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Le marché de l’art contemporain
africain aujourd’hui : quels défis ?
Il y a quelques années niche de seuls quelques
collectionneurs reconnus, le milieu de
l’art contemporain africain connaît un
dynamisme et une structuration tant dans
le domaine institutionnel que dans celui de
la recherche et du marché. Ainsi le marché
de l’art africain contemporain était-il estimé
à $31,2 million en 2014 faisant émerger la
nécessité et le besoin de structures et de lieux
d’instruction du public. Si les recherches en
cours et les processus d’institutionnalisation
marquent un indéniable renforcement de ces
scènes, elles posent pour autant les prémices
de défis : manque de moyens des musées
et dépendances budgétaires, polarisation
des centres de production, structuration
du marché et leur incidence sur les artistes
seront discutés ici.
Modération de la journée : M. Malick Ndiaye
Présentation d’ORAFRICA,
des invités
& du programme par
Nathalie Miltat, fondatrice
de l’association.
[1], [2], [4], [9], [12]
Malick Ndiaye :
Qui parle d’Art
Contemporain Africain ici
et maintenant, les défis de
l’institutionnalisation
en Afrique
[1], [2], [4], [9], [12]
Jean-Philippe Aka,
présentation du African Art
Market Report : le marché de
l’art contemporain et ses
institutions, quels modèles
de développement?
— Questions à
Jean-Philippe Aka.
[1], [2], [4], [9], [12]
Table ronde —
Quel futur institutionnel
et marchand pour l’art
contemporain africain?
[1], [2], [4], [9], [12]
09h30 — 10h00 11h00 — 11h5010h00 — 10h40 12h30 —13h00
Le curateur comme
figure leader dans le
développement et la
valorisation de l’art
à l’international, 
par Malick Ndiaye.
[5], [7], [6], [11], [13]
Comment valoriser l’art
contemporain africain
à l’international et ici ?
Table ronde de curateurs
et d’artistes.
[5], [7], [6], [11], [13]
Nouveaux médias :
blogueurs
— Reprise de la table
ronde
[3], [8], [10], [14]
Visite de la galerie
FISH EYE pour les
intervenants intéressés.
Exposition HAITI. — 2 Rue
de l’Hôpital Saint-Louis,
75010 Paris
14h30 — 15h00
13h00 — 14h30 Pause Déjeuner 17h00 — 17h30 Pause Café
15h00 — 17h00 17h50 — 19h00 19h15 — 20h00
No0
MARDI 21
FÉVRIER 2017
APPARTEMENT,
27 BIS RUE JACQUES
LOUVEL TESSIER
75011 PARIS
Il y a quelques années encore une niche, l’art
contemporain africain nécessite aujourd’hui
qu’on l’aborde de façon constante et
approfondie. Son dynamisme et l’évolution
spectaculaire du marché depuis une dizaine
d’années rendent indispensables l’existence de
zones de réflexion et d’échanges qui sortent
du seul champ académique. Nous devons
construire un espace interdisciplinaire qui
nous permette la réflexivité nécessaire à une
indépendance forte. L’association ORAFRICA
propose ainsi deux fois par an des journées de
réflexion. Ces journées souhaitent répondre
au manque de structures pérennes et
accessibles en prenant
à bras le corps, non pas
seulement l’élaboration
de savoirs complexes
mais aussi en renforçant
la réflexion autour de ↗
la production de l’art contemporain africain
en permettant à des acteurs de différents
domaines de se rencontrer. Ces journées se
situent ainsi dans la lignée des évènements
parisiens de 2015 qui avaient ouvert la
voie à un modèle interdisciplinaire de la
recherche autour de l’art Africain en faisant se
rencontrer artistes, curateurs, commissaires
et chercheurs. Orafrica entend continuer ce
travail en invitant également journalistes,
blogueurs et entrepreneurs à venir partager
et échanger leur expérience. Chaque année,
l’association ORAFRICA vote un thème.
Celui-ci sera le fil conducteur des débats de
deux journées se déroulant
en février, et en octobre. Ces
dernières seront clôturées
tous les ans par le prix Orisha
pour l’art contemporain.
