67
5. Gérer rapport journalier
Figure 38 : Diagramme de conception gérer échantillon
<<Dialogue >>
Authentification
+ Login: String
+ mot de passe: Varchar
+ Connexion()
+ Annuler()
<<Dialogue>>
Menu Princinpal
+ gerer_utlisateur()
+ gerer_dossier()
+ gerer_pointage()
+ gerer_echantillon()
+ gerer_rapport_journalier()
+ gerer_facturation()
<<Dialogue >>
Journalier
+ Lieu_du_travail: String
+ Client: String
+ Expediteur: String
+ Motif_rapport: String
+ CR: String
+ Date: Date
+ Adresse: Varchar
+ Destinataire: String
+ Instruction:String
+ Declaration:String
+ Quantite:String
+ Poids:String
+ Emballage:String
+ Licence: Varchar
+ AV: Varchar
+ Liquidation: integer
+ Declarant : String
+ numero_ech: Integer
+ Fournisseur: String
+ Facture: Varchar
+ Valeur: Monaitaire
+ TE: Integr
+ TD: Integer
+ fiche_chauffeur: Integer
+ transporteur: String
+ Provenance: String
+ Creer()
+ Supprimer()
+ Modifier()
+ Consulter()
+ Imprimer()
+ Transferer()
<<Control >>
ControleurJournalier
+ Creer()
+ Supprimer()
+ Modifier()
+ Consulter()
+ Imprimer()
+ Transferer()
<<Entity>>
Journalier
+ Lieu_du_travail: String
+ Client: String
+ Expediteur: String
+ Motif_rapport: String
+ CR: String
+ Date: Date
+ Adresse: Varchar
+ Destinataire: String
+ Instruction:String
+ Declaration:String
+ Quantite:String
+ Poids:String
+ Emballage:String
+ Licence: Varchar
+ AV: Varchar
+ Liquidation: integer
+ Declarant : String
+ numero_ech: Integer
+ Fournisseur: String
+ Facture: Varchar
+ Valeur: Monaitaire
+ TE: Integr
+ TD: Integer
+ fiche_chauffeur: Integer
+ transporteur: String
+ Provenance: String
<<Entity>>
Echantillon
+ T1 E:Integer
+ T1 D:Integer
+ Lieu_du_travail:String
+ Nom_agent: String
+ Fonction_Agent: String
+ MatriculeAgent :Integer
+ Nom_Entreprise:String
+ Nom_declarant :String
+ Qualite: String
+ Adresse_entreprise:Varchar
+ Nature_marchandise:String
+ Poids_marchandise:String
+ Emballage:String()
+ Date_prelevelement_ech:Date
+ Quantite: Varchar
<<Entity >>
:Pointage
+ Nom_entreprise : String
+ Adresse :String
+ Declarant:String
+ Nature_marchandise:String
+ Quantite: Varchar
+ Poids: Varchar
+ Num_camnion: Varchar
+ emballage: String
+ cadenat: String
+ Plombe: Varchar
création d'une application web de controle de la marchandise dans une entreprise publique (cas de l'OCC agence de Likasi)
création d'une application web de controle de la marchandise dans une entreprise publique (cas de l'OCC agence de Likasi)
création d'une application web de controle de la marchandise dans une entreprise publique (cas de l'OCC agence de Likasi)
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création d'une application web de controle de la marchandise dans une entreprise publique (cas de l'OCC agence de Likasi)
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création d'une application web de controle de la marchandise dans une entreprise publique (cas de l'OCC agence de Likasi)
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  • 1. I EPIGRAPHE « Trompe-moi sur le prix, ne me trompe pas sur la marchandise » Le parisien
  • 2. II IN MEMORIUM A vous mon grand frère BANZA KITEFU Jean-René et beau-frère NDAY MWEPU KAWANDA, qui ont été emporté tôt dans les oubliettes malgré votre disparition sur cette terre mais nous ne cesserons jamais de penser à vous. Nous demandons que la terre de nos ancêtres vous soit douce et légère et Dieu vous réserve une place au sein de son royaume.
  • 3. III DEDICACE A mes parents Amerdon MPANGA ILUNGA et Marie-Rose NUMBI NGOY pour tant des sacrifices, d’affection et de soutien tant matériel, spirituel que moral pour que je sois ce que je suis aujourd’hui. A vous mes frères et sœurs : NUMBI NGOY Jeanne, MPANGA KYALA Jean, KASONGO NSHIMIKULU Hervé, MWAMBA KABUKWALUYI Papy, BANZE WA MPANGA Biguine, MUTOMBO WA MPANGA Carine, MUJINGA WA MPANGA Jolie. NTAMBO NGOY Stanislas
  • 4. IV REMERCIEMENTS Long a été le chemin parsemé d’embuches et obstacles, seules la persévérance et la patience ont été d’un support considérable pour cette lutte et grâce à elle nous sommes parvenus à atteindre ce niveau. Par ce travail, nous annonçons la fin de notre temps mis pour un apprentissage en vue d’avoir une formation dans la filière que nous avons optée à l’institut supérieur de commerce, informatique et sciences infirmières de Likasi I.S.C.I/Likasi en sigle. Ainsi, la formation reçue met un terme à notre deuxième cycle de l’enseignement supérieur universitaire. D’où l’éthique morale et intellectuelle nous recommande que nous puissions reconnaître la contribution de ceux qui nous ont permis à élaborer de loin ou de près ce travail. Nos remerciements vont tout droit à tous les corps professoral de l’ISCI pour son encadrement dont nous avons bénéficié. Grand merci au Directeur du présent travail chef de travaux LUCIDE BULA qui, malgré ses multiples occupations, nous a montré son soutient avec une grande attention. Cependant nous sommes très heureux de vous remercier pour votre grandiose contribution : BANZE WA MPANGA, KISIMBA MAKONGA Germain, couple ILUNGA NKULU fiston. A toi ma bien aimée MBAYO SEYA Chrislas pour ta patience, ta contribution morale, spirituelle et matérielle enfin que tu aye un homme intellectuel que ce travail soi pour toi une source d’inspiration. Nous ne se serons jamais de montrer notre gratitude à la famille NGOY stanislas pour leurs soutiens. Nos remerciements s’adressent à mes plus proches de la vie UMBA Jimmy, Louise KAYEMBE pour leurs conseils, assistances que l’éternel les comble de bonheur.
  • 5. V Et nous disons merci, à tous nos collègues de la promotion : ONGANOMBE OMOSONGO, ILUNGA TSHIBINDA, NGOY MALOBA MELANIE, KABULO MWANAMFUMU, KIBAMBA NUMBI Troxel, KALENGA LUHEMBWE Polycarpe, KABALAMBI BAKAJI Ezéchiel, YAMBISA KADITSHI Chancelle, MAFUTALA MAHUWA la Joie pour leurs bonnes collaborations et amours qu’ils nous ont montrés. Nous pensons aussi aux cousins et cousines, neveux et nièces, beaux- frères et belles sœurs A tous ceux de près ou de loin, directement ou indirectement ont contribués à l’élaboration de ce travail. NTAMBO NGOY Stanislas
  • 6. VI SIGLES ET ABREVIATIONS OCC : office congolais de contrôle ; AV : attestation de vérification SGBD : système de gestion de base de données PHP : Hypertext Preprocessor SQL : Structured Query Language HTTP : hypertext transfer protocol WAMP : windows apache MySQL php WWW : World Wide Web UML : unified modeling language UP : unified process OMG : Object Management Group OCL : Object Contrain Language MDA : Model Driven Architecture OMG : Object Management Group OOSE : Object-Oriented Software Engineering) OZAC : Office Zaïroise de Contrôle ORGAN : Régionale Africaine de la normalisation CEI : Commission Electrotechnique Internationale
  • 7. VII LISTE DE FIGURE Figure 1 :Organigramme OCC............................................................................32 Figure 2 : Structure organisationnelle et fonctionnelle..........................................33 Figure 3 :Périmètre du système..............................................................................................34 Figure 4 : Diagramme de cas d’utilisation ..........................................................................37 Figure 5 : Diagramme de classe gérer utilisateurs............................................................37 Figure 6 : Diagramme de classe « gérer dossier »...............................................................38 Figure 7 : Diagramme de classe « gérer les échantillons».................................................38 Figure 8 : Diagramme de classe gérer facturation.............................................................39 Figure 9 : Gérer pointage........................................................................................................39 Figure 10 : Gérer rapport journalier......................................................................................39 Figure 11 : Gérer analyse ........................................................................................................40 Figure 12 : Diagramme d’activité Gérer utilisateur...........................................................41 Figure 13 : Diagramme d’activité Gérer dossier..................................................................41 Figure 14 : Diagramme d’activité Gérer les échantillons...................................................42 Figure 15 : Diagramme d’activité gérer facturation...........................................................42 Figure 16 : Diagramme d’activité Gérer pointage ..............................................................43 Figure 17 : Diagramme d’activité gérer rapport journalier................................................43 Figure 18 : Gérer les analyses................................................................................................44 Figure 19 : Cas d’utilisation du système informatique ......................................................47 Figure 20 : Diagramme de séquence gérer dossier.............................................................50 Figure 21 : Diagramme de séquence Gérer utilisateur......................................................51 Figure 22 : Diagramme de séquence Gérer utilisateur......................................................52 Figure 23 : Diagramme de séquence gérer échantillon......................................................53 Figure 24 : Diagramme de séquence Gérer échantillon.....................................................53 Figure 25 : Diagramme de Sequence gérer pointage..........................................................54 Figure 26 : Diagramme de séquence gérer analyse ............................................................54 Figure 27 : Diagramme d'interaction Gérer utilisateur......................................................56 Figure 28 : Diagramme d'interaction Gérer dossier ...........................................................57 Figure 29 : Diagramme d'interaction gérer pointage..........................................................58 Figure 30 : Diagramme d'interaction gérer échantillon.....................................................59 Figure 31 : Diagramme d'interaction gérer rapport journalier........................................60 Figure 32 : Diagramme d'interaction gérer facturation .....................................................61 Figure 33 : Diagramme d'interaction gérer analyse............................................................62 Figure 34 : Diagramme de conception gérer utilisateur ....................................................63 Figure 35 : Diagramme de conception gérer dossier..........................................................64 Figure 36 : Diagramme de conception Gérer pointage.......................................................65 Figure 37 : Diagramme de conception Gérer pointage.......................................................66 Figure 38 : Diagramme de conception gérer échantillon...................................................67 Figure 39 : Diagramme de conception gérer facturation...................................................68 Figure 40 : Diagramme de conception gérer analyse .........................................................69 Figure 41 : Architecture logicielle ..........................................................................................72 Figure 42 : Architecture physique .........................................................................................73 Figure 43 : Fonctionnement du php......................................................................................76
  • 8. VIII Figure 44 : Diagramme de composants................................................................................79 Figure 45 : Diagramme de déploiement................................................................................80 LISTE DE TABLEAU Tableau 1: Liste cardinalité.....................................................................................................18 Tableau 2: système informatique...........................................................................................55
