Les CMS sont aujourd’hui un marché mature, évoluant déjà dans un univers de troisième génération, avec des acteurs bien installés et quelques nouveaux entrants.
Quelle est la structuration actuelle du marché ? Quelles sont ses perspectives ? Quelles sont les grandes (r)évolutions à attendre tant des communautés, des éditeurs que des utilisateurs des CMS ? Marine Soroko vous propose, en introduction de cette journée de conférence, de remettre en perspective les enjeux et le futur de ce marché, au regard de l’évolution technologique de l’écosystème numérique.
10. UNEVARIÉTÉ D’APPROCHES
CMS
« basiques » vs
« tout terrain »
CMS
middle- market
vs haut de
gamme
CMS
Orientés CxM
CMS
orientés portail
CMS avec
brique
« ecommerce »
CMS modulaire
vs « tout en
un »
14. LA COURBE DES INNOVATIONS ADAPTÉES AUX CMS
Types de contenus
workflows
InternationalisationUsine à site
DAM GED
RWD &
mobilité
Intelligence
artificielle
CxM
Gestion de droits
Omnichannel
Content
Marketing
Story-telling
Analytics
Big data & DMP
cloud
RSE
blockchain
Neuromarketing
Internet des objets
search
Marketing automation
Intégration
continue
Avant, les CMS, c’était ça :
Les CMS étaient uniquement concernés par la gestion du contenu en ligne. On était passé de sites web statiques à des sites web dynamiques !
On devait produire le plus de pages possibles pour répondre aux moteurs de recherche, on devait être présent partout, ….
On devait produire du contenu sans compétences techniques.
http://www.eglise.catholique.fr/wp-content/uploads/sites/2/2014/05/gestion-de-contenu_choix-cms-open-source_optimise.pdf
Puis la complexité est arrivée : plus de contributeurs, des exigences de performance accrues, intégration des systèmes d’information externes, besoins d’interopérabilité, industrialisation, usine à site, … C’est la deuxième vague : on sépare le contenu de la forme, on intègre des solutions métier, .
Le CMS devient un outil « professionnel ».
La troisième vague, on en parle depuis 2 ans, mais on y est désormais réellement confronté, avec les GAFA qui investissent la santé, l’automobilté, le voyage…
Ce n’est plus un pb de marketing ou de communication, mais une vrai question de business model. Et la question, c’est comment les CMS sont capables de répondre à ces enjeux de transformation digitale ?
Le business intègre le digital comme vecteur de valeur ajoutée et également comme outil de réduction des coûts
Le CMS doit être au cœur de la transformation digitale
c’est la capacité à produire une expérience unique, cibler du contenu, des offres et des produits, selon les différents points d’accroche des consommateurs.
C’est la personnalisation UX,
Et c’est le fait aussi qu’on va mesurer le ROI des campagnes web : on va reparler du marketing automation.
On va introduire les notions de marketing social et gérer le multi-channel : une page en environnement mobile ne fournit pas les mêmes nformations. Qu’un desktop
La troisième vague, on en parle depuis 2 ans, mais on y est désormais réellement confronté, avec les GAFA qui investissent la santé, l’automobilté, le voyage…
Ce n’est plus un pb de marketing ou de communication, mais une vrai question de business model. Et la question, c’est comment les CMS sont capables de répondre à ces enjeux de transformation digitale ?
Le business intègre le digital comme vecteur de valeur ajoutée et également comme outil de réduction des coûts
Le CMS doit être au cœur de la transformation digitale
c’est la capacité à produire une expérience unique, cibler du contenu, des offres et des produits, selon les différents points d’accroche des consommateurs.
C’est la personnalisation UX,
Et c’est le fait aussi qu’on va mesurer le ROI des campagnes web : on va reparler du marketing automation.
On va introduire les notions de marketing social et gérer le multi-channel : une page en environnement mobile ne fournit pas les mêmes nformations. Qu’un desktop
On est face à une hyper-fragmentation du marché
Wordpress est utilisé par 60 à 70% des sites Web équipés d’un CMS.
Selon W3Tech : on est à 59%
Selon BuiltWith on est à 59%
Evaluation toujours stable de la part de W3Tech depuis de nombreuses années.