La production de l’art
africain contemporain
est depuis une dizaine d’années en pleine
phase de structuration. Durant cette
journée, des chercheurs, curateurs, artistes,
blogueurs, galeristes spécialistes de l’art
africain contemporain confronteront leurs
recherches et leurs expériences pour élaborer
une réflexion collective sur l’évolution du
marché de l’art africain contemporain, sur
les réseaux de l’art africain contemporain
et sur les modes de valorisation de l’art
contemporain africain.L’Afrique artistique
contemporaine est en effet inscrite dans
des temporalités et des problématiques
poly-situées (transcontinentales mais aussi
métropolitano-centrées), synchroniques
mais aussi extrêmement diversifiées qui
nécessitent la mise en place de modes de
réflexion pluridisciplinaires. ↗
Dans cette perspective,
l’association Orafrica propose
une journée d’étude interrogeant les modes de
valorisation de l’art africain contemporain en
proposant deux demi-journées de réflexion.
La première interrogera la place singulière
du marché de l’art contemporain africain, en
pleine structuration, et dont l’influence sur
les perspectives esthétiques et les trajectoires
des artistes mais aussi de l’ensemble des
acteurs du monde de l’art sera discutée. La
seconde demi-journée sera elle consacrée aux
modèles de valorisation de l’Afrique artistique
contemporaine : elle interrogera dans un
premier temps le rôle précis des curateurs
et dans un second temps les perspectives
d’enrichissement et de singularisation de
circulations des savoirs que permettent
la constitution d’un corps de blogueurs
l’international.
No0
LE PROJET ORAFRICA
LES CHEMINS DE PRODUCTION ET DE VALORISATION
DE L’AFRIQUE ARTISTIQUE CONTEMPORAINE
NOS INVITÉS
El Hadji Malick Ndiaye est docteur en Histoire
de l’art de l’Université Rennes II. Ancien post
doctorant du Laboratoire d’excellence Création,
Arts et Patrimoines (Labex CAP), il est chercheur à
l’IFAN/Cheikh Anta Diop et Conservateur du musée
Théodore Monod d’art africain. Diplômé de l’Institut
National du Patrimoine et ex boursier de l’Institut
National d’Histoire de l’Art, il est commissaire
d’exposition, théoricien de l’art, spécialiste des
études postcoloniales et des patrimoines africains. Il
coordonne diverses activités scientifiques autour de
ces thématiques, collabore avec différentes revues et
participe à plusieurs rencontres internationales. [1]
Originaire de Côte-d’Ivoire, Jean-Philippe Aka est
un marchand d’art et consultant en arts. Son étude,
Africa Art Market, dont la première édition date de
2014, est une des premières à s’intéresser de près
à la structure du marché de l’art africain
contemporain. Il dirige la Heart Gallery à Paris,
depuis presque 20 ans. [2]
L’Afro : Dolores Bakèla and Adiaratou
Diarrassouba sont journalistes indépendantes
pour diverses publications. En 2014, elles se
rencontrent chez Africultures. En Novembre 2015 :
elles co-fondent L’Afro, né d’une envie de longue date
de mêler journalisme et sujets peu abordés avec
leur sensibilité de femmes noires afrofrançaises.
L’Afro est un média qui parle avant tout des
Afrodescendant.e.s de France, citoyen.ne.s, artistes,
militant.e.s... et pose un regard journalistique sur les
sujets qui les touchent.[3]
Nadège Besnard-lwochewitsch est diplômée
d’un MBA marché lnternational de l’art de I’ICART
Paris ainsi que d’un double master en Sciences
sociales et Communication des entreprises. A son
retour en France en 2015, après dix années passées
sur le continent africain ou elle se consacre au
développement de projets artistiques et culturels,
Nadège décide naturellement d’orienter son activité
vers le conseil en art contemporain dans le but de
promouvoir les artistes du continent africain. Elle
a depuis lors travaillé pour les ventes Piasa d’Art
Contemporain Africain, pour la première édition de
la foire Akaa et collabore depuis novembre 2016 à la
revue sud-africaine Art Africa Collector. [4]
Yves Chatap est titulaire d’un Master en Histoire de
l’art à l
’ Université Paris-Sorbonne. En 2010, il crée
le site internet www.vusdafrique.com, plateforme
de promotion et de lectures, renouvelées, de la
création contemporaine. Commissaire, critique
d’art indépendant, il organise plusieurs expositions
dont Intimités à Treignac Project en 2011 et chez
SAVVY Contemporary  à Berlin en 2013;
Last Showing au Festival de la photographie de
Glasgow en 2014. Yves Chatap écrit régulièrement
pour de nombreuses revues spécialisées, pour
les catalogues d’artistes. Les concepts d’intimité,
d‘archive et identitaires forment un corpus visuel
qu’il choisit de décliner à travers la notion d’usage
sociale et artistique de la photographie. Il est
commissaire associé des 10èmes Rencontres de
Bamako, la biennale africaine de la photographie,
en 2015. Co-fondateur de «On The Roof», collectif de
commissaires indépendants, il organise plusieurs
expositions à Paris, Londres, Addis-Abeba et Dakar.