  • 9. 1 INTRODUCTION GENERALE Généralité Le contrôle est une opération destinée à déterminer, avec les moyens appropriés, si le produit (y compris, services, documents, code source) contrôlé est conforme ou non à ses spécifications ou exigences préétablies et incluant une décision d’acceptation, de rejet ou de retouche. Le contrôle est un acte technique permettant de déterminer la conformité d’un produit. Pour effectuer un contrôle sur un produit, il faut au préalable en déterminer les caractéristiques et choisir les limites à l’intérieur desquelles le produit est conforme. L’OCC se veut être un organisme leader reconnu au niveau international pour soutenir les efforts de développements économique, industriel et le progrès social dans le pays.1 Aussi, OCC se veut un organisme tierce partie, impartial dont la structure, le personnel, la compétence et l’intégrité lui permettent d’accomplir ce rôle d’arbitre selon des critères définis. Encore un organisme d’évaluation de la conformité : il est membre correspondant de l’iso, membre de CEI et de l’ARSO aussi de l’OMS depuis le 01èr janvier 1997.2 Laissons nous dire que l’office congolais de contrôle a pour mission de (d’) :  Effectuez des contrôles de qualité, de quantité et de conformité de toutes les marchandises ;  Effectuez des contrôles de prix des marchandises et produits à l’importation et à l’exportation ;  Analyser tous les échantillons et produits ;  Effectuer des contrôles techniques de tous les appareils et travaux ;  Prévenir des sinistres et procéder au constat des dommages ou des avaries ; 1 http ://www.occ-rdc/implantation, consultéce 19/03/2019 2 Idem
  • 10. 2  Gérer et exploiter des silos, magasins généraux et entrepôt de douane ;  Faire toute opération quelconque se rapportant directement ou indirectement à son activité, sauf les opérations d’achat en vue de la revente. Choix Et Intérêt Du Sujet Choixdusujet Après avoir effectué nos recherches sur le processus de contrôle de la marchandise à l’office congolais de contrôle agence de Likasi, nous avons trouvé que le processus présente certaines faiblesses, la répétition de même travaux dans différents bureaux ce qui cause les lenteurs dans la vérification et sur l’élaboration de documents liés à l’importation de la marchandise. Vu ces difficultés liées au contrôle de la marchandise, nous avons eu le courage de nous lancer dans ce domaine pour chercher de solutions en vue de palier l’entreprise au risque lié au contrôle enfin qu’elle ne tombe pas en faillite. Intérêt du sujet Nous avons remarqués après descente sur le lieu de recherche que l’entreprise accusait un certains nombres de retard pour la transmission des informations liées au contrôle de la marchandise, le retard dans l’enregistrement des documents à la hiérarchie et présentation du rapport. Or la technologie a déjà évolué avec la mise en place du projet de contrôle sur le web pour faciliter aux divers contrôleurs de la marchandise d’effectuer un contrôle dans un petit temps. DELIMITATION DU SUJET Amener la technologie dans le monde du travail c’est en quelque sorte faciliter la réalisation du travail et l’amélioration du rendement. L’intérêt de notre sujet s’étend sur trois niveaux : personnel, scientifique et social.  Au niveau personnel : Pour nous, ce travail vient sanctionner la fin de nos études du deuxième cycle et relève de notre propre intérêt car nous avons constaté qu’aux siècles du jour il ne suffit pas seulement d’avoir une marchandise pour satisfaire les besoins de la
  • 11. 3 population mais avoir une bonne qualité dans la voie normale, est pour l’avoir il faut le contrôle pour assurer la sécurité de la population. D’où la nécessite d’utiliser l’outil informatique dans toute opération de contrôle afin d’accroitre le rendement de l’entreprise en temps et en ressources. Partant de ceci, c’est nous qui allons essayer d’utiliser les techniques que nous avons apprise pour façonner un tel système et faciliter le travail aux contrôleurs de l’entreprise office congolais de contrôle. Ce travail nous permettra aussi de concilier la théorie à la pratique et d’assoir toutes les connaissances apprises pendant notre parcours académique.  Au niveau scientifique : Sur le plan scientifique, notre travail trouvera son pesant d’or dans le fait qu’il permettra à d’autres chercheurs venant après nous de s’inspirer de ce que nous allons faire et de le considérer comme une source de documentation.  Au niveau social : pour l’office congolais de contrôle, il facilitera le travail de manière à alléger le contrôle et la satisfaction, mais surtout d’assurer le respect les contraintes de sécurité et d’éviter trop de fraude de la marchandise. Etat de la question Certains centres de recherches, instituts ou universités sont dotés d’un bureau dédié à l’intégrité scientifique, chargé notamment de mener une enquête en cas de soupçon de fraude, et le cas échéant de mettre en place une sanction envers la personne reconnue responsable de fraude (par exemple le plagiat). Dans le cas de l’INSERM, cette fonction est assurée par la Délégation à l'intégrité scientifique.3 Dans le cadre d’éviter la fraude scientifique, nous disons que nous ne sommes pas premier à aborder le thème lié au contrôle. Plusieurs ont parlé sur le thème de contrôle tel est le cas de : 3 www.m.fr.wikipedia.org/wiki/fraudescientifiqueconsultéle28/01/2019 à 12h00
  • 12. 4  MUKADI LUENDU Schadrac, dans son travail intitulé : «conception et création d’une application web de gestion d’expédition de produits miniers dans une entreprise privée (cas de KAI PENG MINING) ».4 il analyse comment réorganiser le processus d’expédition multi- transporteurs, faire le suivi des produits expédiés pour arriver à facturer les clients, retrouver les produits expédiés à une date donnée et contrôler la facturation de chaque transporteur pour nous permettre d’avoir un accès facile aux informations sur les camions, enfin de transmettre rapidement les documents relatifs à l’expédition pour élaborer les rapports dans un temps record, planifier et consolider les expéditions des produits selon les normes de qualité établies.  CHIKURU MUGISHO Alain, dans son travail nommé : « conception d’une application web de suivi des passagers sur tous les vols nationaux et internationaux (cas de la RVA Lubumbashi).5 Il analyse comment modéliser le suivi des passagers sur tous les vols au niveau de la Rva/Katanga et quelle application convient mieux à cette question.  ONGANOMBE OMOSONGO, dans « mise en place d’une application de gestion et suivi de la facturation des marchandises importées (cas de l’office congolais de contrôle de Likasi) ».6 Il cherche à savoir le nombre exact des factures établies à une date donnée si c’est nécessaire et l’accès à une facture concernant un importateur est-elle facile. 4 LUENDU Schadrac : « conception et réalisation d’ion d’une application web de gestion d’expédition des produits miniers dans une entreprise privée, institut supérieur de statistique2013-2014 5 CHIKURU MUGISHO Alain, conception d’une application web de suivi des passagers sur tous les vols nationaux et internationaux, université protestante de Lubumbashi, 2010-2011. 6 ONGANOMBE OMOSONGO : « mise en place d’une application de gestion et suivi de facturation des marchandises importées », institutsupérieur de commerce, informatiqueet sciences infirmières deLikasi,2017-2018.
  • 13. 5 Problématique et hypothèse du travail problématique La problématique est un ensemble de questions principales autour desquelles doit graviter tout le travail.7 Elle permet d’énoncer l’ensemble de questions dans un domaine de la science en vue d’une recherche des solutions. Elle se définit en outre comme une approche ou comme une perspective théorique qu’on décide d’adopter pour traiter le problème posé par la question de départ.8 Partant de définitions citées ci-haut, nous avons ressortis un ensemble de questions qui sont les suivantes :  Comment pouvons-nous réorganiser le processus métier lié au contrôle de la marchandise ?  Que faire pour retracer les clients ayant payé les frais lors de l’importation? Ces différentes questions constituent la préoccupation majeure de notre recherche. Hypothèse L’hypothèse est une réponse anticipée à la question posée qui fait l’objet de la recherche.9 Elle n’est qu’une idée directrice, une tentative d’explication de fait formulé au début de la recherche et destinée à guider l’investigation et être abandonnée ou maintenue après les résultats de l’observation. Lorsque nous analyserons de près le cas et vu les avantages qu’offrent l’informatique aussi dans la résolution des problèmes, nous osons croire en partant de cette définition tout en se référant aux questions posées dans la problématique nous proposons de mettre en place une application web de contrôle qui permettrait de: 7 PINTO et GRAWITZ, méthode en science sociale, éd. Dalloz,Paris,1979,Page285 8 NGOIE TWITE KABULO SH. Cours de statistique descriptive, G1 informatiqueUMK 2014-2015,inédit. 9 idem
  • 14. 6  Centraliser les données venant des plusieurs postes des contrôle enregistrer dans plusieurs coins.  De proposer une base de données fiable pour conservation des données relatives au contrôle de la marchandise. Méthode et technique Méthode Le concept de méthode tire son origine du vocable grec methodos « chemin » ou « voie » et désigne le moyen employé pour parvenir à des fins.10 Une méthode définit une démarche reproductive pour obtenir des résultats fiables. Toutes les connaissances utilisent des méthodes plus ou moins sophistiquées et plus ou moins formalisées.11 Une méthode a pour Object de :  Décrire l’ensemble de tâches à accomplir ;  L’ordonnancement de ces taches accomplir ;  Fournir la documentation et des standards qui leur sont associés ;  Prendre en charge des aspects spécifiques ou une partie du processus de développement. En ce qui nous concerne nous allons faires recours à la méthode UP basée sur le langage de modélisation UML Technique La technique est moyen mise à la disposition des méthodes pour amener à la découverte de la vérité.12 Les techniques suivantes seront utilisées pour bien appréhender les concepts du système étudié.  La technique documentaire 10 www.lesdefinitions.fr /méthode-scientifique 11 Guy orado, Démarche d’application d’uml étude de cas MIAGE2-IUP3, UEVE 2000,p.10 ; 12 ROGER, PINTO, manuel sociologie générale, Afrique 1980,p 21
  • 15. 7 Cette Technique nous a permis à l’assemblage de notes relatives au sujet, des documents ainsi que des ouvrages nécessaires afin de mieux cerner le contour de notre travail.  la technique d’interview Cette technique nous a permis d’obtenir à la source les informations relatives au fonctionnement de la dite entreprise ainsi qu’au déroulement du processus de contrôle. Subdivision du travail En dehors de l’introduction générale et de la conclusion générale, notre travail portera quarte chapitres : Chapitre premier : considérations théoriques. Ce chapitre portera sur la clarification de différents concepts tant qu’informatiques, qu’autres concepts de base. Chapitre deuxième intitulé: analyse du métier, dans ce chapitre il sera question de présenter notre domaine d’étude et de présenter une analyse relative au cas traité. Chapitre troisième intitulé : conception du système: c’est dans ce chapitre que la conception du nouveau système même relatif au contrôle sera réalisée. Il sera question de mettre en place un nouveau système informatique de contrôle de la marchandise lors de l’importation à l’office congolais de contrôle. Chapitre quatrième intitulé : implémentation de l’application, nous aurons à présenter dans ce chapitre les résultats obtenus par la programmation de toute l’analyse ainsi faite dans le langage de programmation PHP et d’une base de données MySQL.
