Enderby, cabinet indépendant de conseil en stratégies de communication et relations publics, spécialisé dans les métiers de conseil aux directions générales (secteurs finance, audit, conseil et juridique), publie les résultats de son étude capital-risque et réseaux sociaux, menée à partir d’un échantillon d’une centaine de fonds de private equity et de leurs dirigeants.
Les résultats de cette étude apparaissent comme contre-intuitifs. Alors même que ces accompagnateurs de start-up présentent une appétence naturelle pour les nouvelles technologies, du fait de leur activité, les fonds de capital-risque sont peu présents sur Twitter et sur LinkedIn. Dans leur majorité, ils sous-utilisent ces outils.
2. E D I T O 3
4 - 9
14
Sociétés de gestion et réseaux sociaux
Dirigeants de sociétés de gestion et réseaux sociaux
Sociétés de gestion : les bons élèves
Dirigeants de société de gestion : les bons élèves
Méthodologie
Contacts
10 - 13
15
16 - 17
18 - 19
3. Edito
par
Franck Moulins
D i r e c t e u r
c o n s e i l
chez Enderby
Ces dernières années, les
réseaux sociaux sont devenus un
outil de diffusion incontournable
de l’information, ainsi qu’un
formidable instrument de
communication. Pour autant,
s’ils ont été majoritairement
adoptés par les sociétés actives
dans la grande distribution ou
par les prestataires de services,
désireux de trouver là des
instruments de promotion de
leurs marques et de gestion de
la relation clients, ils ont pu
être écartés par des entreprises
qui ne présentent pas le même
degré de maturité. Ainsi, parmi
ces dernières, les fonds
d’investissement actifs en
France dans le segment du
capital-risque ne les ont que
partiellement inscrits dans leur
feuille de route. Et ce alors
même que ceux-ci présentent
une entropie naturelle pour les
nouvelles technologies, du fait
de leur activité.
C’est pourquoi cette étude,
conduite par le cabinet de
conseil en stratégies de
communication et en relations
publics Enderby, a pour objet
d’évaluer la profondeur du lien
entre capital-risqueurs et
réseaux sociaux. Menée dans le
courant du mois de mai 2014,
elle s’intéresse plus
spécifiquement à la présence de
ces investisseurs sur Twitter et
sur LinkedIn, ainsi qu’à la façon
dont ils utilisent ces outils.
D’une part, l’analyse d’une
centaine de sociétés de gestion
met en lumière le fait que les
capital-risqueurs actifs dans
l’Hexagone manient les réseaux
sociaux avec parcimonie, dans
leur grande majorité.
En effet, il apparaît que :
- si 38 % des sociétés
d’investissement recensées
disposent d’un compte sur
Twitter et 62 % d’entre elles
ont un profil sur LinkedIn, seules
deux tiers s’en prévalent en
faisant figurer de façon visible
des boutons sur leur site Web.
- dans le cas où elles disposent
de comptes officiels, elles
n’animent pas toujours ceux-ci
de façon active, étant donné
que 56 % « tweetent »
régulièrement et que 71 %
limitent leur profil sur LinkedIn
à leur strict minimum .
D’autre part, il ressort que les
dirigeants des sociétés de
gestion passées au crible ne
prennent pas nécessairement le
relais de leur entreprise par le
biais de leurs comptes
individuels. Alors que d’aucuns
auraient pu prévoir qu’ils
privilégiaient éventuellement
une personnalisation de leur
action sur les réseaux sociaux, il
s’avère que :
- seuls 20 % des patrons de
fonds disposent d’un compte
actif sur Twitter ;
- ils sont toutefois 74 % à avoir
activé un profil sur LinkedIn.
Et même si ces derniers ont fait
majoritairement le choix d’être
pro-actifs sur les deux réseaux,
il apparaît que les marges de
progression dont disposent ces
acteurs sont considérables.