Yves Chatap s’engage dans l’édition indépendante
de la photographie contemporaine et publie des
ouvrages inédits tels que «Boxing Athenas» en 2012 et
«The phantoms of Congo river» de Nyaba L. Ouedraogo
en 2015. [5]
Dagara Dakin est historien de l’art, critique et
commissaire d’expositions indépendant. En tant
que critique d’art, il est correspondant à Paris pour
la revue Contemporary And. Il collabore à la mise
en place de différents projets, telles les Rencontres
de Bamako en 2005. En 2012, il a été chercheur au
Centre Pompidou pour le programme « Recherche
et mondialisation ». En 2016, il a animé un workshop
en médiation culturelle dans le cadre de la Biennale
de Dakar. [6]
Delphine Diallo est une artiste franco-sénégalaise.
Diplômée de l’école Charpentier en 2000, elle a
travaillé dans l’industrie de la musique parisienne
comme directrice artistique avant de déménager
à New York en 2008. Elle y développe depuis une
pratique photographique à cheval entre le Sénégal et
ses engagements politiques et spirituels aux Etats-
Unis : son travail, habité par son activisme, travaille
les corps et les traditions pour révéler des beautés
suspendues encore trop souvent détournées. [7]
Visit orafrica.com
for additional information,
please contact us : info@orafrica.com
Non-profit organisation
n° W751234509
Particulièrement sensible à l’artcontemporain,
Virginie Ehonian a commencé son parcours dans
le bureau parisien d’André Magni où elle a découvert
une autre cartographie artistique. Son diplôme en
Coopération Internationale - Afrique, Moyen Orient
(2015,Paris 1 - Panthéon Sorbonne, ) lui permet
d’envisager de nouvelles façons de promouvoir les
différentes cultures et patrimoines africains.
Elle est la fondatrice du blog AfricanLinks.net, ainsi
que de la Nooru Box. [8]
Michèle Magemaestuneartistefranco-congolaise
quivitenFrance.Sontravailartistiquemêlepratiques
vidéo,photo,dessinetinstallation.
L
’ artistecomposedesmisesenscènesingulières
oùlecorpsetl’espacedialoguentenpermanence.
Lacohabitationentrel‘Histoire,leshistoires
individuellesetlamémoirecollectiveestpourl
’ artiste
uneformenouvellederéécritureartistique.[9]
Passionné d’art dont la photographie depuis son
Gabon natal, Sebastien Mbot arrive en France en
2003.
À l’occasion de l’exposition “Congo Kitoko” de
la fondation Cartier, il rencontre l’artiste de génie,
feu Kiripi Katembo. De cette rencontre, Sébastien
retire une ambition : celle de faire découvrir la
photographie d’art africaine au plus grand nombre.
Il crée dès alors le blog moadiga.com, dédié à la
photographie africain.[10]
Sonia Recasens est une Critique d’art et
commissaire d’exposition basée à Paris. Ses champs
de recherches vont de la création émergente aux
arts textiles, de l’histoire de l’art féministe à l’art
africain contemporain, en passant par les gender
et postcolonial studies. Rédactrice en chef de
Portraits, elle écrit pour différentes publications de
musées, galeries, centres d’art et revues. Elle travaille
comme assistante d’exposition et production dans
différentes institutions (Institut du Monde Arabe,
Musée national d’art moderne, Maison des cultures
du Monde...) avant de développer des projets
curatoriaux en France et en Afrique du Nord. [11]
Après une longue carrière internationale dans la
banque, puis architecte d’intérieur et galeriste,
Sitor Senghor est désormais engagé à plein
temps dans l’art contemporain avec une âme de
collectionneur, une identité sénégalaise métissée
et une passion pour le détail. (S)ITOR n’est pas une
galerie traditionnelle mais plutôt un pont entre
les artistes et les collectionneurs permettant de
partager culture et beauté, d’où qu’elles viennent et
quelles qu’en soient les formes.[12]
Elena Sorokina est commissaire et historienne de
l’art et travaille actuellement comme commissaire
associée pour la Documenta 14 à Athènes / Kassel.