  • 16. 8 CHAPITRE I : CONSIDERATIONS THEORIQUES définition de concepts de base Ici, il nous sera question de donner les différentes définitions de mots utilisés dans le sujet que nous avons choisi et c’est entre autre : ‘’la création d’une application web de contrôle de marchandises importée dans une entreprise publique.’’ Cas de l’office congolais de contrôle.  Création : est l’action de tirer du néant, action de fonder.13  Application : est un programme. C’est une suite d’instructions permettant de réaliser une ou plusieurs tâches, de résoudre un problème, des manipuler les données14. Elle est une expression d’un algorithme dans un langage donné pour une machine donnée.  Web : est une méthode d’exploitation de l’internet, par usage de l’hypertexte.15  Contrôle : c’est une vérification de la conformité à des données préétablies suivi d’un jugement.16  Marchandise : est un ensemble de biens et services faisant l’objet de commerce.17  Entreprise : Selon TSHELD et JC JASTON(1970), l’entreprise est de définie comme une entité de production des biens et services destinés à être échangés contre moyen de paiement (Billet a Ordre, Lettre De Change, ….).On peut l’entendre comme étant une cellule économique ou sont combiné à l’initiative et sous la responsabilité de l’entrepreneur les facteurs nature, travail et le capital, en vue de la production des biens et services dans un but lucratif.  Importer : Selon le dictionnaire Larousse 2008 le verbe un importer prends le sens d’introduire dans un pays les produits étrangers, introduire quelque chose qui vient d’ailleurs. Théoriesurlamodélisation L’informatique s’est glissée imperceptiblement dans notre vie quotidienne. Des machines à laver aux lecteurs de disques compacts, en passant par les distributeurs de billets et les téléphones, quasiment toutes nos activités quotidiennes utilisent du logiciel et, plus le temps passe, plus ce logiciel ne devient complexe et couteux. 13 Jargon informatique 14 YAV MUSHAILA, cours de génie logiciel, ISCI/Likasi,2018,inédit 15 WWW.websemantique.com consultéle 20/03/2019 à 10h20’ 16 KOMBA, cours d’organisation des entreprises, ISCI /likasi,2018,inédit. 17 Norbert LUPITSHI, cours de l’économie politique, UMK /Kamina,2015,inédit
  • 17. 9 La demande de logiciels sophistiqués alourdit considérablement les contraintes imposées aux équipes de développement. Le futur des informaticiens s’annonce comme un monde de complexité croissante, à la fois du fait de la nature des logiciels, de la composition des équipes de développement, et des attentes ergonomiques des utilisateurs. Pour surmonter ces difficultés, les informaticiens vont devoir apprendre à faire, à expliquer, et à comprendre. C’est pour ces raisons qu’ils ont et auront toujours plus besoin de méthodes.18 Il est évident que chaque méthode utilise ses propres techniques, en ce qui concerne la démarche UP, le langage de modélisation UML est la technique dont ses notations seront utilisées pour formaliser les modèles avec cette méthode. Il sera aussi question de l’expliciter. Présentationde laméthodeUP Un processus est une séquence d’étape partiellement ordonnées qui concourent à l’obtention d’un système logiciel ou à l’évaluation d’un système existant.19 Le processus unifié est un processus de développement logiciel, centré sur une architecture, piloté par les cas d’utilisation, interactif et incrémental et orienté vers les diminutions des risques. La méthode UP est : 1. Piloter par les cas d’utilisation : la principale qualité d’un logiciel étant son utilité, son adéquation avec les besoins des utilisateurs. Toutes les étapes partant de la spécification des besoins à la maintenance doivent être guidées par les cas d’utilisations qui représentent en quelque sorte les besoins de nos utilisateurs. 2. Centrée sur l’architecture : l’architecture vient répondre aux besoins exprimés au niveau des cas d’utilisation définis par les utilisateurs, mais également prendre en compte les évolutions futures et les contraintes de réalisation. Mettre en place une architecture revient à adapter les conditions de succès d’un développement. 3. Itérative et incrémentale : l’ensemble du problème est décomposé en petites itérations, définies à partir des cas d’utilisation et de l’étude des 18 Pierre-alain Muller, Modélisation objet avec UML, pam, Avril 1997,p.19 19 RAMAZANI tresor, cours de méthodologie de conduite de projet informatique, Grade II,2018-2019,inédit
  • 18. 10 risques. Les risques majeurs et les cas d’utilisations les plus importants sont toujours traités en priorité. Recourir à la modélisation est depuis fort longtemps une pratique indispensable au développement logiciel, car un modèle est prévu pour parvenir à anticiper les résultats du codage. Un modèle est en effet une représentation abstraite d’un système destiné à faciliter l’étude d’un projet informatique. vuedu processus unifié L’objectif d’un processus unifié est de maitriser la complexité des projets informatiques en diminuant les risques.20 UP est un ensemble des principes générique adaptés en fonction des spécifications des projets. Elle répond aux préoccupations suivantes : Qui participe au projet ? Quoi, qu’Est ce qui est produit durant le projet ? Comment doit-il être réalisé ? Les phases et activités duprocessus UP La gestion d’un tel processus est organisée suivant les quatre phases suivantes : initialisation, élaboration, construction et transition. La phase d’élaboration poursuit trois objectifs principaux en parallèle : • identifier et décrire la majeure partie des besoins des utilisateurs, • construire (et pas seulement décrire dans un document !) l’architecture de base du système, • lever les risques majeurs du projet. La phase de construction consiste surtout à concevoir et implémenter l’ensemble des éléments opérationnels (autres que ceux de l’architecture de base). C’est la phase la plus consommatrice en ressources et en effort. Enfin, la phase de transition permet de faire passer le système informatique des mains des développeurs à celles des utilisateurs finaux. Les mots-clés sont : conversion des données, formation des utilisateurs, déploiement, bêta-tests. 20 Bertin LOBO MINGA, cours de conception de système d’informations1, L1, ISCI,2017-2018,Inédit.
  • 19. 11 Chaque phase est elle-même décomposée séquentiellement en itérations limitées dans le temps (entre 2 et 4 semaines). Le résultat de chacune d’elles est un système testé, intégré et exécutable. L’approche itérative est fondée sur la croissance et l’affinement successifs d’un système par le biais d’itérations multiples. Le système croît avec le temps de façon incrémentale, itération par itération, et c’est pourquoi cette méthode porte également le nom de développement itératif et incrémental. Il s’agit là du principe le plus important du Processus Unifié. Les activités de développement sont définies par cinq disciplines fondamentales qui décrivent la capture des exigences, l’analyse et la conception, l’implémentation, le test et le déploiement. La modélisation métier est une discipline amont optionnelle et transverse aux projets. Enfin, trois disciplines appelées de support complètent le tableau : gestion de projet, gestion du changement et de la configuration, ainsi que la mise à disposition d’un environnement complet de développement incluant aussi bien des outils informatiques que des documents et des guides méthodologiques. UP doit donc être compris comme une trame commune des meilleures pratiques de développement, et non comme l’ultime tentative d’élaborer un processus universel. Présentationdu langagedemodélisationUML UML compte déjà une dizaine d’années d’existence. À l’échelle d’un courant méthodologique, c’est encore une durée relativement courte puisque l’on estime qu’un cycle de développement d’une méthode de cette envergure s’étale sur une période de vingt à trente ans, ce qui a été le cas par exemple pour Merise. Mais l’accélération du renouvellement des technologies conjuguées avec la pression économique et concurrentielle qui s’exerce sur les entreprises, obligent les acteurs du monde informatique à produire des solutions de plus en plus rapidement dans un contexte d’amélioration continue de la qualité et de la performance des systèmes d’information.
  • 20. 12 Notons aussi qu’Internet a été un vecteur favorisant le développement de très nombreuses applications dont une grande partie utilise des solutions à base de langage de programmation objet comme Java, C++ ou C#. UML a apporté tout naturellement le support méthodologique qui manquait à tous les concepteurs et développeurs qui voulaient formaliser l’analyse et la conception technique de leur logiciel. UML s’est donc imposée en tant que langage graphique de modélisation puisque non seulement ce langage répond à un véritable besoin mais en outre il est devenu un standard de fait puisqu’il s’appuie sur une norme très structurante. Rendons tout de même hommage aux trois pères fondateurs d’UML que sont James Rumbaugh, Ivar Jacobson et Grady Booch qui ont été dès le début des années 90 des références dans le monde des méthodes de développement objets. C’est grâce à un premier niveau de travail de fond mené en commun par ces trois comme pères qu’est née en 1995 la méthode dite unifiée qui a été ensuite consacrée par’ OMG (Object Management Group) en 1997 avec la diffusion de la première version de la norme : UMLV1.1. Précisons aussi que les trois auteurs à l’origine d’UML ont poursuivi leur mission d’explication et d’illustration des différentes versions successives d’UML en publiant des ouvrages de référence comme Jacobson2000 et Rumbaugh2004. Il nous semble important de souligner le rôle majeur joué par l’OMG. En effet, cet organisme international de normalisation a en charge non seulement la norme UML mais aussi d’autres réflexions méthodologiques comme l’approche MDA (Model Driven Architecture) qui pousse encore plus loin les limites de l’automatisation de la production du logiciel. Ainsi nous pouvons imaginer que nous arriverons bien un jour à disposer d’une méthode de conception et de développement standardisée couvrant tout le cycle de fabrication d’un logiciel en permettant une production fortement automatisée de la programmation.
  • 21. 13 Mais soyons réalistes, cela demandera à notre avis probablement plusieurs décennies étant donné les difficultés qui restent à traiter et la complexité des niveaux d’abstraction qu’il faut arriver à modéliser.21 SYNTHESE DE GENESE ET VERSION D’UML 21 JOSEPH Gabay, uml2 analyse et conception avec étude de cas , Paris 2008,p 10-11
  • 22. 14 Présentationdesdiagrammes UML 2.0 comporte ainsi treize types de diagrammes représentant autant de vues distinctes pour représenter des concepts particuliers du système d’information. Ils se répartissent en deux grands groupes :22 a) Diagrammes structurels ou diagrammes statique (UML Structure) diagramme de classes (Class diagram) diagramme d’objets (Object diagram) diagramme de composants (Component diagram) diagramme de déploiement (Deployment diagram) diagramme de paquetages (Package diagram) diagramme de structures composites (Composite structure diagram) permet de décrire la structure interne d’objets d’un ensemble complexe des classes et d’objets b) Diagrammes comportemental ou dynamique (UML Behavior) diagramme de cas d’utilisation (Use case diagram) diagramme d’activités (Activity diagram) diagramme d’états-transitions (State machine diagram) diagrammes d’interaction (Interaction diagram) diagramme de séquence (Sequence diagram) diagramme de communication (Communication diagram) diagramme global d’interaction (Interaction overview diagram) diagramme de temps (Timing diagram) Ces diagrammes, d’une utilité variable selon les cas, ne sont pas nécessairement tous produits à l’occasion d’une modélisation. Les plus utiles pour la maîtrise d’ouvrage sont les diagrammes d’activités, de cas d’utilisation, de classes, d’objets, de séquence et d’états-transitions. Les diagrammes de composants, de déploiement et de communication sont surtout utiles pour la maîtrise d’œuvre à qui ils permettent de formaliser les contraintes de la réalisation et la solution technique. 22 Pascal Roaues,UM2 modéliser une application web, 4ème édition, EYROLLES, p.5.
  • 23. 15 Diagramme de cas d’utilisation Les cas d’utilisation ont été définis initialement par Ivar Jacobson en 1992 dans sa méthode OOSE. Les cas d’utilisation constituent un moyen de recueillir et de décrire les besoins des acteurs du système. Ils peuvent être aussi utilisés ensuite comme moyen d’organisation du développement du logiciel, notamment pour la structuration et le déroulement des tests du logiciel.23 Un cas d’utilisation permet de décrire l’interaction entre les acteurs (utilisateurs du cas) et le système. La description de l’interaction est réalisée suivant le point de vue de l’utilisateur. La représentation d’un cas d’utilisation met en jeu trois concepts : l’acteur, le cas d’utilisation et l’interaction entre l’acteur et le cas d’utilisation. Un acteur est un utilisateur type qui a toujours le même comportement vis-à-vis d’un cas d’utilisation. Ainsi les utilisateurs d’un système appartiennent à une ou plusieurs classes d’acteurs selon les rôles qu’ils tiennent par rapport au système. Une même personne physique peut se comporter en autant d’acteurs différents que le nombre de rôles qu’elle joue vis-à-vis du système. Ainsi par exemple, l’administrateur d’un système de messagerie peut être aussi utilisateur de cette même messagerie. Il sera considéré, en tant qu’acteur du système, dans le rôle d’administrateur d’une part et dans celui d’utilisateur d’autre part. Un acteur peut aussi être un système externe avec lequel le cas d’utilisation va interagir. Un acteur peut se représenter symboliquement par un « bonhomme » et être identifié par son nom. Il peut aussi être formalisé par une classe stéréotypée « acteur ». Un cas d’utilisation se représente par un ovale dans lequel figure son intitulé. L’interaction entre un acteur et un cas d’utilisation se représente comme une association. Elle peut comporter des multiplicités comme toute association entre classes. Chaque cas d’utilisation doit être décrit sous forme textuelle afin de bien identifier les traitements à réaliser par le système en vue de la satisfaction du besoin exprimé par l’acteur. Tout système peut être décrit par un certain nombre de cas d’utilisation correspondant aux besoins exprimés par l’ensemble 23 Joseph GABAY et David GABAY, Op.cit,P 62-65.
