L’interopérabilité est dans les gène de l’IoT. L’émergence des webservices et des API REST a depuis longtemps standardisé les échanges de données sur le WEB. L’IoT permet de prolonger cette standardisation sur les interfaces Hardware.
I connect-lyon-16-septembre-2015- les objets connectés industriels - philippe...
L’interopérabilité n’est plus une option pour l'IoT
1. Confidential
Le chemin pour réconcilier
la performance
et l’environnement
INTERNET DESOBJETS
ENVIRONNEMENTALIoT
L’interopérabilité
n’est plus
une option
2. Confidential
Les questions suivantes émergent alors :
- La plateforme IoT me permet-elle d’inter-opérer
avec de nouvelles sources de données si mon besoin
évolue ?
- La plateforme me propose t’elle les API ouvertes qui
me permettent de l’intégrer avec mon propre
système d’information ?
Une solution IoT interopérable est garante d’une
capacité de mutualisation des usages sur une même
infrastructure. Elle permet aussi d’agréger simplement
des sources de données externes ou des capteurs
externes sur cette infrastructure afin d’enrichir les
analyses. L’interopérabilité est aussi la garantie de
pouvoir faire évoluer les composants de la plateforme.
Enfin l’interopérabilité permet simplement à des
applications tierce de collecter les données pour
réaliser leur propre analyse.
L’interopérabilité est dans les gène de l’IoT. L’émergence
des webservices et des API REST a depuis longtemps
standardisé les échanges de données sur le WEB. L’IoT
permet de prolonger cette standardisation sur les
interfaces Hardware. C’est finalement la différence
essentielle entre l’ère du M2M et celui de l’IoT.
Cette exigence d’interopérabilité modifie les
comportements commerciaux. Il ne s’agit plus
aujourd’hui de vendre un système propriétaire qui
enfermera le client dans une technologie en espérant de
la récurrence. Il s’agit de vendre au delà du produit toute
la valeur potentielle qui est offerte par la capacité
d’interopérabilité.
Si le cas d’usage a un fort potentiel, il touche forcément
des processus supportés en partie par le SI.
L’interopérabilité s’impose alors comme un levier de
valorisation de la donnée, et ne se limite pas au simple «
single sign on ».
L’INTEROPÉRABILITÉ
N’EST PLUS UNE OPTION