Elle est diplômée du Whitney Museum of American
Art ISP à New York, et elle a obtenu son diplôme
de maîtrise en histoire de l’art de l’Université
Friedrich Wilhelm à Bonn, en Allemagne. Parmi
ses projets, on peut citer: « Museum (Science)
Fictions » au Centre Pompidou, Paris; “Forms of
Togetherness (and Separation) à WIELS, à Bruxelles,
et à l’Académie des arts du monde, Cologne; “Spaces
of Exception”, un projet spécial pour la Biennale
de Moscou, Agnès Varda, Temps Trituré, à LVMH
Bruxelles, le symposium «Qu’est-ce qu’une exposition
postcoloniale?», Un projet collaboratif du SMBA /
Musée Stedelijk d’Amsterdam et du Musée Stedelijk.
Elle a publié de nombreux catalogues et a écrit
pour Artforum, Flash Art, Cabinett Magazine,
Manifesta Journal, Moscou Art Magazine et d’autres
publications. Sorokina est fréquemment invitée
dans les conférences internationales et a été invitée
comme conférencière au Centre Pompidou à Paris,
le Musée Picasso, Paris, Paris Photo, ISCP, New
York, HISK, Gent, Garage CCC, Moscou, et d’autres
institutions. [13]
Rhoda Tchokokam est une jeune directrice
artistique, occasionnellement critique musique.
Née à Paris, elle grandit à Douala puis revient dans
la capitale pour poursuivre des études en direction
artistique dans la publicité. C’est au cours d’un
séjour à New York qu’elle lance le blog Atoubaa, un
projet de recherche et d’archivage qui documente
la présence des femmes noires dans les arts visuels.
Aujourd’hui, le blog est devenu un média qu’elle
décrit comme « un espace dédié à l’art, la culture et
la créativité des afrodescendantes francophones » .
[14]
NOS INVITÉS
↗

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  • 1. Le marché de l’art contemporain africain aujourd’hui : quels défis ? Il y a quelques années niche de seuls quelques collectionneurs reconnus, le milieu de l’art contemporain africain connaît un dynamisme et une structuration tant dans le domaine institutionnel que dans celui de la recherche et du marché. Ainsi le marché de l’art africain contemporain était-il estimé à $31,2 million en 2014 faisant émerger la nécessité et le besoin de structures et de lieux d’instruction du public. Si les recherches en cours et les processus d’institutionnalisation marquent un indéniable renforcement de ces scènes, elles posent pour autant les prémices de défis : manque de moyens des musées et dépendances budgétaires, polarisation des centres de production, structuration du marché et leur incidence sur les artistes seront discutés ici. Modération de la journée : M. Malick Ndiaye Présentation d’ORAFRICA, des invités & du programme par Nathalie Miltat, fondatrice de l’association. [1], [2], [4], [9], [12] Malick Ndiaye : Qui parle d’Art Contemporain Africain ici et maintenant, les défis de l’institutionnalisation en Afrique [1], [2], [4], [9], [12] Jean-Philippe Aka, présentation du African Art Market Report : le marché de l’art contemporain et ses institutions, quels modèles de développement? — Questions à Jean-Philippe Aka. [1], [2], [4], [9], [12] Table ronde — Quel futur institutionnel et marchand pour l’art contemporain africain? [1], [2], [4], [9], [12] 09h30 — 10h00 11h00 — 11h5010h00 — 10h40 12h30 —13h00 Le curateur comme figure leader dans le développement et la valorisation de l’art à l’international,  par Malick Ndiaye. [5], [7], [6], [11], [13] Comment valoriser l’art contemporain africain à l’international et ici ? Table ronde de curateurs et d’artistes. [5], [7], [6], [11], [13] Nouveaux médias : blogueurs — Reprise de la table ronde [3], [8], [10], [14] Visite de la galerie FISH EYE pour les intervenants intéressés. Exposition HAITI. — 2 Rue de l’Hôpital Saint-Louis, 75010 Paris 14h30 — 15h00 13h00 — 14h30 Pause Déjeuner 17h00 — 17h30 Pause Café 15h00 — 17h00 17h50 — 19h00 19h15 — 20h00 No0 MARDI 21 FÉVRIER 2017 APPARTEMENT, 27 BIS RUE JACQUES LOUVEL TESSIER 75011 PARIS