A la lumière de ces tendances, il
est possible d’établir un
palmarès des investisseurs les
plus actifs sur Twitter et sur
LinkedIn. Et de comprendre
leurs motivations au travers des
messages qu’ils véhiculent ainsi.
3
4. Sociétés de gestion et réseaux sociaux
En France, on dénombre une centaine de sociétés de gestion (fonds d’investissement,
sociétés anonymes, holdings, sociétés de capital-risque, regroupements de business
angels, plates-formes de crowdfunding…) dont l’action consiste à financer les start-up –
pour tout ou partie de leur activité.
Cela étant, en dépit de leur intérêt évident pour les nouvelles technologies, il apparaît
qu’elles ne voient pas de façon unanime l’utilité de se tourner vers les réseaux sociaux
pour en faire un outil de relais de leur propre action.
A première lecture, il existe donc un lien paradoxal entre ces pourvoyeurs de capitaux,
dédiés au financement des nouvelles technologies, et la relation qu’ils ont pu nouer
avec les principaux réseaux sociaux utilisés dans leur profession : Twitter et LinkedIn.
4
5. Sociétés de gestion et réseaux sociaux
Une présence relativement limitée
Les investisseurs recensés sont peu nombreux à utiliser activement les réseaux sociaux :
39
63
Sociétés présentes sur
Twitter
Sociétés n'ayant pas de
compte Twitter
39 Sociétés présentes sur
63
Linkedin
Sociétés n'ayant pas de
compte Linkedin
39 sociétés de
gestion disposent
d’un compte sur
Twitter
Présence des sociétés de gestion sur Linkedin
En revanche, lorsque celles-ci ont choisi d’utiliser ce relais sur la Toile, elles vont
majoritairement au bout de cette logique : deux tiers d’entre elles (soit 26 sociétés)
affichent de façon explicite des boutons Twitter et/ou LinkedIn sur leur portail. Que ce
soit sur la page d’accueil de leur site ou sur la page « contact ».
5
Présence des sociétés de gestion sur Twitter
63 structures
ont créé un
profil sur
LinkedIn.
6. Sociétés de gestion et réseaux sociaux
Les liens vers les réseaux
sociaux des sociétés de
gestion se font
généralement directement
sur la page d’accueil du site
Internet ou sur la page
« contact ».
6
Accessibilité aux réseaux sociaux via les
sites Internet
26
13
Bonne accessibilité sur le
site
Mauvaise accessibilité sur
le site
Au regard de ces analyses, il est possible d’avancer que, si les sociétés de capital-risque
ne se sont pas encore majoritairement tournées vers les réseaux sociaux, elles
semblent avoir néanmoins pris conscience de l’intérêt que ce type d’action peut leur
apporter.
Si tel n’avait pas été le cas, elles n’y seraient venues qu’en faisant preuve de plus de
retenue et en n’affichant pas aussi nettement leur présence.
7. Sociétés de gestion et réseaux sociaux
Les sociétés de gestion disposent encore d’une grande marge de manoeuvre pour faire
des réseaux sociaux un outil de promotion et de networking. Même lorsqu’elles ont
retenu l’option de la présence dans ces réseaux, les sociétés de gestion semblent
limiter l’usage qu’elles peuvent en faire.
Elles ne sont qu’une petite
majorité à considérer utile
d’animer le compte dont
elles disposent sur Twitter :
56 % des sociétés de
gestion en question affichent
un bon usage des messages
en 140 signes – en
diffusant au moins un
tweet par semaine.
7
Une présence trop peu exploitée
Fréquence des tweets des sociétés de gestion
22
7
9
1
Les sociétés de gestion
restreignent en grande
majorité l’accès à leur
compte LinkedIn : 71 % des
entités qui y ont ouvert un
compte ne permettent pas
une consultation totale de
leur page, limitant celle-ci
aux seules informations
génériques (résumé
descriptif de l’activité,
coordonnées, etc.). Alors
que les autres y diffusent des
informations les concernant,
ainsi que des sujets qu’elles
ont trouvé utile de relayer,
du fait de leur contenu.
