1. Les nouveaux membres du réseau Le saviez- vous ?
Qu’est ce que la méthanisation ?
La méthanisation (encore appelée digestion anaérobie) est
une technologie basée sur la dégradation par des micro-
organismes de la matière organique, en conditions
contrôlées et en l’absence d’oxygène (réaction en milieu
anaérobie, contrairement au compostage qui est une
réaction aérobie).
Cette dégradation aboutit à la production :
- d’un produit humide riche en matière organique
partiellement stabilisée appelé digestat. Il est généralement
envisagé le retour au sol du digestat après éventuellement
une phase de maturation par compostage ;
- de biogaz, mélange gazeux saturé en eau à la sortie du
digesteur et composé d’environ 50% à 70% de méthane
(CH4), de 20% à 50% de gaz carbonique (CO2) et de
quelques gaz traces (NH3, N2, H2S). Le biogaz a un Pouvoir
Calorifique Inférieur de 5 à 7 kWh/Nm3. Cette énergie
renouvelable peut être utilisée sous différentes formes :
combustion pour la production d’électricité et de chaleur,
production d’un carburant.
Verseau Nettoyage Interface Concept
Numéro 12 Le réseau des Entreprises Eco-Responsables de Bretagne Juin 2014
Les produits d’entretien peuvent contenir des substances
chimiques dont certaines ne sont pas biodégradables et dont les
impacts sur l’environnement et la santé sont douteux voire
négatifs. VERSEAU NETTOYAGE veut un nettoyage qui respecte
l’environnement et utilise des produits écologiques qui sont
100% biodégradables.
Nos produits sont à base de formule douce, ils ne contiennent
pas d’ammoniaque, ni de soude, ils sont 100% à bases végétales
naturelles et renouvelables.
Site internet : http://www.verseau-nettoyage.fr
Depuis 1987, Interface Concept, spécialiste européen reconnu
de l'électronique embarquée, conçoit, fabrique et
commercialise des équipements adaptés aux domaines de la
défense, de l’aéronautique, de l’industrie et des
télécommunications.
Notre engagement est d’offrir à nos clients des solutions
standardisées performantes soutenues par un service de haut
niveau. Nos produits sont toujours étudiés pour optimiser et
intégrer les dernières innovations technologiques tout en
respectant les standards mondialement reconnus.
Site internet : http://www.interfaceconcept.com
2. Le commerce équitable a fait du chemin depuis ses
tout débuts dans les années 1940 aux Etats-Unis.
Aujourd’hui, s’il bénéficie d’une notoriété très
forte (99% des Français le connaissent alors qu’ils
n’étaient que 9% en 2000), le consommateur n’est
pas toujours très sûr de ce qui se cache derrière
cette appellation. Quelles idées reçues tournent
autour du commerce équitable ? Qu’est-ce qui
garantit que les produits proviennent bien de la
filière ?
Nombreux sont les consommateurs dubitatifs quant
au commerce équitable. Beaucoup craignent un
beau discours camouflant des pratiques tout autres.
Pourtant, depuis ses débuts aux Etats-Unis dans les
années 1940, la filière a su prouver l’aide concrète
qu’elle apportait aux producteurs des pays du sud.
Pour mieux s’en rendre compte, faisons un petit
panorama de ce qu’est le commerce équitable, en
commençant par une définition.
« un partenariat commercial, fondé sur le dialogue,
la transparence et le respect, dont l’objectif est de
parvenir à une plus grande équité dans le commerce
mondial. Il contribue au développement durable en
offrant de meilleures conditions commerciales et en
garantissant les droits des producteurs et des
travailleurs marginalisés, tout particulièrement au
Sud de la planète. […]
Le commerce équitable repose ainsi sur des
règles essentielles qui sont :
travailler avec des producteurs défavorisés et
marginalisés ; mettre en place avec ces
producteurs des relations commerciales sur le
long terme; respecter et faire respecter les
droits fondamentaux des hommes (veiller à ce
que les conditions de travail soit décentes, à la
sécurité des travailleurs, à l’interdiction du
travail des enfants…) ; préserver le savoir-faire
local ; rémunérer les producteurs au prix juste
en les préservant des fluctuations du marché ;
s’engager pour des produits de qualité
respectueux de la santé et de l’environnement ;
accepter de se soumettre aux critères et au
contrôle des labels du commerce équitable…
Les labels du commerce équitable, la seule
garantie
Avant toute certification d’un produit, des
experts se rendent sur place pour contrôler la
traçabilité du produit et s’assurer que toutes les
étapes jusqu’à la mise en rayon du produit
respectent les valeurs du commerce
équitable. Les producteurs, les importateurs et
les industriels agréés font ainsi l’objet d’un
contrôle à la fois administratif et physique.