  • 2. Il y a quelques années encore une niche, l’art contemporain africain nécessite aujourd’hui qu’on l’aborde de façon constante et approfondie. Son dynamisme et l’évolution spectaculaire du marché depuis une dizaine d’années rendent indispensables l’existence de zones de réflexion et d’échanges qui sortent du seul champ académique. Nous devons construire un espace interdisciplinaire qui nous permette la réflexivité nécessaire à une indépendance forte. L’association ORAFRICA propose ainsi deux fois par an des journées de réflexion. Ces journées souhaitent répondre au manque de structures pérennes et accessibles en prenant à bras le corps, non pas seulement l’élaboration de savoirs complexes mais aussi en renforçant la réflexion autour de ↗ la production de l’art contemporain africain en permettant à des acteurs de différents domaines de se rencontrer. Ces journées se situent ainsi dans la lignée des évènements parisiens de 2015 qui avaient ouvert la voie à un modèle interdisciplinaire de la recherche autour de l’art Africain en faisant se rencontrer artistes, curateurs, commissaires et chercheurs. Orafrica entend continuer ce travail en invitant également journalistes, blogueurs et entrepreneurs à venir partager et échanger leur expérience. Chaque année, l’association ORAFRICA vote un thème. Celui-ci sera le fil conducteur des débats de deux journées se déroulant en février, et en octobre. Ces dernières seront clôturées tous les ans par le prix Orisha pour l’art contemporain. La production de l’art africain contemporain est depuis une dizaine d’années en pleine phase de structuration. Durant cette journée, des chercheurs, curateurs, artistes, blogueurs, galeristes spécialistes de l’art africain contemporain confronteront leurs recherches et leurs expériences pour élaborer une réflexion collective sur l’évolution du marché de l’art africain contemporain, sur les réseaux de l’art africain contemporain et sur les modes de valorisation de l’art contemporain africain.L’Afrique artistique contemporaine est en effet inscrite dans des temporalités et des problématiques poly-situées (transcontinentales mais aussi métropolitano-centrées), synchroniques mais aussi extrêmement diversifiées qui nécessitent la mise en place de modes de réflexion pluridisciplinaires. ↗ Dans cette perspective, l’association Orafrica propose une journée d’étude interrogeant les modes de valorisation de l’art africain contemporain en proposant deux demi-journées de réflexion. La première interrogera la place singulière du marché de l’art contemporain africain, en pleine structuration, et dont l’influence sur les perspectives esthétiques et les trajectoires des artistes mais aussi de l’ensemble des acteurs du monde de l’art sera discutée. La seconde demi-journée sera elle consacrée aux modèles de valorisation de l’Afrique artistique contemporaine : elle interrogera dans un premier temps le rôle précis des curateurs et dans un second temps les perspectives d’enrichissement et de singularisation de circulations des savoirs que permettent la constitution d’un corps de blogueurs l’international. No0 LE PROJET ORAFRICA LES CHEMINS DE PRODUCTION ET DE VALORISATION DE L’AFRIQUE ARTISTIQUE CONTEMPORAINE
  • 3. NOS INVITÉS El Hadji Malick Ndiaye est docteur en Histoire de l’art de l’Université Rennes II. Ancien post doctorant du Laboratoire d’excellence Création, Arts et Patrimoines (Labex CAP), il est chercheur à l’IFAN/Cheikh Anta Diop et Conservateur du musée Théodore Monod d’art africain. Diplômé de l’Institut National du Patrimoine et ex boursier de l’Institut National d’Histoire de l’Art, il est commissaire d’exposition, théoricien de l’art, spécialiste des études postcoloniales et des patrimoines africains. Il coordonne diverses activités scientifiques autour de ces thématiques, collabore avec différentes revues et participe à plusieurs rencontres internationales. [1] Originaire de Côte-d’Ivoire, Jean-Philippe Aka est un marchand d’art et consultant en arts. Son étude, Africa Art Market, dont la première édition date de 2014, est une des premières à s’intéresser de près à la structure du marché de l’art africain contemporain. Il dirige la Heart Gallery à Paris, depuis presque 20 ans. [2] L’Afro : Dolores Bakèla and Adiaratou Diarrassouba sont journalistes indépendantes pour diverses publications. En 2014, elles se rencontrent chez Africultures. En Novembre 2015 : elles co-fondent L’Afro, né d’une envie de longue date de mêler journalisme et sujets peu abordés avec leur sensibilité de femmes noires afrofrançaises. L’Afro est un média qui parle avant tout des Afrodescendant.e.s de France, citoyen.ne.s, artistes, militant.e.s... et pose un regard journalistique sur les sujets qui les touchent.