Bon usage de Twitter
Usage moyen
Usage réduit
Accès protégé
Présence des posts sur Linkedin
9 2
7
45
Bon usage de
LinkedIn
Usage moyen
Mauvais usage
Accès verrouillé
8. Sociétés de gestion et réseaux sociaux
Il s’avère donc que, dans leur grande majorité, les sociétés passées au crible ont choisi
de s’en tenir au strict minimum, dans le meilleur des cas. Dans l’hypothèse où elles se
soucient de leur communication institutionnelle, elles ont pris le parti de faire un
premier pas sur les réseaux sociaux, en faisant pour autant preuve de prudence, voire
de retenue. Il est donc nécessaire de comprendre un tel comportement et d’identifier
quels ont pu être les facteurs clés de ce type d’attitude.
Une présence corrélée avec l’attrait pour les projets sur
Internet
L’utilisation des réseaux sociaux comme vecteur de diffusion de l’information n’est pas
l’apanage des « pure players » d’Internet, contrairement à ce que l’on pourrait croire.
En effet, parmi les 22 sociétés de gestion à avoir identifié l’intérêt d’une gestion active
de leur compte Twitter, seules 27 % d’entre elles (soit 7 structures) ont un prisme
d’investissement exclusivement tourné vers l’économie numérique.
Toutefois, la grande majorité de ces « bons élèves » a fait de la Toile son terrain de
chasse : si l’on ajoute aux « pure players » les sociétés de gestion qui ciblent les NTIC
(et donc Internet), les généralistes (dont le spectre inclut aussi les sciences de la vie) et
les plates-formes de crowdfunding, on totalise 20 structures sur 22 – les deux
autres étant actives dans les domaines de l’énergie/environnement et dans le créneau
export/art de vivre.
8
Secteurs d’investissement des sociétés de gestion actives sur Twitter
7
6
2
5
1
1
Economie numérique, Internet
NTIC (dont Internet)
Crowdfunding
Généralistes (NTIC, sciences de la vie…)
Energie, environnement
Export, art de vivre, etc.
9. Sociétés de gestion et réseaux sociaux
9
On se trouve en France face à deux catégories de sociétés d’investissement :
• celles qui scrutent Internet, afin d’y dénicher des projets d’investissement
prometteurs, ont logiquement pris le parti d’ouvrir une « lucarne » sur les réseaux
sociaux, fut-ce à des degrés divers ;
• celles qui présentent un spectre d’investissement bien plus large que le Web n’ont
pas nécessairement ressenti le besoin de figurer activement sur les réseaux sociaux
(et ce même si certaines d’entre elles se démarquent de ce schéma en étant plus
présentes que la moyenne de leur catégorie).
La question de la présence – ou de l’absence – des sociétés de gestion sur les réseaux
sociaux semble néanmoins avoir été tranchée de façon plutôt intuitive, sans
véritablement de lien avec un souci de gestion plus global des questions de
communication institutionnelle. Cette catégorie d’investisseur n’étant soumise à
aucune obligation légale de communication, elle n’a probablement pas ressenti un fort
besoin de se manifester sur les réseaux sociaux, au-delà de l’envie de s’insérer dans
une « communauté » qui lui est naturelle.
Au demeurant, l’analyse des liens entre capital-risque et réseaux sociaux ne saurait
être menée uniquement à l’aune de l’examen de l’attitude des sociétés de gestion. En
effet, ces réseaux étant aussi identifiés comme des vecteurs de mise en relation à
l’échelle de l’individu, il nous faut aussi passer en revue le comportement des
dirigeants des sociétés de gestion, afin de livrer une photographie plus complète de la
situation.
10. 10
Dirigeants de sociétés de gestion et
réseaux sociaux
Pour chacune des sociétés de gestion analysée, a aussi été étudié le comportement de
leur(s) dirigeant(s) – à savoir les représentants « officiels » de ces structures, au cas où
celles-ci auraient plusieurs managing partners, ou bien les dirigeants opérationnels,
lorsqu’il s’agissait de fonds généralistes pour lesquels il aurait été inapproprié de
retenir le titulaire légal du plus haut grade.