+ l’utilisation des CMS Wordpress/ Joomla (…) n’est pas comparable : on joue pas dans la même cour (cf keynote Dryes) (Drupal + couteau suisse).
Ou envisager de citer le livre blanc de l’étude d’usage Smile des CMS.
CMS basiques : pas industrialisables
Evaluation toujours stable de la part de W3Tech depuis de nombreuses années.
Orientation portail : intégration + forte SI
CMS modulaires : principe philosophique : coquille vide.
Ou CMS tout en un, partant du principe qu’un CMS doit répondre à des fonctionnalités natives initiales
Ce n’est pas nouveau vous allez me dire, mais cela devient critique dans l’enjeu de transformation digitale, et cela pose notamment avec toujours plus d’acuité la question du choix du CMS : faut-il partir sur un principe d’urbanisation avec un seul outil comme colonne vertébrale, ou accepter l’agilité et la multiplication des outils avec un risque de désordre ??
Open Source : les 3 peuvent être combinés (ex : Worpdress, eZpublish, …).
Dual licence : coût à la souscription / CPU.
Offres de support et/ou différenciation fonctionnelle
Propriétaires : (dont la diffusion est bcp + restreinte) en France sauf dans le Gartner
Omnichannel : très important : TV connecté, domotique, automobile autonome
Data managelement Platform
La transformation digitale, elle passe par le fait que le CMS dans sa transformation, doit être capable d’intégrer ou de s’intégrer dans un univers toujours plus complexe.
C’est l’éternelle question : le CMS doit-il faire ou faire faire ?
La transformation digitale passe par le fait qu’on ne fait plus du CMS comme on en faisait il y a 5 ans, c’est-à-dire des projets isolés pilotés soit par la DSI, soit par la com’, mais avec un pb global de communication.
Les techs et créa travaillent main dans la main.
La DSI ne peut plus être que l’obstacle sur le chemin de la direction de la communication.
Les pratiques d’agilité, d’intégration continue, de devops, qui visent à désiloter les organisations vont venir confirmer la transformation digitale.
PMU s’est réorganisé avec des équipes mixtes associant ux designers, développeurs et spécialistes marketing
Voyages SNCF
Radio France
Les programmateurs et développeurs sont au cœur du business de l’entreprise !
Les intégrateurs travaillent tjs + avec les équipes design
La transformation digitale passe par le fait qu’on ne fait plus du CMS comme on en faisait il y a 5 ans, c’est-à-dire des projets isolés pilotés soit par la DSI, soit par la com’, mais avec un pb global de communication
PMU s’est réorganisé avec des équipes mixtes associant ux designers, développeurs et spécialistes marketing
Voyages SNCF
Radio France
Les programmateurs et développeurs sont au cœur du business de l’entreprise !
Le CMS est mort comme simple gestionnaire de contenu. Le CMS est bien plus que cela, sémantiquement parlant, tous les outils cités, que vous verrez, intègrent progressivement la même roadmap, avec plus ou moins de décalage : cXm, omnichannel, usine à site, ecommerce, processus métiers, …
Le CMS est mort, parce que s’il veut s’adapter à la transformation digitale, il va falloir qu’il soit plus souple, plus adapté, plus agile.
Dans qqles années, notre métier d’intégrateur CMS devra disparaître : la chaîne de valeur ne se trouvera pas dans l’intégration de templates pour le service communication.
2 risques :
Faut-il faire faire au CMS des opérations métiers (CRM, Data management, Ecommerce, …) qui étaient jusqu’aà présent réalisés par d’autres
Quels risques à faire porter par le CMS la responsabilité de toute l’entreprise (cf réversibilité )
On a une vision aujourd’hui du CMS monolithique, tout en un
Des modèles où le CMS n’est plus qu’un back-office.
Développement orienté micro-service ou applications (Trello, RF, France TV, SNCF…)
Quels risques ?
On a une vision aujourd’hui du CMS monolithique, tout en un
Des modèles où le CMS n’est plus qu’un back-office.
Développement orienté micro-service ou applications (Trello, RF, France TV, SNCF…)
Quels risques ?
De plus en plus de CMS intègrent des frameworks
Les frameworks viennent concurrencer les CMS