[3] Nadège Besnard-lwochewitsch est diplômée d’un MBA marché lnternational de l’art de I’ICART Paris ainsi que d’un double master en Sciences sociales et Communication des entreprises. A son retour en France en 2015, après dix années passées sur le continent africain ou elle se consacre au développement de projets artistiques et culturels, Nadège décide naturellement d’orienter son activité vers le conseil en art contemporain dans le but de promouvoir les artistes du continent africain. Elle a depuis lors travaillé pour les ventes Piasa d’Art Contemporain Africain, pour la première édition de la foire Akaa et collabore depuis novembre 2016 à la revue sud-africaine Art Africa Collector. [4] Yves Chatap est titulaire d’un Master en Histoire de l’art à l
’ Université Paris-Sorbonne. En 2010, il crée le site internet www.vusdafrique.com, plateforme de promotion et de lectures, renouvelées, de la création contemporaine. Commissaire, critique d’art indépendant, il organise plusieurs expositions dont Intimités à Treignac Project en 2011 et chez SAVVY Contemporary  à Berlin en 2013; Last Showing au Festival de la photographie de Glasgow en 2014. Yves Chatap écrit régulièrement pour de nombreuses revues spécialisées, pour les catalogues d’artistes. Les concepts d’intimité, d‘archive et identitaires forment un corpus visuel qu’il choisit de décliner à travers la notion d’usage sociale et artistique de la photographie. Il est commissaire associé des 10èmes Rencontres de Bamako, la biennale africaine de la photographie, en 2015. Co-fondateur de «On The Roof», collectif de commissaires indépendants, il organise plusieurs expositions à Paris, Londres, Addis-Abeba et Dakar. Yves Chatap s’engage dans l’édition indépendante de la photographie contemporaine et publie des ouvrages inédits tels que «Boxing Athenas» en 2012 et «The phantoms of Congo river» de Nyaba L. Ouedraogo en 2015. [5] Dagara Dakin est historien de l’art, critique et commissaire d’expositions indépendant. En tant que critique d’art, il est correspondant à Paris pour la revue Contemporary And. Il collabore à la mise en place de différents projets, telles les Rencontres de Bamako en 2005. En 2012, il a été chercheur au Centre Pompidou pour le programme « Recherche et mondialisation ». En 2016, il a animé un workshop en médiation culturelle dans le cadre de la Biennale de Dakar. [6] Delphine Diallo est une artiste franco-sénégalaise. Diplômée de l’école Charpentier en 2000, elle a travaillé dans l’industrie de la musique parisienne comme directrice artistique avant de déménager à New York en 2008. Elle y développe depuis une pratique photographique à cheval entre le Sénégal et ses engagements politiques et spirituels aux Etats- Unis : son travail, habité par son activisme, travaille les corps et les traditions pour révéler des beautés suspendues encore trop souvent détournées. [7]
  • 4. Visit orafrica.com for additional information, please contact us : info@orafrica.com Non-profit organisation n° W751234509 Particulièrement sensible à l’artcontemporain, Virginie Ehonian a commencé son parcours dans le bureau parisien d’André Magni où elle a découvert une autre cartographie artistique. Son diplôme en Coopération Internationale - Afrique, Moyen Orient (2015,Paris 1 - Panthéon Sorbonne, ) lui permet d’envisager de nouvelles façons de promouvoir les différentes cultures et patrimoines africains. Elle est la fondatrice du blog AfricanLinks.net, ainsi que de la Nooru Box. [8] Michèle Magemaestuneartistefranco-congolaise quivitenFrance.Sontravailartistiquemêlepratiques vidéo,photo,dessinetinstallation. L
’ artistecomposedesmisesenscènesingulières oùlecorpsetl’espacedialoguentenpermanence. Lacohabitationentrel‘Histoire,leshistoires individuellesetlamémoirecollectiveestpourl
’ artiste uneformenouvellederéécritureartistique.[9] Passionné d’art dont la photographie depuis son Gabon natal, Sebastien Mbot arrive en France en 2003.