Notre étude s’appuie ainsi sur l’examen des comptes de 107 professionnels avec
des résultats fortement contrastés si l’on analyse Twitter ou Linkedin.
Contrairement à ce que
d’aucuns auraient pu
imaginer, les « patrons » des
sociétés d’investissement en
capital-risque n’adhèrent
que très marginalement à
Twitter. Seuls 20 % d’entre
eux sont membres du
réseau. Soit un ratio deux
fois inférieur à celui qui
correspond aux comptes des
sociétés de gestion.
Très peu de dirigeants sur Twitter
22
85
Compte
Twitter actif
Pas de
compte
Twitter
11. 11
Dirigeants de sociétés de gestion et
réseaux sociaux
Il convient de passer à la loupe les comportements des gérants des sociétés
d’investissement. Mais ceux-ci ne viennent qu’aggraver le constat établi
précédemment. En effet, une petite majorité des membres de Twitter présente un bon
niveau d’activité (environ 54 %), à savoir qu’ils y interviennent au moins une fois par
semaine.
Qualité de l’action des dirigeants de société de gestion sur Twitter
8 Bonne activité sur Twitter
12
2
Activité moyenne
Faible activité
Le désintérêt marqué des dirigeants de fonds pour Twitter pose ici question. Ce réseau
étant généralement perçu comme celui sur lequel sont livrées les opinions des uns et
des autres, tout porte à croire que la population examinée dans notre étude préfère
jouer la prudence et se garde de s’exposer outre-mesure.
A cet égard, un tel comportement se révèle bien souvent opportun. En particulier parce
que les observateurs de tous bords gardent souvent un oeil ouvert sur Twitter et qu’il
est particulièrement aisé d’y relever le moindre faux pas.
De plus, il n’est pas toujours simple de véhiculer de la sorte des messages porteurs,
comme ceux qui avaient pu fleurir au moment de la fronde des « Pigeons ».
12. Pour autant, il se trouve que les patrons de sociétés d’investissement en capital-risque
n’ont pas du tout le même type de comportement à l’égard de LinkedIn que celui dont
ils font preuve à l’égard de Twitter. En effet, d’après nos relevés, près de 74 % des
dirigeants étudiés ont activé un compte sur ce réseau social. C’est donc un constat
doublement positif, puisque ce chiffre :
• dépasse de 8 points celui que nous avons relevé pour les sociétés de gestion (à
• s’inscrit très nettement au-dessus de celui que nous avons constaté pour Twitter.
Bonne activité
sur LinkedIn
12
Dirigeants de sociétés de gestion et
réseaux sociaux
Engouement marqué des dirigeants pour LinkedIn
79
savoir 66 %).
28
Compte
LinkedIn ouvert
Pas de compte
LinkedIn
14
20 45
Activité
moyenne
Présence
mauvaise ou
inexistante
Quant au degré d’activisme des dirigeants de structures de capital-risque sur LinkedIn,
il est assez conforme à ce que nous avons établi précédemment pour les sociétés de
gestion, puisque 57 % des profils examinés présentent un degré d’activisme marqué
sur LinkedIn.
13. 13
Dirigeants de sociétés de gestion et
réseaux sociaux
Un tel résultat peut s’expliquer à la lumière de celui qui prévalait pour la présence des
dirigeants sur Twitter : autant ils semblent être réticents à utiliser un outil sur lequel il
s’agit d’exposer des idées forces et des messages clés, autant ils se prêtent plus
volontiers à la constitution d’un réseau professionnel – où la multiplication des contacts
est certainement un atout pour dénicher les projets d’investissement porteurs (comme
en témoigne le nombre élevé de profils crédités de plus de 500 contacts par LinkedIn).