  • 24. 16 des utilisateurs. À chaque utilisateur, vu comme acteur, correspondra un certain nombre de cas d’utilisation du système. L’ensemble de ces cas d’utilisation se représente sous forme d’un diagramme. Afin d’optimiser la formalisation des besoins en ayant recours notamment à la réutilisation de cas d’utilisation, trois relations peuvent être décrites entre cas d’utilisation : une relation d’inclusion (« include »), une relation d’extension (« extend ») et une relation de généralisation. Une relation d’inclusion d’un cas d’utilisation A par rapport à un cas d’utilisation B signifie qu’une instance de A contient le comportement décrit dans B. Une relation d’extension d’un cas d’utilisation A par un cas d’utilisation B signifie qu’une instance de A peut être étendue par le comportement décrit dans B. Deux caractéristiques sont à noter : • le caractère optionnel de l’extension dans le déroulement du cas d’utilisation standard (A) ; • la mention explicite du point d’extension dans le cas d’utilisation standard. Une note peut être ajoutée à la représentation du cas d’utilisation permettant d’expliciter la condition. Une relation de généralisation de cas d’utilisation peut être définie conformément au principe de la spécialisation-généralisation déjà présentée pour les classes. Diagramme d’objets Le diagramme d’objets permet d’éclairer un diagramme de classes en l’illustrant par des exemples. Il est, par exemple, utilisé pour vérifier l’adéquation d’un diagramme de classes à différents cas possibles. Diagramme d’états-transitions Le diagramme d’états-transitions représente la façon dont évoluent (cycle de vie) les objets appartenant à une même classe. La modélisation du cycle de vie est essentielle pour représenter et mettre en forme la dynamique du système.
  • 25. 17 Diagramme de classes Le diagramme de classes est le point central dans un développement orienté objet. En analyse, il a pour objectif de décrire la structure des entités manipulées par les utilisateurs. En conception, le diagramme de classes représente la structure d’un code orienté objet ou, à un niveau de détail plus important, les modules du langage de développement.24 Les diagrammes de classes expriment de manière générale la structure statique d’un système, en termes de classes et de relations entre ces classes. De même qu’une classe décrit un ensemble d’objets, une association décrit un ensemble de liens ; les objets sont les instances des classes et les liens sont les instances des relations. Un diagramme de classes n’exprime rien de particulier sur les liens d’un objet donné, mais décrit de manière abstraite les liens potentiels d’un objet vers d’autres objets. 25 La classe est représentée par un rectangle compartimenté. Le premier compartiment contient le nom de la classe. Le nom de la classe doit permettre de comprendre ce que la classe est, et non ce qu’elle fait. Une classe n’est pas une fonction, une classe est une description abstraite, condensée d’un ensemble d’objets du domaine de l’application. Les deux autres compartiments contiennent respectivement les attributs et les opérations de la classe. UML définit trois niveaux de visibilité pour les attributs et les opérations :  Public : qui rend l’élément visible à tous les clients de la classe ;  Protégé : qui rend l’élément visible aux sous-classes de la classe ;  Privé : qui rend l’élément visible à la seule classe. L’information de visibilité ne figure pas toujours de manière explicite dans les diagrammes de classes, ce qui ne veut pas dire que la visibilité n’est pas définie dans le modèle. Par défaut, le niveau de visibilité est symbolisé par les caractères + pour le public, # pour le protéger, - pour le privé. Les associations peuvent être nommées ; le nom de l’association apparaît alors en italique, au milieu de la ligne qui symbolise l’association, plus précisément dessus de la ligne. Le sens de la lecture du nom peut être précisé au moyen d’un petit triangle dirigé vers la classe désignée par la forme verbale et placé à la proximité du nom de l’association. 24 Pascal Roques, UML2 par la pratique étude de cas et exercices corrigés, 5ème édition EYROLLES, P.76 25 Pierre-Alain Muller, Op.cit., P.94
  • 26. 18 Chaque rôle d’une association porte une indication de multiplicité qui montre combien d’objets de la classe considérée peuvent être liés à un objet de l’autre classe. La multiplicité est une information portée par le rôle, sous la forme d’une expression entière bornée. 1 Un et un seul 0..1 Zéro ou un * De zéro à plusieurs 0.. * De zéro à plusieurs 1.. * D’un à plusieurs Tableau 1: Liste cardinalité Nous trouvons aussi les relations entre les classes :  L’agrégation : représente une association non symétrique dans laquelle une des extrémités joue un rôle prédominant par rapport à l’autre extrémité. Quelle que soit l’arité l’agrégation ne concerne qu’un seul rôle d’une association. L’agrégation se présente en ajoutant un petit losange du côté de l’agrégat. Les critères suivants impliquent l’agrégation :  Une classe fait partie d’une autre classe ;  Les valeurs d’attributs d’une classe se propagent dans les valeurs d’attributs d’une autre classe ;  Une action sur une classe implique une action sur une autre classe ;  Les objets d’une classe sont subordonnés aux objets d’une autre classe. La notion d’agrégation ne suppose aucune forme de réalisation particulière. La contenance physique est un cas particulier de l’agrégation appelé composition.  La composition est représentée dans les diagrammes par un losange de couleur noire. Elle implique une contrainte sur la valeur de la multiplicité du côté de l’agrégat. Elle ne peut prendre que la valeur 0 ou 1. La valeur 0 du côté du composant correspond à un attribut non renseigné. La notation par la composition s’emploie dans un diagramme de classes lorsqu’un attribut participe à d’autres relations dans le modèle.  La généralisation : UML emploie le terme généralisation pour désigner la relation de classification entre un élément plus général et un élément plus spécifique. Dans le cas de classes, la relation de généralisation exprime le fait que les éléments d’une classe sont aussi décrits par une autre classe. (en fait par le type d’une autre classe). Elle se représente au moyen d’une flèche qui pointe de la
  • 27. 19 classe plus spécialisée vers la classe plus générale. La tête de la flèche est réalisée par un petit triangle vide, ce qui permet de la distinguer d’une flèche ouverte.  L’association : spécifie une connexion sémantique bidirectionnelle entre types. Une association possède au moins deux rôles qui décrivent la part prise par les types participants à l’association. Diagramme d’activités Un diagramme d’activités est une variante des diagrammes d’états- transition, organisé par rapport aux actions et principalement destiné à représenter le comportement interne d’une méthode (la réalisation d’une opération) ou d’un cas d’utilisation.26 Chaque activité représente une étape particulière dans l’exécution de la méthode englobante. Les activités sont reliées par des transitions automatiques, représentées par les flèches, comme les transitions dans les diagrammes d’états- transitions. Lorsqu’une activité se termine, la transition est déclenchée et l’activité suivante démarre. Les transitions entre activités peuvent être gardées par des conditions booléennes, mutuellement exclusives. Les gardes se présentent à proximité des transitions dont elles valident le déclenchement. UML définit un stéréotype optionnel pour la visualisation des conditions. Une condition est matérialisée par un losange d’où sortent plusieurs transitions. Les diagrammes d’activités représentent les synchronisations entre flots de contrôles, au moyen de barres de synchronisation. Une barre de synchronisation permet d’ouvrir et de fermer des branches parallèles au sein d’un flot d’exécution d’une méthode ou d’un cas d’utilisation. Inversement, une barre de synchronisation ne peut être franchie que lorsque toutes les transitions en entrée sur la barre ont été déclenchées. Diagramme de séquence Le diagramme de séquence est une variante du diagramme de collaboration. Par opposition aux diagrammes de collaboration, les diagrammes de séquence possèdent intrinsèquement une dimension temporelle mais ne 26 Pierre-alain Muller,Op.Cit,
  • 28. 20 représente pas explicitement les liens entre les objets. Ils privilégient ainsi la représentation temporelle à la représentation spatiale et sont plus aptes à modéliser les aspects dynamiques du système.27 En revanche, ils ne rendent pas compte du contexte des objets de manière explicite, comme les diagrammes de collaboration. Le diagramme de séquence permet de visualiser les messages par une lecture de haut en bas. L’axe vertical représente le temps, l’axe horizontal les objets qui collaborent. Une ligne verticale en pointillé est attachée à chaque objet et représente sa durée de vie. Les messages sont représentés comme dans le diagramme de collaboration. un message de retour sera représenté avec des traits en pointillés. L’interaction se traduit par l’envoi d’un message entre objets. Le diagramme de séquence insiste sur la chronologie des objets en utilisant la ligne de vie des objets. Les diagrammes de séquence permettent de représenter les périodes d’activité des objets. Une période d’activité correspond au temps pendant lequel un objet effectue une action, soit directement, soit par l’intermédiaire d’un autre objet qui lui sert de sous-traitant. Les périodes d’activité se représentent par des bandes rectangulaires placées sur la ligne de vie des objets. Les diagrammes de séquence distinguent 3 catégories d’envois de message : - flot de contrôle à plat : Cette catégorie d’envois est utilisée pour indiquer la progression vers la prochaine étape d’une séquence. Une flèche simple symbolise de tels messages. Alternativement, une demi-flèche peut être utilisée pour représenter explicitement des messages asynchrones pour des systèmes concurrents (la flèche pleine correspond alors à un message avec attente de prise en compte). - appel de procédure (ou flot de contrôle emboîté) : Dans un contrôle emboîté, la séquence emboîtée doit se terminer pour que la séquence en gobant reprenne le contrôle. Un objet poursuit donc son exécution une fois le comportement initié par le message terminé. Le retour de procédure est implicite à la fin d’une activation. Néanmoins, en cas d’envois de messages asynchrones, il s’avère utile pour montrer la fin de l’exécution d’une sous procédure et le renvoi éventuel de paramètres. 27 J.STEFFE – ENITA de Bordeaux, cours uml13, école nationale des ingénieurs des travaux Agricoles de bordeaux, Mars 2005.
  • 29. 21 Un objet peut s’envoyer un message. Cette situation se représente par une flèche qui revient en boucle sur la ligne de vie de l’objet. La ligne de vie des objets est représentée par une ligne verticale en traits pointillés, placée sous le symbole de l’objet concerné. Cette ligne de vie précise l’existence de l’objet concerné durant un certain laps de temps. En général, une ligne de vie est représentée sur toute la hauteur du diagramme de séquence. Par contre, elle peut débuter et s’interrompre à l’intérieur du diagramme. La création se représente en faisant pointer le message de création sur le rectangle qui symbolise l’objet créé. La destruction est indiquée par la fin de la ligne de vie et par une croix (X), soit à la hauteur du message qui cause la destruction, soit après le dernier message envoyé par un objet qui se suicide. QuelquesconceptsUML Voici les différents concepts et principes de l’approche objet qui sont à la base d’UML. Leur connaissance est indispensable pour comprendre les éléments utilisés dans la panoplie des diagrammes d’UML.  Acteur : Un acteur représente un utilisateur d’un cas d’utilisation dans son rôle vis-à-vis du système. Le nom de l’acteur est alors celui du rôle. Deux catégories d’acteurs doivent être distinguées :  les acteurs primaires pour lesquels l’objectif du cas d’utilisation est essentiel ;  les acteurs secondaires qui interagissent avec le cas d’utilisation mais dont l’objectif n’est pas essentiel.  Activité : Une activité est une série d’actions. Une action consiste à affecter une valeur à un attribut, créer ou détruire un objet, effectuer une opération, envoyer un signal à un autre objet ou à soi-même, etc.  Activité composée : Le contenu d’une activité composée est formé d’autres activités.  Agrégation ou composition faible : L’agrégation est l’association qui relie un objet composé à ses composants. Elle est faible pour deux raisons : les composants peuvent appartenir à d’autres objets composés et la destruction de l’objet composé n’entraîne pas la destruction de ses composants.