À l’occasion de l’exposition “Congo Kitoko” de la fondation Cartier, il rencontre l’artiste de génie, feu Kiripi Katembo. De cette rencontre, Sébastien retire une ambition : celle de faire découvrir la photographie d’art africaine au plus grand nombre. Il crée dès alors le blog moadiga.com, dédié à la photographie africain.[10] Sonia Recasens est une Critique d’art et commissaire d’exposition basée à Paris. Ses champs de recherches vont de la création émergente aux arts textiles, de l’histoire de l’art féministe à l’art africain contemporain, en passant par les gender et postcolonial studies. Rédactrice en chef de Portraits, elle écrit pour différentes publications de musées, galeries, centres d’art et revues. Elle travaille comme assistante d’exposition et production dans différentes institutions (Institut du Monde Arabe, Musée national d’art moderne, Maison des cultures du Monde...) avant de développer des projets curatoriaux en France et en Afrique du Nord. [11] Après une longue carrière internationale dans la banque, puis architecte d’intérieur et galeriste, Sitor Senghor est désormais engagé à plein temps dans l’art contemporain avec une âme de collectionneur, une identité sénégalaise métissée et une passion pour le détail. (S)ITOR n’est pas une galerie traditionnelle mais plutôt un pont entre les artistes et les collectionneurs permettant de partager culture et beauté, d’où qu’elles viennent et quelles qu’en soient les formes.[12] Elena Sorokina est commissaire et historienne de l’art et travaille actuellement comme commissaire associée pour la Documenta 14 à Athènes / Kassel. Elle est diplômée du Whitney Museum of American Art ISP à New York, et elle a obtenu son diplôme de maîtrise en histoire de l’art de l’Université Friedrich Wilhelm à Bonn, en Allemagne. Parmi ses projets, on peut citer: « Museum (Science) Fictions » au Centre Pompidou, Paris; “Forms of Togetherness (and Separation) à WIELS, à Bruxelles, et à l’Académie des arts du monde, Cologne; “Spaces of Exception”, un projet spécial pour la Biennale de Moscou, Agnès Varda, Temps Trituré, à LVMH Bruxelles, le symposium «Qu’est-ce qu’une exposition postcoloniale?», Un projet collaboratif du SMBA / Musée Stedelijk d’Amsterdam et du Musée Stedelijk. Elle a publié de nombreux catalogues et a écrit pour Artforum, Flash Art, Cabinett Magazine, Manifesta Journal, Moscou Art Magazine et d’autres publications. Sorokina est fréquemment invitée dans les conférences internationales et a été invitée comme conférencière au Centre Pompidou à Paris, le Musée Picasso, Paris, Paris Photo, ISCP, New York, HISK, Gent, Garage CCC, Moscou, et d’autres institutions. [13] Rhoda Tchokokam est une jeune directrice artistique, occasionnellement critique musique. Née à Paris, elle grandit à Douala puis revient dans la capitale pour poursuivre des études en direction artistique dans la publicité. C’est au cours d’un séjour à New York qu’elle lance le blog Atoubaa, un projet de recherche et d’archivage qui documente la présence des femmes noires dans les arts visuels. Aujourd’hui, le blog est devenu un média qu’elle décrit comme « un espace dédié à l’art, la culture et la créativité des afrodescendantes francophones » . [14] NOS INVITÉS ↗