Cela étant, une fois encore, nul ne saurait affirmer qu’un tel mouvement soit
coordonné avec une véritable stratégie de communication. Plus que pour servir les
besoins de visibilité de la structure, la présence sur LinkedIn relève d’une volonté avant
tout individuelle.
14. 14
Sociétés de gestion et réseaux
sociaux : les bons élèves
En dépit d’une certaine réticence à s’exposer dans les réseaux sociaux, tel qu’il ressort
des analyses conduites dans les points I et II, il est toutefois intéressant de noter dans
quelle mesure certains acteurs se distinguent de par leur volonté de s’afficher sur les
réseaux sociaux.
D’après les relevés de notre étude, 7 sociétés de gestion présentent un profil
résolument tourné vers les réseaux sociaux. En effet, d’après les critères retenus pour
notre méthodologie, elles font état d’une bonne présence à la fois sur Twitter et sur
LinkedIn – par souci de comparaison, il est intéressant de souligner qu’elles sont 22 à
disposer d’une bonne présence sur Twitter… mais que tel n’est donc pas le cas pour
toutes sur LinkedIn.
Mi-2014, la palme de la plus forte activité sur les réseaux sociaux est donc décernée
aux 7 sociétés de gestion suivantes :
15. Dirigeants de sociétés de gestion et
réseaux sociaux : les bons élèves
Le classement des dirigeants les plus actifs diffère du précédent, du fait notamment de
la présence de quelques « stars » d’Internet – dont l’activité surpasse largement celle
de leur structure – et du choix de certains d’être personnellement un peu plus en
retrait que leur entité (voire de confondre profil personnel et profil institutionnel).
Ainsi, le palmarès des patrons les plus tournés vers les réseaux sociaux se compose de
onze professionnels du capital-investissement :
1. Olivier Goy, 123Venture
2. Jean-Marc Bally, Aster Capital
3. James Wise, Balderton Capital
4. Fabrice de Gaudemar, Eurazeo Croissance
5. Jean-David Chamboredon, Isai Gestion
6. Marc Simoncini, Jaïna Capital
7. Jérémie Berrebi, Kima Ventures
8. Pierre-Yves Meerschman, Orkos Capital
9. Philippe Collombel, Partech Ventures
10. Benoît Bazzochi, SmartAngels
11. Thierry Merquiol, Wiseed
A noter, cependant, qu’il ne suffit pas d’afficher un nombre élevé de followers sur
Twitter pour figurer dans cette liste – établie en respectant les critères de notre
méthodologie. La prise en compte exclusive de ce critère aurait conduit à établir le
palmarès suivant :
15
J E A N - D A V I D
CHAMBOREDON
I s a i G e s t i o n
8 951
F O L L O W E R S
P I E R R E - H E N R I
DENTRESSANGLE
H i I n o v
2 909
F O L L O W E R S
X A V I E R
N I E L
K i m a V e n t u r e s
M A R C S I M O N C I N I
95 200
J a ï n a C a p i t a l
J E R E M I E B E R R E B I
31 245
K i m a V e n t u r e s
21 100
F O L L O W E R S
F O L L O W E R S
F O L L O W E R S
Nombre de followers au 1er juin 2014
16. Menée dans le courant du mois de mai 2014, l’étude « fonds de
capital-risque et réseaux sociaux » du cabinet Enderby a pour objet
de décrypter la présence des investisseurs experts du financement
des start-up dans les réseaux sociaux *. Au vu des résultats obtenus
sur les 102 sociétés de gestion passées au crible, il a été décidé de
concentrer l’analyse sur Twitter et sur LinkedIn – Facebook étant
occasionnellement utilisé pour des sujets de recrutement et de
communication interne, et Viadeo n’étant que peu considéré comme
outil de visibilité.
Critères retenus pour l’étude des sociétés de
gestion
T R A N S A C T I O N S
La fréquence d’utilisation de Twitter et de LinkedIn a été qualifiée de :
• bonne, lorsque le compte de la société de gestion était crédité d’au
16
moins 4 publications par mois ;
• moyenne, lorsque le compte de la société de gestion disposait de 1
à 4 messages par mois ;
• mauvaise, lorsque le compte de la société de gestion affichait
moins de 1 sujet par mois, ou quand un pic d’utilisation présentait
un caractère « exceptionnel ».