  • 30. 22  Alternative : Dans un diagramme de séquence, l’alternative est l’un des opérateurs d’un cadre d’interaction. Elle est associée à une condition. Si la condition est vérifiée, le contenu du cadre est exécuté. Dans un diagramme d’activités, l’alternative sert à sélectionner l’activité suivante. Chaque branche de l’alternative est dotée d’une condition de garde exclusive des autres conditions.  Artefact : Un artefact est constitué par la forme physique d’un logiciel. Un fichier exécutable, une bibliothèque partagée ou un script sont des exemples de forme physique de logiciel.  Association entre objets : Une association entre objets est un ensemble de liens entre les instances de deux ou plusieurs classes. Elle est décrite dans le diagramme des classes.  Associations entre paquetages : Il existe deux associations entre paquetages :  L’association d’importation consiste à amener dans le paquetage de destination un élément du paquetage d’origine. L’élément fait alors partie des éléments visibles du paquetage de destination.  L’association d’accès consiste à accéder depuis le paquetage de destination à un élément du paquetage d’origine. L’élément ne fait alors pas partie des éléments visibles du paquetage de destination.  Association réflexive : Une association réflexive relie les instances d’une classe entre elles.  Attribut calculé : La valeur d’un attribut calculé est donnée par une fonction basée sur la valeur d’autres attributs.  Attribut de classe : Un attribut de classe est lié à la classe elle-même et non à chaque instance. Un tel attribut est partagé par l’ensemble des instances de la classe.  Boucle : Dans un diagramme de séquence, la boucle est l’un des opérateurs d’un cadre d’interaction. Elle consiste en une exécution répétée du contenu du cadre tant que la condition de fin n’est pas remplie ou que le nombre maximal de répétitions n’est pas atteint.  Cas d’utilisation : Un cas d’utilisation décrit les interactions, entre un utilisateur et le système. Dans un cas d’utilisation avec objectif de
  • 31. 23 l’utilisateur, cette suite d’interactions est liée à un objectif fonctionnel de l’utilisateur. Dans un cas d’utilisation de sous-fonction, cette suite d’interactions est destinée à être incluse dans un autre cas d’utilisation.  Cadre d’interaction : Un cadre d’interaction est une partie du diagramme de séquence associée à une étiquette contenant un opérateur qui en détermine la modalité d’exécution. Les principales modalités sont le branchement conditionnel et la boucle.  Cardinalité minimale ou cardinalité maximale : Une cardinalité est fixée à une extrémité d’une association. Une cardinalité minimale, respectivement maximale, permet de fixer le nombre minimal, respectivement maximal, d’instances auxquelles une instance de la classe située à l’autre extrémité de l’association est reliée.  Classe : Une classe est constituée par un ensemble d’objets similaires possédant les mêmes attributs et méthodes. Cette représentation commune est définie en commun au niveau de la classe. Une classe concrète définit un modèle complet. Elle possède des instances directes. Une classe abstraite définit un modèle abstrait. Elle ne possède pas d’instances directes. Une telle classe sert à factoriser, en tant que surclasse, des attributs et des méthodes communes de plusieurs classes concrètes. Une classe - association est à la fois une association et une classe dont les instances sont les occurrences de l’association. Ainsi, ces occurrences peuvent être dotées d’attributs ou d’opérations.  Composant : Un composant est une unité logicielle offrant des services au travers d’une ou de plusieurs interfaces. C’est une boîte noire dont le contenu n’intéresse pas ses clients.  Composition : La composition (ou composition forte) est l’association qui relie un objet à ses composants. Elle est forte pour deux raisons : les composants ne peuvent pas appartenir à d’autres objets composés et la destruction de l’objet composé entraîne la destruction de ses composants.
  • 32. 24  Condition de garde : Une condition de garde est utilisée dans les diagrammes de communication, d’états-transitions et d’activités. Elle constitue une condition pour respectivement envoyer le message, franchir la transition ou enchaîner les activités.  Contraintes sur la relation d’héritage : Il existe quatre contraintes sur la relation d’héritage entre une surclasse et ses sous-classes:  {incomplète} : l’ensemble des sous-classes est incomplet et ne couvre pas la surclasse, c’est-à-dire que l’ensemble des instances des sous- classes est un sous-ensemble de l’ensemble des instances de la surclasse.  {complète} : l’ensemble des sous-classes est complet et couvre la surclasse.  {disjoint} : les sous-classes n’ont aucune instance en commun.  {overlapping} : les sous-classes peuvent avoir une ou plusieurs instances en commun.  Couloir : Un couloir regroupe toutes les activités dont un même objet est le responsable.  Cycle de vie : Le cycle de vie d’un objet est l’ensemble de ses états et des transitions les reliant.  Encapsulation : L’encapsulation consiste à masquer la structure et le comportement internes et propres au fonctionnement de l’objet. Ce masquage peut être complet (encapsulation privée), ne pas s’appliquer aux sous-classes (encapsulation protégée) ou ne pas s’appliquer aux classes du même paquetage (encapsulation de paquetage).  Enchaînement d’activités : Un enchaînement d’activités est un lien depuis une activité d’origine vers une activité de destination. Il est franchi lorsque l’activité d’origine est terminée.  État : L’état d’un objet correspond à un moment de son cycle de vie. Pendant qu’il se trouve dans un état, un objet peut réaliser une activité ou attendre un signal provenant d’autres objets.  Généralisation : La généralisation est la relation qui lie une sous-classe à sa surclasse (ou l’une des surclasses en cas d’héritage multiple).La généralisation s’applique également aux cas d’utilisation.
  • 33. 25  Granularité : La granularité d’un objet représente sa taille. Un objet de petite taille est dit de granularité fine ou de petit grain. Un objet volumineux est dit de granularité importante ou de gros grain.  Héritage : L’héritage est la propriété qui fait bénéficier une sous-classe de la structure et du comportement de sa surclasse. L’héritage est multiple quand une sous-classe possède plusieurs surclasses.  Interface : Une interface est une classe abstraite ne contenant que des signatures de méthodes. La signature d’une méthode est composée de son nom et de ses paramètres. Une interface fournie décrit les services offerts par un composant. Une interface requise décrit les services qu’un composant attend d’un autre composant dont il est le client.  Instance : Une instance d’une classe est un élément de l’ensemble des objets de cette classe.  Ligne de vie : Au sein d’un diagramme de séquence, une ligne de vie montre les actions et réactions d’une instance, ainsi que les périodes pendant lesquelles elle est activent.  MDA : MDA (Model Driven Architecture ou architecture guidée par les modèles) est une proposition de l’OMG dont l’objectif est la conception de systèmes basée sur la seule modélisation du domaine, indépendamment de la plateforme.  Message : Un message est envoyé à un objet pour l’activer et provoquer l’exécution de la méthode de même nom. Un envoi de message est un appel de méthode. Un message peut être envoyé de façon asynchrone. Dans ce cas, l’appelant atteint la fin de l’exécution de la méthode de l’objet récepteur avant de continuer son exécution. Un message peut être aussi envoyé de façon synchrone. Dans ce cas, l’appelant continue son exécution immédiatement après l’envoi du message.  Méthode : Une méthode est un ensemble d’instructions prenant des valeurs en entrée et modifiant les valeurs des attributs ou produisant un résultat. L’ensemble des méthodes d’une classe décrit le comportement des instances de cette classe.
  • 34. 26  Méthode de classe : Une méthode de classe est liée à la classe elle-même et non à une instance. Son invocation se fait au travers de la classe et non de l’une de ses instances.  Navigation : La navigation d’une association en détermine le sens de parcours.  Nœud : Un nœud est une unité matérielle capable de recevoir et d’exécuter du logiciel.  Objet : Un objet est une entité identifiable du monde réel. Dans le modèle UML, un objet est une instance d’une classe.  Occurrence d’une association : Une occurrence d’une association est un lien entre des instances des classes situées aux extrémités de cette association.  OCL : OCL (Object Contrain Language ou langage de contraintes objet) est un langage destiné à exprimer les contraintes au sein d’un diagramme de classes sous forme de conditions logiques.  Paquetage : Un paquetage est un regroupement d’éléments de modélisation : classes, composants, cas d’utilisation, autres paquetages.  Polymorphisme : Le polymorphisme est la différence de comportement qui existe entre des sous-classes d’une même surclasse pour les méthodes de même nom.  Qualification : Une association peut être qualifiée à une extrémité afin de réduire à l’autre extrémité la cardinalité maximale. En effet, la valeur du qualificateur est alors prise en compte pour déterminer le nombre de liens.  Relation de communication : La relation de communication lie un acteur à un cas d’utilisation.  Relation d’extension « extend » : La relation d’extension permet d’enrichir un cas d’utilisation par un cas d’utilisation de sous-fonction. Cet enrichissement est optionnel.  Relation d’inclusion « include » : La relation d’inclusion permet d’enrichir un cas d’utilisation par un cas d’utilisation de sous-fonction. Cet enrichissement est obligatoire.
  • 35. 27  Relation de réalisation : La réalisation d’une interface, c’est-à-dire l’implantation de ses méthodes est confiée à une ou plusieurs classes concrètes, sous-classes de l’interface. La relation d’héritage qui existe entre une interface et une sous-classe d’implantation est appelée relation de réalisation. Cette relation existe également entre une interface et un composant qui implante ses méthodes.  Scénario : Un scénario est une instance d’un cas d’utilisation dont toutes les alternatives ont été fixées.  Spécialisation : La spécialisation est la relation qui lie une surclasse à l’une de ses sous-classe. La spécialisation s’applique également aux cas d’utilisation.  Stéréotype : Un stéréotype est un mot clé utilisé pour expliciter la spécialisation d’un élément. Un stéréotype est noté entre guillemets.  Transition : Une transition est un lien orienté entre deux états qui exprime le fait que l’objet a la possibilité de passer de l’état d’origine de la transition à son état de destination.  Type : Le type peut être une classe ou un type standard. Les types standards sont respectivement désignés ainsi :  Integer pour le type des entiers ;  String pour le type des chaînes de caractères ;  Boolean pour le type des booléens ;  Real pour le type des réels.28 28DEBRAUWER L., VAN DER HEYDE F., UML 2 Initiation,exemples et exercices corrigés [2 édition],p.175-180
  • 36. 28 CHAPITRE II. ANALYSE DU METIER PRESENTATION DE L’OFFICE CONGOLAIS DE CONTROLE Dans ce chapitre il est question de présenter office congolais de contrôle(O.C.C), donner son organisation, son fonctionnement ainsi que sa situation géographique et son statut juridique. Historiquedel’occ L’origine de l’office congolais de contrôle date de l’époque coloniale. En effet, il existait une société à statut privé, de droit Suisse, dénommée « société générale de surveillance(SGS) qui, créée en 1919 et dont les attributions étaient quasi-semblables à celle de l’actuel OCC, avait son siège social à Genève. C’est en 1949 que la SGS implante une filiale au Congo sous dénomination de société congolais de surveillance(SCS) dont les principes activités :  D’assurer le contrôle de la qualité, de la quantité et du fonctionnement du commerce des produits et des marchandises tant à l’importation qu’à l’exportation ;  Le contrôle de produits agricoles d’exploitation ou de consommation locale ;  Assurer le contrôle d’avaries ;  Le contrôle avant embarquement de marchandises importées ;  Le contrôle technique se rapportant à la sécurité du travail ;  Exploitation des silos de Kinshasa. Cependant, quelques temps après l’indépendance du pays, la décision du bureau du mouvement populaire de la révolution(MPR) du 27 octobre 1971 portant changement du nom du Congo à celui du Zaïre, la SCS devient la société zaïroise de surveillance(S.Z.S) et poursuivit toujours ses activités en tant que filiale de la SGS mais qui sera dissoute à la suite des mesures économiques du 30 novembre 1971. Néanmoins, avec la politique de la zaïrianisation, le président en à l’époque, le feu Maréchal Joseph MOBUTU SESESEKO, promulgue l’ordonnance-loi N°74/013 du 10 janvier 1974 portant création de l’office zaïroise de contrôle « OZAC » qui se veut alors à une entreprise de droit public à caractère technique et commercial doté de la personnalité juridique et non plus cette société privée avant 1974. Avec le renversement du régime de l’ex-zaïre de MOBUTU par l’arrivée au pouvoir de Laurent Désiré KABILA le 17 Mai 1997 et le pays étant devenus la République Démocratique du Congo(RDC), l’office zaïroise de contrôle changea également d’application et devint l’office congolais de contrôle(O.C.C).
