Cours de Mps maths

1. Le 2ème message espagnol
En cette matinée du 10 Mai, les élèves de la 2nde 4 se sont donnés
bien du mal face au nouveau message tout droit venu d’Espagne.
Un sentiment de doute a envahi par moments les enquêteurs en
herbe et une ambiance opaque et pleine de mystère flottait au-
dessus des têtes perplexes.

2. Des révisions ont été nécessaires et tout le monde s’est penché sur
le système international de codage informatique que l’on nomme
plus communément le code ASCII, traduire, traduire, toujours
traduire pour comprendre ! Mais pour comprendre quoi ? Les
turpitudes de la nature humaine inavouables qui peuvent se
cacher dans le non-dit, dans les messages truqués et pleins de
mystère ou la jalousie qui ronge et qui pousse au ……crime !!!???

3. C’est donc dans la confusion générale que les décryptages se sont
effectués mais le sang-froid toujours de mise dans cette équipe a
été constructive car petit à petit, poco a poco, on y arrive
toujours ! Hasta la verdad !!

4. Le message à décoder était bien là pourtant, devant leurs yeux,
l’indice n°28, l’indice du malheur, l’indice qui a résisté aux
attaques pendant 1 h 30 mais plus tenaces qu’un taureau
espagnol, les élèves sont parvenus à le vaincre ! Le message était
tout simplement codé selon le système ASCII avec une clé César A,
quelle audace ! D’ailleurs, un des élèves a lancé de go :
« Monsieur, ça revient en fait à tirer un penalty au milieu des
cages en espérant voir le gardien plonger à droite ou à gauche ! »
Les enquêteurs y ont très vite vu l’audace propre aux sportifs
espagnols qui n’ont pas froid aux yeux mais face à ceux qui n’ont
pas froid aux yeux, ne dit-on pas qu’il faut faire preuve de sang-
froid…

5. La vérité, plus brillante que tout, a alors illuminé le tableau sous
le stylo de la porte-parole de l’équipe : « Esta no va a ser la
unica muerte que va a suceder… » Une promesse de
mort encore ! Encore une menace !! Décidément, tout ceci ne
s’arrêtera jamais. Nous avons gagné une belle bataille célébrons-
la même si la guerre est loin d’être terminée…