Quant à la mise en avant des comptes Twitter et LinkedIn sur les sites
Internet des sociétés de gestion, elle a été jugée :
• bonne, lorsque les logos des réseaux sociaux figurent soit sur la
page d’accueil du site, soit dans la page « contact » ;
• mauvaise, lorsqu’ils ne sont indiqués nulle part, en dépit de
l’existence des comptes.
17. Critères retenus pour l’étude des dirigeants des
sociétés de gestion
T R A N S A C T I O N S
17
La fréquence d’utilisation de Twitter a été considérée comme :
• bonne, lorsque le compte du dirigeant comptait au moins 4
publications par mois ;
• moyenne, quand il en totalisait entre 1 et 4 chaque mois ;
• mauvaise, au cas où il se révélait inférieur à 1 par mois.
En outre, l’activité des dirigeants sur LinkedIn a été mesurée en
fonction du nombre de contacts enregistrés. Elle a été qualifiée de :
• bonne, si le nombre de contacts excédait 500 (critère retenu par
LinkedIn) ;
• moyenne, si celui-ci s’établissait entre 100 et 500 ;
• mauvaise, au cas où le réseau personnel du dirigeant totalisait
moins de 100 liaisons.
* Nota : figurent dans l’étude des investisseurs qui ne sont pas à
proprement parler des capital-risqueurs, mais dont le champ d’activité
(sectoriel, généraliste, etc.) inclut une partie dédiée au financement
des start-up.
18. Franck Moulins est directeur conseil au sein d’Enderby. Il a consacré
plus de treize années de sa carrière au journalisme économique et
financier au sein du groupe Les Echos, à « Capital Finance ».
Au sein de l’équipe d’Enderby, Franck propose notamment une offre de
conseils destinée aux fonds d’investissement, aux cabinets d’audit, aux
cabinets d’avocats d’affaires et aux conseils en M & A :
T R A N S A C T I O N S
18
• Animation de séminaires et de conférences ;
• Production de contenus, rédaction d’articles et de newsletters ;
• Pilotage d’études et de baromètres ;
• Veille économique et financière ;
• Sessions de media training personnalisées.
Ces derniers temps, il a notamment écrit :
• « Valorisons l’action des fonds de private equity français », Le
Cercle des Echos, 22 avril 2014.
• « Patriotisme économique : halte à la pudibonderie ! », Huffington
Post, 29 avril 2014.
Franck Moulins
Tel +33 (0)1 83 64 71 72
Mob +33 (0)6 68 68 18 51
E-mail fmo@enderby.fr
Twitter @enderbyFMO
Damien Piganiol est consultant chez Enderby spécialisé sur les
problématiques d’économie internationale, d’organisation et de
management. Il était auparavant assistant-chercheur en
macroéconomie au Laboratoire d’Economie et de Management de
Nantes Atlantique.
19. Cabinet de conseil en stratégies de communication et relations publics
pour les métiers de conseil aux directions générales (secteurs audit,
conseil, finance et juridique).
T R A N S A C T I O N S
19
Créé en 2008 par Delphine Jouenne et Cyril Chassaing.
Expériences précédentes chez Andersen, EY, PwC, Landwell, Linklaters,
Day One, Hopscotch.
9 collaborateurs : 2 associés, 2 directeurs conseil, 4 consultants, 1
office manager.
Domaines d’intervention :
• Stratégie de marque
• Marketing & communication
• Communication corporate & financière
• Relations publics & media
• Communication digitale
• Communication d'influence & lobbying
• Situations complexes & crises
Membre fondateur d'EuroPR, réseau indépendant européen des
professionnels du marketing et de la communication pour les métiers de
conseil.
Cyril Chassaing
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