  • 37. 29 Situationgéographique Au niveau national, une couverture géographique de territoire national avec des directions provinciales et agences. Au niveau local, l’agence de l’office congolais de contrôle O.C.C en sigle, se situe dans la province du haut Katanga, ville de Likasi, avenue LUMUMBA, N°60 à côté de l’Eglise Sion en face de boulangerie NEW QWOVADIS. Cadrejuridiquedecontrôle L’office Congolais de contrôle de l’est un organisme public à caractère technique et scientifique depuis le décret N°09/42 03 décembre 2009 fixant les statuts d’un établissement public à caractère scientifique et technique dénommé office congolais de contrôle(O.C.C) en sigle, doté de la personnalité juridique et place sous la tutelle du ministère du commerce, il à été créé par l’ordonnance-loi N°74/013 du 13 janvier 1974. Ainsi donc, les différents textes de base régissant ses services29 : a) L’ordonnance-loi N°74/013 de la 10/01/1974 portante création de l’OZAC ; b) La loi N°73/009 du 05/01/1973 particulière sur le commerce telle que modifiée et complétée par la loi N°74/014 du 10/07/1974, rendant le contrôle de l’O.C.C obligatoire les et produit tant à l’importation qu’à l’exportation en article 20. c) L’ordonnance-loi N°74/219 du 05 Mai 1978 portant statut de l’O.C.C. d) L’office Congolais de contrôle(O.C.C), fixant les statuts d’un établissement public à caractère scientifique et commercial de son temps est devenue un établissement public à caractère scientifique et technique par le décret-loi N°09/42 du 03/12/2009. Sa vision L’office congolais de contrôle à une vision d’être un organisme leader reconnu au niveau international pour soutenir les efforts de développement économique, industriel et le progrès social dans le pays. Aussi, l’O.C.C. se veut un organisme tierce partie, impartial et dont la structure, le personnel, la compétence et l’intégrité permettent d’accomplir son rôle d’arbitre selon des critères définis, l’office congolais de contrôle est un organisme d’évaluation de la conformité : il est membre correspondant de l’organisation internationale de la normalisation(ISO) membre du programme des pays affiliés à la commission électrotechnique internationale (CEI et de l’ARSON) et membre de l’organisation régionale Africaine de la normalisation « ORGAN ». 29 Cadre juridique,in.www.occ-rdc.cd
  • 38. 30 Sa mission Les missions assignées à l’office congolais de contrôle par l’article 3 de l’ordonnance-loi N°74/013 du 10 janvier 1974 sont les suivants30 :  Effectuer des contrôles de qualité, quantité et de conformité de toutes marchandises ;  Effectuer des contrôles de prix des marchandises et produits à l’importation ;  Analyser tous les échantillons et produits ;  Effectuer des contrôles techniques de tous appareils et travaux ;  Prévenir des sinistres et procéder au contrat des dommages ou des avaries ;  Gérer et exploiter des silos, magasins généraux et entrepôts de douane.  Faire toutes les opérations quelconques se rapportant directement ou indirectement à son activité légale, sauf les opérations d’achat en vue de la revendre31. Objectifsprincipaux Les principaux objectifs de l’O.C.C, peuvent se résumer en trois volets comme ci-après : 1. EN FAVEUR DE L’ETAT L’office congolais de contrôle :  Aide l’Etat à juguler la fraude fiscale et à maitriser la balance des paiements extérieurs par le contrôle de prix ;  Aide l’Etat à disposer des statistiques fiables dans le commerce extérieur et à maitriser la valeur en douane de la marchandise ;  Soutient l’Etat dans ses efforts de développement intégral. 2. EN FAVEUR DE L’OPERATION ECONOMIQUE L’O.C.C :  Rassure les importateurs, les exportateurs, les assureurs ainsi que les fournisseurs de la qualité, de la quantité, de la conformité et du prix réel des marchandises et produits ;  Aide les opérateurs économiques et industriels à assurer le respect des normes. 3. EN FAVEUR DU CONSOMMATEUR ET DE L’USAGER 30 Cadre juridique,Op.cit 31 idem
  • 39. 31 L’office congolais de contrôle :  Sécuriser et rassure le consommateur et l’usager de la qualité du produit identifié et retenu comme propre à la consommation ou des ouvrages en chantier prêts à être utilisé ;  Sécurise l’usager sur le lieu de travail ;  Prévient contre les atteintes à l’environnement humain. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ET FONCTIONNELLE Structurefonctionnellede l’agence de likasi A l’agence de LIKASI, nous avons un chef d’agence en la personne de Mr Thierry MWENGE KABAMBI et secondé par le chef d’agence adjoint Mr KILOLO WA KABWENDE. Le secrétariat est assuré par Mme Valencia MAMBA AWEZAYI et Mme SOMWE BANEME assure l’encodage. En effet, l’agence de LIKASI est subdivisée en plusieurs services que nous allons isoler notre domaine d’étude qui est le service import. Présentation du service import Le service import est coordonné par un chef de service en la personne de monsieur MACHAIL MUNENG Claude, secondé par un chef de service adjoint en la personne de monsieur TSHISINGA WA TSHISINGA Faustin, ils sont les collaborateurs directs de la direction de l’agence de O.C.C/LIKASI(chef d’agence et le chef d’agence adjoint) en matière des importations. En ce qui concerne le service import, il est composé de deux approches, dont une approche qui est administrative(les bureaux) et une autre qui est technique(les sections)32. 32 Source : chef de bureau d’émission des documents d’importation, SAMBA MAWETE Benjamain Direction de l’agent Service importation
  • 41. 33 Figure 2: Structure organisationnelle et fonctionnelle STRUCTUREORGANISATIONNELLEETFONCTIONNELLE BureauSMM BureauREI SECTIONS BureauCAE BureauCA BureauEDI Le chef de service Chef de service adjoint LUITA Quartierindustriel BULUO LUISHA2 LUISHA1 POSTE POSTE POSTE POSTE POSTE POSTE KAKANDA GECAMINE ET CONN CENTRE VILLE SNCCET CONN. KAMBOVE2 KAMBOVE1 POSTE POSTE POSTE POSTE POSTE POSTE KAKONTWE
  • 42. 34 Spécification des besoin Périmètredu système Le diagramme de contexte va nous montrer les limites du domaine à étudier. Figure 3:Périmètre du système Analysefonctionnelle Descriptiontextuelle dumétier 1) Gérer pointage A chaque arrivé de la marchandise d’un client, l’inspecteur de conformité établi un rapport de pointage de marchandise importée. Après avoir établi le rapport de pointage l’agent présente le rapport au chef de section. Ce dernier fait le contrôle et corrige les erreurs s’il y en a et pose sa signature puis il le garde pour établir le rapport journalier. 2) Gérer les échantillons System CHEF SERVICE CHEF SECTION ADMINISTRATEUR ANALYSTE INSPECT DE CONF SYSTEME DE CONTROLE DE MARCHANDISE IMPORTEE FACTURIER
  • 43. 35 Après avoir rédigé le rapport de pointage, l’inspecteur de conformité demande les échantillons de produit importé à l’entreprise, en suite il rédige le rapport d’échantillonnage en précisant l’entreprise, la résidence, le numéro du camnion qui a transporté la marchandise, la nature de la marchandise, le poids, la date de prélèvement des échantillons, l’emballage, la quantité. Hors mis ça l’agent échantillonneur doit mettre ses identités et sa signature. Après tous, le rapport sera donné au chef de section pour le contrôle et la validation de ce dernier qui sera déposé au chef de service importation. 3) Etablir le rapport journalier Chaque fin de la journée le chef de section établi le rapport journalier pour chaque entreprise ayant été objet de contrôle, celui-ci sera constitué du nom du responsable de l’entreprise ayant participé au déchargement et sa signature, les coordonnées de la marchandise (nature, valeur, quantité, poids, le numéro du camnion, numéro licence, la liquidation…) enfin le nom et la signature du chef de section. Le rapport est transmis au chef de service importation. 4) Gérer la facturation A chaque cas de non-paiement de frais à l’importation, le facturier calcule les éléments de la facturation. C’est le cas de FOB, valeur CIF, frais ouverture, frais contrôle et impôt, en calculant le frais de contrôle 3,5 % de la valeur CIF puis détermine les valeurs suivantes : CIF= valeur FOB+frais manutentionnés. S’il y a erreur ou oublie, le facturier reprend tous les calculs conduisant à l’élaboration de la facture. Au cas où il n’y a pas d’imperfection sur les calculs, la facture sera signée par les parties concernées. 5) Gérer les utilisateurs Lorsqu’il y a engagement d’un nouvel agent, l’administrateur procède à sa création ou en cas de changement de service d’un agent l’administrateur peut modifier ou supprimer le compte. 6) Gérer le dossier Lorsqu’il y a le dépôt de la lettre de transport de la marchandise le chef de service procède par vérifier les cordonnées de la lettre si sont vraies, il vérifie si l’importateur existe, il renouvelle le dossier et si il n’existe pas il crée le dossier. 7) Gérer les analyses Chaque analyste une fois connecté au système, peut analyser plusieurs échantillons et restitué ainsi les résultats. Les activités qu’effectuent chaque analyste est ensuite maintenu à jour par le système. Il précise les analyses faites,
  • 44. 36 les échantillons traités, ainsi que les dates d’analyses. L’analyste est par la suite à même de consulter ces informations de suivi. IDENTIFICATIONDES ACTEURS  Chef de service : crée le dossier, consulte tous les rapports journaliers de différentes sections.  Chef de section : il consulte le rapport de pointage et d’échantillonnage et établi le rapport journalier.  Inspecteur de conformité : il se charge d’établir le pointage et le rapport d’échantillon.  Analyste : partant des échantillons réceptionnés l’analyste restitue les résultats des analyses correspondants, en complétant La fiche d’analyse.  Administrateur : gère les identités des utilisateurs. son impression et le calcul de différents frais à payer.  Le facturier : il se charge de l’élaboration de la facture, DIAGRAMME DE CAS D’UTILISATION Partant de toute la théorie donnée ci-haut nous optons pour la relation d’inclusion et nous présentons le cas d’utilisation de notre travail comme suit :
  • 45. 37 Figure 4 : Diagramme de cas d’utilisation Analyse du domaine Diagrammedeclassesdudomaine Voici comment nous avons présenté le diagramme de classe pour notre travail : 1) diagramme de classe « Gérer utilisateurs » Figure 5 : Diagramme de classe gérer utilisateurs
  • 46. 38 2) diagramme de classe « gérer dossier » Figure 6: Diagramme de classe « gérer dossier » 3) Diagramme de classe « gérer les échantillons» Figure 7: Diagramme de classe « gérer les échantillons»
  • 47. 39 4) Diagramme de classe gérer facturation Figure 8 : Diagramme de classe gérer facturation 5) Gérer pointage Figure 9: Gérer pointage 6) Gérer rapport journalier Figure 10 : Gérer rapport journalier
  • 48. 40 7) Gérer les analyses Figure 11 : Gérer analyse
  • 49. 41 2.2.3. DIAGRAMME D’ACTIVITE OUPROCESSUS METIER a) Diagramme d’activité « Gérer utilisateur » Figure 12: Diagramme d’activité Gérer utilisateur b) Diagramme d’activité « Gérer dossier » Figure 13 : Diagramme d’activité Gérer dossier
  • 50. 42 c) Diagramme d’activité « Gérer les échantillons » Figure 14 : Diagramme d’activité Gérer les échantillons d) Diagramme d’activité « gérer facturation » Figure 15 : Diagramme d’activité gérer facturation
  • 51. 43 e) Diagramme d’activité « Gérer pointage » Figure 16 : Diagramme d’activité Gérer pointage f) Diagramme d’activité « gérer rapport journalier » Figure 17 : Diagramme d’activité gérer rapport journalier
  • 52. 44 g) Gérer les analyses Figure 18 : Gérer les analyses
  • 53. 45 Critique de l’existant et conclusion partielle  critique de l’existant Nous avons constaté certaines faiblesses dans le service importation qui sont :  Les entreprises donnent les échantillons en retard ce qui cause aussi le retard dans l’établissement de documents ;  Le traitement manuel occasionne beaucoup d’erreurs et oublie causant le problème au chef de section et aux agents de la section.  Le système manuel prend du temps dans la vérification, le contrôle s’il y a un cas de perte de document.  Encombrement de documents (copies archives).  Faible mécanisme de contrôle.  Certains documents se perdent et il y a lieu de perdre tous les documents en cas d’incendie.  Conclusion partielle Par rapport à ce qui précède, nous disons que l’informatisation sera dans ce contexte une solution la meilleure pour épargner l’office congolais de contrôle et précisément le service importation dans certains problèmes liés au contrôle de la marchandise. Passons à l’étape suivante pour voir la conception du système informatique.
