1. ÉDUQUER
À
la
fin
du
XXe
siècle,
siècle
des
lumières,
nous
convoquons
les
travailleurs
de
bonne
volonté
pour
la
tâche
divine
d'éduquer.
L’éducaEon
à
la
lumière
de
l’Évangile
est
un
soleil
dans
l’âme,
est
une
lumière
sur
le
chemin
des
hommes,
est
un
lien
béni
pour
l’union
parfaite.
Éduquons
notre
foyer
de
ceJe
lumière
qu’est
l’Évangile,
donnant
à
notre
famille
la
bénédicEon
d’accueillir
le
Christ
de
Dieu
dans
notre
maison.
Prier
ensemble
transforme
le
foyer
en
un
sanctuaire
d’amour
où
les
esprits
plus
nobles
viennent
de
plus
en
plus
nous
assister,
en
doublant
les
talents
de
lumière
qui
y
sont
déposés.
Éduquons
nos
enfants,
esprits
pèlerins
de
l’infini
en
quête
de
nouvelles
expériences,
à
la
recherche
de
l'évoluEon
spirituelle.
Nous
savons
que
la
Terre
est
une
belle
maison
d’ÉducaEon
et
le
Divin
Maître,
de
sa
chaire
d’Amour,
explique
par
son
assistance
constante
le
programme
à
suivre.
Éduquons
nos
collègues
de
travail,
par
l’exemple
d’une
noble
conduite,
par
le
pardon
constant.
Éduquons
par
la
lumière
de
l’Évangile,
en
gardant
nos
esprits
et
nos
cœurs
dans
la
bénédicEon
des
enseignements
sublimes.
Nous
sommes
sur
Terre,
mais
engagés
dans
les
rangs
du
ChrisEanisme,
pour
porter
haut
la
bannière
de
lumière
du
Maître
Divin:
«Aimez-‐vous
les
uns
les
autres
comme
je
vous
ai
aimés».
Éduquons.
Les
temps
sont
arrivés,
les
cœurs
affligés
demandent
de
l’assistance,
les
désespérés
implorent
la
lumière.
Un
cri
fait
écho
à
travers
l’infini
!
Père
aidez-‐nous
!
Mes
enfants
!
C’est
par
l'ÉducaEon,
à
travers
l’Évangile
que
l'homme
trouvera
la
paix,
la
sérénité
et
le
chemin
de
l'amour
noble.
Nous
appelons
les
cœurs
de
bonne
volonté.
Éduquons.
Allumons
la
lumière
des
enseignements
divins
pour
que
la
terre
devienne
un
soleil
radieux
dans
l’infini,
conduisant
la
Famille
humaine,
fondée
sur
les
principes
de
la
vie,
en
hosannas
à
son
Créateur.
Mes
enfants,
demandons
au
Père
l’inspiraEon
et
avançons
vers
le
haut,
parce
que
seul
le
Christ
avec
son
savoir
et
son
cœur
de
lumière
pourra
illuminer
nos
chemins.
BEZERRA
1
Message
psychographié
par
le
médium
Maria
Cecília
Paiva,
à
la
Fédéra;on
Spirite
de
Pernambuco
(Brésil),
en
réunion
publique
le
18
juillet
1979.