Beaucoup d’idées reçues gravitent autour du
commerce équitable, et parmi elles :
« Les produits équitables sont plus chers ! »
Pas complètement vrai.
Il est vrai que les produits équitables peuvent
être légèrement plus chers que leurs
homologues classiques… en revanche, il faut
comparer avec des produits de même qualité !
« Le commerce équitable ne concerne que le
café et le chocolat ! ».
Faux ! La gamme des produits équitables s’est
largement ouverte.
« Le commerce équitable ne prend pas en
considération l’environnement. Pour respecter
la planète, il faut acheter du bio ».
Faux ! Certes, les produits équitables ne sont
pas forcément bio, mais ils sont écologiques.
Malheureusement, tout n’est jamais rose et des
auteurs dénoncent ce qu’ils appellent les
dérives du commerce équitable.
En première ligne, le label Max Havelaar qui a
subi de virulentes critiques, notamment au
travers du livre de Christian Jacquiau,
altermondialiste dont l’ouvrage « Les coulisses
du commerce équitable » a été publié en 2006.
L’auteur exprime son point de vue qui est celui
de dénoncer l’incompatibilité du système de
commerce équitable avec la vente de produits
en grande distribution.
Selon Jacquiau, le commerce équitable ne serait
qu’une gigantesque opération marketing, un
vulgaire argument de vente.
Annabelle, http://www.consoglobe.com
Les vrais faux produits du commerce équitable
hausse en 2013.
-Marché Carbone Européen : baisse d’au moins 3% des
émissions en 2013.
-Nouveau règlement sur les GES : réduction de 2/3 des
émissions d’ici à 2030.
-Etiquetage : la mention « à consommer de préférence
avant » à la poubelle ?
-Nouvelle baisse des prix du gaz en Juin.
-L’agence française de sécurité sanitaire met en garde
contre les nanomatériaux.
-La crise ukrainienne remet l’efficacité énergétique en tête
des priorités européennes.
-Déchets : la méthanisation une voie vers la transition
énergétique.
www.actu-environnement.com
Un entrepreneur français a mis au point un bioplastique innovant
fabriqué à partir d’algues brunes. Son originalité ? Etre 100 %
biodégradable en quelques heures seulement.
Les défenseurs de l’environnement en rêvaient, Rémy Lucas l’a fait.
En 2011, cet ingénieur breton lance Algopack, un plastique d’origine
naturelle entièrement biodégradable et compostable façonné à
partir d’algues. La recette de fabrication n’utilise ni pesticide, ni
engrais et très peu d’eau.
La vitesse de décomposition de cette matière est fulgurante :
comptez quelques heures seulement contre 500 ans pour un
plastique classique.
L’usine d’Algopack est basée à Saint Malo. Elle reçoit chaque
semaine une tonne d’algues brunes qui deviendront des panneaux
signalétiques, des jouets, ou encore des tablettes tactiles. La matière
première est produite par des algoculteurs qui récoltent les algues
en mer après les avoir fertilisées en écloserie. Une partie de la
production est livrée aux industriels de la plasturgie et l’autre est
réservée aux produits Algopack. Soucieuse de son impact
environnemental et de la mise en valeur des ressources régionales,
l’entreprise réalise culture, récolte et transformation des algues
dans un rayon de 250 km.
http://www.courantpositif.fr
Algopack : le plastique 100% biodégradable issu d’algues
Entreprises Eco responsables de Bretagne
Fixe : 02 98 40 00 57 / Portable : 06 38 21 65 59
www.eco-responsables.fr
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