  • 54. 46 CHAPITRE III. CONCEPTION DU SYSTEME INFORMATIQUE Analyse du système informatique Le système d’information prend toujours en charge la partie du système informatique. Casd’utilisationpourlesbesoinsinformations Les acteurs retenus pourle systèmeinformatique  Administrateur  Chef de service  Chef de section  Analyste  Inspecteur de conformité  facturier Cas d’utilisation retenu pourle systèmeinformatique  Gérer pointage  Etablir facture  Gérer échantillon  Gérer rapport journalier  Gérer dossier  Gérer utilisateur  Gérer les analyses Cas d’utilisationdusystèmeinformatique A ce niveau, nous voulons juste présenter les aspects qui feront l’objet d’informatisation. Ce sont les cas d’utilisation système. Pour le besoin de la sécurité nous retenons le cas d’utilisation d’authentification.
  • 55. 47 Figure 19: Cas d’utilisation du système informatique Scénario desCasd’utilisationdusystèmeinformatique a. Gérer utilisateurs  L’administrateur sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;  Le système affiche la page d’authentification ;  L’administrateur introduit les coordonnées ;  Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne l’administrateur sur la page d’authentification ;  si les coordonnées sont vraies, il connecte maintenant l’administrateur sur la page d’administration des utilisateurs ;
  • 56. 48  l’administrateur choisi l’opération à effectuer  le système affiche la page choisi  l’administrateur effectue l’opération et valide si il termine, il peut se déconnecter. b. Gérer pointage  L’inspecteur de conformité sélectionne le formulaire gérer pointage ;  Le système affiche la page d’authentification ;  L’administrateur introduit les coordonnées ;  Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne L’inspecteur de conformité sur la page d’authentification ;  si les coordonnées sont vraies, il le connecte sur le formulaire du pointage;  L’agent rempli le formulaire enregistre et envoi le pointage au chef de section. a) Gérer dossier  Le chef de service sélectionne le formulaire gérer dossier ;  Le système affiche la page d’authentification ;  Le chef de service introduit les coordonnées ;  Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne le chef de service sur la page d’authentification ;  si les coordonnées sont vraies, il le connecte maintenant à la page de gestion de dossier ;  le chef de service rempli le formulaire pour la création de l’importateur et valide ;  le système affiche le formulaire de la création du produit ;  le chef de service rempli le formulaire et valide ;  le système affiche le formulaire de création du déclarant ;  le chef de service rempli le formulaire et valide ;  le système demande les paramètres ;  le chef de service introduit les paramètres et valide. b) Gérer les échantillons  L’inspecteur de conformité sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;  Le système affiche la page d’authentification ;  L’inspecteur de conformité introduit les coordonnées ;  Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne l’agent ehantillonnaire sur la page d’authentification ;
  • 57. 49  si les coordonnées sont vraies, il affiche maintenant la page des échantillonnages  l’agent ehantillonnaire rempli le formulaire valide et transfert le formulaire au chef de section ;  le chef de section vérifie si oui il valide et transfert au chef de service et si non il corrige. c) Gérer rapport journalier  Le chef de section sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;  Le système affiche la page d’authentification ;  Le chef de section introduit les coordonnées ;  Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne le chef de section sur la page d’authentification ;  si les coordonnées sont vraies, il affiche maintenant la page de gestion de rapport;  le chef de section rempli le formulaire et valide enfin le transmet au chef de service. d) Gérer facturation  Le facturier sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;  Le système affiche la page d’authentification ;  Le facturier introduit les coordonnées ;  Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne le facturier sur la page d’authentification ;  si les coordonnées sont vraies, il lui connecte maintenant à la page de facturation ;  le facturier rempli le formulaire et valide ; e) gérer les analyses  L’analyste sélectionne le formulaire gérer utilisateurs ;  Le système affiche la page d’authentification ;  L’analyste introduit les coordonnées ;  Le système vérifie, Si les coordonnées sont faussent il retourne l’analyste sur la page d’authentification ;  si les coordonnées sont vraies, il lui connecte maintenant à la page des analyses ;  l’analyste rempli le formulaire des analyses et transmet au chef de service.
  • 58. 50 descriptionformelledescasd’utilisation  Diagramme de séquence a. Gérer dossier Figure 20 : Diagramme de séquence gérer dossier Chef de service Système 1. Selectionne la page Gérer dossier 2. le système affiche la page d'authentification 3. le chef de service introduit les coordonnées 4.Le sytème vérifie les coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5. le système affiche toujours la page d'authentification 7. le système affiche la page de la création de l'importateur 8. le chef de service rempli le formulaire et valide 9. le système affiche la page de création du produit 10. le chef de service rempli le formulaire et valide 11. le système affiche la page de créationdu déclarant 12. le chef de service rempli le formulaire et valide
  • 59. 51 b. Gérer utilisateur Figure 21 : Diagramme de séquence Gérer utilisateur Administrateur Système 1. Selectionne la page Gérer utilisateurs 2.Authentification 3. l'administrateur introduit les coordonnées 4.vérification de coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5. Erreur recommence 6. page d'administration des utilisateurs 7. choisir l'opération et valider 8. le système affiche la page demandée 9.l'administrateur effectue l'opération et valide
  • 60. 52 c. Gérer facturation Figure 22 : Diagramme de séquence Gérer utilisateur Facturier Système 1. Selectionne la page de facturation 2. page d'authentification 3. introduit les coordonnées et valider 4.Le sytème vérifie les coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5. Erreur recommencer 6. la pagede rapport journalier 7. remplir le formulaire et valider 8.envoyer le rapport
  • 61. 53 d. Gérer échantillons Figure 23 : Diagramme de séquence gérer échantillon e. Gérer rapport journalier Figure 24 : Diagramme de séquence Gérer échantillon Système 4. vérifie les coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5.Erreur recommencer 7. remplir le formulaire et valider 8. transmettre rapport inspect de conf Système 1. Selectionne la page rapport echantillonnage 2.Afficher authentification 3. introduire les coordonnées 4. vérifie les coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5.Erreur recommencer 6. Afficher rapport echantillonnage 7. remplir le formulaire et valider 8. transmettre rapport Système 4. vérifie les coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5.Erreur recommencer 6. Afficher rapport journalier 7. remplir le formulaire et valider 8. transmettre rapport chef de section Système 1. Selectionne la page rapport journalier 2.Afficher authentification 3. introduire les coordonnées 4. vérifie les coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5.Erreur recommencer 6. Afficher rapport journalier 7. remplir le formulaire et valider 8. transmettre rapport
  • 62. 54 f. Gérer pointage Figure 25 : Diagramme de Sequence gérer pointage f) Gérer analyses Figure 26 : Diagramme de séquence gérer analyse INSPECT DE CONF Système 1. Selectionne la page de pointage 2. afficher la page d'authentification 3. introduit les coordonnées 4vérifier les coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5. Erreur recommencer 6. afficher la pagede pointage 7.Remplir formulaire et valider 8.Transmettre rapport Analyste Système 1. Selectionne la page Gérer analyse 2.Authentification 3. Saisir les coordonnées et valider 4.vérification de coordonnées Alt [si authentification incorrecte] [si authentification correcte] 5. Erreur recommence 6. page analyse 7. remplir formùulaire et valider 8. Transmettre resultat analyse
  • 63. 55 Conception du système De manière générale, le système doit permettre de créer, supprimer, modifier, transmettre un rapport journalier, les échantillons, le dossier, la facture et imprimer la facture, le rapport journalier. Système Tableau 2: système informatique Diagrammed’interaction Le diagramme d’interaction de se cas d’utilisation se présente comme suit : Système -Créer utilisateur -modifier utilisateur -afficher utilisateur -supprimer utilisateur -créer dossier -Renouveler dossier -consulter dossier -Editer facture -annuler facture -imprimer facture -Consulter facture -ajouter échantillon -consulter échantillon -supprimer échantillon -ajouter pointage -supprimer pointage -consulter pointage -consulter pointage -ajouter rapport journalier -modifier rapport journalier -consulter rapport journalier -imprimer rapport journalier -consulter pointage -ajouter analyse - supprimer analyse -modifier analyse -consulter analyse
  • 64. 56 a) Gérer utilisateur Figure 27 : Diagramme d'interaction Gérer utilisateur [S'authentifier] seq loop [créer utilisateur] opt [Modifier] opt [Consulter] opt [Supprimer] opt : administrateur Ecran général Ecran utilisateur utlisateur utilisateur 1 : Gérer utilisateur() 2 : activer() 3 : Saisir login et mot de passe() 4 : Valider() 5 : Créer login et password() 6 : create() 7 : enregistrement réussi 8 : Selectionner login() 9 : Modifier() 10 : Afficher informations 11 : Saisir nouvelles informations() 12 : Confirmer() 13 : set() 14 : Consulter utilisateur() 15 : selectionner() 16 : select() 17 : Afficher liste utilisateur 18 : Suuprimer() 19 : selectionner() 20 : Delete() 21 : Utilisateur supprimer
  • 65. 57 b) Gérer dossier Figure 28 : Diagramme d'interaction Gérer dossier c) Gérer pointage [S'authentifier] Ref loop [créer dossier] opt [Renouveler dossier] opt [Consulter Dossier] opt [Consulter analyse] seq [Consulter rapport journalier] opt : Chef service Ecran général dossier Dossier Importateur Produit Declarant Analyse analyse Rapport journalier Rapport joulier 1 : Créer dossier() 2 : Activer() 3 : Remplir le formulaire importateur() 4 : Valider() 5 : Créer importateur() 6 : Create() 7 : Remplir formulaire Declarant() 8 : Créer Déclarant() 9 : create declarant() 10 : Remplir formulaire produit() 11 : créer Produit() 12 : Create Produit() 13 : Selectionner Dosiier() 14 : Selectionner() 15 : Afficher dossier 16 : Modifier dossier() 17 : Modifier() 18 : Set importateur() 19 : Set Déclarant() 20 : Set Produit() 21 : Consulter Dossier() 22 : Sélection importateur, declarant, produit() 23 : Select importateur() 24 : Importateur 25 : Select Declarant() 26 : selet produit() 27 : Declarant 28 : Produit() 29 : Consulter analyse() 30 : Selectionnet analyse() 31 : selct analyse() 32 : Liste analyse 33 : Consuleter rapport ournalier() 34 : selectionner rapport() 35 : Select rapport() 36 : Liste rapport journalier()
  • 66. 58 Figure 29 : Diagramme d'interaction gérer pointage d) Gérer échantillon [S'authentifier] Ref loop [Ajouter] opt [Transferer] opt [Consulter pointage] opt [Supprimer] opt : inspecteur de conf Ecran géneral pointage pointage pointage 1 : Gerer pointage() 2 : Activer() 3 : Remplir formulaire() 4 : Valider() 5 : créer pointage() 6 : Create pointage() 7 : Transferer pointage() 8 : Envoyer() 9 : Send pointage() 10 : Envoi réussi 11 : Consulter pointage() 12 : Selectionner() 13 : select pointage() 14 : liste pointage 15 : Supprimer() 16 : selectionner pointage() 17 : delete() 18 : suppression réussi
  • 67. 59 Figure 30 : Diagramme d'interaction gérer échantillon e) Gérer rapport journalier [S'authentifier] Ref Frame1 Loop [Ajouter] opt [Transferer] opt alt alt alt [Consulter] opt [Supprimer] loop : inspecteur de conf Ecran général echantillon echantillon echantillon 1 : Gérer echantillon() 2 : Activer() 3 : Remplir formulaire et valider() 4 : Ajouter echantillon() 5 : insert echantion() 6 : Ajout réussi 7 : Transferer echantillon() 8 : Envoyé() 9 : Send echantillon() 10 : Echantillon envoyé 11 : Erreur d'envoi 12 : Consulter echantillon() 13 : Selectionner echantillon() 14 : Select echantillon() 15 : Liste echantillon 16 : Supprimer echantillon() 17 : Selectionner() 18 : Select echantillon() 19 : Echantillon supprimer
  • 68. 60 Figure 31 : Diagramme d'interaction gérer rapport journalier f) Gérer facturation [S'authentifier] Ref loop Ajouter rapport journalier opt alt alt alt Modifier opt Transferer rapport opt Consulter rapport opt Supprimer rapport opt : Chef section Ecran général Journalier Journalier Journalier Pointage pointage echantillon echantillon 1 : Gerer rapport journalier() 2 : Activer() 3 : Consulter pointage et echantillon() 4 : Selectioner() 5 : Select * pointage() 6 : Liste pointage 7 : selectionner() 8 : select * echantillon() 9 : Liste echantillon 10 : Remplir formulaire() 11 : créer journalier() 12 : Create journalier() 13 : ajouter éffectuée 14 : Aucun pointage ni echantillon 15 : Selectionner rapport journalier() 16 : Selectionner rapport() 17 : Select rapport() 18 : Afficher rapport 19 : Saisir les informations() 20 : Modifier() 21 : Set rapport journalier() 22 : Transferer() 23 : Envoyer() 24 : Send() 25 : Consulter rapport() 26 : selectionner rapport() 27 : Select * rapport() 28 : Liste rapport journalier 29 : Selectionner rapport() 30 : Supprimer rapport() 31 : Delete rapport() 32 : rapport supprimer
  • 69. 61 Figure 32 : Diagramme d'interaction gérer facturation g) Gérer analyses [S'auhentifier] Ref loop Editer facture opt Annuler opt [Imprimer] alt [Consulter] opt Ecran géneral Facture facture facture : Facturier 1 : gerer facturation() 2 : Activer() 3 : Remplir formulaire() 4 : Ajouter() 5 : Create facture() 6 : Imprimer() 7 : Imprimer() 8 : Print() 9 : Erreur 10 : Annuler facture() 11 : Annuler() 12 : Reset Facture() 13 : Consulter factures() 14 : Selectionner() 15 : Select facture() 16 : Liste facture
  • 70. 62 Figure 33 : Diagramme d'interaction gérer analyse [S'authentifier] Ref loop [Ajouter] opt transferer opt alt [Modifier] opt ConsulterAnalyse opt Supprimer opt : Analyste ecran general analyse analyse analyse 1 : Gerer analyse() 2 : Activer() 3 : Remplir le formulaire() 4 : Créer analyse() 5 : create analyse() 6 : Ajout éffectué 7 : Transferer analyse() 8 : Transferer() 9 : Send analyse() 10 : Opération éffectuer 11 : Echec d'envoi 12 : Modifier analyse() 13 : Selectionner() 14 : Select analyse() 15 : Afficher analyse 16 : Saisir nouvelle informaton() 17 : Modifier analyse() 18 : Set Analyse() 19 : ConsulterAnalyse() 20 : selectionner() 21 : Select *() 22 : Liste Analyses 23 : Spprimer analyse() 24 : selectionner() 25 : Select analyse() 26 : Confirmer 27 : Valider() 28 : Supprimer() 29 : Delete() 30 : Suppression effectuée
  • 71. 63 Diagrammedeconception 1. Gérer utilisateur Figure 34 : Diagramme de conception gérer utilisateur <<Dialogue>> Menu Princinpal + gerer_utlisateur() + gerer_dossier() + gerer_pointage() + gerer_echantillon() + gerer_rapport_journalier() + gerer_facturation() <<Control>> Contrôleur Utilisateur() + Créer() + Modifier() + Supprimer() + Consulter() <<Entity>> :Utilisateur - Login :String - Mot de passe :String <<Dialogue >> Authentification + Login: String + mot de passe: Varchar + Connexion() + Annuler() <<Dialogue >> Utilisateur + Login : String + Mot_de_passe: String + Créer() + Modifier() + Supprimer() + Consulter()
  • 72. 64 2. Gérer dossier Figure 35 : Diagramme de conception gérer dossier <<Dialogue>> Menu Principal + gerer_utlisateur() + gerer_dossier() + gerer_pointage() + gerer_echantillon() + gerer_rapport_journalier() + gerer_facturation() <<Dialogue>> Authentification + Connexion() +Annuler() <<Dialogue>> Dossier + CreerDossier() +RenouvellerDossier() <<Dialogue>> Creation Dossier + NumDossier: Varchar + NumLicence: Varchar +Id_Importateur + Raison_social: String +Adesse_Importateur: Varchar + Qte_Declaree: Integer + Periode: String + Ident_Declarant: String +NomDecl:String +AdresseDec:Varchar +NumTelDec: String + Valider() +Annuler <<Control>> ControleurDossier + Creer() + Consulter() <<Entity>> :Dossier + Creer() + Consulter() +Renoveller() <<Entity>> :importateur + Creer() + Consulter() + Renouveller() <<Entity>> :Declarant + Creer() + Consulter() + Renouveller() <<Dialogue>> RenouvellerDossier + chercher() + Afficher() + Modifier()
  • 73. 65 3. Gérer pointage Figure 36 : Diagramme de conception Gérer pointage <<Dialogue>> Menu Princinpal + gerer_utlisateur() + gerer_dossier() + gerer_pointage() + gerer_echantillon() + gerer_rapport_journalier() + gerer_facturation() <<Dialogue >> Authentification + Login: String + mot de passe: Varchar + Connexion() + Annuler() <<Dialogue>> Pointage + Nom_entreprise: String + Adresse: Varchar + nom_marchandise: String + Quantite: Varchar + Poids: Varchar + Numero_camminion:Varchar + Emballage:String + Ajouter() +Modifier() +Transferer() +Supprimer() +Consulter() <<Control >> Controleur_Pointage + Ajouter() +Modifier() +Transferer() +Supprimer() +Consulter() <<Entity >> :Pointage + Ajouter() +Modifier() +Transferer() +Supprimer() +Consulter()
  • 74. 66 4. Gérer Echantillon Figure 37 : Diagramme de conception Gérer pointage <<Dialogue >> Authentification + Login: String + mot de passe: Varchar + Connexion() + Annuler() <<Dialogue>> Menu Princinpal + gerer_utlisateur() + gerer_dossier() + gerer_pointage() + gerer_echantillon() + gerer_rapport_journalier() + gerer_facturation() <<Dialogue >> Authentification + T1 E:Integer + T1 D:Integer + Lieu_du_travail:String + Nom_agent: String + Fonction_Agent: String + MatriculeAgent :Integer + Nom_Entreprise:String + Nom_declarant :String + Qualite: String + Adresse_entreprise:Varchar + Nature_marchandise:String + Poids_marchandise:String + Emballage:String() + Date_prelevelement_ech:Date + Quantite: Varchar + Ajouter() + Modifier() + Supprimer() + Consulter() + Transferer() <<Control>> Controleur_Echantillon + Ajouter() + Modifier() + Supprimer() + Consulter() + Transferer() <<Entity>> Echantillon + T1 E:Integer + T1 D:Integer + Lieu_du_travail:String + Nom_agent: String + Fonction_Agent: String + MatriculeAgent :Integer + Nom_Entreprise:String + Nom_declarant :String + Qualite: String + Adresse_entreprise:Varchar + Nature_marchandise:String + Poids_marchandise:String + Emballage:String() + Date_prelevelement_ech:Da + Quantite: Varchar
  • 75. 67 5. Gérer rapport journalier Figure 38 : Diagramme de conception gérer échantillon <<Dialogue >> Authentification + Login: String + mot de passe: Varchar + Connexion() + Annuler() <<Dialogue>> Menu Princinpal + gerer_utlisateur() + gerer_dossier() + gerer_pointage() + gerer_echantillon() + gerer_rapport_journalier() + gerer_facturation() <<Dialogue >> Journalier + Lieu_du_travail: String + Client: String + Expediteur: String + Motif_rapport: String + CR: String + Date: Date + Adresse: Varchar + Destinataire: String + Instruction:String + Declaration:String + Quantite:String + Poids:String + Emballage:String + Licence: Varchar + AV: Varchar + Liquidation: integer + Declarant : String + numero_ech: Integer + Fournisseur: String + Facture: Varchar + Valeur: Monaitaire + TE: Integr + TD: Integer + fiche_chauffeur: Integer + transporteur: String + Provenance: String + Creer() + Supprimer() + Modifier() + Consulter() + Imprimer() + Transferer() <<Control >> ControleurJournalier + Creer() + Supprimer() + Modifier() + Consulter() + Imprimer() + Transferer() <<Entity>> Journalier + Lieu_du_travail: String + Client: String + Expediteur: String + Motif_rapport: String + CR: String + Date: Date + Adresse: Varchar + Destinataire: String + Instruction:String + Declaration:String + Quantite:String + Poids:String + Emballage:String + Licence: Varchar + AV: Varchar + Liquidation: integer + Declarant : String + numero_ech: Integer + Fournisseur: String + Facture: Varchar + Valeur: Monaitaire + TE: Integr + TD: Integer + fiche_chauffeur: Integer + transporteur: String + Provenance: String <<Entity>> Echantillon + T1 E:Integer + T1 D:Integer + Lieu_du_travail:String + Nom_agent: String + Fonction_Agent: String + MatriculeAgent :Integer + Nom_Entreprise:String + Nom_declarant :String + Qualite: String + Adresse_entreprise:Varchar + Nature_marchandise:String + Poids_marchandise:String + Emballage:String() + Date_prelevelement_ech:Date + Quantite: Varchar <<Entity >> :Pointage + Nom_entreprise : String + Adresse :String + Declarant:String + Nature_marchandise:String + Quantite: Varchar + Poids: Varchar + Num_camnion: Varchar + emballage: String + cadenat: String + Plombe: Varchar